J’ai réfléchi toute la nuit. Pourquoi m’a-t-il envoyé ce SMS ?

J’ai beau me tourner et me retourner dans mon lit, je ne trouve ni la réponse, ni le sommeil. Je suis inquiet.

Le lendemain, je sèche donc les cours et me dirige vers le lieu de rendez-vous qu’il m’a fixé.

Après 10 bonnes minutes de retard, je le vois arriver au loin avec un homme en costume, plutôt classe.

Les deux à peine assis, le gars en costard prend directement la parole et m’explique qu’il est avocat, et que son client (Olivier) a appris que je l’avais filmé à son insu lors d’un rapport sexuel, que j’avais diffusé la vidéo sur internet sans le masquer, sans son accord, que c’était un viol de sa vie privée… Il me sort toute sa réglementation. Je suis envahi d’informations, de Code pénal, tellement que je ne comprends plus rien.

Il m’explique aussi qu’il a consulté mon site et qu’il a pu voir distinctement que j’avais des rapports sexuels répétés avec une femme, en l’occurrence ma mère, et que c’était illégal.

Après avoir fait le point de toutes mes infractions il m’explique qu’il va s’absenter quelques minutes pour me laisser parler avec son client, et que si nous ne trouvons pas d’accord, il avisera.

Il se lève et s’écarte. Olivier a le regard fermé et joue très bien son rôle de victime.

Je suis fou de rage au fond de moi car putain il savait tout et il fait l’innocent. Il me le fait à l’envers…

Il me regarde dans les yeux et commence en me disant qu’il ne me laisse pas tellement le choix, qu’il va m’imposer des conditions et que si je ne veux pas de poursuites, je dois les accepter dans leur intégralité.

Il me dit tout d’abord qu’il souhaite que la vidéo reste en ligne. En contrepartie, il veut tous les revenus financiers liés à cette dernière + 50% du revenu des autres vidéos.

Il rajoute que c’est maintenant lui qui prend les commandes. Il me dira quand, où, comment, avec qui,… Si j’ai le droit de filmer et de mettre en ligne.

Et pour finir il me demande les droits d’accès et les mots de passe administrateur de mon site.

Une fois ses réquisitions terminées, il me regarde et me dit :

— "Ca te va ?! Ou on complique la situation ?"

Je suis pris, je ne peux pas faire grand-chose d’autre que d’accepter. Je lui fais un signe de la tête dépité, qu’il prend pour un accord.

Il se retourne et fait signe à son avocat, qui revient, nous demandant si nous sommes tombés d’accord, ce qu’il lui confirme.

L’avocat me tend un papier qui quand je le lis rapidement semble relater l’ensemble de mes infractions, me dit que c’est une copie d’un document qu’il déposera dans un tribunal si je m’avise de ne pas respecter notre accord.

Il me dit de le garder pour ne pas oublier.

Olivier se lève, puis en partant il me dit de surveiller mon téléphone, qu’il va bientôt me contacter. Puis ils partent.

Je me retrouve comme un con sur ce banc. J’ai pris un coup de pression monstrueux. Je suis entre la panique, l’angoisse, et la joie que juridiquement ça n’aille pas plus loin. Pourtant je sens bien cette épée de Damoclès qui frôle ma tête. Que va-t-il exiger maintenant…

Je décide de retourner en cours. Evidemment jour de chance oblige, à peine le portail du bahut passé je me fais attraper par le directeur qui me demande ce que je fais là au lieu d’être en cours.

J’essaye de lui sortir un bobard sur un problème de réveil, ayant entraîné un retard dans les transports, qu’il ne croit pas du tout.

Résultat, il m’embarque dans son bureau.

Arrivés dans son bureau, il ferme la porte et me dit qu’il va appeler ma mère car ce n’est pas la première fois, et que la sanction doit tomber.

Je le supplie de ne pas faire ça. Et à ce moment-là il attrape son écran de pc, qu’il tourne vers moi.

Son écran est sur mon site, stoppé au milieu d’une vidéo dans laquelle on me voit clairement baiser avec ma mère.

