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Le jeu des 1001 cartes – Chapitre 1




Jeudi soir sur la terre, il est 21h00… ou un peu plus…

Par cet été caniculaire, nous sommes cloîtrés dans les 53m² de notre appartement. Pour garder un peu de fraîcheur dans l’air, nous vivons dans l’obscurité presque totale. Les 30 degrés de l’air sont à peine respirables et les ventilateurs tournent à plein régime.

Sous ma douche, l’eau tiède qui ruisselle sur mon corps me délasse et j’en profite paisiblement après ma rude journée de travail …

Dans le couloir, le téléphone sonne mais je ne me précipite pas pour répondre…

Sam (mon mari), décroche et répond, durant quelques minutes la conversation est calme, enjouée et très classique…

Depuis la salle de bain, j’écoute d’une oreille mais ne comprends pas tout à cause du bruit de l’eau… je pense comprendre qu’il s’agit de la famille ou un collègue de bureau… bref sans grand intérêt.

Le temps se passe, lentement, chaudement, nue et à peine séchée, je m’enroule dans une serviette en coton pour rejoindre Sam dans le salon…

Il est beau, couché dans le fauteuil juste vêtu de son caleçon, son corps se dessine parfaitement sur le tissu gris et donne à l’image une vision presque érotique ou publicitaire, ce qui me fait sourire et me donne envie de lui…

Me voyant arriver, il me laisse m’installer à ses côtés, et bien que la chaleur nous entoure, nous nous serrons l’un près de l’autre…

Les minutes passent dans le silence de la pièce moite…

Avachie dans le canapé, face au ventilateur, je me laisse bercer par son souffle qui me caresse et sèche les dernières gouttes d’eau sur ma peau blanche… Mes épaules, mes bras, mes jambes et mes cuisses nus, ressentent ce souffle d’air comme un délicat effleurement de fraîcheur, au point qu’un frisson parcourt mon corps.

À côté de moi mon chéri regarde la télévision dont le programme n’est pas d’une grande intelligence. Il semble plongé dans ses pensées et je me glisse délicatement contre lui… laissant le nud de ma serviette se détendre progressivement…

Alanguie contre lui, il ne remarque pas ma « presque » nudité couverte par le fin coton tant la chaleur ou ses pensées le préoccupent.

Délicatement, j’avance mon visage et l’embrasse sur le bras pour lui montrer mon affection et mon désir…

Me regardant enfin, à demi-nue contre son torse et son épaule forte, il me sourit et glisse sur le fauteuil pour m’allonger totalement sur lui dans un baiser tendre et passionné.

Mon corps sur le sien, ses grandes mains expertes glissent doucement dans mon dos, sur mes reins et vers mes fesses… l’érotisme est à son comble… il sait et devine chacune des courbes de mon corps frêle sous ses doigts délicats.

La serviette tombe au sol, me dévoilant totalement, tandis que nos lèvres se soudent.

Dans mon ventre le désir progresse rapidement, et je sens contre moi la force de son membre prendre une belle dimension.

Dans la tiédeur de la pièce, sans un mot, nous commençons à faire l’amour sans nous soucier du lieu, de la chaleur ou de l’inconfort du fauteuil.

Ma douce poitrine collée à lui, je sens mes pointes le frôler et durcir d’excitation. Peau contre peau, ses mains me creusent les reins et touchent mes fesses. Je me cambre pour le sentir contre moi et mes ondulations lui font comprendre que le moment est venu…

Doucement, délicatement, je glisse sur lui, embrassant son cou, son torse et ses épaules si bien faites… ma progression est lente mais intensément câline. Sur son ventre (un peu rond et normal pour ses 41 ans) je dessine de petits cercles avec mes doigts et mes lèvres, puis tout en lui embrassant le nombril, mes mains massent la bosse dure cachée dans son vêtement.

