J’aime les échanges de mails très chauds avec des hommes, m’imaginer m’offrir à eux, et qu’ils s’offrent à moi.
Je consulte donc des annonces, et suis tombé sur celle d’un mec qui m’a interpelé. Il recherche du virtuel, être soumis et humilié.
Ce n’est pas trop ce que je cherche, mais pourquoi pas
Je lui réponds pour lui dire que je suis un homme de soixante-deux ans, vicieux, et que son annonce m’intéresse. Il me répond à son tour, et c’est parti pour de nombreux échanges.
J’ai supprimé nos premiers contacts, puis me suis dis que j’aurais pu en faire une histoire. J’ai donc gardé les suivants et veux vous en faire profiter.
Avant de commencer, je tiens à faire deux petites précisions, pour une meilleure compréhension du texte:
La première: il s’agit de mails réels, entre hommes, mais nous allons tous les deux parler de mon partenaire au féminin, puisque c’est son souhait d’être considéré comme une femelle, soumise et humiliée.
La deuxième: s’ il y a des échanges directs à l’intérieur de nos envois, c’est parce que l’on s’invente des plans dans lesquels on se fait parler.
Voici donc la correspondance que j’ai conservée, mais auparavant un bref résumé des premiers épisodes effacés.
J’imagine qu’il cherche du réel et je l’invite chez moi , sans trop d’espoir, ne sachant si son annonce est sérieuse, ou si elle est bidon.
Il est au rendez-vous, à l’heure, et je vais pouvoir l’essayer aussitôt, voir ce qu’il vaut. Il a cinquante-deux ans, jolie gueule, bien foutu: bref, il me plait, me fait bander.
On se déshabille, on s’embrasse, on se caresse, il me suce à fonds, puis je le sodomise. C’est effectivement une belle petite salope, comme il me l’avait annoncé, et on devrait bien s’amuser tous les deux.
Je lui donne rendez-vous pour le lendemain, sais qu’il possède des dessous féminins, et lui ordonne de les mettre. Il sonne, mais je ne le fais pas entrer; on va sortir tous les deux.
Je l’emmène dans un sex-shop, me gare dans la cour privée, et il se met en petite tenue: bas, jarretelles, et string spécial laissant sa raie accessible.
Je l’emmène dans la salle principale. Il y a une dizaine de clients, isolés les uns des autres, et qui regardent le film en se masturbant pour la majorité. On va au delà du premier rang, près de l’écran pour être bien éclairés. Je me mets à poil, je bande à nouveau, et il va me sucer, à la vue de tous, dans l’espoir que certains viennent se joindre à nous.
Voici pour le début, et je vais passer maintenant à nos conversations. C’est à son tour d’écrire.
Lui:
Monsieur, je suis intimidée d’être près des mecs qui matent mon cul en tenue si légère. Vous me demandez de vous sucer, je n’ose pas et une magistrale gifle atterrit sur ma joue.
— Alors, pute, suce moi, je n’aime pas répéter deux fois les ordres
Je me mets à genoux et délicatement je caresse votre bite avec ma langue. Elle lèche chaque centimètre et la gêne de vous sucer en public s’est estompée. Vous bandez comme un âne et votre bite est une vraie barre d’acier. Je lèche vos couilles en les gobant, vous grimacez de plaisir. Je remonte doucement pour sucer votre prépuce puis votre gland humide par le plaisir que je vous donne.
Je l’enfonce délicatement dans ma bouche et vous me prenez la tête pour enfoncer votre bite au fond de ma gorge. Je me laisse baiser la bouche avec violence, et à plusieurs reprises j’ai failli m’étouffer. Les spectateurs apprécient le show et je sens une giclée de sperme atterrir sur mon dos, signe qu’au moins un homme nous a rejoint.
Cela vous excite et vous continuez de me baiser la bouche. La salive s’écoule de ma bouche et soudain je sens une contraction indiquant que vous allez jouir et vous plantez votre bite au fond de ma gorge en jutant abondamment.
A vous pour la suite, Monsieur.
Moi:
Je me suis soulagé, et je me retire, épuisé.
Il y a deux hommes qui nous ont rejoint, dont un qui a déjà giclé sur tes reins, ce qui ne l’empêche pas de bander toujours. Je m’adresse à eux:
— Allez y les mecs, c’est ma pute et je vous l’offre. Prenez la cette salope, elle ne demande que ça.
Ils te pénètrent, un par la bouche, l’autre par le cul, et ils te défoncent sauvagement. Tu voudrais te débattre, te défaire de leur emprise, et ils te baffent la gueule et le cul pour t’en dissuader.
Ils te baisent profond, dans la gorge et entre tes reins.
Quelques longues minutes à te matraquer, et ils changent de position. Celui qui t’enculait vient dans ta bouche, et inversement pour l’autre. Ils te liment à nouveau, et l’ambiance devient très chaude.
Un jeune minet s’approche de moi, me caresse la queue, me dit qu’elle est très belle et qu’il aimerait la prendre dans le cul. Je lui dit de baisser son froc, mais il ne veut pas se faire mettre devant tout le monde, et me propose d’aller en cabine. Il est super mignon, et j’accepte.
Je connais le mec qui pénètre ta bouche et je m’adresse à lui:
— C’est ma pute, je te la confie, prends en soin.
— Elle suce à fonds?
— Oui, bien sûr, et elle avale tout ce qu’on lui donne.
– Tout! Même la pisse?
— Je ne sais pas, mais pourquoi pas. Tu vois avec elle.
A toi ma cochonne, la soirée ne fait que commencer.
