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Amant de ma vieille mère – Chapitre 1




C’est à l’âge de 45 ans que j’ai eu, pour la première, des relations sexuelles avec ma mère. Elle avait à ce moment 73 ans, et jamais je n’aurais pensé que cela se produirait un jour.

Bien sûr, dans mes fantasmes d’adolescent ou, plus tard, lors de périodes de frustrations, il m’était arrivé d’imaginer des gestes, des scènes. Mais vraiment rien de plus. La preuve ?

avant ce fameux jour de mai, je n’avais jamais vu ma mère nue, ni même un sein dénudé !. Mais le hasard, survenu dans un contexte favorable, et les choses basculent.

Pour quelques jours, je m’étais rendu chez mes parents ; ceux-ci s’apprêtaient à déménager de leur grande maison, et j’avais à trier beaucoup de mes affaires d’adolescent, qui s’étaient entassées avec les années. Ce jour-là, après avoir déplacé de nombreux paquets de livres, je venais de prendre une douche bienvenue. L’effort physique, l’eau chaude, le massage prolongé de la serviette, bref j’arborais une solide érection que je m’apprêtais à calmer quand un grand fracas retentit dans le couloir, accompagné d’un cri de douleur de ma mère. Sans plus penser au fait que j’étais nu et que mon sexe se dressait fermement devant moi, je me précipitais et la découvris par terre, se tenant douloureusement la cheville. Je l’aidais à se relever, mais elle ne pouvait pas poser le pied par terre. Je la soutins jusque dans ma chambre, qui était la plus proche, et elle s’allongea sur le lit. Je vérifiais aussitôt que sa cheville n’était pas cassée et fus vite rassuré. C’est à ce moment-là que je réalisais le tableau que nous offrions. Elle, allongée devant moi, sa robe légère retroussée jusqu’à la culotte, en raison des mouvements que j’avais fait faire à sa jambe. Moi entièrement nu et mon érection toujours vaillante, malgré le stress, d’autant plus que le regard de ma mère était fixé dessus. Je me redressais, soudain gêné. ’Excuse-moi, Maman. Je suis désolé de m’exhiber ainsi. Je vais me couvrir tout de suite’. Elle me retint alors par le poignet. ’Non, reste ainsi. Tu sais, depuis que ton père a eu son opération, il ne se passe plus grand chose entre nous. Alors, cela me fait du bien de voir que je suis encore désirable pour un homme. Même si c’est mon fils.’ Sans bouger, je la laissais me regarder. Ses yeux parcoururent tout mon corps, s’attardant sur mon sexe. Et l’incroyable se produisit alors : son bras se leva doucement, et elle referma sa main sur la barre de chair qui se dressait devant elle. Elle avait fermé les yeux, et alternait de courtes pressions et un lent va-et-vient sur moi. Je compris qu’elle ne cherchait pas à me faire jouir, mais qu’elle revivait les sensations d’un sexe d’homme dans sa main. Sans un mot, je laissais mes doigts effleurer doucement ses cuisses dénudées, et à travers sa robe ses seins, son ventre… Elle me lâcha, avec un triste sourire. Je me penchai sur elle, et déposai un tendre baiser sur ses lèvres entrouvertes. ’Je vais te faire couler un bon bain. Et je vais m’occuper de toi, ma petite Maman.’

Quand je revins de la salle de bains, où se préparait un bain chaud bien moussant, elle n’avait pas bougé, le regard dans le vague. Sans un mot, je déboutonnais le devant de sa robe, que j’ouvris entièrement. Je promenais lentement mes mains sur son corps de femme âgée, mais encore très désirable. De sa culotte, à l’aine et sur le bas-ventre, s’échappaient les poils noirs bouclés d’une toison sans doute abondante. Et son soutien-gorge emprisonnait deux seins lourds, dont je sentais les pointes dures se dresser. D’un mouvement tournant de mes mains, je fis émerger ces deux globes doux et blancs de leurs bonnets. M’asseyant sur le bord du lit, je me mis à les lécher, et à en sucer les bouts, épais et émergeant d’aréoles larges et très foncées. Maman avait repris mon sexe dans sa main, et ses doigts jouaient distraitement avec lui et avec mes bourses.