Posée à genoux entre ses jambes, mes seins l’enserrent, je monte et descends en appuyant doucement mon corps sur lui… son sexe dur et large se faufile contre ma poitrine et je le fixe du regard pour capter ses sensations…

Un, puis deux… mes baisers se font plus doux encore… mes mains lui retirent son caleçon et libèrent sa belle verge gonflée de désir. Entre mes seins blancs et ronds je le prends encore pour le masturber en cravate de notaire, sentir sa chaleur et son envie palpiter sur mon cur.

Nos regards se croisent, il aime me voir ainsi posée et si douce … sa main effleurant ma joue me donne le signal… et je le prends en moi…

Epais et volumineux, je m’applique sur son sexe qui me remplit la bouche… son soupir par l’action de ma fellation ne laisse aucun doute à son plaisir… ma main le tenant à la base, du bout des lèvres je le goûte, le lèche et ma bouche glisse sur lui pour le déguster. Je le suce délicatement, doucement tout en variant la pression de mes lèvres sur sa colonne de chair si douce, mon regard est plein d’amour, je le fixe pour lui donner envie et qu’il profite de mes caresses de langue soigneusement appliquées…

La respiration de mon amour accélère encore… il gonfle en moi… pousse ma tête vers lui et je l’accueille de mon mieux entre mes lèvres distendues…

L’épreuve est forte… il lutte pour ne pas venir trop vite… et je m’applique pour le faire souffrir de plaisir à la limite de ma gorge…

Enfin, ses mains sur moi m’arrêtent et me soulèvent comme une brindille…

Il faut dire qu’avec mes 50 kilos et mes 1m58, je suis une petite femme fluette face à lui qui fait 1.75m pour 90kilos bien tassés…

Ne touchant plus terre, dans ses bras virils et puissants, je me sens si petite, si fine et si bien. Nos corps l’un contre l’autre, il me porte tout en m’embrassant…

Sa queue raide frappe mon ventre et j’ai envie de l’encercler de mes jambes …

Il me porte et je me laisse faire, son sourire et sa tendresse me transportent.

Dans le fauteuil, il s’installe et je m’assois sur lui, ouvrant mes jambes pour l’accueillir contre ma fleur humide et sensible…

Ses mains sur mes reins, j’ondule mon bassin contre lui et le caresse de ma fine toison.

Puis, d’une main délicate je saisis son pieu de chair, me soulève et l’insère dans mon antre brûlant…

Progressivement, je ferme les yeux et le laisse glisser en moi.

Il me remplit, m’ouvre, me pénètre de toute sa longueur… je me sens pleine de lui et mes reins frémissent de bonheur…

Nos bouches soudées, nos respirations haletantes, il me prend et me possède de mille frissons… mon sexe ouvert et plein, mon clitoris gonflé de désir glisse contre son ventre, je sens chacun de ses mouvements, ses va-et-vient font monter en moi un orgasme à grande vitesse…

Je m’accroche à lui, il me tient un sein, le pince et le tords et je vibre de tout mon être, empalée sur son membre viril qui me déchire l’âme.

Ne tenant plus, je suis en sueur, il coulisse en moi, son sexe frappant tout au fond de moi. Il me possède et je le serre pour le garder précieusement dans mon écrin. La chaleur est torride, nos gémissements résonnent dans la moiteur de la pièce renforcée par l’obscurité pâle et artistique…

Dans un coup de reins plus violent, il me fait sursauter et me plante sur son pilier d’amour au plus profond de moi tout en m’arrachant un cri de surprise plus que de douleur.

Je serre les dents sous le choc, ferme les yeux et sens sa jouissance jaillir dans mon ventre…

Brûlant et épais, son liquide de plaisir se répand en moi, et nous nous embrassons d’un amour passionné.

Vaincus de fatigue et essoufflés, nos corps se séparent, heureux et comblés.

