(Je me suis aperçue que mon voisin me matait par la petite lucarne).
Je suis une jeune femme de trente ans très attachée à la qualité de mon physique et à mon apparence. Naturellement très sportive, j’entretiens avec beaucoup de plaisir mon corps depuis que celui-ci a pris des formes prouvant mon statut de femme. On n’hésite pas à me dire que je suis belle et j’en suis fière. J’habite, à Pralogan, un petit village de montagne très agréable. J’ai fais l’acquisition d’un petit chalet isolé sur un versant de montagne et je l’ai aménagé à ma façon. N’ayant pas de petit ami attitré, durant mes déplacements en dehors de ma région, je n’hésite pas à prendre du plaisir avec des inconnus différents que je rencontre par ci, par là, en fonction de mes besoins hygiéniques. Je n’ai d’ailleurs pas envie de m’attacher et comme mes activités professionnelles sont prioritaires, je n’ai pas de temps pour roucouler.
Le mois dernier, j’ai aménagé, au rez-de-chaussée de ma maison, une petite salle de musculation avec un espace d’eau comprenant une douche, un jacuzzi et un sauna. Dès que j’en ai l’occasion, durant le peu de temps que je passe chez moi, je m’entraîne afin de conserver la platitude de mon ventre et la musculation de ma belle poitrine. Je dois dire que j’en suis très amoureuse. Vous allez dire que je suis narcissique et je ne le nie pas du tout. Je m’aime tout entière et j’adore aussi jouer avec toutes mes zones érogènes. Lorsque je m’applique à me sculpter musculairement, j’en tire beaucoup de plaisir et je ne peux pas m’empêcher de terminer mes séances en me caressant sexuellement.
Dans le village, j’ai souvent des tenues très sexy qui ne manque pas de détourner le regard des hommes comme des femmes. J’accepte volontiers les sifflets admirateurs. Je suis toujours en jupe vraiment très courte pour mettre en évidence mes jolies jambes fuselées et j’enfile toujours des pulls moulants en mohair sans soutien gorge pour faire darder la pointe de mes seins et mettre en valeur mes formes gracieuses et généreuses. Depuis quelques temps, je me suis rendu compte qu’un très jeune homme au visage plein d’acné prend l’habitude de me suivre lorsque je fais mes courses le week-end. Je m’en amuse beaucoup car même si il veut rester discret, je l’ai repéré. J’aurai préféré que ce soit un beau garçon mais je suis flattée qu’un puceau me suive. Cela m’excite beaucoup. Je ’amuse avec lui et lorsque je prend un thé à la terrasse d’un café, je prends des positions suggestives et je m’arrange pour qu’il essaie de mater sous ma jupe. Je sais que je traumatise ses pensées sexuelles et je l’imagine souvent en train de se branler sous la couverture de sa chambre quand il rentre chez lui.
En arrivant chez moi, j’oublie tout de suite le pauvre garçon. Habitant toute seule, il n’est pas rare que je pratique mes exercices dans le plus simple appareil. Surtout le matin quand je me lève avant de prendre mon petit déjeuner. La moiteur de mon intimité, quand mes rêves ont été très érotiques, m’incite à me dépenser encore plus. Je sais pertinemment que je vais faire exploser la liqueur excessive encore dans mon ventre. Possédant un mur recouvert d’un miroir et d’une barre pour danseuse, j’adore regarder mon corps se mouvoir et mes beaux seins fermes en formes de poire pointer ses aréoles. Je les masse régulièrement et sensuellement. Leur peau est douce et surtout hypersensible aux caresses et mes tétons adorent que je les suce. Je suis une voyeuse amoureuse de mes seins et de mon petit abricot tout lisse et bien dessiné. Quand je m’allonge sur mon banc de travail, les deux jambes de chaque coté de l’assise, je ne cache plus rien de mon intimité ouverte. Je m’amuse souvent à me lisser les grandes lèvres jusqu’à ce que ma sève vienne les faire briller. Toutes mes séances finissent par un orgasme clitoridien. La semaine dernière, lors d’une visite dans la capitale, je me suis enhardie et je suis entrée dans un sex-shop. Je devais être rouge comme une pivoine. Devant un tel panel d’olisbos de tailles et de couleurs différents, j’avais l’embarras du choix. J’ai fait l’acquisition de quelques petits gadgets pour satisfaire mon envie d’être remplie lors de mes séances sportives à domicile. J’en avais assez d’utiliser divers objets pouvant satisfaire une bonne pénétration. Malgré tout, je ne les ai toujours pas déballé.
J’ai même acheté un plug anal de bonne dimension. Je ne suis pas spécialement une fervente de la sodomie car les hommes qui m’ont prise par mon petit orifice étaient toujours pressés et pas assez attentifs a mon plaisir pour que j’en tire une quelconque satisfaction. Comme j’ai des amies qui m’ont dit qu’elles appréciaient cette pénétration, je veux connaître cette extase la, aussi. J’ai donc décidé de m’auto satisfaire à ma vitesse.
Vendredi dernier, en rentrant de déplacement, je suis allée faire mes courses dans le village. Je n’ai pas vu mon petit grêlé. De façon inconsciente, je le cherchais. Je me retournais souvent pour savoir si il allait apparaître. Je me suis baladée dans tout le village et je ne l’ai pas trouvé. J’ai fini par faire réellement mes courses mais mes pensées étaient envahies par cette déception de ne pas voir mon petit bonhomme. J’ai passé la soirée à me demander ou il était passé.
Le lendemain matin, frustrée de ne pas l’avoir vu la veille, je me suis levée pour commencer mes exercices physiques, totalement nue. J’ai commencé par m’échauffer en faisant quelques rotations du bassin et lorsque je me suis mise à faire des étirements sur la barre de danse, dans le miroir, j’ai aperçu la petite tête du jeune homme en train de me mater par la lucarne. J’ai fais semblant de ne pas le voir et toute excitée de savoir que j’étais à la merci d’un voyeur, j’ai pris des positions si perverses qu’il doit, maintenant, me connaître dans mes moindres recoins intimes. Au terme de mes exercices, je suis entrée dans la douche et je me suis masturbée en pensant à lui. Dans la journée je me suis promenée en ville avec des amis et à aucun moment je n’ai pu croiser sa silhouette. J’ai compris qu’il avait trouvé mieux que de me suivre en m’épiant le matin. Le lendemain, il était là. Mes jeux sont devenus de plus en plus pervers. Je n’hésite plus à utiliser mes jouets pour aller encore plus loin. Il sait que je l’ai vu et il ne se cache plus. De temps en temps, il gratte sur la vitre comme si il voulait que je l’invite à me rejoindre. Ce petit jeu me suffit pour l’instant et je ne suis pas encore prête à le dépuceler. Je crois que ce sera pour bientôt mais j’ai peur que ça se sache dans le village ou qu’il devienne trop collant. Il n’est vraiment pas beau mais son regard est très touchant. Je viens de découvrir une nouvelle forme d’exhibitionnisme un peu plus hard qu’avant. J’aimerai qu’il vienne avec des copains pour me regarder faire mais après cela m’obligerait à déménager, ce que je ne souhaite pas. Je suis en train de réfléchir à de nouvelles idées exhibitionniste lors de mes déplacements. Je vous raconterai plus tard comment ma vie a évolué.
Doumé