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Grace sombre dans la débauche – Chapitre 1




Grace sombre dans la débauche Ch 1, 2, et 3

Fall from Grace 1, 2 end 3.

Coulybaca / Warner 34

Chapitre 1 : De nouveaux voisins serviables

La vie a toujours été aussi clémente que satisfaisante avec moi.

J’étais une travailleuse acharnée lors de mes années collège, je ne rêvais qu’à m’élever dans la société. J’avais été élevée dans les stricts principes d’une famille catholique et je croyais dans des règles de vie que me dictait la morale chrétienne.

Lorsque je fus assez vieille, je me portais volontaire pour des travaux charitables dont je faisais bénéficier la communauté dans laquelle je vivais.

Les relations amoureuses étaient fortement prohibées par ma mère, aussi n’en eus-je aucune pour ne pas décevoir ma mère qui me servait de modèle.

Ce n’est qu’au lycée que je rencontrais le prince charmant, mon futur mari, ce fut le coup de foudre réciproque.

C’était un mauvais garçon qui avait bien tourné, je croyais que j’y étais pour quelque chose.

Inutile de dire qu’assez rapidement je lui offris mon pucelage, j’appréciais de faire l’amour régulièrement avec lui.

Environ deux ans plus tard, peu après la remise de mes diplômes, nous nous sommes mariés et nous eûmes rapidement notre premier enfant, ce qui nous précipita brutalement dans le monde des adultes.

Nous étions si impatients de vivre notre propre vie que nous nous sommes installés dans un appartement à bas prix dans le plus mauvais quartier de notre ville.

Mon époux trouva un emploi de col blanc dans une maison de courtage, son salaire était des plus modestes alors que je dénichais un travail professionnel bien mieux rémunéré.

Cette histoire débuta deux mois après la naissance de notre second enfant.

******************************************

Je m’appelle Grace et je suis une femme mariée et heureuse de l’être, j’ai 29 ans et je mesure 1, 72 m, mes longs cheveux noirs cascadent sur mes épaules, ma ferme poitrine nécessite des soutiens-gorges B du 105 et même des bonnets D du fait de mon récent accouchement, je suis fine, j’ai un beau petit cul avenant, l’on remarque tout de suite mes origines philippines.

Mon voisinage est des plus agréables, ma sour et mère habitent à proximité.

L’appartement dans lequel nous vivons est un bâtiment à loyers modérés qui attirent les couches populaires dont certaines assez indésirables, mais le loyer est bas et nous disposons de deux chambres et d’un grand séjour.

Dans quelques années, lorsque nous aurons économisé suffisamment d’argent nous achèterons une maison et nous inviterons ma mère et ma sour à vivre avec nous.

Deux mois plus tôt, mon mari a programmé des vacances golf de 4 jours avec ses copains ce qui induisait que je prenne quelques jours de congé et que je confie mes enfants à la garde de ma mère le temps que je voulais rester seule.

Un mois environ avant ce voyage, un couple de nouveaux locataires s’installa dans l’appartement contigu au notre.

Il s’agissait de deux noirs, deux colosses d’environ 25 ans, apparemment ils dépendaient de la base militaire proche.

Mon mari et moi étions là lors de leur emménagement, mon époux offrit de leur donner un coup de main.

Ils se présentèrent, ils se nommaient Tyrell et Robert.

Pendant les semaines qui suivirent, mon mari se mit à les haïr, il prétendait qu’ils étaient totalement immatures et totalement infréquentable.

Je n’ai jamais été très ouverte aussi n’allais-je pas plus loin que les échanges normaux entre voisins.

Alors que le jour de son départ arrivait, je réalisais subitement que l’anniversaire de mon mari surviendrait très peu de temps après son retour.

Cela faisait longtemps qu’il désirait un home cinéma avec une télé grand écran, il avait épargné sévèrement pour pouvoir se l’offrir.

C’est pourquoi je décidais que j’allais l’acquérir pour lui en faire la sur-prise à son retour.

Aussi avant son départ, j’achetais un dispositif alliant un son surround, une télé grand écran et une nouvelle caméra vidéo digitale.

Je devais réceptionner la livraison dès le premier jour d’absence de mon époux.