— "Ça te dit quelque chose ?!"

Et merde, il manquait plus que ça…

Je lui dis que oui, de toute façon je ne peux pas nier car on nous reconnaît bien.

Très sérieusement, et avec un ton assez directeur il me dit que si je ne veux pas d’ennuis il veut aussi profiter d’elle, que je dois me débrouiller comme je veux pour lui arranger ça, pour ce soir…

— "Quoi ? Ce soir ? Je ne peux pas ! C’est ma mère, pas une simple poupée que je peux diriger. Comment voulez-vous que j’organise ça ?"

Il ne m’écoute même pas et me dit qu’il veut que je filme tout ce qui se passera et qu’il voudra l’unique copie.

Il refuse de me renvoyer en cours et m’exclut pour la journée du lycée en m’expliquant que comme ça, j’aurai le temps d’organiser les festivités.

Fin de la discussion. Je me retrouve seul devant le portail, avec un plan impossible à réaliser et à devoir justifier mon exclusion auprès de ma mère.

Ne sachant plus trop quoi faire, je décide d’appeler olivier pour lui en parler car je ne suis plus le maître du jeu.

Il n’est pas ravi du tout mais me dit de faire ce que mon proviseur me demande pour cette fois, et qu’il voudra aussi une copie de la vidéo, que ça pourra servir s’il s’avère trop gourmand.

Maintenant que j’ai son accord, il faut que j’arrive à convaincre ma mère d’accepter de se faire sauter par ce porc de proviseur.

Rien que de savoir qu’il va la toucher me dégoûte. Il est moche, gros, il semble poilu, et est pervers. Ca va être un supplice, je le sens…

Evidemment j’arrive chez moi en milieu de journée. Ma mère qui ne travaille pas ce jour-là me demande en me voyant passer la porte pourquoi je ne suis pas en cours. Là commence mon bobard.

Je lui explique que je suis arrivé en retard en cours après m’être loupé avec mon réveil et que quand je me suis fait attraper par le pion qui ne voulait plus me laisser rentrer en cours, je me suis énervé et je l’ai frappé.

Elle reste sans voix. Je continue en lui disant que pour le moment je suis exclu et que ce soir, mon proviseur vient chez nous pour en discuter avec elle et voir s’ils peuvent trouver une solution.

Je me fais envoyer dans ma chambre alors que je l’entends marmonner dans mon dos.

Arrivé dans ma piaule, j’allume mes écrans de pc pour avoir un visuel de ce qui se passe dans la maison. Ma mère est en train d’envoyer des SMS. Je me doute de la personne à qui ils doivent être adressés.

Je lance donc sur le logiciel espion que j’ai installé sur son téléphone, et effectivement les messages qu’elle tape sont bien pour Olivier.

Elle lui raconte que je me suis fait virer… Bref tout ce qui m’est arrivé, et qui la perturbe.

Après plusieurs textos de compassion de son Roméo, il lui dit qu’il ne pourra pas passer ce soir car il a un empêchement professionnel.

Il sait surtout qu’elle sera en train de se faire baiser par l’autre porc et qu’il na pas envie de voir ça, ou de la récupérer après.

Plus rien ne se passe jusqu’à 19h ou ça sonne à la porte. Ma mère ouvre, c’est mon proviseur, comme prévu…

Il se dresse devant elle avec son costard gris, froissé. Il est négligé. Il aurait pu faire un effort pour faciliter la tâche.

Ma mère m’appelle et m’ordonne assez sèchement de descendre. Je m’exécute.

Je prends ma tête penaude de circonstance et me dirige vers eux qui s’installent autour de la table de la salle à manger.

Ma mère commence direct et lui présente nos excuses, lui expliquant qu’elle ne comprend pas mon comportement, qui est vraiment inhabituel. Elle souhaite que la sanction soit légère, en lui promettant que cela ne se reproduira plus.

Le proviseur me regarde, me demande de confirmer mes excuses, chose que je fais avec une fausse sincérité, juste pour lui donner le change.

