La servante du château.
Chapitre 2.
Dès que "Boubou" a quitté ma chambre après m’avoir baisée, je me suis précipitée sous la douche du cabinet de toilette. Je voulais me débarrasser de son odeur sur ma peau, mais d’un autre côté, j’avais encore envie de sentir son "tournebroche" en moi… Il m’avait donné tant de plaisir !
Et je n’ignorais pas que "Boubou" devait m’observer en train de me doucher….Je cherchais en vain la caméra devant se trouver dans le cabinet de toilette.
Ma nuit fut peuplée de rêves érotiques… Je me revoyais à genoux devant le pubis de "Boubou" puis je le revoyais me dominant de sa haute stature, prêt à enfiler son "tournebroche" au plus profond de mon corps…
Quand l’heure du lever est arrivée, je ne me sentais pas très fraîche, mais que j’avais bien joui hier au soir ! Et je me sentais prête à recommencer !
Pendant plusieurs jours, je ne vis pas "Boubou"… C’est à croire qu’il m’évitait, mais je savais qu’il était dans le château… Les pièces y étaient si nombreuses.
Je savais aussi que c’était lui qui, tous les soirs, préparait les médicaments de Monsieur. J’ignorais quelles étaient les pathologies dont il était atteint; mais un soir, en venant voir si Monsieur le Baron avait besoin de quelque chose, je croisais "Boubou" qui sortait de la chambre. Il me fit un clin d’il et posa brièvement sa grande main sur mon sein droit en disant :
Demain soir…
C’est en voyant une petite pilule bleue dans les médicaments de Monsieur le Baron que je compris son allusion : il conduirait le châtelain à un de ses rendez-vous de l’après-midi et "Boubou" serait libre de bonne heure au cours de la soirée… C’était donc à moi de me rendre disponible de bonne heure également…
Ma nuit fut à nouveau peuplée de rêves érotiques dans lesquels je me voyais en cavale déchaînée, chevaucher le sceptre de "Boubou" qui était logé au plus profond de moi !
Le dîner fut vite expédié et dès que je suis arrivée dans ma chambre, je me suis précipitée sous la douche… Je voulais sentir bon et être à mon avantage pour la soirée qui s’annonçait…
Depuis le décès de Jules, mon mari, j’avais laissé ma toison pubienne retrouver son intégralité, aussi ai-je ressorti le rasoir qui jadis me servait à éliminer les poils superflus qui poussaient sur mes cuisses et dans ma raie… J’étais prête… J’avais enfilé une nuisette de dentelle noire et mauve que j’aimais bien et j’attendais la venue de "Boubou" allongée négligemment sur mon lit !
A 56 ans, je me comportais comme une midinette qui attend son galant !
Environ un quart d’heure plus tard, "Boubou" frappait discrètement à ma porte puis il est entré silencieusement… Il ne voulait certainement pas que les autres domestiques de la maison l’entendent pénétrer dans ma chambre.
Il portait son habituel vêtement africain qu’il arborait généralement après le dîner lorsqu’il avait donné ses médicaments à Monsieur.
Je vois que tu m’attends !
Oui… j’ai envie de sentir ton pieu en moi !
Patience… Tu vas l’avoir ! Mais avant tu vas me sucer !
Oh oui ! J’adore !
Mais ce soir, je ne déchargerai pas dans ta chatte de grosse salope ! J’ai envie de finir entre tes mamelles !
Je me prenais à aimer être traitée ainsi, j’étais devenue en peu de temps une grosse salope; les tétons de mes "mamelles" étaient toujours excités et pointaient outrageusement au fond des bonnets de mes soutifs… J’avais retrouvé mes habitudes de jeune fille et de jeune femme, pas encore mariée… et… j’avais pris du plaisir à me faire enfiler par le sexe hors norme du Majordome !
J’ai ôté le vêtement de "Boubou" et redécouvert son sexe maintenu contre son pubis par un lien large que j’ai fait glisser et je l’ai embouché aussitôt.
Son membre était chaud… Je sentais le sang palpiter dans les veines et pour éviter qu’il n’aille trop profondément dans ma bouche, je plaçai les doigts de ma main gauche autour de cette hampe qui, depuis que je l’avais sentie en moi, m’obsédait !
Mais il n’y avait pas que la bite de "Boubou" qui m’obsédait… Son corps tout entier peuplait désormais mes fantasmes les plus fous… "Boubou" était un homme robuste, de haute taille, au corps musclé et délié malgré son âge déjà fort avancé… Sous sa peau d’ébène, je pouvais voir ses muscles bien dessinés, leurs attaches noueuses… Il ny ’avait pas une once de graisse superflue… Entièrement glabre, son membre se dressait fièrement sur le devant de son ventre quand il était excité !
En même temps que je suçais sa tige, agaçant le méat du bout de ma langue, je caressais de la main droite les bourses, en faisant rouler l’un contre l’autre des testicules gros comme une prune !
T’es vraiment une bonne suceuse ! T’as dû faire le bonheur de plus d’un mec !
Oh non… Je n’ai eu qu’un homme dans ma vie… Jules, mon mari !
Eh bien, y a pas à dire, t’es douée pour la turlute !
J’acceptais cela comme un compliment, certes un peu vulgaire, mais ce que je faisais présentement était aussi plein de vulgarité : je suçais la bite du Majordome et je lui caressais les couilles…
"Boubou" s’agitait de plus en plus… Il donnait des coups avec son bassin cherchant à entrer plus avant dans ma bouche… J’avais deviné que la fin était proche…
Viens au-dessus de moi, je vais te branler et tu cracheras ton foutre sur mes seins… Regarde comme mes mamelles sont grosses et les tétons bien sortis… Elles n’attendent que ton jus !
J’ai placé le sexe de "Boubou" entre mes seins que j’ai pressés l’un contre l’autre pour en faire un fourreau confortable… Je transpirais un peu ce qui fait que cette tige pouvait coulisser facilement et elle ressortait au-dessus… "Boubou" allait et venait désormais dans ce fourreau… Je voyais un peu de liquide translucide perler dans le méat, mais bientôt ce furent des salves nourries qui inondèrent mon buste et le bas de mon visage… On aurait dit que la source était intarissable, tant j’étais maculée de traces de sperme gluant et chaud.
Le grand corps de mon amant s’affala sur le mien, corps à corps, jambes emmêlées, sexe contre sexe… si bien que celui de "Boubou" encore bandé entra dans le mien, littéralement noyé de cyprine.
Oouuiii ! Encore !
Devant mon encouragement, "Boubou" a relevé mes jambes de chaque côté de mon buste, un peu comme une grenouille sur le dos chercherait à se retourner et il a enfourné d’un seul coup son vit au fond de ma chatte. J’ai senti sa progression lente jusqu’à ce que nos pubis soient en contact. Comment pouvais-je absorber cette bite gigantesque sans avoir mal?
La nature est bien faite… mon vagin épousait au plus près ce membre long et gros jusqu’au plus profond ! Et j’étais bien…
Mais comment mon amant qui venait de s’épancher généreusement entre mes seins pouvait-il encore bander à ce point ???
Ce fut une copulation lente… le sexe mâle sortait du mien pour y entrer à nouveau sans tâtonner… On aurait dit que le gland de "Boubou" était une tête chercheuse qui trouvait son chemin sans hésiter…
J’étais bien… Je savourais cette étreinte ardente qui me renvoyait bien loin dans ma jeunesse quand Jules me faisait l’amour plusieurs fois chaque nuit…
"Boubou" était infatigable… Son sexe allait et venait dans le mien comme un métronome bien réglé… Le rythme était assez lent et je savourais les sensations que cette saillie me procurait… Sa jouissance était assez longue à venir et moi… je retenais la mienne pour arriver en même temps que mon amant ! Je lui devais bien cela pour le remercier du plaisir qu’il me donnait !
Soudain, le Majordome accéléra les mouvements et je sentis contre ma matrice les pulsations drues de son plaisir avant de sombrer dans la béatitude ! Quel amant !
J’ignore à quel moment "Boubou" a quitté mon lit… Il était largement plus de minuit lorsque la fraîcheur de la nuit m’a tirée du sommeil… J’étais toute poisseuse du sperme de mon amant, mais je restai ainsi jusqu’à la douche du matin…
Quand toute la domesticité féminine s’est retrouvée autour de la table du petit-déjeuner, j’ai surpris un conciliabule à voix basse entre Julie et Mélanie… À voir leur mine, j’ai compris qu’elles avaient entendu ma partie de jambes en l’air avec "Boubou" et lorsqu’elles m’ont accompagnée pour le lever et la toilette de Monsieur, je leur ai dit fièrement :
Eh oui… Même moi, j’ai goûté au "tournebroche" du Majordome !
Et nous avons éclaté de rire toutes les trois.
A suivre.