Une nouvelle douche ne sera pas un luxe…

Echangeant un doux baiser, je m’éloigne, nue dans la pièce et il me suit du regard pendant que je retourne dans la salle de bain…

La nuit tombe, dans le creux du lit, je me blottis dans ses bras et lui ronronne des mots d’amour avant de plonger dans le sommeil…

Au petit-déjeuner… l’odeur et le bruit de la machine à café me réveillent doucement…

Les rayons du soleil passent à travers les persiennes mais la chaleur n’a pas disparu, malgré nos fenêtres ouvertes durant la nuit.

Une nouvelle journée commence, le travail, la maison… la routine. Heureusement le Week-end arrive et nous retrouverons nos 2 enfants rentrant de leur centre aéré.

Bien qu’ils m’aient manqué durant ces 2 dernières semaines, j’ai apprécié d’être seule avec mon chéri ; (au calme pour nous retrouver et s’aimer…).

Je suis impatiente de les revoir, nous aurons sans doute plein de choses à nous raconter.

Sam est déjà prêt à partir travailler. Comme chaque matin, il m’embrasse sur le front, me sert mon café et mon petit-déjeuner… Je me sens privilégiée et aimée par cet homme si merveilleux et attentionné… je l’aime.

Brisant le silence, il me souhaite une bonne journée… et m’annonce aussi notre départ semaine prochaine pour 2/3 jours chez ses parents à loccasion de l’anniversaire de son père (André), couplé à celui du mariage avec Geneviève.

Evènement attendu mais toujours un peu délicat pour moi, n’étant pas très à l’aise avec sa famille.

Sam m’explique que l’appel d’hier soir, était de sa sur Marion, pour le cadeau à faire… un cadeau en commun qui, comme chaque année devient plus compliqué à trouver…

De plus cette année, les chiffres sont sympathiques : 65 ans pour mon beau-père et déjà 40 ans de mariage pour lui et Geneviève son épouse.

Le ou les cadeaux devront donc être à la hauteur…

Pour l’occasion, ils ont prévu, dans la soirée, une petite fête et un barbecue convivial avec quelques voisins, amis et la famille…

Malgré mon angoisse de ne pas connaître tout le monde, je suis impatiente d’y être. Revoir tout le monde me fera du bien et cela fera aussi plaisir aux enfants comme aux grands-parents de se retrouver.

Nous pourrons même profiter de leur piscine, leur jardin et je sais que même si les discussions seront parfois animées, tout se passera dans la bonne humeur et la joie.

De plus, je me réjouis de profiter de ces 3 jours en campagne, quitter notre ville et son béton sinistre, pour un brin de nature paisible. J’ai hâte de pouvoir respirer un peu mieux même si la météo et les températures annoncées ne semblent pas fléchir pour les semaines à venir…

Le besoin de prendre l’air et le large, me motive et me rend heureuse…

Le week-end passant, les enfants surexcités de nous avoir retrouvés et de rentrer de leurs vacances en montagnes, nous partageons de nombreux fous rires, des photos et de bons moments en famille.

La semaine s’écoule tout aussi rapidement, Marion et Sam ont choisi pour le cadeau de mariage un stage découverte en montgolfière pour leur père et son épouse…(ou un accompagnant si sa peur du vide lempêche de le suivre).

De mon côté, avec le soutien du mari de Marion (Thierry), nous sommes nous en charge de trouver LE cadeau d’anniversaire… chose la plus délicate possible… puisqu’André a déjà tout ou presque tout… Pour finir nous optons pour un ensemble de vins de terroir en coffret et un livre sur les promenades en randonnées de sa région.

Le jour du départ arrivant… je prépare 4 sacs de sport pour quelques affaires de rechange, nos maillots de bain et quelques serviettes afin de nous équiper pour profiter de ces quelques jours auprès de ma belle-famille dans leur propriété de campagne.

Dans la voiture, les enfants chantent et sont ravis de les retrouver afin de profiter de la verdure des lieux et de la piscine qui sera leur attraction favorite pendant cette canicule.