Il me dit ensuite de me retirer dans ma chambre prétextant qu’il veut discuter entre adultes.

Je file dans ma chambre et me remets derrière mes écrans.

Il n’y va pas par quatre chemins, il est sans retenue, il veut lui faire peur. Il lui raconte que je risque le conseil de discipline, que ce que j’ai fait est extrêmement grave, et que l’exclusion définitive est presque inévitable.

On sent la peur et l’inquiétude s’emparer de ma mère qui est en train de voir que je vais perdre mon année, peut-être plus…

Il enchaîne directement en lui disant que ça pourrait encore peut-être être évité, si elle fait preuve de bonne volonté…

— "Bonne volonté ?! Vous entendez quoi par-là ?"

— "Vous êtes une belle femme, célibataire je crois. Si vous tenez vraiment à la scolarité de votre fils, je vous rappelle que cette année est cruciale pour lui, vous donnerez un peu de vous, non ?"

Elle a compris ce qu’il veut. Elle comprend aussi que nous sommes piégés et qu’elle n’a aucune autre solution.

— "Si je fais ce que vous voulez, il réintègre l’établissement dès demain, et on oublie tout, vous le garantissez ?"

— "Oui"

Un simple accord verbal. Par ce simple mot, elle se lève et se dirige vers mon proviseur qui reste assis.

Il tourne juste sa chaise de la table et écarte ses jambes.

Ma mère doit donc se mettre à genoux sur le carrelage et dézippe sa braguette. Elle en sort un gros sexe, pas très long mais déjà très large, qui bande déjà à moitié.

Vu le recul de ma mère quand elle approche ce sexe de son visage, il semble sentir fort… Ils se regardent dans les yeux, elle déglutit comme pour se donner de l’élan et se lance.

Elle met le chibre dans sa bouche pendant qu’elle le branle de façon soutenue. Visiblement elle veut que ça aille vite, et effectivement très vite il lui éjacule dans la bouche sans la prévenir.

Pensant probablement que ça va être fini, elle va pour se relever quand il la rattrape par l’épaule pour la maintenir au sol.

— "Attends, tu crois pas que c’est fini ?! Pour effacer l’ardoise il m’en faut un peu plus chérie."

Elle ne semble pas comprendre car il débande…

— "Ne t’en fais pas, ça va remonter, ne bouge pas j’ai ce qu’il faut en attendant. Alex ! Viens ici !!!" Se met-il à crier dans la maison.

— "Quoi ? Que faites-vous ?!" dit-elle en poussant des yeux surpris, presque effrayés.

De mon côté, je suis aussi surpris mais je descends de ma chambre.

Je vois ce mec, avachi sur sa chaise, les jambes écartées, avec ma mère à moitié assise par terre les jambes sur le côté, le sexe de ce type pendant devant son visage, et elle qui me regarde comme terrifiée me suppliant du regard de ne pas regarder ni intervenir. On sent clairement sa gêne.

— "Mets-toi à quatre pattes !" lui ordonne-t-il.

— "Non sil vous plaît, pas ça…"

— "Fais ce que je te dis. Les études de ton fils en dépendent, rappelle-toi"

Elle se met donc en position, la tête au niveau de la bite pendante de ce porc, le dos légèrement courbé, offrant son fessier à qui voudra bien le prendre.

La vue est excitante pour moi bien que lui me dégoûte. La voir soumise dans cette position me fait bander.

Sa jupe mi-cuisse couvre maintenant à peine son cul.

— "Baisse ta culotte maintenant !" lui ordonne-t-il. Elle s’exécute.

— "Suce-moi encore, et toi Alex, baise-la !"

Ma mère le regarde, et avant qu’elle n’ait le temps de parler, il lui dit de se taire et de faire ce qu’il lui ordonne.

Elle comprend qu’il ne cédera rien, alors elle se résigne, baisse sa culotte jusqu’aux genoux puis reprend sa bite en bouche.

Il me fait signe d’y aller de la tête. Je suis un peu sous le choc de la tournure de la situation mais au fond j’en avais tellement envie que je ne me fais pas vraiment prier.