Je ne pouvais m’empêcher de me congratuler pour cette excellente initiative.

Enfin arriva le jour du départ de l’amour de ma vie.

Je le conduis à l’aéroport puis j’emmenais mes deux fils chez ma mère.

Après avoir passé une bonne partie de l’après-midi avec ma mère et mes enfants je me ruais chez moi attendant impatiemment la livraison.

Enfin ce moment tant attendu arriva, je réceptionnais donc les différents articles, puis j’offris un rafraîchissement aux livreurs et me retrouvais soudain confrontée à un problème que je n’avais même pas envisagé.

Je n’avais aucune idée de la façon d’assembler et de mettre en marche tout ce matériel.

C’est à ce moment, alors que ma porte était encore entrouverte que Tyrell et Robert remarquèrent mon embarras, ils offrirent de m’aider en échange de quelques bières et d’un bon repas.

Comme je n’avais pas le choix, bien que je sache que mon mari n’approuverait pas mon initiative, j’acceptais leur offre.

Une fois qu’ils eurent débuté l’installation, je me rendais au marché du coin et j’achetais quelques bières et une pizza.

Le temps que je rentre chez moi, ils avaient terminé et m’attendaient pour tester ce nouveau matériel.

L’ensemble marchait encore mieux que je l’avais espéré.

Ils me tendirent la télécommande et m’indiquèrent son mode d’emploi, j’étais vraiment une novice en la matière.

Tout fonctionnait correctement, nous fêtâmes cela en soupant.

Ils m’offrirent une bière que je refusais, je n’en avais bu qu’une auparavant et je m’étais retrouvée tout de suite éméchée.

Une fois la pizza engloutie, ils insistèrent pour que je boive une bière me disant que cela ne se faisait pas de refuser de boire un verre à des amis.

Au bout d’une trentaine de minutes, de guerre lasse j’acceptais pour qu’ils arrêtent de me harceler pour que je boive avec eux.

Et bien sur, à peine avais-je bu la moitié de ma cannette que je me sen-tais légèrement grise, je m’excusais pour me rendre aux toilettes.

Lorsque j’en revins, Tyrell se roulait une cigarette, il me demanda s’il pouvait fumer.

Sentant que je devais leur être reconnaissante de leur intervention et sous un état alcoolique euphorisant, je l’y autorisais lui demandant de n’en fumer qu’une.

Il me remercia vivement et sourit à Robert comme si je venais de leur ouvrir une voix à explorer.

Lorsque je bus une seconde bière, je ne ressentais aucune douleur, mais j’étais confuse, je me rendis subitement compte qu’ils fumaient de la marijuana.

Je leur demandais de cesser immédiatement, ils se contentèrent d’en rire et me dirent qu’ils avaient quasiment terminé leur joint.

Robert s’approcha de moi et s’assit à mon coté et m’avisa que c’était la fumée de la marijuana qui troublait l’esprit, il insista pour que j’essaie, que cela m’emporterait vers des paradis que je ne soupçonnais même pas.

Je n’avais jamais vu de joint ni de drogue de quelque sorte, j’étais tentée d’essayer pour voir.

Ce tout d’abord un véritable désastre.

Je m’étouffais avec la fumée et toussais comme une malade.

Ils me convainquirent de recommencer me disant que cette fois Robert me soufflerait la fumée dans la bouche.

Lorsqu’il s’exécuta, je sentis ses lèvres frôler les miennes, je m’affolais alors comprenant que cette situation pouvait déraper à tout instant.

Alors que j’allais leur dire de me quitter, une lourde masse de béton s’abattit sur moi me paralysant momentanément l’esprit.

Tyrell s’assit tout contre moi à ma gauche et me demanda si tout allait bien.

Je ne pouvais répondre, je n’arrivais plus à contrôler mon esprit ! ….

Ils restèrent assis, tournés vers l’écran Tv en me disant qu’ils resteraient avec moi tant que je ne me sentirais pas mieux, puis ils rentreraient chez eux.

Comme ils naviguaient sur les différents canaux ils tombèrent sur une chaîne pour adultes dont je ne croyais pas disposer.

Robert me dit alors qu’ils avaient installé un décodeur pirate pour que mon mari puisse disposer de toutes les chaînes gratuitement.

