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Si seulement j'avais su… Domination au ski – Chapitre 1




AVERTISSEMENT :

Cette histoire est réservée aux lecteurs majeurs, elle est un peu trash et contient notamment les éléments suivants :

Domination, femdom, chastity, chasteté, humiliation, double pénétration, SPH small penis humiliation…

Si cela ne vous effraie pas, bonne lecture, si cela n’est pas votre truc, vous devriez vous abstenir de lire plus loin.

Gface

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Si seulement j’avais su…

Tout avait pourtant si bien commencé. La semaine de vacances allait faire du bien. Après les cinq premiers mois de travail dans une grande école d’une ville du Sud de la France, je partais avec 300 étudiants de ma promotion pour une semaine au ski dans les Alpes. Une semaine, une semaine de ski et de soirées nous attendait.

Si seulement j’avais su…

Après le long voyage en bus agrémenté de quelques boissons alcoolisées et de jeux un peu stupides comme les étudiants savent si bien le faire, nous sommes arrivés en station. Notre BDE avait réservé les deux derniers étages d’une grande résidence type village vacances. Nous étions dans des petits appartements de quatre ou six places. J’étais avec Antoine, un de mes meilleurs amis de l’école, Mary, une jolie blonde avec qui j’espérais me rapprocher, et Léa, une fille très réservée et très discrète que je ne connaissais pas trop. Rousse, avec une poitrine très imposante, elle ne me laissait pas indifférent. Cependant, mon attention était portée sur Mary : j’espérais pouvoir en profiter pour conclure avec elle. On s’était connu lors de la rentrée de septembre et rapproché pendant la semaine d’intégration. Dans les mêmes groupes de TD depuis, notre relation était assez ambiguë. Si j’avais essayé de nous faire franchir un cap à plusieurs occasions, je n’avais pas voulu la brusquer plus et nous n’étions jamais allés plus loin que quelques bisous. Elle semblait assez timide et un peu prude, mais elle était tellement jolie. Beaucoup pensaient qu’on était ensemble, et même s’il ne s’était jamais rien passé entre nous, j’espérais que cette semaine nous permettrait d’officialiser notre relation, de passer un cap. Depuis septembre, malgré les occasions lors des nombreuses soirées étudiantes, je m’étais en quelque sorte gardé pour Mary. J’avais repoussé des filles plus que plaisantes, car je ne voulais pas gâcher ce qui semblait pouvoir devenir une vraie histoire d’amour.

Si seulement j’avais su…

J’étais un peu à cran sexuellement à l’hiver, car je n’avais toujours pas réussi à cueillir Mary. Tous mes espoirs étaient portés sur cette semaine de ski, d’autant plus que comme notre appartement ne comportait qu’une chambre, avec un lit double, Antoine et Léa s’étaient sentis obligés de nous la laisser. J’avais un peu protesté pour la forme et par politesse, argumentant que les deux filles devraient partager la chambre, mais comme je l’espérais, Antoine et Léa ont insisté. Ils dormiront donc les deux sur les canapés du salon, et je me voyais déjà au lit avec Mary… La semaine au ski s’annonçait très belle !

Si seulement j’avais su…

Rester assis dans le bus pendant plusieurs heures ne nous avait pas vraiment fatigués. Une fois l’installation de chacun terminée, un repas préparé par Antoine, très bon cuisinier, vite englouti, nous nous retrouvions les quatre assis autour de la table, tous un peu alcoolisé du fait des boissons bues lors du trajet et du repas. Léa proposa alors de faire un jeu de cartes, et le poker nous vient rapidement à l’esprit. La partie commença rapidement, et après plusieurs tours je m’aperçus que nous savions tous très bien jouer. Quand assez rapidement, Lucas se retrouva à court de jetons, des shots d’alcool les remplacèrent. Nous avions commencé la partie avec 1000 jetons chacun. Antoine n’en avait plus, il m’en restait 500, Mary en possédait 1200 et Léa, sans doute la meilleure joueuse, 2300. 100 jetons équivalant à un petit shot, si Lucas misait par exemple 500 jetons et perdait, il devait boire cinq shots. La partie continua, et. Antoine perdit quelques mains et but ainsi quelques shots. Alcoolisé, je ne doutais pas de l’issue heureuse de cette soirée…