Pour ma part, avec Sam, je compte profiter un peu du soleil et de leur jardin, peut-être même me baigner avec les enfants… Bref juste profiter de ce moment hors de la ville et de la pollution.

La campagne… son air… sa beauté…

Il ne me faut pas beaucoup pour apprécier ces paysages et me sentir bien…

André et Geneviève, nous accueillent avec bonheur, nos enfants leur faisant la fête comme lors de nos rencontres à Noël. Toute la famille se réunit et profite de cette journée d’été.

André et Thierry préparent les décorations, les tables et tonnelles dans le jardin pour le lendemain, pendant que mon Sam (le plus costaud des 3) coupe le bois pour le feu …

A l’ombre d’un frêne près de la piscine, Geneviève, Marion et moi discutons de l’organisation avec le traiteur et des autres plats à préparer… le tout accompagné des rires des enfants qui jouent au ballon ou se baignent.

Le soir, tout semble prêt, nous dînons simplement sur la terrasse, nous racontant nos vies tumultueuses dans nos métiers respectifs.

Après un dernier verre et un café, chacun s’en retourne pour une nuit bercée par les chants de grillons et le souffle d’une brise enfin rafraîchissante …

Le grand jour arrive, Sam et moi réveillons les enfants, et allons ensemble saluer et embrasser André pour son anniversaire…

Thierry, Marion et Hugo (Hugo : le fils de Thierry tout juste 18 ans d’une première union) font de même … mais nous gardons tous nos présents pour le grand soir…

La journée se passe plutôt vite… le matin les préparatifs de brochettes en cuisine, et l’après-midi plus détendue au bord de la piscine.

Geneviève, mamie gâteau, invite les enfants à l’accompagner pour des courses de dernière minute dans l’après-midi, escortée de Marion sa fille qui les conduit…

Je suis donc la seule femme à la maison pour une petite après-midi de détente……

Les hommes partant eux aussi de leur côté avec le voisin qui a préparé une surprise pour André à quelques kilomètres, je décide donc d’en profiter pour me mettre à l’aise et prendre un bain de soleil dans mon nouveau bikini noir tout en me relaxant au bord de la piscine…

Apres quelques brasses, je ressors et m’allonge sur un transat pour me sécher…

Le calme est apaisant, personne à l’horizon juste des champs agricoles, l’air est tiède et le silence règne dans la campagne luxuriante…

La piscine étant bordée de hautes haies, aucun voisin ne peut voir dans la propriété ou le vaste jardin… C’est donc, non sans un rapide coup d’il de précaution, que j’ose retirer le haut de mon maillot et glisse ma fine culotte entre mes fesses pour minimiser les traces de bronzage sur ma peau.

Ainsi quasiment nue, je me laisse bercer par le vent en regardant les nuages et pensant être totalement seule … je m’endors.

Quelques minutes plus tard, je suis réveillé en sursaut par le bruit d’un plongeon à côté de moi… quelques éclaboussures froides me touchent et me piquent la peau nue dans ma surprise.

Qui est là ??? Pensant être seule.

Je cherche rapidement une serviette pour me couvrir mais celle-ci se trouve à côté du bassin, à plus de 10 mètres de moi…

Me couvrant la poitrine avec mes bras, je découvre Hugo (le fils de Thierry) sortir la tête de l’eau… je ne l’avais pas vu revenir ou même partir.

Depuis combien est-il là ? Combien de temps m’a-t-il observé nue ???

Je m’interroge et je culpabilise qu’il m’ait vu ainsi …

Bien que très gênée, je l’appelle pour qu’il me rende ma serviette…

Mais celui-ci me sourit sans bouger dans le bassin, je me demande ce que cache son sourire et son petit regard plissé. (En moi je n’aime pas trop ce gosse, et m’interroge parfois comment ma belle-sur à accepter un homme divorcé et avec déjà un ado … bref c’est son choix).