Je ne parvenais pas croire ce que je voyais, pas plus que le fait que ce film porno se déroule sur mon écran.

Je n’avais jamais vu de film porno, mais j’avais déjà entendu mon mari et ses amis en parler de temps à autre. Sur l’écran, un noir se faisait sucer par une asiatique.

Un bref instant de lucidité envahit mon esprit, je me rappelais alors que j’étais une femme mariée et heureuse en ménage, que j’accueillais dans mon appartement deux noirs que mon époux détestait, qu’on buvait de la bière alors qu’ils fumaient de l’herbe, et sur tout que je regardais un film porno en compagnie de DEUX HOMMES NOIRS ! ……

J’étais si confuse que je ne trouvais pas le ressort de les faire partir. Brusquement Robert posa son bras sur mon épaule et me demanda si tout allait bien.

Je restais assise les bras le long du corps espérant vaguement qu’ils partent et que le nuage qui obscurcissait mon esprit se dissolve.

Mon cour dérapa alors que Robert entreprenait de me caresser les contours d’un de mes nibards au travers de mon tee-shirt.

Lorsqu’il dénicha mon mamelon et commença à le manipuler lascive-ment je poussais un soupir en lui demandant d’arrêter.

Il me répondit en posant ma main sur son entrecuisse. Tyrell empoigna alors mon autre main et en fit de même, et commença à caresser la face interne de mes cuisses au travers de mon jean, et bientôt il palpait mon minou au travers de l’épais tissu.

J’étais sans défense, incapable de leur opposer la moindre résistance, ma seule pensée était d’espérer qu’ils arrêtent et quittent mon appartement.

Ils sortirent tous deux leurs grosses bites de leurs pantalons ! ….

La bite de Robert faisait bien 25 centimètres et celle de Tyrell une trentaine.

Je ne pensais pas que des pénis puissent être aussi longs et gros, et ce-la me semblait des armes redoutables.

Ils voulaient que je les branle, mais je laissais mes inertes sur leurs grosses queues, ils improvisèrent alors emprisonnant mes mains dans les leurs pour guider mes gestes.

Robert avait remonté mon tee-shirt au-dessus de mes nichons et titillait un des mamelons tandis qu’il suçait l’autre. Tyrell avait glissé sa main dans mon jean et mignotait ma chatoune.

Je faisais de mon mieux pour garder le contrôle de la situation mais je ne pouvais m’empêcher de soupirer en gémissant :

— Oh mon Dieu…..

Robert s’était levé et attirait mon visage sur sa bite en me prévenant qu’il n’allait pus tarder à jouir.

Une rafale de jets de sperme s’écrasa sur mon visage et mes nibards.

Je devais admettre que de sentir ce sperme chaud s’écraser sur mes chairs me semblait étrange et pour tout dire irréel.

Une fois que Robert eut traité mon visage comme une cible pour jets de foutre, à son tour Tyrell cracha sa semence sur mon visage et mes miches en grommelant :

— Prends ça fieffée salope ! …….

Puis ils se rhabillèrent et me quittèrent sans dire un mot me laissant hébétée, choquée et couverte de leur foutre ! …….

Chapitre 2 : le chantage se met en place

Le lendemain matin, je me réveillais, et pris une douche tout en cher-chant à me remémorer les évènements de la nuit dernière.

J’enfilais un nouveau tee-shirt à même la peau et un short de sport sans culotte ni soutien-gorge, j’avais décidé de ne pas sortir de l’appartement.

Tout me semblait brumeux et je sentais confusément que ce qui s’était passé me perturberait profondément.

— Avais-je trompé mon mari puisque je n’avais pas eu de véritables rapports sexuels avec ces deux types ! …. Me demandais-je confuse.

Lorsque je sortis de la salle de bain, je trouvais un message posé sur l’écran télé qui m’enjoignait :

— Regarde la vidéo qui se trouve dans le magnétoscope ! …..

Je mis le magnétoscope en route, mon cour sauta alors une paire de battements : ils avaient enregistré ce qui s’était passé la veille à l’aide de la caméra digitale que j’avais achetée pour mon mari.