Si seulement j’avais su…

J’ai toujours cru bien tenir l’alcool. Cependant, assez rapidement, alors que Léa venait de gagner une main importante sur laquelle j’avais misé 500 jetons de plus que je possédais, je me retrouvai à sec. Enfin, façon de parler car je devais boire mes cinq shots d’affilée. Rapidement, nous avons oublié les jetons et ne misions que des shots. L’abus d’alcool nous libérait tous. Léa se livrait un peu, Antoine racontait de plus en plus de conneries et ma main se rapprochait des cuisses de Mary. Tous les voyants étaient au vert.

Si seulement j’avais su…

C’est là que tout dégénéra. Il y a quelques instants, tout semblait aller pour le mieux. A l’heure où je vous parle, je suis… Je… Je regrette tout ce qu’il s’est passé depuis notre départ en bus. Et même plus.

Je disposais d’un as et d’un roi, une excellente main. Au flop, un roi et deux cartes mineures apparurent. Je disposais d’une main sérieuse avec ma paire, et je misai beaucoup. A ma grande surprise, Mary et Léa suivirent. Au turn et à la river, de nouveau des cartes mineures sortirent, de nouveau je relançai gros et de nouveau les deux filles suivirent. Avec une paire de Rois, les deux seules combinaisons possibles, avec ce qui avait sur la table, qui pouvait me battre était la paire d’as et le brelan de rois. Quand à mon grand étonnement, Mary montra ses deux rois et Léa ses deux as, je blêmis. Je devais boire une quantité trop importante d’alcool. Si nous étions tous les quatre des étudiants faisant souvent un peu trop d’excès, nous étions un minimum raisonnable. Aussi j’espérais pouvoir m’en tirer à bon compte, et je demandai une exception. A ma grande surprise, Mary et Léa refusèrent. Même Antoine protesta. Les deux filles s’échangèrent alors un regard, et Mary annonça :

— On a tous un peu trop bu, tu as raison, et poursuivre n’est pas très raisonnable. Je crois qu’on devrait tous arrêter. Par contre, tu dois payer pour les jetons que tu as perdus. Et si tu nous donnais ton t-shirt et ton pantalon en échange ?

Je n’en croyais pas mes oreilles. Mary, si prude, proposait un strip-poker ? Léa et Antoine dirent oui assez rapidement. La perspective de voir les deux filles nues m’enchanta, et comme je ne voulais pas passer pour le rabat-joie, je me dévêtis rapidement.

Soyons clairs, je ne suis pas un éphèbe. Cependant, de taille moyenne, assez sportif, je suis très affûté. Me retrouver torse nu, en caleçon, devant deux filles extrêmement jolies et mon meilleur ami m’intimidait un peu quand même, et c’est les joues rouges que j’ai donné mes deux vêtements à Mary.

— On dirait un enfant ! Pas un poil sur le torse ! Ne peut s’empêcher Léa, sous les rires de Mary et d’Antoine.

J’étais un peu déçu que Mary prît du plaisir à m’humilier, mais j’étais encore convaincu que j’aurais l’occasion de me refaire.

Si seulement j’avais su…

Malheureusement, le reste de la partie ne tourna pas à mon avantage. Si les mains suivantes furent perdues par Antoine qui se retrouva en caleçon lui aussi, seule Mary perdit son pantalon. Les deux poitrines des filles restaient couvertes par leur soutien-gorge. J’avais joué les mains assez prudemment, voulant à tout prix éviter de perdre mon caleçon et de devoir dévoiler mon intimité. Je commençais par contre à être assez excité, et par bonheur, assis, on ne pouvait voir mon sexe durcir dans mon caleçon.