Hugo, est un garçon très fin et peu musclé, mais plus grand que moi pour son âge…

Comme tous les garçons de son âge, il se trouve beau avec ses cheveux longs en bataille et sa barbe (ou devrais-je dire son duvet naissant) et ses quelques boutons.

Devant moi, bien que tout maigre il me dépasse de presque une tête, il se la raconte un peu et roule des mécaniques pensant être déjà un homme.

Dire que je pourrais être sa mère, je sens son regard sur moi, j’imagine ses hormones de jouvenceau qui le travaillent et cela me met encore plus mal à l’aise.

Me cachant du mieux possible, je lui réclame encore ma serviette et lui demande depuis combien de temps sont-ils revenus ?

Sa réponse me fait froid dans le dos : d’un ton naturel, ses yeux posés sur mon ventre et ma poitrine à demi cachée, il me répond qu’il est tout seul aussi et qu’il ne les a pas accompagnés de la journée.

Toujours gênée, j’attends qu’il approche avec ma serviette. Je ne lui réponds pas et tends mon bras pour saisir la serviette, mais au dernier instant, celui-ci recule en riant… « Raté » me dit-il, prenant cela pour un jeu.

En moi-même je sens la honte et la colère me gagner, durant presque 1 heure maintenant il a profité de mon innocence et ma nudité et maintenant il joue avec moi pour faire durer le plaisir.

Le regardant plus férocement, je lui réclame ma serviette et enfin il me la donne avant de replonger dans l’eau.

Rapidement je me couvre, récupère et remets mon maillot et l’observe en train de nager…

Après 5 minutes de trouble, la chaleur de l’été et le soleil ont raison de moi… Je transpire sur mon transat et fini par me décider de me baigner aussi pour me rafraîchir. Chacun dans un coin de la piscine, nous ne nous parlons pas et profitons simplement de l’eau nous regardant du coin de l’il.

Hugo, ne me quitte pas des yeux… il observe chacune de mes courbes, chacun de mes mouvements à travers l’eau translucide.

Puis voyant l’heure avancer je me décide à sortir pour aller me changer…

Marchant entre l’échelle et ma serviette sur les transats, je me sens épiée par son regard bleu transperçant.

« Estelle, tu peux te changer ici !!! » me lance Hugo…

Surprise, je ne lui réponds pas et continue de me sécher…

— Tu es très jolie tu sais, et puis j’ai déjà vu des femmes toutes nues aussi… tu peux te changer devant moi, je ne regarderais pas, et ça t’évitera de mouiller l’intérieur de la maison aussi.

L’arrogance d’Hugo me donne le frisson… ses arguments, et son appoint ne laisse aucun doute à sa perversité et son voyeurisme…

Dans ses yeux, je reconnais le même regard que Thierry lors de notre première rencontre avec Marion, tel un animal prédateur en quête de sa proie…

Il me faut quelques secondes avant de réagir avec le plus de calme possible… « Non, je te remercie, je vais aller m’habiller avant que les autres ne rentrent, tu devrais en faire autant… l’heure tourne et la soirée va bientôt commencer, il faut encore tout préparer ! » m’éloignant, je sens dans mon dos et sur mes hanches son regard déçu et sa frustration.

Dans ma tête, je m’interroge encore, quel petit morveux pervers me dis-je.

Mais bon, pourquoi en faire un esclandre, Marion et Thierry ne sont sans doute pas au courant et je ne suis pas là pour juger leur gamin au bord d’une piscine.