Cette infâme séquence où ils crachaient tous deux leur épais venin sur mon visage se déroulait sur l’écran.

Je ne savais ni que dire ni que faire, lorsque soudain quelqu’un frappa à ma porte.

Tyrell se trouvait derrière la porte un grand sourire plaqué sur les lèvres, un joint à la main. Je le laissais entrer à contrecour et fondis immédiatement en larmes.

J’étais dégoûtée de moi-même, de ce que j’avais laissé faire, et de m’être montre aussi naïve ! …..

Il m’intima de m’assoir sur le canapé et prit place à mon coté.

Il me demanda alors de lui servir une bière bien fraîche, lorsque je revins une cannette à la main il avait allumé son joint de marijuana et en tirait les premières bouffées.

Il me fit boire quelques lampées de bière et tirer une paire de bouffées de son joint.

De nouveau l’impression familière de flotter sur un nuage m’envahit.

Il alluma la caméra et m’invita à regarder le film avec lui.

Je lui dis que je voulais justement le détruire, il m’informa alors qu’il en avait déjà tiré une copie, qu’il était prêt à diffuser sur le web si je ne me montrais pas gentille et docile avec eux.

Alors que nous regardions l’enregistrement je ne pouvais que me reprocher d’avoir été assez stupide pour laisser les choses aller si loin.

C’était un véritable cauchemar de me voir lentement tomber dans leur ignoble piège.

Je ne parvenais pas à croire que c’était bien moi que pelotaient ces deux noirs dégoûtants, que c’était moi qui palpais leurs grosses bites les laissant tripoter mon intimité.

Je commençais à pleurer de honte et de peur alors que les conséquences de ma faiblesse venaient au jour.

Il avait posé son bras autour de moi et me serrait fermement contre lui. Il me dit que rien de fâcheux n’arriverait tant que je me montrerai docile et disponible.

Il caressait les contours de mon sein gauche au travers de mon tee-shirt, je restais assise, passive, regardant défiler les images me montrant leurs deux grosses bites en main.

Il posa ma main sur sa bite qu’il avait extrait de son short et m’enjoignit de la caresser lentement.

Mon tee-shirt remonté au-dessus de mes miches il prit un de me tétins en bouche, je cherchais à protester :

— Je vous en prie arrêtez… Je ne veux pas qu’on recommence ! …..

Il ignora ma plainte et se mit à sucer avidement mon téton, tout en pinçant douloureusement l’autre mamelon.

Son pénis s’était entièrement déployé, une goutte de pré sperme suintait du méat, je continuais à le branler lentement espérant qu’il tiendrait compte de mes lamentations.

Il m’ordonna de me mettre à genoux face à lui, j’obtempérais servile-ment.

Sa grosse bite se trouvait maintenant à quelques centimètres de mon visage.

Elle était grosse, épaisse et noire, je n’avais jamais vu de bite aussi grosse d’aussi près.

Il me commanda d’embrasser son gland, puis de le lécher.

Et finalement il m’enjoignit de le sucer, je me sentais incapable de désobéir à ses ordres.

J’ouvris la bouche à contrecour et l’embouchais misérablement, je goûtais déjà la salinité de son pré-sperme et l’acidité de sa sueur.

Lorsque je commençais à aller et venir su sa hampe dressée je laissais perler quelques larmes et poussait un soupir de résignation.

Il me dit alors que j’allais me sentir bien mieux que je m’étais jamais sentie dans quelques minutes et que j’étais une gentille fille de faire tout ce qu’il me demandait.

Alors que je suçais docilement sa grosse bite, il jouait avec mes nichons, puis il posa sa main sur ma nuque guidant mes mouvements fellatoires.

Je sentis soudain sa bite durcir et s’épaissir.

La seconde suivante il poussa un grand soupir et explosa dans ma bouche.

Je cherchais à reculer ma tête, mais sa main posée sur ma nuque me maintenait fermement en place, je dus avaler chacun de ses nombreux jets de foutre, sa semence s’avérait chaude, salée et épaisse j’avais bien du mal à tout avaler tant le flot était important.

Finalement il relâcha son emprise sur ma nuque me permettant de respirer librement.

Après une bonne minute de silence il me fit signe de jeter un oil dans le hall d’entrée, alors que son ami nous rejoignait la caméra au poing.