Elle gémissait doucement, tandis que son autre main caressait mes cheveux. C’est tout naturellement que nos bouches s’unirent dans un long baiser. Quand je me redressais, après avoir arrêté l’eau du bain, je revins vers elle. Toujours sans un mot, je lui enlevais doucement sa culotte, découvrant une toison abondante et broussailleuse, au centre de laquelle s’ouvrait une corolle rose foncé, déjà trempée d’humidité. Je m’amusais à caresser ses poils, mais elle me retint quand je voulus fouiller plus son intimité. ’Dans l’eau’, murmura-t-elle. Je la redressai alors, achevant d’ôter son soutien-gorge et sa robe. Nus tous les deux, nous nous sommes longuement embrassés. Puis, je l’aidai à aller jusqu’à la baignoire, où elle s’allongea. Son corps disparut sous la mousse, mais je la sentais disponible et tout simplement assoiffée de sexe. À nouveau, son regard se promena sur tout mon corps. Ses mains avaient aussi disparu sous la mousse ; seule émergeait sa tête. J’approchai alors mon sexe dressé de ce visage, qui semblait reposer sur l’eau et je lui caressai les joues, le front, le cou, tout le visage. Quand j’appuyai légèrement sur ses lèvres closes, elle me regarda, comme interrogatrice. ’Prends-le un peu dans ta bouche’ lui ai-je demandé. ’Ce sera la première fois ; ton père n’a jamais voulu que je le lui fasse. – Et tu n’as jamais connu un autre homme, dans ta vie ?’ Elle hocha négativement la tête et commença à me lécher par petits coups le bout du gland, remontant peu à peu le long de ma barre de chair. Je crus exploser tout de suite quand ses lèvres s’ouvrirent enfin et que je pénétrai dans la bouche vierge de ma mère. Elle m’engloutit complètement, d’une lente avancée de sa tête. Les caresses de la langue, les aspirations qu’elle me prodiguait, tout cela me transporta vite et j’explosai au plus profond de sa bouche. Elle avala les premières giclées, puis ma jouissance déborda et se répandit sur ses joues et son cou. Elle me garda néanmoins dans sa bouche, tandis que plongeant ma main dans l’eau, je me mis à masser son pubis poilu. Je poussai deux, puis trois doigts, dans son sexe que je devinais dégoulinant de plaisir dans la chaleur du bain. Elle fut presque aussi rapide que moi à jouir, d’un long cri un peu rauque. Ses cuisses s’étaient serrées autour de ma main, emprisonnant mes doigts à l’intérieur de son sexe. Malgré l’orgasme que j’avais déjà eu, j’étais à nouveau pleinement en forme. J’entrais alors dans la baignoire avec elle, derrière elle. Pendant un long moment, je jouais à pétrir ses seins, à fouiller son sexe, à flatter ses fesses. Nos bouches ne se quittaient pas, dans un baiser passionné. C’est elle qui se souleva un peu, me permettant de me glisser sous son corps. Empoignant mon sexe, elle le dirigea vers le sien, et s’empala sans effort dessus. Elle était tellement lubrifiée de plaisir que je ne m’étais presque pas rendu compte que j’étais en elle, avant de sentir son pubis se coller au mien. Pendant de longues minutes, la salle de bain résonna de gémissements et de cris. Nous avions perdu toute notion d’interdit, à tel point que j’enfonçais mes deux pouces dans son anus en même temps que je coulissais presque brutalement en elle.

Je ne sais plus combien de fois elle et moi avons joui ainsi dans la baignoire. J’y ai découvert que non seulement ma mère est une femme dotée d’un grand appétit sexuel, mais en plus que son imagination frisait parfois la perversité la plus inattendue : je ne pourrai pas oublier de sitôt l’image de sa jouissance, alors qu’elle se masturbait sur le tapis de bain, les cuisses largement écartées, répandant sur ses seins, avec sa main libre, mon urine qu’elle m’avait demandé de lui pisser dessus.

Depuis, ma mère et moi avons de temps en temps des relations sexuelles, parfois calmes, mais le plus souvent torrides. Et surtout, nous avons entamé via Internet des échanges de fantasmes et de récits dont je vous ferai peut-être profiter un jour.

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