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Mamie Geneviève – Chapitre 6




Mamie Geneviève 6

Mon petit fils David m’a fait redécouvrir la sexualité. Je viens d’apprendre, après tant d’années, que feu mon mari avait eu des relations avec notre fille aînée, Virginie, la mère de David.

David et moi sommes montés dans ma chambre. J’ai encore les yeux rougis de mes pleurs récents. Mon cerveau continue de tourner à cent à l’heure tant je suis troublée.

David ressent mon malaise, il me fait m’allonger sur le lit, va fermer les volets, éteint la lumière et dans l’obscurité totale me déshabille lentement tout en me couvrant de petits baisers. Il est si tendre que ma colère redescend et je m’abandonne à ces préliminaires.

Il me chuchote à l’oreille :

« On va jouer à un jeu, mamie, laisse toi faire »

Joignant le geste à la parole, il me fait croiser les poignets par devant et les lie avec mon collant. J’ai envie de protester, mais je fini par dire :

 « Fais ce que tu veux mon chéri »

Oui, j’ai envie de m’abandonner à lui et puis il ne manque pas d’imagination dans le domaine sexuel, j’ai tant de retard à combler. Me voila avec les bras coincés quand il se penche sur moi pour m’embrasser. J’aimerai l’enlacer mais c’est impossible. Ses lèvres glissent sur mes seins et s’emparent tour à tour de mes tétons qu’il se complaît à téter. C’est délicieux et je sens déjà ma vulve s’humidifier.

Il revient à mon oreille et me glisse :

« Tu vas imaginer que je suis Bastien, d’accord ? »

« Heu , Si tu veux David »

« Non, ne dis pas David, dis Bastien »

Il veut vraiment me jeter dans les bras de son puceau de copain. Mais là, je me sens prête à jouer le rôle qu’il me demande.  Il enchaîne :

« Oh madame, je peux vous lécher ? »

« Si tu veux, Bastien’ »

David glisse entre mes jambes ouvertes et à nouveau sa langue habile m’électrise. J’oublie tout, qui est en train de me procurer tant de plaisir est-ce David, Bastien, peu m’importe c’est tellement fantastique que je sens monter la jouissance. Il s’arrête trop brusquement à mon goût et me fait me retourner sur le ventre et me mettre sur les genoux. La pose est délicate à maintenir avec mes mains liées, mais maintenant avec la croupe en l’air, je sens sa langue reprendre son expédition dans ma vulve. Trop peu de temps, car il la glisse entre mes fesses qu’il tient écartées.

« Non Dav Bastien ne fais pas ça ! »

Il n’en a cure et sa langue darde mon anus et, mettant à la poubelle mes préjugés, je m’abandonne à ce qu’il me fait. C’est plutôt agréable en fait. Ses mains quittent mes fesses et viennent sur mes seins pour les pétrir. Puis, il s’interrompt à nouveau et je sens nettement un doigt me forcer l’anus. Je tente de me débattre, mais il me bloque le bassin d’un bras ferme et reprend ma défloration anale de son doigt mouillé de salive.   

« Oh madame, vous avez un si joli cul, il faut vous laisser faire »

Il a réussi à me forcer l’entrée et je tente de le repousser en forçant comme pour aller à la selle. Contre toute attente, sa pénétration semble facilitée. David garde son doigt enfoncé en moi une longue minute et me demande.

« Ca va madame ? »

Je suis dans une position humiliante, le visage écrasé sur l’oreiller, les fesses en l’air et sodomisée par le doigt de mon petit fils, mais je réponds :

« Ca va Bastien ! Continue si tu veux »

David entame un lent mouvement de va et vient dans mon fourreau. Si je n’éprouve pas physiquement un plaisir particulier, c’est plutôt intellectuellement que je savoure ce moment.

Je pense à mon salaud d’époux  pour lui dire mentalement : Tiens, regarde gros con,  Bastien est en train de m’enculer. Toi tu n’as jamais pu me faire ça !’

Bastien’ ressort son doigt, le mouille abondamment avec ma cyprine et revient dans mon petit trou.

Il s’active de plus en plus vite et j’avoue que je commence à apprécier.

« Vous aimez, madame ? »

Je réponds par un

« Humm » évocateur du plaisir que je commence à prendre.

« Vous voulez quelque chose de plus gros ? »

« Oui, Bastien, mais pas par là ! »

David, se positionne derrière moi et je sens son membre coulisser entre mes lèvres et glisser dans mon vagin trempé. Enfin il m’a pénétré, depuis le temps que j’attendais ça !

Il me tient par les hanches et passés les premiers mouvements assez lents, il se met à s’activer avec vigueur. Je lui suis totalement soumise à ses assauts et j’aime cette situation.

Il me fait prendre toute sorte de positions et j’en arrive à être au dessus de lui à le chevaucher.

C’est moi, maintenant, les mains toujours liées, qui coulisse sur son membre tendu. Comme c’est bon ce pieu en moi !!!

Cette fois, je ne laisse pas passer ma jouissance que j’exprime à grands cris.

David me délie les poignets et je me penche pour l’embrasser alors qu’il est toujours en moi.

Je me relève pour le faire sortir, mais il glisse sa main entre nous et pointe son gland sur mon anus.

« Aller, madame, vous devez essayer ! »

J’hésite, je viens de jouir et suis encore toute essoufflée. Je sais qu’il a fortement envie de ça et peut-être dois-je essayer. Je me dis : après tout, pourquoi pas !