C’est Antoine qui perdit le premier. Sans gêne, il se leva, abaissa son caleçon et révéla son sexe. Je ne quittai pas les yeux de Mary pendant ces instants, et je vis d’abord sa surprise, puis son excitation :

— Oh mon Dieu ! échappa Mary.

Léa resta bouche bée. Si je connaissais Antoine depuis quelque temps, je ne l’avais jamais vu nu. Nous n’étions pas très sports collectifs, et nous n’avons jamais été ensemble dans des vestiaires par exemple. Il avait toujours été très réservé quand nous avons abordé les questions de sexe et de copines ensemble, et j’avais mis ça sur le compte de la timidité. Aussi, quand je me retournai pour le voir nu, je n’en cru pas mes yeux. Il possédait un sexe, flaccide, d’au moins 30cm !

Antoine se rassit rapidement et distribua les cartes pour la partie suivante. J’aperçus du coin de l’il Mary qui se mordait les lèvres en le regardant. Elle semblait subjuguée, hypnotisée par Antoine, ne le lâchant pas du regard. Troublé par ce qui venait de se passer, je misais n’importe comment et perdit la main. Je ne voulais pas me déshabiller plus, mais après le spectacle auquel on venait d’assister je ne pouvais y échapper. Je me levai, descendit mon caleçon rapidement et me rassirent immédiatement dans l’espoir que les deux filles m’épargnèrent leurs remarques…

— J’ai rien vu, tu es allé trop vite ! Rigola Léa.

— Sois beau jouer, relève-toi ! Demanda Mary

Je protestai longtemps, mais leur insistante n’en fut que plus forte. A ma grande surprise, Antoine ne fut d’aucun soutien. Je du donc me relever et enlever mes mains de mon entrejambe, révélant mon pénis, à demi-bandé, atteignant péniblement les 8cm. J’avais toujours cru avoir un sexe dans la taille moyenne, mes quelques copines précédentes ne s’en étaient jamais plaintes, mais avec le recul je comprends qu’en fait, elles n’en avaient jamais vraiment loué les qualités… Par politesse ou par pitié… Sans être un micro pénis, j’étais quand même une petite bite. A côté du menhir d’Antoine, qui au repos devait dépassait mon sexe bandé d’au moins 20cm, j’étais ridicule…

— Oh, désolé mec je savais pas, dit Antoine. Il semblait avoir de la pitié pour moi. Les deux filles par contre, s’esclaffèrent :

— C’est pas parce que tu étais allé trop vite que j’avais rien vu, c’est parce que c’est minuscule !

— Qu’est-ce que c’est que ça ?

— Ça ressemble à mon auriculaire

— Ah-ah j’ai jamais rien vu d’aussi petit

— Tu as déjà fait orgasmer une fille avec ça ?

Pour une raison inconnue, les moqueries firent bander mon sexe à plein régime, et c’est sous leurs éclats de rire que je me rassis.

Et en plus il bande déjà, ça t’excite qu’on te parle comme ça ?

Humilié, rouge de honte, je distribuai les cartes immédiatement, sans répondre, espérant me venger sur les mains suivantes.

