Où me mènera mon exhibition (suite)
Quand même un peu prise au dépourvu par la proposition de Denis, mon mari, Francis hésita un court instant avant de diriger sa main vers ma jambe. À linstant où la paume de sa main se posa sur lintérieur de mon genou et que je sentis sa chaleur, ce fut comme une explosion dans ma tête et encore plus ailleurs. Devinez où?
Javais extrêmement chaud mais ce nétait pas leffet de lalcool ni de mes coups de chaleur de pré ménopausée. Ce simple geste suffit à me faire liquéfier. La chatte en feu, jeus presque un orgasme par ce simple geste de Francis. Je sentais ma mouille me couler sur les cuisses. Jen étais un peu gênée mais en même temps je me sentais salope, ouverte, réceptive et fière de lêtre. Javais limpression que tous pouvaient le voir. Comment décrire le sentiment qui mhabitait à ce moment-là? Cétait comme une délivrance, une rébellion contre ma propre pudeur. Le jugement inévitable de ceux qui nous entouraient, pour un instant, ne me préoccupait plus.
Pourtant, je me sentis rougir. Que marrivait-il ? Jétais confuse. Quand même un peu honteuse de ma réaction, la peur du déshonneur me reprit. Je voulus refermer les jambes mais ny arrivais pas. Le voulais-je vraiment ? Mon désir de sentir la main de Francis évoluer un peu plus haut vers mon entrejambe et en fait, il faut bien le dire, vers mes lèvres gonflées denvies, était plus fort que mon habituel réflexe de pudeur, naturel pour moi, que mimpose ma condition de femme mariée, fidèle et respectable.
Honteuse, jaurais dû lêtre encore plus du fait que quelques-uns de nos voisins de table, hommes et femmes, sétaient aperçus du manège. Plusieurs hommes, je le voyais bien, se régalaient du spectacle offert. Certaines femmes cependant, je le devinais, dans un chuchotement, devaient me traiter de tous les noms. Pourtant rien de cela narrivait à me faire reprendre le contrôle de mes sens. Bien au contraire, surprise moi-même de ma réaction, jaimais cette situation où, maintenant, joffrais probablement à la vue de plusieurs personnes la partie la plus intime et dégoulinante de mon anatomie.
Jespérais maintenant ces regards sur moi et encourageais de ma désinvolture le sans-gêne des hommes qui convoitaient, je le sentais, une place à mes côtés. Oui, je me sentais salope et pourquoi pas ? Mon mari ne cesse de me dire que les hommes aiment bien les femmes qui sassument sexuellement. Alors je me surpris à penser que, pour une fois, je pouvais être lune de celle-ci.
Cette réflexion me donna de lassurance et, tout à coup, je maperçus du pouvoir que javais sur ces hommes. Ce fut comme une révélation et jen étais franchement très fière. Je mapprochais de Denis et lui glissais à loreille :
-Chéri, tu nes pas jaloux de voir ces hommes baver denvie ? Je suis certaine quils aimeraient tous être à la place de Francis pour me peloter et peut-être me baiser. Quen dis-tu ?
Jamais je ne me laissais aller à ce genre de commentaires aussi ouvertement. Pourtant combien de fois Denis ma demandé dexprimer mes envies et mes fantasmes. Jétais comblée, alors je ne trouvais rien de vraiment intéressant à dire à ce sujet. Aussi, je ne sais pourquoi, nétant jamais certaine de sa réaction, je mabstenais.
Mon mari, qui me semblait quand même un peu surpris par mes propos, me regardait en souriant et, profitant de ma soudaine ouverture desprit, me fit un clin dil et me dit à loreille :
-Combien de fois devrais-je te le dire, Hélène, tu es bandante, surtout quand tu te laisses aller comme ça.
-Je le vois bien que tu fais tourner les têtes et bander des queues ma belle, je te sens toute chaude. Jaloux ? Oui je le suis un peu mais, franchement, surtout très excité de te voir prendre du plaisir et aimer texhiber ainsi et depuis le temps, tu le sais bien que jaimerais beaucoup te voir te faire prendre devant moi par un inconnu et pourquoi pas par celui-ci.
Denis me parlait souvent de son fantasme au lit. Mais de là à passer du fantasme à la réalité
Mais il avait raison : jaimais beaucoup ce qui marrivait.
Jaimais à ce point la situation et lambiance qui sen dégageait que jen oubliais presque la main de Francis qui continuait à évoluer inexorablement vers lobjet de son désir. Ce faisant, ma jupe remontait, et ma cuisse était dénudée presque à la limite de ma chatte. Je nosais bouger, surtout quà ce moment, je voyais bien quun groupe de jeunes hommes, assis à une table sur notre gauche, se faisait des signes et regardait le spectacle offert. Je me sentais désirable, objet de désir et en même temps un peu pute. Même ce mot ne me faisait plus peur. Les regards me violaient, me pénétraient, me baisaient.
