Clarisse ne voulait plus qu’on l’appelle Gisèle.
Ainsi elle tournait définitivement le dos à son statut de retraitée de l’administration pour laisser définitivement place à « Skinny Clarisse », star amateur reconnue du porno, sa nouvelle vie.
Clarisse, donc, avait connu son plein succès chez les (a)mateurs de mamies fétichistes et plus récemment de SM. Ses dernières aventures avec la grosse ukrainienne avaient cumulées plus de 5000 vues sur son site privé.
Il était temps de se remettre au boulot, l’audience était facilement distraite dans ce milieu où il fallait du nouveau et de l’original sans cesse.
Clarisse devait trouver un nouveau scénario attrayant. Elle alla fouiller chez la concurrence, pour observer la tendance. Une analyse rapide lui fit conclure que le médical sadomasochiste avait le vent en poupe.
Ce serait donc « Clarisse chez le gynécologue ». Restait le plus important : le partenaire. Il fallait de l’original.
Clarisse dégota chez un autre producteur une personne de petite taille, comprendre une naine.
La fiche annonçait un mètre vingt. Ursula, c’était son pseudo, avait quarante trois ans et jouait habituellement dans du porno classique. Elle était très difforme avec une tête imposante et atteinte d’une obésité conséquente.
Rapprochée de l’allure anorexique de Clarisse cela constituait déjà un contraste intéressant. Elle contacta donc et se mit rapidement d’accord avec elle pour finalement pas cher.
Elle loua un studio SM, expliquant de quels éléments de décor et accessoires elle avait besoin et loua les services d’ un cameraman et d’un assistant.
Le tournage pouvait commencer dés le lendemain. Clarisse reçut Ursula au studio une heure avant et la briffa rapidement sur ce qu’elle souhaitait.
C’était parti ! Première scène dans la salle d’attente. Clarisse, habillée punk, une simple salopette de cuir, sans rien dessous, casquette de cuir et chaînes ici et là, plus des « Doc Martins » sans lacets.
Pour l’occasion, elle s’était fait raser les côtés du crâne et fabriquer la crête qu’elle avait fait teindre en noir corbeau. Elle était très maquillée, noir abondant pour les yeux et violet pour les lèvres.
Pour le reste, elle était toujours aussi filiforme, avec ses 45 kilos pour 1M65. Elle avait changé ses anneaux mammaires habituels contre des barrettes assez épaisses, qui traversaient ses tétons.
La porte du docteur s’ouvrit,Clarisse posa son magazine et rentra dans le salon de consultation du docteur Ursula, qui l’attendait dans sa blouse blanche. Celle-ci l’interrogea à partir d’un questionnaire écrit sur ses pratiques sexuelles favorites, la fréquence de ses rapports et bien plus encore.
Ensuite, Ursula lui demanda de se déshabiller et de s’asseoir sur le fauteuil de consultation. Clarisse enleva casquette et salopette, se débarrassa de ses bottines et s’installa comme indiquée, la tête en arrière et les cuisses ouvertes, les pieds placés dans les étriers
Sa chatte bien laisse saillait entre ses maigres cuisses. Un petit anneau traversait son clitoris.
La naine commença son examen: Pouls, tension, température, tirer la langue,… La palpation des seins fut délicate puisque Clarisse était absolument plate. Ursula ce contenta donc de lui tripoter les tétons.
Elle glissa ensuite vers la vulve de la sexagénaire, lui massa le sexe avec un corps gras, puis glissa précautionneusement un spéculum dans son vagin. Sur le gros plan suivant on la voyait faire jouer l’écarteur puis éclairer le col de sa patiente.
A ce moment là, la naine déclara avoir observé une anomalie, qui nécessitait une petite intervention sous anesthésie. Clarisse jouait la surprise pendant qu’Ursula préparait la seringue. On vit l’aiguille s’approcher du bras maigre de la vieille puis la caméra bascula sur son visage. Clarisse ferma les yeux en serrant les dents.
Fondu au noir.
Retour de lumière sur un plan flou. Puis la netteté se fait. Clarisse revient à elle, toujours dans la même position, mais il y a du changement.
Elle est attachée bras et jambes au fauteuil. Son cou est fixé par un collier de cuir à l’appui tête et elle a un harnais autour du visage avec des oeillères qui l’empêche de voir latéralement, plus un écarteur dans la bouche.