Lui:
Après vos paroles les deux hommes s’en donnent à coeur joie pour se soulager à tour de rôle après m’avoir sodomisée sans douceur. Ils sont endurants et je finis par apprécier le traitement qu’ils me font subir.
Je sens leurs bites en moi, celui qui m’encule est le premier à juter. L’autre vient aussitôt derrière pour m’enculer, pendant que je nettoie la bite du premier. Je sens la queue de l’autre, plus grosse, qui s’active dans mon cul plein de sperme. A son tour il gicle fortement en moi.
Le premier à avoir eu du plaisir s’amuse à regarder mon cul dilaté et il urine dans mon trou béant. C’était humiliant de sentir l’urine remplir mon cul. Le second trouva l’idée intéressante et il fit de même.
Mon cul était rempli de foutre et de pisse. Quelle soirée!
A vous, Monsieur
Moi:
Ma salope,
Je suis heureux que tes amants aient su bien s’occuper de toi, et te remplir de foutre et de pisse.
De mon côté je me suis éclaté avec mon minet.
On est dans la cabine et il se déshabille pour se trouver à poil, comme moi. Je dis à poil, mais il est parfaitement rasé, le pubis, les couilles, la raie, pas un seul poil:
— Tu es beau mon chéri, tu as quel âge?
— Dix-huit ans.
— Ca ne te gêne pas de baiser avec un vieux?
— Non, au contraire, j’adore ça, surtout s’ils sont vicieux et qu’ils ont une grosse queue comme la tienne.
— Tu es une petit coquin toi!
— Tu peux me traiter de salope si tu veux, j’aime qu’on m’insulte quand on m’encule.
— Tu embrasses?
— Oui, je fais tout.
Je me colle à lui, et on se roule une chaude pelle à laquelle il participe activement. Nos mains tripotent nos entrecuisses, je bande et lui aussi:
— Hum, tu as une belle bite mon chéri, tu ne fais que te faire enculer, ou tu encules toi aussi?
— Non, je suis un soumis, à cent pour cent.
— Tu aimes te faire sucer?
— On ne me l’a jamais fait, mais je me suce tout seul.
— Hum, petit salaud, tu me montres comment tu fais.
— Si tu veux, mais tu me promets de m’enculer ensuite.
— Avec plaisir mon chaton, il y a longtemps que je rêve d’un jeune petit cul.
Il y a un fauteuil et il s’assoit dedans, le cul au bord. Il relève ses jambes, croise ses pieds derrière sa tête suite à une souplesse arrière, et penche sa tête sur son sexe tendu, une belle queue, longue et fine. Il gobe son gland, et s’amuse avec. Il pose ses mains sur ses fesses, et les écarte, pour s’offrir. Je comprends le message.
Je m’agenouille et lèche sa raie, sa rosette appétissante. J’ai ses couilles à portée de bouche, de grosses couilles bien rasées, toute lisses, et je ne résiste pas à l’envie de les brouter. Je les lèche, les gobe, les suce. Ma bouche continue sur son manche bien raide, puis ma langue s’enfonce dans sa bouche pour rejoindre la sienne et s’enrouler sur son bourgeon. Je le doigte, fouille son cul, l’ouvre pour me recevoir.
Je fais des aller retour entre son fion et sa bouche, jusqu’à ce qu’il jouisse. Il garde son sperme dans sa bouche, et je lui roule une pelle pour partager sa friandise.
Je lui ai promis de l’enculer, et on va s’y mettre.
Il se met en position, à quatre pattes sur le fauteuil, et je viens derrière lui. Je plante mon dard dans son trou ouvert, et je le lime virilement:
— Hum, oui, c’est bon, c’est bon ta grosse bite bien profond, vas-y, baise moi, encule moi fort, je suis une chienne qui aime les grosses queues.
— Salope, et moi je suis un vieux vicieux qui aime casser le cul de petite tapette comme toi.
— Oui, insulte moi, défonce moi, je suis une fiotte de merde.
Tu m’as fait jouir, et il me faut du temps pour gicler à nouveau. Je le ramone longuement, puis m’arrête pour une pause.
Il me propose de m’allonger sur le sol et de le laisser faire. Il vient sur moi, de face, et s’empale sur ma colonne. Il fait du yoyo sur mon chibre, il bande. Je prend sa queue dans ma main, et je le branle sans rien faire. Il monte et descend sur mon pieu, et en même temps que son petit trou coulisse sur ma queue, c’est sa queue qui coulisse dans ma main.
Il se démène de toutes ses forces, et il finit par jouir, m’éclabousse de son sperme abondant; j’en ai partout, sur le torse, le ventre:
— Excuse moi, je n’ai pas pu me retenir. Je vais te nettoyer.
— Non, ce n’est rien, ma pute va s’en charger.
Il s’active encore, et c’est à son tour d’être épuisé. J’ai repris des forces, et on va pouvoir conclure. On se relève, il se penche pour s’offrir, et je le pilonne. Je lui démonte le cul, et je pense à toi, me dis que tu serais jalouse de me voir faire. Je jouis enfin, et me libère entre ses reins.
Il récupère un plug dans son sac, et se l’enfile pour garder ma semence en lui. Il est ravi:
– Tu es bien toi, on m’a rarement aussi bien baisé. Je viens toutes les semaines le même jour, si ça te dit.
— Avec plaisir, mais si tu veux je peux recevoir. Ce serait plus intime.
Il est intéressé et je lui donne mes coordonnées. On se roule une dernière pelle et il s’en va.
Je te rejoins.
A toi pour la suite
Ne sois pas jalouse, je t’aime toi aussi.
A suivre…