Si seulement j’avais su…

La chance commença à tourner, les filles perdirent partie sur partie, Léa révéla sans gêne, son imposante poitrine, ce qui ne fit qu’augmenter mon excitation. Mis à part dans les films X, je n’avais jamais vu de seins aussi beaux et gros. Je voulais plonger ma tête entre ces deux coussins, lécher ses tétons, malaxer ses deux ballons, passer mon sexe entre eux… Je bandais sévèrement, j’étais au bord du craquage. Mary également, enleva son soutien-gorge, puis son string sur la partie suivante. Complètement nue, je pouvais enfin admirer son corps qui me faisait rêver depuis septembre. Derrière son visage d’ange, la peau bronzé, des seins de taille moyenne, très ronds, un cul à réveiller les morts, et une petite toison en ticket de métro, j’aurais tué pour me retrouver en elle. La toucher, sentir sa peau, son odeur, l’embrasser, poser mes lèvres sur son sexe… Je ne pensais à rien d’autre. A ce moment-là, Mary annonça que comme nous étions presque tous dénudés (il ne restait que le bas à Léa), nous ne devrions plus jouer pour des vêtements mais pour des gages. Le gagnant pourra exiger quelque chose des perdants. On accepta tous rapidement. Je n’avais qu’une chose en tête. J’oubliais les humiliations de tout à l’heure. Je voulais continuer la partie, gagner les manches suivantes pour me retrouver avec elle.

La partie continua, et Mary gagna la manche suivante. Je m’étais couché au premier tour, tout comme Léa, et Mary du décider d’un gage pour Antoine.

— Approche-toi de moi, lève-toi, je veux voir ça de plus près !

Antoine se rapprocha de Mary. Assise, lui debout, son énorme sexe était à quelques centimètres de son visage. Il ne bandait toujours pas. Elle le prit à une main, mais ne put en faire le tour. Elle l’empoigna à double main, commença doucement à le masturber.

— Il faut le voir de près, le toucher pour le croire ! Dit-elle.

Je ne pouvais en croire mes yeux. Mary, que j’essayais désespérément de séduire, avec qui j’étais si proche mais avec qui je n’avais jamais réussi à aller plus loin, à qui je donnais le temps, avec qui je ne voulais pas brusquer les choses, était en train de branler l’énorme braquemart de mon meilleur ami devant moi.

— C’est censé être un gage pour lui, pas une partie de plaisir ! Protestais-je

— Tais-toi, tu parleras quand tu auras gagné une main ! Répliqua Mary.

Antoine se mit à bander, et son sexe atteignit une longueur exceptionnelle. Il semblait plus long que mon avant-bras. Mary essaya alors de le mettre dans sa bouche, mais elle ne réussit dans un premier temps qu’à sucer le bout du gland.

— Mary s’il te plaît ! Arrête !

Sa langue titillait le bout de son gland. Puis, alors que ces mains coulissaient le long de sa verge, elle approcha ses lèvres de ses testicules, et les embrassa longuement. Je ne pouvais pas en voir plus, je ne pu garder mes yeux ouverts. Je n’entendais que des bruits de succion ou des râles provenant d’Antoine. J’avais une érection incroyable, j’espérais que je puisse avoir un tel soulagement rapidement. Quand, après quelques longues minutes, j’ouvris les yeux, je vis que Léa avait ses mains sous la table et semblait se donner du plaisir, mais surtout que Mary prenait Antoine à pleine bouche. Son sexe rentrait avec force dans sa gorge, mais au vu de sa taille, elle n’en avalait pas la moitié. Elle dut plusieurs fois retenir un réflexe vomitif, tant elle était pénétrée en profondeur. Le spectacle continua pendant de très longues minutes. Il était au bord de l’orgasme. Mary l’aperçut, mais continua de plus belle. Quelques instants plus tard il éjacula dans sa bouche. Elle sembla s’étouffer, et dut relâcher son sexe. Les derniers jets lui atteignirent le visage. Elle avala le reste. Elle se lécha les lèvres, et reprit son sexe en bouche pendant quelques instants pour le nettoyer. Quand elle se leva, je pus voir qu’elle avait mouillé. Le branler et le sucer lui avait procuré du plaisir.

J’étais figé, je ne pouvais plus bouger. Ma colombe venait de faire une gorge profonde à mon meilleur ami, d’avaler une partie de son sperme et de se prendre une faciale. Mary, du sperme plein le visage, partit sans un mot à la salle de bain, et revient rapidement, comme si de rien n’était, lavée de la souillure d’Antoine.

