Avec ma mère dans le lit conjugal
Je m’appelle Mathieu, j’ai 22ans.
Une nuit, alors que j’étais tout jeune ado, je suis entré doucement dans la chambre de mes parents. La chambre baignait dans une douce lumière venant des lumières dans la rue.
Mes parents étaient couchés à même le matelas, sans couvertures. Il faisait chaud.
Mon père semblait dormir profondément, à entendre ses ronflements.
Ma mère était allongée sur le ventre.
Elle était nue.
"Mathieu ? Qu’est ce que tu fais là ?"
" Excuse-moi, maman… Je…je peux pas dormir… "
"Bon…Allonge toi deux minutes, si tu veux …"
M’allonger à côté de ma mère nue ? Sur le moment, j’ai hésité…
J’ai quand même saisis sa proposition au vol et m’allongeai à côté d’elle.
Mais le sommeil ne venait toujours pas. En plus, sentir le corps de ma mère à côté de moi me perturbait.
Au bout d’un moment, ma mère se tourna vers moi.
"Ça ne va pas, mon chéri ?"
"Je sais pas maman, j’arrive pas à dormir…
"Bon, enlève ton pyjama, mon chéri…"
"Mon pyjama ? mais j’ai rien dessous, maman"
"Ben oui… je sais… Ça ne me gêne pas, ça…"
"Heu.. ok…. bon…"
J’enlevai mon pyjama et me retrouvai moi aussi nu comme au premier jour … Ma mère semblait satisfaite.
Elle posa sa main sur mon torse…
Elle me glissa à l’oreille :
"Tu vas voir, je vais te faire quelque chose, ça va te faire du bien, tu dormiras mieux après… "
"Hein ?!? ha ? ! …"
Elle jeta un coup d’il rapide vers mon père qui continuait de ronfler, puis se retourna vers moi.
Elle descendit la tête vers mon bas-ventre, déposa un ou deux baisers au passage, puis attrapa mon sexe du bout des doigts et… le mit dans la bouche…
"Maman !… qu’est ce que tu ?… et papa ?
"Chut ! – elle se rapprocha de mon oreille : "pas trop fort ! Il dort, tu vois pas ?
Il était en effet étendu de tout son long sur le dos et semblait dormir à poings fermés.
Il était hors de question de le réveiller…
Alors j’ai laissé faire ma mère… et qu’est-ce qu’une mère ne ferait pas pour tranquilliser son fils en proie à des insomnies ?
Elle s’est mise à me faire une fellation délicieuse, suçant ma queue et mon gland avec une application, une douceur extraordinaire.
La première fellation de ma vie…
Elle me chuchotait de temps en temps : "C’est bon, mon chéri ? …tu aimes ?"
"Heu…oui maman…"
Tu parles ! Je bandais comme un jeune cheval… pas du tout envie de dormir, en tous cas…
Mon père, lui, en revanche, dormait toujours… Je ne le lâchais pas des yeux. J’étais persuadé qu’il allait se réveiller, et ça serait un scandale énorme. J’aurais dû tout arrêter, ne pas laisser ma mère continuer, mais au lieu de ça je lui maintenais la tête contre ma bite pour qu’elle continue.
Heureusement, mon père ne bougeait pas.
"Mathieu, mon chéri ? "
"Oui maman ? "
"Viens, allonge-toi dessus moi, on va faire un câlin..Mais fais doucement, pour pas réveiller ton père… "
"Un câlin ? "
"Oui, chut ! "
Je ne comprenais pas bien où elle voulait en venir avec son histoire de câlin… j’étais un peu naïf… mais je m’exécutais.
Avec précaution, sans un bruit, elle se mit sur le dos et je m’allongeai sur elle, sur son ventre.
J’étais sur elle, je trouvais pas ça confortable du tout. Ma bite me gênait : elle était toute droite, je ne savais pas comment la mettre, surtout que je devais pas trop bouger pour pas réveiller mon père… C’est là que ma mère m’a indiqué le meilleur endroit pour ranger cette bite encombrante :
Sans que je m’en rende compte, elle l’avait guidée vers sa vulve…
Elle est entrée toute seule, avec facilité…
Sans m’en apercevoir, j’étais déjà au fond de la chatte de ma mère…
"Maman ?"
Elle me fit encore un petit "chut !" avec le doigt.
J’ai regardé mon père, affolé. Il dormait toujours… Comment pouvait-il dormir dans ce moment là ? … Je savais pas que faire…
Ma mère avait fermé les yeux, se laissait aller au plaisir, visiblement aux anges.
J’étais tout seul, sans savoir trop que faire avec ma bite au fond de son vagin…
Alors je me suis laissé aller à faire des petits va-et-vient. C’était bon… Délicieux même…
Sentir mon mandrin, extraordinairement dur, aller si profond dans sa chatte, si douce, si chaude, ressortir, entrer à nouveau, était un sentiment si puissant que j’ai vite oublié tout le reste, ma gêne, mes remords, mon père, tout…
Au bout d’un moment, j’ai senti monter le plaisir :
"Maman ! …je… crois que je vais…"
"Mmh vas-y mon petit, lâche-toi dans ta petite maman".
Je me laissai aller et j’éjaculai ce qui me semblait être des litres de sperme juvénile…
Ma mère a tout récolté avec une authentique satisfaction.
On est resté un moment sans bouger.
Puis ma mère me chuchota :
"Ça va mieux ?… Allez, va dormir maintenant".
Sur la pointe des pieds, la bite pendante, encore toute collante du mélange de nos deux sucs… je retournai dans ma chambre et laissai ma mère toute pleine de mon sperme à moi…
Je me demandais si j’avais rêvé.