Je desserre ma ceinture, retire mon pantalon et mon caleçon, puis je m’approche de ma mère.

Je bande maintenant comme un âne alors que je ne l’ai pas encore touchée.

Alors que je me baisse en fléchissant les genoux pour la prendre, elle me demande :

— "S’il te plaît, mets un préservatif."

— "Non !" répond-il.

— "On a perdu assez de temps, prends-la ! Maintenant !"

Pris par l’excitation et respectueux de son ordre, je rentre en elle sans aucune protection ni précaution.

Ma pénétration est directe et sans aucune préparation. En une fraction de seconde je suis au fond d’elle, le sexe complètement libre.

— "Vas-y mon petit, bourre-la."

Je commence mes allers-retours très vigoureux sous les sursauts de ma mère. Elle expulse de l’air à chaque fois que je suis au fond.

C’est si bon de se retrouver dans son corps, il m’avait manqué.

Sentir son vagin autour de ma bite est une sensation géniale.

L’homme en face de moi a un large sourire. Il apprécie ce moment et ça se voit, car il est de nouveau en totale érection.

— " Alex, allonge-toi, toi enjambe-le !"

Je me retire donc pour m’allonger sur le dos pendant que je vois cette femme passer ses jambes de chaque côté de mon corps, pour approcher doucement sa vulve de mon chibre, qui n’attend que de retrouver son fourreau dans lequel il est si bien.

Je rentre de nouveau en elle, plus doucement cette fois car c’est elle qui gère la pénétration. La sensation est toujours aussi exquise.

Elle commence ses mouvements de plaisir. Ses va-et-vient et cette vue d’elle empalée sur moi me font aimer ce moment.

Le proviseur qui jusqu’ici regardait la scène, se lève, le sexe bien raide à la main, se met dans le dos de ma mère, appuie pour la pencher vers moi. Ses seins et son visage se rapprochent de moi, mais ça lui donne aussi une superbe courbure et surtout une ouverture totale sur le cul de ma mère.

Le regard de ma mère croise le mien et tous les deux nous savons ce qui va se passer.

Il crache vulgairement sur son petit trou et pousse sans s’arrêter jusqu’à la garde.

Vu notre position, je ne peux plus bouger sinon mon sexe va péter. Lui par contre fait son affaire dans le cul de ma mère pendant qu’elle ne lâche pas mes yeux.

Après quelques minutes, il pousse un cri et envahit son cul de tout le sperme qui lui restait.

D’un trait il se retire, me permettant à nouveau de bouger. Et sans aucun ordre de sa part, comme s’il n’était finalement pas là, je glisse ma main dans le dos de ma mère puis la tourne pour qu’elle se retrouve dos au sol. Nous nous retrouvons en missionnaire.

Je reprends mes va-et-vient sans lâcher son regard, qu’elle soutient. Elle sent que je vais jouir et sans un mot échangé, me laisse finir.

Dans un moment de libération, de soulagement et d’extase total, je libère des semaines d’envie en elle. Je sens une quantité énorme de sperme l’envahir. Comment puis-je en avoir autant, c’est fou. Ca coule, encore et encore…

Toutes les tensions se relâchent. Les corps aussi. Je m’effondre sur elle. Elle semble épuisée.

Tandis que je finis par me retirer, je me rends compte qu’il a regardé la scène avec beaucoup d’attention.

Sans rien dire il se rhabille, passe à côté de moi, et me dit pour simple au revoir :

— "On se voit demain dans mon bureau, et n’oublie pas…", puis il claque la porte.

Je me retourne vers ma mère qui se relève. A chaque mouvement qu’elle fait, je vois le sperme couler d’entre ses cuisses.

Elle passe à côté de moi et alors que je vais pour lui demander si ça va, elle pose sa main sur ma joue en me disant "on en parlera demain".

Puis elle monte vers la salle de bain.

Related posts

Elle ne dormait pas – Chapitre 1

historiesexe

Banquière perverse – Chapitre 17

historiesexe

Marie Christine, génèse d'une soumise – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .