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Un Amour Fraternel – Chapitre 2




Ils rassemblèrent leurs affaires et quittèrent la plage vers leur appartement. Une fois rentrés, Nelly posa sa serviette sur le dossier d’une chaise et commença à se déshabiller.

— Maintenant qu’on est à la maison, je vais pouvoir reprendre mon bronzage intégral, dit-elle en s’adressant à son frère, qui ne dit rien. Il la regarda discrètement retirer ses habits et eu une nouvelle fois droit au magnifique spectacle de ses seins. Nelly alla s’installer sur le transat de la terrasse afin de profiter des derniers instants de soleil de la journée. Théo ne tarda pas à la rejoindre. Il s’assit sur une chaise à côté d’elle.

— Fait juste gaffe que maman te voit pas comme ça, parce que sinon elle te tue.

— T’inquiète pas, elle rentre à quelle heure aujourd’hui ?

-Pas avant vingt heures je crois.

-Ben ça va, j’ai le temps, il n’est que six heures et demi.

Théo se tut, admiratif de la belle poitrine de sa sur. Le soir même, après que leur mère ne soit rentrée, ils mangèrent ensemble sur la table de la terrasse comme à leur habitude. Très fatiguée, leur mère ne mit pas longtemps à aller se coucher car elle travaillait tôt le lendemain. Nelly et Théo passèrent donc la soirée devant la télé, blottis l’un contre l’autre sur le canapé, à regarder un film Disney. Théo avait accepté pour faire plaisir à sa sur qui était encore restée bloquée à cette vieille époque. Une fois que le film était fini, ils restèrent encore quelques minutes dans l’obscurité à se câliner. Ils restaient silencieux et profitaient de ce moment plaisant. Puis Nelly brisa ce silence.

-Ils te plaisent mes seins frérot ? Théo fut légèrement surpris par cette question. Mais s’il y a avait bien une personne avec qui il pouvait parler de tout sans ambiguïté, c’était bien avec sa sur.

-Bien sur surette, répondit-il. Tu as une poitrine de rêve. Il déposa un doux baiser sur le front de Nelly qui esquissa un soupir et prit la main de son frère. Théo sentit son sexe dressé au maximum dans son short. Il était tellement excité qu’il ne put retenir sa langue.

— Tu veux pas me les montrer encore ? Nelly se redressa et regarda son frère en souriant avec un air sceptique.

-Tu veux que j’te remontre mes seins ? Théo acquiesça avec un sourire un peu gêné. Je peux me foutre complètement à poil si tu veux, continua-t-elle. Son frère lui fit rapidement un hochement de la tête pour lui signifier son accord.

-D’accord, dit-elle en se levant du canapé. Mais alors je veux te voir à poil toi aussi. L’idée excitait encore plus le jeune homme qui s’empressa de retirer tout ses vêtements. Son sexe en totale érection impressionna sa sur qui avait à peine retiré son soutien-gorge.

-Wow! s’exclama-t-elle. T’es drôlement bien foutu frérot.

-Tu… tu trouve ? demanda-t-il timidement.

-Bien sur, mais c’est moi qui te met dans un tel état d’excitation ? répliqua-t-elle en enlevant sa culotte, délivrant sa chatte, ses hanches et ses fesses à la vue de son frère qui, extasié devant ce qu’il voyait, ne pu rien répondre hors mis quelques balbutiements.

-T’es… tellement belle toute nue ma surette, répondit-il finalement. Nelly s’approcha de lui, l’attrapa par la taille et le fit asseoir sur le canapé. Puis elle vint le rejoindre, se blottir contre lui, retrouver la même positions qu’ils avaient quelques minutes avant. Leurs corps nus étaient, cette fois, collés l’un contre l’autre. Chacun pouvait sentir la douceur de la peau de l’autre et c’était très agréable pour les deux. Avec ses yeux, Nelly scrutait le sexe en érection de son frère. Puis de ses doigts, elle se mit à lui effleurer la verge. Théo était aussi excité que paniqué, à tel point qu’il n’osait pas bouger. Il avait un bras sur les épaules de sa sur, tandis que l’autre bras était étendu sur le canapé, comme paralysé. Puis Nelly tourna la tête vers lui.

¬- Dis frérot, est-ce qu’on t’a déjà branlé ? Il sentit son cur faire trois tours sur lui-même.

— Pourquoi ? Tu… tu veux me branler ?

— Non! répondit-elle directement. T’est fou toi. Je te demande ça comme ça. Théo se sentit un peu bête, mais prit ça à la rigolade.

— En même temps, répondit-il, c’est un peu ce que t’est en train de faire.

— De quoi ?

— Ben, t’est pas en train de me branler là ? Nelly se mit à rire.

— C’est ça pour toi une branlette ? Mais tu veux rire, j’suis juste en train d’te caresser la queue là. Elle regarda son frère d’un air moqueur, qui lui, avait le regard perdu au loin, un peu honteux. Nelly relâcha le membre de Théo. Elle approcha sa main de sa bouche et se mit à cracher à plusieurs reprises dedans.

-Mais qu’es-ce que tu fous ? demanda son frère.

-J’vais te montrer ce que c’est qu’une branlette frérot. Elle s’empressa de ressaisir la sa bite, faisant dégouliner la salive le long de sa verge. Puis elle commença doucement les va-et-vient. Théo ferma les yeux et leva la tête vers le plafond. Il se mit à soupirer. Nelly ne quittait pas des yeux la queue de son frérot, tout en accélérant de plus en plus le rythme. Elle ne mit pas longtemps à le faire jouir. Au bout de trois minutes à peine, il ouvrit soudainement les yeux et se mit à gémir assez fort. Il eu du mal à retenir ses cris, pour ne pas réveiller sa mère dans la chambre à côté. Sa sur comprit par ses gémissements qu’il allait venir. Elle referma rapidement la paume de sa main sur son gland pour le pas éclabousser la pièce. Théo éjacula dans la main de sa sur, qui sentit la grosse quantité de sperme gicler dans sa main. Une fois qu’il avait terminé, il se mit à respirer fort.

— Ben dis-donc frérot, c’était rapide, dit-elle en se dirigeant vers la salle de bain. Elle se lava la main pendant que Théo s’essuyait la verge avec un morceau de sopalin.

-C’était merveilleux, dit-il lorsque sa sur revint dans le salon.

-Mais c’était bien trop court, répondit-elle avec un sourire moqueur. J’vais devoir te prendre en main mon frérot.

¬-C’est pas ce que tu viens de faire ? répliqua-t-il, le sourire au coin des lèvres. Nelly ria devant la plaisanterie. Elle ne répondit rien et se baladait toute nue dans la pièce. Théo la regardait se déhancher. Il ne quittait pas des yeux sa poitrine, son ventre, ses fesses, il sentit tout à coup l’excitation revenir. Nelly se dirigea vers la porte de la chambre et se retourna vers son frère.

-Tu viens te coucher ? Il est tard. Théo se leva du canapé, il avait très chaud. Il ne quittait pas des yeux les fesses de sa sur qui se trémoussaient devant lui. Ils s’endormirent tous les deux nus l’un contre l’autre.

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