Malgré ce que mon époux venait de me dire, tout à coup, dans un malaise soudain, javais le sentiment de le tromper. Jai toujours été fière de ma fidélité envers celui qui partage ma vie depuis si longtemps et là, je me laissais caresser par un autre homme. Que va-t-il penser de moi ? Pour me rassurer, je le regardais. Devinant mon malaise, Denis membrassa et me dit quil maimait plus que tout. Jétais heureuse.
Cette déclaration damour, je lespérais, elle métait nécessaire à ce moment-là. En me retournant vers Denis, dans un réflexe, javais refermé les jambes et cest à cet instant que je me rappelais pourquoi jétais si tendue, si excitée. Javais une main entre les jambes et cette main ne pouvait être celle de mon mari qui, au même instant, membrassait en me prenait par les épaules.
Non, cette main prise dans létau de mes cuisses était celle de Francis. Rassurée, je repris ma place et, naturellement sûre de moi, je replaçai ma jambe près de la jambe de lhomme qui se faisait de plus en plus familier. Ma soudaine volte-face lavait certainement un peu surpris. Spectateur de ce moment de tendresse, il navait pas osé aller plus loin. Sa main était bien restée là où elle était, mais avec une délicatesse qui ma réjouie, il navait rien forcé, rien dit, comme sil avait compris ce besoin de rapprochement qui était le mien pendant ce court instant.
Sûrement encouragé, maintenant que ma jambe avait repris sa place près de lui, et peut-être de peur qu’elle ne se referme, ses attouchements devenaient plus précis et je sentis sa main tout en haut de ma cuisse et son petit doigt effleurer l’extérieur de mes lèvres vaginales. J’étais en transe. Je ne voyais plus nos voisins ni rien autour de nous. Heureusement que, depuis un certain temps, la nuit était tombée et que nos gestes devenaient moins perceptibles pour nos voisins de table.
L’homme à mes côtés, qui me caressait, n’était plus important, seule la caresse qu’il me prodiguait existait. J’avais fermé les yeux comme pour goûter encore plus cette caresse en attendant qu’elle se fasse plus précise, plus audacieuse. Une onde de choc me traversa tout le corps lorsqu’un doigt toucha la naissance supérieure de mon vagin, là où je suis si sensible.
A partir de ce moment, je ne tint plus sur ma chaise. Sans men rendre compte, mon bassin avançait vers cette main qui se faisait de plus en plus pressante et je laissai échapper une plainte plus forte que je ne laurais voulu, humm.
Prenant de lassurance, compte tenu de mon attitude de soumission, Francis, sadressant à Denis comme si je nétais pas là, lui dit :
-Elle a lair chaude votre épouse, elle a la chatte toute trempée.
-Elle mouille très facilement que lui répondit Denis.
Je pense que Denis voulait lui signifier que cétait moins lhomme qui me faisait cet effet-là, que la situation. Denis exprimait-il un peu sa jalousie? Je le pense. Mais il avait raison. Francis était un bel homme, toutefois cétait beaucoup plus lambiance, lenvironnement, limprévu qui me faisait perdre la tête comme ça.
Tout en bougeant ses doigts, sans faire de mouvements de son bras, ce qui aurait pu alerter tous les gens autour, et se mettant de côté pour cacher ses gestes de plus en plus osés, il continua de discuter avec Denis.
-Savez-vous que jai maintenant deux doigts prêts à senfoncer dans cette chatte dégoulinante ?
Me voyant excitée et sachant quà ce moment-là les mots ne me blessaient plus, bien au contraire, Denis lui répondit :
-Vous savez, Hélène a la chatte très élastique, elle pourrait facilement en accueillir un ou deux de plus.
Après quelques secondes dun lourd silence, Francis reprit :
-Elle me semble pourtant très serrée, jy enfoncerais bien ma queue, elle aimerait sûrement si je me fie aux plaintes que jentends depuis que je la caresse du bout des doigts. Mais vous avez raison malgré tout, elle pourrait peut-être même prendre toute ma main tellement elle est mouillée. Elle coule votre petite ch, chérie.
Il navait pas osé finir et employer le mot qui lui venait naturellement à lesprit pour me qualifier, ou avait fait exprès den prononcer juste assez pour voir notre réaction.
En prononçant chaque syllabe, Denis reprit :
-Ma petite chienne de femme…
-…adore se faire masturber profondément. Une vraie petite salope quand elle est à ce point excitée. Elle prend de gros jouets dans la chatte, nous en avons une belle collection, de toutes les grosseurs. Malheureusement je nai jamais réussi à aller au-delà de la paume de ma main. Si vous voulez vraiment la faire jouir, pincez lui le clito en létirant un peu. Elle aime se le faire serrer très fort.
Francis prit alors mon clitoris entre son pouce et son index, le roula entre ses doigts en le serrant très fort comme lavait suggéré Denis. Je pensais mévanouir et cest à ce moment précis que josais pour la première fois avancer ma main vers Francis pour lui prendre la queue au travers son mince pantalon de toile et la lui serrer aussi fort quil le faisait avec mon bouton. Il semblait être aussi bien pourvu que mon époux. Ce qui nétait pas pour me déplaire.
Denis, si je narrête pas, je pense bien quelle va jouir ici. Elle semble en effet réagir rapidement à ce genre de caresse. Regardez, elle me touche la queue, humm elle me fait bander. Elle doit aimer la bite. Elle aime les parties à plusieurs hommes, je suppose ?
-Je vous avoue, Francis, que cest la première fois que nous allons aussi loin dans nos jeux dexhibition. Depuis que nous sommes ensemble jamais elle na connu dautres queues que la mienne malgré mes demandes souvent répétées.
-Je suis surpris alors quelle se laisse autant aller maintenant. Je pense bien que cette fois elle voudra bien franchir le pas, elle est à point, il ny a pas de doute, elle veut de la queue.
Pour la première fois, sadressant à moi, Francis – me tutoyant effrontément – me dit :
-Tu aimerais que je mette ma grosse queue dans ta petite chatte toute chaude ?
Je regardais Denis et attendais sa réaction ; il me fit un clin dil dapprobation, alors je lui dis :
— Oui, jaimerais beaucoup.
Denis me dit à son tour :
-Tu aimerais quoi, chérie ? Dis-le nous.
— Jaimerais quil me mette sa grosse queue dans ma petite chatte, maintenant, tout de suite avant que je change didée.
Denis sait bien que si jai le temps de reprendre mes esprits, je peux tout aussi bien tout arrêter. Voyant enfin son fantasme se réaliser, il ne perd pas de temps et dit à Francis :
— Allez dans les toilettes des hommes, on vous rejoint.
Profitant de labsence de Francis, Denis a quand même la délicatesse de me demander si je veux continuer. Je le sens lui-même un peu hésitant. Alors, pour toute réponse, je me lève et me dirige vers les toilettes, suivie de mon mari.
Comme celles des femmes, la salle de toilette est assez vaste et dune propreté exemplaire. En regardant autour, jy entre la première avant Denis, Francis y est déjà. Aussitôt la porte franchie et refermée, Denis remonte ma jupe sur mes reins, me caresse les fesses et joue avec ma chatte.
-Francis, vous avez raison, elle est vraiment trempée.
Ne restant pas inactif, Francis abaisse les bretelles de mon chemiser et le fait glisser sur mes hanches, dévoilant mon soutien-gorge pigeonnant. Je me retrouve avec ma jupe et ma chemise faisant comme une large ceinture à la taille. Denis, rapidement, dégrafe mon soutien-gorge que Francis me retire. Je me retrouve complètement nue devant un inconnu. Tout en me pelotant les seins à pleines mains, Francis sexclame :
-Denis, votre femme est faite pour lamour, quel corps. Ses seins son magnifiques, comme le reste d’ailleurs. Sa chatte toute lisse, fermée comme une huître est délicieuse, je comprends quon sy sente si serré.
En disant cela, il insinue ses doigts dans ma fente et me masturbe lentement. Il sait tellement y faire que je mouille le plancher. Sa main et mes cuisses sont détrempées de ma mouille.
-Je savais que tu devais être fontaine, tu es vraiment une petite vicieuse, toi.
Ny résistant plus, je me penche pour défaire la ceinture de Francis. Je veux voir cette queue qui me semble très grosse vu la bosse de son pantalon. Jy arrive, baisse le pantalon et sort sa queue que je prends à pleines mains. Je ne suis pas déçue, une belle queue, moins grosse que celle de mon époux mais un énorme gland, gorgé de sang, très dur.
— Suce-le.
Cest Denis qui vient de me demander, ou plutôt de mordonner de sucer cette belle queue. Mais avant même dentendre ses paroles, je suis déjà à genoux pour le goûter. Avant que jy arrive, Denis me retient et me fait plutôt pencher vers lavant, les jambes bien droites et le cul relevé.
La robe sur le dos, les seins pendants, jouvre la bouche et Francis me prend par les cheveux et senfonce. Pendant ce temps Denis me masturbe par derrière. Je sors cette queue de ma bouche et lèche ce gland doux et chaud qui laisse déjà sécouler des gouttes de plaisir. Reprenant le contrôle, Francis senfonce à nouveau et me baise littéralement la bouche.
-Vas- y, petite salope, bouffe-moi la queue. Elle est bonne, ta femme Denis, elle suce comme une vraie pute.
-Je sais, je lui dis souvent quelle pourrait confortablement gagner sa vie avec sa bouche.
Cest vrai que Denis me dit souvent cela en blaguant quand je lui prodigue mes faveurs buccales.
Tous les trois concentrés sur nos activités, nous avions oublié un peu lendroit où nous nous trouvions. Ayant entendu la porte souvrir, je lâche la queue, retourne la tête et dit, furieuse, la porte nest pas barrée. Deux des jeunes de la table voisine entrent dans la salle de toilette. Je suis paniquée. Je vais pour me lever et me rajuster mais Denis me dit de ne pas men faire et de continuer. Regard menaçant vers les deux jeunes hommes, il leur dit :
-Fermez le loquet de la porte et surveillez-la. Vous pouvez rester et regarder mais vous ne touchez pas.
Je reprends alors Francis en bouche ou plutôt Francis me remet rapidement sa queue à lendroit où elle était quelques secondes avant.
Du coin de lil je vois que les jeunes se masturbent doucement à travers leur pantalon. Je maperçois aussi que Denis se déplace un peu pour que ceux-ci voient bien mon cul et ma chatte. Du regard, il me le dira plus tard, il invite le jeune homme le plus près à venir me caresser. Celui-ci ne se fait pas prier et tout de suite met sa main entre mes jambes et frotte sur mes cuisses sa queue, quil avait sortie de son pantalon. Encouragé, lautre sort aussi sa queue et fait mine de sapprocher, mais Denis lui dit de rester là où il est et de profiter de ce quil voit. Denis, très excité, lance à Francis :
-Maintenant prends-la, tu as un condom ?
Avec un regret dans la voix, Francis dit quil nen a pas. Je suis toute aussi déçue.
-Il nest pas question que tu baises Hélène sans protection cest dommage. Cest moi qui vais profiter de sa chatte mais jaurais bien aimé la voir se faire prendre.
Un des jeunes, celui qui me caresse la chatte, en nous montrant un petit sachet sexclame :
— Moi, jen ai un !
Je regarde Denis, jen ai envie et en plus il est mignon. Denis a sûrement lu dans mes pensées et dit au jeune :
-Vas-y enfile le condom et baise-la comme elle le mérite, elle nattend que ça, cest ton jour de chance.
Rapidement il met le condom et, sans autre préliminaire, menfile sa vigoureuse queue dans la chatte. Il me baise doucement mais jen veux plus. En même temps, je continue à sucer Francis. Lautre jeune continue de se masturber en encourageant son copain de mots crus.
Denis encourage lui aussi le jeune à me faire jouir. Maintenant confiant, tout en me caressant les seins, il accélère le rythme et je sens son bassin claquer sur mes fesses. Je tourne la tête pour voir Denis et maccroche des deux mains au pénis de Francis. Je ne me reconnais plus. Je jouis comme jamais.
Le jeune qui me baise nest pas long à venir. Il se retire et jouit dans sa capote. Son copain le suit et jouit par terre. Je reprends Francis en bouche et je sens quil ne va pas tarder lui aussi à éjaculer. Il me lime la bouche et me retient par les cheveux. Je réussis à me dégager juste comme il jouit. Je ne voulais pas avoir son sperme en bouche mais je reçois tout de même quelques gouttes sur le coin des lèvres. Je tire la langue et jaime le goût un peu salé.
Denis est le seul à ne pas avoir joui mais, rapidement, prenant la place libérée par le jeune, il éjacule dans ma chatte et sentant la chaleur menvahir, jexplose en même temps que lui.
Les deux jeunes nous quittent en nous remerciant. Étant tout à coup très gênée de mêtre laisser aller comme ça, je nose les regarder partir. Francis nous laisse son numéro de téléphone et nous invite à le rejoindre dans sa chambre le soir même. Sadressant à moi en reprenant son attitude polie du début de notre rencontre, il me dit
-Je vous remercie beaucoup, Hélène et si vous le voulez bien, ce soir jaurais ce quil faut.
Tout en remontant son pantalon, prenant le bout de papier, cest Denis qui lui répond :
-Pas ce soir, peut être une autre fois.
Je suis soulagée de cette réponse. Ce soir jaurais sûrement envie de me retrouver seule avec mon amour. Je suis certaine quil lavait deviné.
Jessaie de remettre un peu dordre dans ma tenue, remets ma culotte et je sens le sperme de Denis couler de ma chatte. Francis nous quitte. Nous nous regardons surpris nous-mêmes de ce que nous avons fait. Denis, inquiet, me demande si tout va bien. Je lembrasse :
-Tu as aimé ?
-Jai adoré.
Nous quittons les toilettes, Denis va pour payer les consommations mais le serveur lui dit que tout est déjà payé.
Ce fut le début de notre épanouissement sexuel et échangiste. Il y aura par la suite beaucoup dautres épisodes coquins.