Les parties continuèrent. Mary gagna de nouveau, contre Léa cette fois-ci. Léa était la seule à ne pas être nue et elle allait enfin devoir révéler son intimité. Elle fit beaucoup de cinéma, ne voulait pas se mettre à nue. Antoine et Mary échangèrent des regards, et ne dirent rien de plus. J’étais le seul à insister. Ils essayaient de lui trouver des excuses. Je n’en croyais pas mes oreilles ! J’avais dû me mettre à nu devant deux des plus belles filles que j’avais jamais vues, elles s’étaient durement moquées de moi et maintenant Léa ne voulait plus suivre les règles du jeu ? Après de longues minutes de protestations, Léa accepta de révéler sa plus profonde intimité.

— Tu n’es pas obligé, il ne sait pas, il a trop bu, dit Mary au dernier moment

— Non, je vais le faire, mais je me vengerai, répondit Léa

Je ne comprenais pas bien ce qu’il se passait, mais quand Léa se leva et enleva sa culotte, c’est avec une grande surprise que je vis qu’elle possédait un pénis, d’une taille également importante. Je ne dis rien pendant plusieurs minutes. Antoine et Mary étaient au courant. Puis je ne pus m’empêcher de poser quelques questions indiscrètes. Léa répondit à certaines d’entre elles. Elle était née comme ça. Elle aimait aussi bien les hommes que les femmes. Elle ne possédait pas de vagin… Cela expliquait sans doute son attitude réservée et timide. J’étais hypnotisé par Léa. Je ressentais en moi une petite honte, mais je la désirais encore plus. Je n’avais jamais eu l’impression d’être homosexuel, si je m’étais déjà posé la question, je l’avais évacué en me rendant compte combien j’aimais les femmes. Mais là, Léa, avec ses formes, me tentait plus que tout. Gêné de la tournure des événements, je proposais de continuer la partie.

De nouveau, Mary gagna contre Léa, et lui demanda de lui brouter la chatte. L’action entre les deux filles m’excita au plus haut point. Assez rapidement, déjà bien chauffée par la pipe qu’elle avait faite à Antoine, sous des hurlements, Mary avait joui.

— Je crois que c’est le meilleur cunni que j’ai jamais eu.

— A charge de revanche, annonça Léa, qui distribua pour la partie suivante.

Cette fois-ci, Antoine gagna la manche, que je perdis lamentablement. Il me regarda, s’arrêta longuement sur mon sexe en érection, et déclara :

— Mary, je ne peux pas te faire ça. Pour le reste de la semaine, je prendrais sa place dans ton lit. Et comme cela serait une trop grosse punition pour Léa également, je propose qu’on dorme tous les trois dans la chambre, et qu’on laisse la mauviette tout seul sur le canapé.

Les deux filles applaudir immédiatement, j’eus beau protester… Je voyais les événements tourner en ma défaveur.

Si seulement j’avais su…

La partie reprit. Léa distribua. J’avais une très bonne main, et commença à espérer que Léa ou Mary allait perdre pour pouvoir enfin me soulager. J’étais dans mes pensées, en train de réfléchir à ce que je préférais donner comme gage, me faire sucer, demander une branlette espagnole à Léa, ou même plus… Je n’étais plus concentré sur la partie, et c’est là que je réalisai que je n’avais pas bien vu les cartes retournées au milieu de la table : j’avais perdu devant Léa…

— Antoine a joui avec Mary tout à l’heure, j’ai dû la lécher jusqu’à l’orgasme, c’est à moi maintenant de prendre du plaisir.

Immédiatement, imagina que son orgasme allait impliquer une quelconque pénétration de son anatomie, mais trop embué par l’alcool j’étais complètement à côté de la plaque. Elle me demanda de me lever, je m’approchai d’elle.

— A genoux, sous la table, suce-moi ! Elle l’avait dit avec une telle autorité, elle semblait si forte, si sûre d’elle même… Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je m’exécutai. Je ne pouvais pas faire le tour de son sexe avec ma main. Je la branlai pendant quelques instants, mais d’un coup, elle me prit par le cou, et avec elle se força dans ma bouche.

— Suce, suce, Petite Bite, suce comme jamais on t’a sucé !

Je ne pouvais quasiment plus respirer. J’eus beau me débattre, protester, je n’étais pas assez fort. Son sexe me défonçait la gorge. Comment Mary avait pu prendre Antoine tout à l’heure, lui qui était plus gros que Léa ? Ma seule issue, la faire jouir rapidement, pour espérer le salut. Je m’activai, utilisant ma langue et mes lèvres du mieux possible. Je n’avais pas reçu beaucoup de fellations, mais j’avais vu quelques films et j’essayais d’appliquer au maximum ce qui semblait marcher. Le plus vite s’en était fini, le plus vite la partie pouvait reprendre, le plus vite mon sexe qui n’avait pas vu de femme depuis plusieurs mois pouvait espérer le salut.

Si seulement j’avais su…

Mon esprit était à 100% concentré sur obtenir un soulagement pour mon sexe, une éjaculation. Il fallait que suce pour pouvoir obliger Mary ou Léa a coucher avec moi quand je gagnerai la partie suivante. Je ne pensais pas à ce qui allait arriver dans quelques instants. Aussi, quand Léa m’éjacula dans la bouche, la surprise fut totale. Elle me boucha immédiatement le nez avec les mains, et la bouche remplie d’une quantité incroyable de sperme, je fus obligé d’avaler pour qu’elle retire son monstre de ma bouche.

— Quelle bonne petite suceuse ! Elle avale en plus ! Ne put s’empêcher Mary.

— La meilleure pipe de ma vie ! Enchaîna Léa.

— On va l’appeler ’Suceuse’ maintenant !

Antoine semblait amusé. Mary me regardait avec pitié et dégoût. J’étais le seul autour de la table a ne pas avoir joui. Mon sexe était toujours pleinement bandé depuis maintenant plus d’une heure. JE DEVAIS JOUIR ! Mary distribua de nouveau, et à nouveau impossible de me concentrer, je perdis la partie devant Antoine. J’étais néanmoins soulagé, je connaissais assez Antoine pour savoir qu’il n’aimait pas les hommes plus que ça, et qu’une gratification sexuelle était hors de question.

Si seulement j’avais su…

En effet, il dit qu’il ne souhaitait pas que je performe (il employa ce mot) d’une quelconque façon, mais qu’il fallait néanmoins me punir. Il avoua ne pas avoir d’idée, mais je vis à ce moment-là les yeux de Léa s’illuminer. Elle partit chercher quelque chose dans la valise, et revient en montrant une cage de chasteté.

— Il m’arrive parfois d’avoir des partenaires avec des goûts un peu… spéciaux. J’en ai toujours une dans ma valise. Celle-ci n’a jamais servi, mais je l’avais imaginée pour un copain… Suceuse pourrait la porter en guise de punition…

— Super, ça devrait faire l’affaire, répondit Antoine

— Elle me semble un peu grande, non ? Dit Mary.

— En effet, il en a une beaucoup plus grosse, mais j’ai que ça sous la main…

— Non non, ça va trop loin, jamais je ne mettrai ça. Jamais je ne pourrai rentrer dedans de toute façon !

— Je ne vois pas le problème, de toute façon tu crois vraiment que tu vas te servir de ton petit ver avec l’une d’entre nous cette semaine ? Demanda Mary. Léa embraya :

— Je me sentirais plus en sécurité si son petit robinet était condamné !

— Tu ne peux pas passer une soirée sans te toucher ? Tu es ridicule ! Continua Mary

— Parfait, la décision est prise, mets la cage ! Dit Antoine avec autorité.