Comment le fait que son copain nous filme avait-il pu m’échapper ?

Il s’assit à coté de son pote la caméra toujours braquée sur moi et susurra quelque chose dans l’oreille de Tyrell.

C’est alors que Tyrell m’enjoignit de dire des choses épouvantables qui me hanteraient tous les jours à venir.

Comme je n’avais pas le choix, il avait renouvelé ses menaces de diffuser ces infâmes images illustrant ma débauche, je pris une profonde inspirations et les yeux rivés sur la caméra je commentais :

— j’adore avaler le foutre de noirs ! …..

Chapitre 3 : Robert et Tyrell assoyent leur emprise.

Une fois encore je me retrouvais le visage couvert de foutre dégouttée de moi-même.

Qu’avais-je fais et comment allais-je me tirer de cette galère ? ….

Robert tendit la caméra à Tyrell, ouvrit sa braguette et extirpas sa queue bandée de son caleçon.

Robert m’intima de regarder la caméra et de faire d’autres commentaires tous aussi obscènes qui me donnaient des nausées.

Je pris une nouvelle goulée d’air, avala ma salive et clama :

— Je suis tout à fait prête à sucer une autre pine noire ! ….

Je fermais les yeux, ouvrais la bouche et entrepris de mener à bien ma tâche.

Elle était grosse, elle était chaude, elle était noire.

Pour rendre cet acte moins dégradant je m’imaginais que je suçais la bite de mon mari et que le tout ne se passait pas sous l’objectif d’une caméra qui enregistrait la scène.

Il me sembla que déjà mon émoi grandissait. Je bavais comme une folle alors que je le suçais de plus en plus avidement. J’entendis alors Tyrell dire :

— Je crois qu’elle commence à aimer tailler des pipes aux noirs ! ….

Ce commentaire acerbe me ramena dans la réalité, mais c’était bien trop tard.

Mes efforts avaient mené Robert si près de l’orgasme que sans un seul mot il projeta des flots de foutre chaud au fond de ma bouche, me tapissant le visage lorsqu’il se recula.

J’avalais instinctivement ce qu’il projetait dans ma gorge veillant à ne pas laisser en échapper une goutte.

Je pensais qu’ils en avaient maintenant terminé avec moi, pour l’instant tout au moins, je poussais un soupir soulagé.

Deux mais me puissantes me relevèrent alors que deux autres mains me débarrassaient sans vergogne de mon short de sport.

Ils me dirent de grimper sur la table basse et de danser, ils avaient mis du rap, une musique que je haïssais d’ailleurs m’ordonnant de danser de façon érotique.

Je tentais d’imiter ces filles qu’on voyait danser à la télé en faisant de mon mieux pour copier leurs gestes.

Je leur demandais si je me montrais très docile et que je dansais de mon mieux ils me donneraient les enregistrements.

Ils se regardèrent l’un l’autre en riant et Tyrell s’esclaffa :

— Pour l’instant occupe-toi de danser salope et ne te tracasse pas pour la façon dont on va employer ces cassettes…

Robert me tira vers le bas et m’informa qu’il allait me baiser comme jamais je ne l’avais étée.

Je paniquais et braillais :

— Non, Pas ça, Je ne veux pas, laissez-moi tranquille ! ….

Il me répondit en me projetant sur le canapé, allongée sur le ventre avant de m’enfourcher, je vis que Tyrell s’était remis à filmer la scène.

— Je vais me faire baiser par une grosse bite noire ! …. Soupirais-je anéantie.

Il m’avait prévenue qu’ils allaient me déposer entièrement nue sur le trottoir si je refusais de dire ce qu’ils voulaient entendre.

A mon grand désappointement je dus répéter à voix haute :

— Je vais me faire baiser par une grosse bite noire ! ….

Lorsque Robert me pénétra, il me fit atrocement mal ! …

C’était inscrit sur mon visage que jamais chose aussi énorme n’avait pénétra dans ma chatoune. Le membre de mon mari mesurait 13 cm et je m’imaginais que tous les pénis avaient cette taille.