La naine réapparaît et observe sa captive. Lentement elle fait jouer l’écarteur dentaire, distendant les gencives de Clarisse qui bave en roulant des yeux écarquillés. Ursula joue avec la langue de sa soumise, enfonce deux doigts dans sa bouche, puis dans sa gorge, ce qui a pour effet de faire vomir Clarisse.
Satisfaite la doctoresse disparaît un court instant du champ de la caméra. Sa patiente la cherche du regard ; Gros plan sur le visage ; la naine revient armée d’une pompe à vide. Elle fait couler de l’huile sur la poitrine de Clarisse puis branche directement le tube transparent de plastique de la pompe sur le mamelon gauche de la vieille.
Gros plan, le téton est brutalement aspiré et grossit à vue d’il. Quand il est totalement étiré,
Ursula enserre sa base avec un élastique puissant et passe au sein droit pour renouveler l’opération.
Une fois terminé elle disparaît à nouveau. On voit Clarisse remuait la tête vivement de droite à gauche l’air effrayée. Le plan s’élargit sur Ursula, une grosse seringue de sérum physiologique à la main. Elle va droit au but et pique horizontalement dans le nichon prisonnier.
Le liquide pénètre sous la peau et fait gonfler le bout de chair. Le garrot empêche le sérum de se disséminer et la vieille se retrouve avec un téton de la taille d’une fraise. Elle grimace et bave de plus belle, des bruits inarticulés sortent de sa gorge.
Même procédure pour le second mamelon et même résultat. Ursula observe le résultat tandis que Clarisse pleure.
Le micro toubib reprend son outil et aspire maintenant le clitoris. Une fois bien dilaté celui-ci reçoit à sa base et à son tour l’élastique réglementaire.
La protubérance est déjà de deux ou trois centimètres, mais la naine semble trouver le résultat insuffisant. La seringue de sérum fait son retour. La piqûre arrache des spasmes à la patiente qui manque tourner de l’il. Goutte à goutte le liquide s’insinue dans le clitoris qui vire au rouge puis au violet.
Quand la naine s’arrête l’organe à la taille d’un cornichon moyen. Le bon docteur reprend son ouvrage et distille quelques dizaines de centimètres cubes de sérum dans les grandes lèvres de sa cliente.
La vulve enfle progressivement et se met à ressembler à un abricot géant. La scène semble ravir la praticienne, visiblement amoureuse du travail bien fait. Un plan plus large nous indique que Clarisse est au bord de l’évanouissement.
Coupure.
Retour sur le plateau. Ursula tien dans la main un plateau d’argent dans lequel se trouve une foultitude d’aiguilles de toutes sortes. Elle pose le haricot sur la tablette, choisit une aiguille, déchire l’emballage de plastique et la plante dans la vulve turgescente de sa victime.
L’opération en gros plan se répète. Au bout de quelques minutes la chatte de la vieille ressemble à un hérisson métallique.
Le plan s’élargit et remonte vers la poitrine insignifiante de Clarisse. La doctoresse a maintenant d’autres visées. Avec une pince médicale, elle saisit le téton droit et tire à elle. Clarisse grimace. Ursula prend une aiguille fort longue et perce la chair de haut en bas.
Bientôt Clarisse dispose d’une étoile d’aiguilles autour de chaque nichon. Gros plan puis zoom arrière. Ursula brandit une aiguille modèle ponction lombaire et l’enfonce horizontalement out droit dans un des mamelons suppliciés.
Comme elle adore visiblement la symétrie, elle répète le mouvement sur l’autre mamelle. Clarisse s’évanouit. Coupure
Retour sur Ursula qui dispose maintenant d’un gode vibrant Hitachi, qu’elle déclenche Elle pose la tête ronde sur la vulve de la vieille et entame un va et vient lent, tout en retirant une à une les aiguilles fichées dans le vagin.
Le sang perle et finit par couler des micro-blessures. La naine branle avec avidité la pauvre Clarisse, qui tremble de tous se membres, partie à cause de la douleur des aiguilles, partie grâce au gode vibrant.
Ursula ôte maintenant les flèches d’acier de la poitrine de Clarisse, le gode frottant les chairs tuméfiées. La aussi des gouttes d’hémoglobine perlent.
Ursula revient au vagin de sa cliente et la branle violemment jusqu’à ce que celle-ci éclate, secouée de spasmes violents.
La dernière scène s’arrête sur l’image apaisée du médecin passant un coton imbibé d’alcool sur les plaies de sa victime.
C’est finalement le cameraman qui a le dernier mot, en annonçant d’une voix blasée :
«C’est bon, tout est dans la boîte !»