Je ne vis rien à répliquer. J’avais joué, j’avais perdu. Je ne pouvais de toute façon pas résister physiquement. Plus vite je coopérais, plus vite le jeu serait fini. Je pris la cage, mais je ne pus faire rentrer mon sexe en érection à l’intérieur :

— Vous voyez, j’en ai une trop grosse ! Dis-je avec fierté.

Si seulement j’avais su…

— Ne t’emballe pas, répliqua Léa. Elle sortit rapidement dehors, et revient avec un seau rempli de neige. Je réalisai avec effroi son intention.

— Non Léa sil te plait, pas ça !

Sans un mot, elle agrippa. Je me débattis. Comment pouvait-elle avoir autant de force ? Elle empoigna mon sexe, et le plongea dans le seau. En quelques instants, la douleur et le choc de température firent effet. Je ne bandais plus, mon sexe s’était ratatiné sur lui-même et semblait plus petit que jamais, de la taille d’une phalange peut-être.

— Il est encore plus petit ! Je pensais pas que c’était possible ! Les trois s’esclaffèrent. Léa me mit la cage et installa le cadenas. Je ne remplissais même pas la moitié.

— En effet, il en a une trop petite pour la cage.

— Pourtant c’est un des plus petit modèle !

— Il faudrait lui en faire une sur-mesure

— S’il vous plaît, arrêtez, ça suffit, vous avez assez rigolé, donnez-moi la clé.

Au moment où je prononçai ces mots, Léa se précipita vers la fenêtre et lança quelque chose dehors. Des étages plus bas, dans des mètres de neige, devait se trouver ma clé…

Si seulement j’avais su…

— Non comment as-tu pu faire ça ? Je regardai par la fenêtre. Du 6e étage de la résidence, la zone de recherche était gigantesque.

— Tu iras la chercher demain à la lumière du jour, mais pris dans la neige et la glace, tu la retrouveras au dégel, rigola Mary.

Elle avait raison. Jamais je ne pourrais retrouver cette petite clé dans autant de neige.

— Assez rigolé, Léa s’il te plaît, tu dois avoir un double ? Le double de la clé du cadenas, vous allez pas me laisser comme ça toute la semaine ! Après m’avoir chauffé toute la soirée. Par pitié, j’ai compris votre petit jeu, je ne vous dérangerai plus.

Nu comme un ver, avec mon petit sexe remplissant péniblement la moitié de la cage, je tombai à genoux :

— Par pitié s’il vous plaît, enlevez ça !

Je me mis à pleurer.

— Pourquoi, tu as rendez-vous avec ta main droite ? Rigola Mary

Léa se leva et dit :

— Il me fait peine avec son gros clitoris emprisonné, on va pas le laisser comme ça. Elle retourna sa valise. Elle chercha partout, et devient blême. Elle s’assit rapidement. Antoine et Mary la regardèrent interloqués.

— Écoute, désolé Suceuse, mais la clé est dans mon appartement. Je n’ai pas de double. Tu vas devoir attendre notre retour à l’école.

— Non par pitié, s’il vous plaît, je ne peux pas, je vais devenir fou.

— Calme-toi, ce n’est qu’une semaine

Humilié comme jamais, nu, dans un état d’excitation maximal, avec une cage de chasteté devant les deux plus belles femmes que j’ai jamais vu, ma situation ne pouvait pas être pire…

Si seulement j’avais su…

— Je pense qu’il est l’heure d’aller se coucher. Mesdames, après vous, annonça Antoine.

Léa et Mary se dirigèrent dans la chambre. Seul dans le salon, toujours nu, mon sexe emprisonné, humilié, c’est dans cette situation que je me trouve ce soir. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, je regrette chaque instant. Mais maintenant que je vous ai raconté comment tout ça a commencé, voyons ensemble la suite, car la nuit ne fait que commencer.

Si seulement j’avais su…

A suivre…

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