J’essaie de m’asseoir sur son sexe mais ce dernier se plie sous la poussée. Je le maintiens en position verticale et recommence. Oh là là, mes aïeux ! Comme ça fait mal. Je prends son sexe en bouche pour le lubrifier d’un maximum de salive et réitère mon essai. Je tente de me décontracter au maximum et fais abstraction de la douleur jusqu’à ce que, enfin, le premier centimètre ouvre ma corolle. Nouvelle lubrification et nouvel essai plus pertinent. Tout le gland est passé désormais. Je ne pensais pas que ça soit possible, mais si ! Je cherche maintenant absolument à me faire sodomiser. Quelle vengeance je tiens là.

Je reprends mon souffle et cherche à m’enfoncer ce sexe plus profondément. Je me rappelle l’expérience du doigt inquisiteur et pousse en descendant sur ce pal.

L’invasion est totale, mes chairs sont distendues par cette turgescence. Petit à petit, j’arrive non sans douleur à absorber toute la longueur de son pieu.

Ma position me permet de contrôler la pénétration ainsi que les mouvements que j’imprime par la suite.

Je souffre, mais j’ai envie de satisfaire David ou Bastien, je ne sais plus !

C’est à ce moment qu’il se met à donner des coups de bassins qui me perforent en m’arrachant des cris de douleur. J’ai redressé mon buste tandis qu’il me tient les mains pour favoriser mon petit trot. Je finis par moins sentir la douleur au profit d’une nouvelle sensation plus agréable. En moi-même, je me dis que c’est bien de se faire prendre le derrière par ce petit jeune.

« Oh madame, attention, je vais venir ! »

Je n’écoute pas ce qu’il me dit, mais sens bientôt sa semence chaude m’envahir.

Bon sang, quelle nouveauté !

Quand nous nous câlinons, post coïtum, David me demande :

« Alors ? Comment ça s’est passé avec Bastien ? »

« Très bien, mon chéri, très bien ! »

Et nous rions tous les deux de cette question saugrenue.

Cette séance amoureuse m’a fait un peu oublier mon tracas, même si avant de m’endormir dans les bras de mon petit-fils, je ne peux m’empêcher de repenser aux actes délictueux de mon défunt mari à l’encontre de notre fille.

 

Au réveil, j’ai toujours des picotements à l’anus qui me rappellent l’expérience de la veille.

David n’a pas cours aujourd’hui et quand j’ouvre les yeux, il entre dans la chambre avec un plateau comportant deux tasses de café fumant. C’est la première fois que je bois le café au lit. Il me faut atteindre mon âge pour avoir tant d’attentions et c’est par mon jeune amant !

Toute la journée, je suis sur un petit nuage avec mon petit chéri plein de tendresse. Nous échangeons à de nombreuses reprises des baisers sulfureux.

Christelle, sa sur, lui a envoyé un message pour lui annoncer son arrivée prochaine. Effectivement, sa mère, ma fille et ancienne rivale’, vient la déposer au milieu de l’après-midi.

Je me sens tellement euphorique que j’encourage Virginie à venir boire un thé. Les deux jeunes s’éclipsent et ma fille n’ose pas me regarder en face. Je la rassure et lui dis que je la pardonne, le passé c’est le passé et autres choses du même acabit.

Elle est rassérénée et se confond en excuses d’avoir à supporter ses enfants. Si elle savait !

Une fois qu’elle est partie, je monte retrouver les jeunes qui sont allongés sur le lit de David à discuter tout en se caressant mutuellement entre les jambes.

 « Oh excusez moi, je ne voulais pas vous déranger ! » Dis-je en ayant une petite pointe de jalousie, le sexe de David est à moi, zut alors !

« Viens mamie, approche, assieds toi ici » C’est Christelle qui parle et j’obéis comme un robot.

Elle m’attire à elle et, sans ambages,  m’embrasse fougueusement. Je n’ai jamais embrassé une fille et que ça soit ma petite fille qui me force à le faire me trouble énormément. Je me débats un peu, mais elle me tient bien la tête et force sa langue. Et je m’abandonne.

« Voilà mamie, on ne va pas faire de chichi entre nous ! » C’est plutôt autoritaire comme déclaration. Ca ne fait pas une heure qu’elle est là et déjà je suis presque à ses pieds à lui obéir.

D’un geste, elle intime son frère à nous laisser. David se lève et descend pour regarder la télévision, me laissant seule avec sa furie de sur.

« Tu sais mamie, David m’a tout raconté, tu peux te laisser aller ! »

« Ton frère ne sait pas tenir sa langue ! »

« Surtout dans ta chatte, pas vrai !? »

Sa main a glissé entre mes jambes, écarté ma culotte et un doigt est déjà en moi. Cette vulgarité et cette brutalité me surprennent de sa part. Comme elle cache bien son jeu. En tout cas, la précision de sa caresse me procure presque un orgasme instantané. Je sens ma liqueur couler entre mes fesses.

Je quémande un autre baiser et avec un petit sourire sardonique, elle se penche sur mon visage pour juste me bécoter les lèvres. J’ai trop envie de l’embrasser et l’implore presque.

Enfin, nos langues entrent en contact, tandis qu’elle me pénètre un deuxième doigt dans la vulve et un troisième au bord de mon anus. Comme ils sont doués ces petits, c’est inimaginable !

C’en est trop, je suis chavirée et la laisse s’activer sous ma jupe. Je ressens un million de sensations nouvelles et finis par éclater de bonheur dans ses bras. Elle me donne à lécher ses doigts trempés de mes sécrétions et je lui obéis sans rechigner.

« C’est bien mamie, on va pouvoir s’amuser ensemble. A ce propos, je dors où ce soir ? »

« Avec moi, si tu veux »

« Chouette, tu ne vas pas le regretter! »

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