Il commença à coulisser difficilement au cour de mon intimité, la douleur diminuait peu à peu. Il m’empoigna aux hanches, il pouvait ainsi s’enfouir plus profondément dans mon utérus asservi, la douleur avait disparu.

Il amplifia le rythme de son pistonnage, sa monstruosité coulissait main-tenant aisément dans ma chagatte élargie, il allait et venait en moi comme un piston en vitesse de croisière.

Je me sentais si peine de lui, il allait si profondément dans mon intimité que je pensais que personne ne pourrait plus jamais me faire ressentir de telles émotions.

J’étais choquée d’y prendre du plaisir… beaucoup de plaisir. Je poussais des petits cris comme toutes les femmes succombant à un orgasme massif.

C’était le plus intense orgasme auquel j’ai jamais succombé, Tyrell regardait attentivement mon visage, il me dit qu’il voyait que j’avais joui et que j’en m’en étais réjouis, il s’exclama :

— Tu as aimé n’est ce pas ma petite pute ? …..

— Non….. Rétorquais-je d’une voix ténue, peu convaincante.

Il reprit sa chevauchée et nouvel orgasme aussi puissant me submergea, Tyrell s’approcha la caméra toujours en main et me murmura à l’oreille :

— Tu aimes que cette queue noire te pistonne la chatoune n’est ce pas salope ? …..

Je trouvais la force de répondre encore une fois :

— Non…..

Cette fois Robert lâcha les chevaux, je jouis si fort que mon corps tressautait alors que mes yeux se vidaient. Tyrell s’approcha encore plus près et intervint :

— Dis-nous que cette grosse bite est la plus grosse qui t’aie jamais pénétrée ! …..

Je le regardais, et molle comme une chiffe, vidée de toute énergie je concédais :

— Plus grosse… Mentule… Oh oui… La plus grosse……

Il éclata de rire et me dit d’y ajouter bite.

Je répétais alors :

— Oui… La plus… La plus grosse….. La plus grosse bite que j’ai ja-mais accueillie dans ma foufoune ! ….

Puis tout devint sombre.

En revenant à moi, je constatais qu’ils avaient inversé leurs rôles, Tyrell me chevauchait alors que Robert tenait la caméra.

J’étais toujours allongée sur le dos et Tyrell coulissait aisément en moi.

Il me vint soudain à l’esprit que jamais je n’avais appartenu à un autre homme que mon mari jusqu’ici, et voilà que je me faisais baiser successivement pour la seconde fois en une journée par deux noirs bien montés.

Un xieme orgasme me terrassa, je me mordais les lèvres pour rester calme.

Tyrell m’inonda de son sperme, sperme qui s’ajouta à celui que Robert venait de m’injecter dans les profondeurs de mon utérus saturé.

Je me souvins alors que je ne prenais pas la pilule alors que ces eux gaillards venaient d’éjaculer dans mon intimité.

— Qu’est ce qui me prenait ? ….. Me demandais-je avec inquiétude.

— Que penseraient mes collègues de travail s’ils me voyaient agir ainsi ? …..

— Qu’en penseraient les autorités religieuses ? …

— Oh mon Dieu et qu’en penserait ma famille ? ….

Tyrell coupa mes pensées en plongeant son épaisse bite dans ma bouche me disant de la nettoyer en bonne petite ménagère soucieuse de terminer son travail, je dus aussi lui lécher les couilles et le trou du cul.

Il me dit d’aller prendre une douche et de venir les rejoindre chez eux pour prendre à nouveau du plaisir.

Lorsqu’ils me quittèrent, je m’assis dans la baignoire et pleurais toutes les larmes de mon corps.

Jamais je ne m’étais sentie aussi faible, aussi désarmée, et en même temps j’avais pris beaucoup de plaisir à ces viols répétés, cela avait été la meilleure expérience sexuelle de toute ma vie.

J’étais confuse, je ne savais pas quoi faire.

Une fois que je me fus habillée, j’empoignais le téléphone pour appeler ma sour.

Elle était la seule à qui je puisse confier en partie mes tracas, la seule qui m’écouterait sans me juger ! ….

Coulybaca

4 février 2008.

Texte traduit de l’anglais

avec l’aimable autorisation de l’auteur :

Warner 34 (Dark Wanderer).

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