Il est 18h… les premiers voisins arrivent… La soirée festive va commencer…

Toute la famille est réunie, les enfants jouent encore dehors. L’incident (si je peux dire) avec Hugo est déjà oublié… entre le foot avec mes enfants et son portable il reste cordial, distant et neutre. (Tout à fait normal)

Sam à côté de moi me félicite de ma jolie robe d’été à fleurs avec mon petit décolleté qui me met si bien en valeur. Taquin, il pose sa main sur ma taille et m’embrasse dans le cou pour me faire frissonner… nous rions et trinquons tous ensemble… la soirée se passe bien…

Louise et Robert, les voisins et amis d’André et Geneviève sont présents et sont fort sympathiques. Anciens employés communaux, ils profitent de leurs retraites tout en partageant leur savoir dans quelques associations locales…

Louise, à 69 ans, est malheureusement atteinte d’un cancer et reste souvent à la maison pour se reposer et se soigner. Robert, 71ans, s’occupe d’elle et de son jardin lorsqu’il n’encadre pas des jeunes à la piscine (son ancien métier).

Tous deux, sont élégants et courtois, on devine leur complicité et leur attachement l’un a l’autre, même si André nous a un jour avoué que Robert aurait eu par le passé plusieurs aventures dans les vestiaires de la piscine avec des jeunes filles à l’insu de sa femme.

Bref une époque qui semble révolue aujourd’hui car il s’occupe de son épouse en fin de vie et semble plus attentionné que jamais dans cette dure épreuve.

La soirée bat son plein… Les coupes de champagne et les bouteilles de vin se vident autour du barbecue, tout le monde plaisante et s’amuse…

André, ayant mis une musique d’ambiance, invite les gens à danser avant le repas.

Tous participent, et je passe de bras en bras tout en riant et buvant…

Le buffet-repas fini, nous attaquons le grand cérémonial des cadeaux…

Emus aux larmes, Geneviève et André nous remercient tous chaleureusement et apprécient nos présents qui pour certains d’entre eux sont des rêves de jeunesse pour le couple.

Louise, logiquement fatiguée de la chaleur (ou par son traitement) nous remercie aussi et souhaite prendre congé de la soirée pour aller se coucher, laissant Robert seul avec nous.

Nos enfants jouent dans le jardin en attendant le dessert… et entre adultes nous parlons politique, santé et autres sujets un peu ennuyeux mais classiques lorsque l’on se retrouve entre nous.

Marion et Thierry, danse encore sur la terrasse, très complices, je donne un coup de pied à Sam pour lui signifier que j’aimerais danser aussi comme eux. Et me sortir des discussions routinières et assommantes.

Le sourire aux lèvres, nous nous levons et profitons à notre tour de la musique…

Les mains de Sam sur mes hanches, je me serre tendrement à lui, je me sens bien, malgré l’alcool qui me tourne la tête et la chaleur encore pesante qui nous fatigue.

La musique est douce… on se laisse porter par les rythmes et parfois nous changeons de partenaires…

Dans les bras de Thierry, je me sens plus petite malgré mes escarpins de 6 cm de haut… Un peu gênée de ses mains sur mes reins et mon dos, je me laisse guider tout en regardant Sam avec sa sur à côté de nous……

Thierry, gentleman et bon danseur, me fait danser sur des rythmes rapides et parfois assez intenses. Plus que Sam ne puisse le faire, il me fait tourner et me déhancher selon la musique, ma robe allant dans tous les sens en dévoilant parfois mes jambes blanches et nues, ses mains expertes sont fines et fortes à la fois, et selon la danse il ose parfois descendre plus bas que nécessaire pour me coller contre lui. Bien que troublée, je me laisse faire et apprécie son expérience de danseur sans me soucier de son regard plongé dans mon décolleté qui malgré moi s’entrouvre progressivement.

Comme il le sait, depuis des années, j’aime la danse et il en profite un peu… ce que Sam ne peut faire à cause d’un genou abîmé… bref nous passons un très bon moment et revenons à table essoufflés et transpirants.

Le dessert arrive enfin… tartes, glaces, le pâtissier-traiteur a fait des merveilles et les gâteaux sont aussi beaux que bons. Les enfants se resservent 3 fois au moins et je suis contrainte de les freiner pour ne pas qu’ils se rendent malades…

Vers 22h30, fatigués de la folle journée et la chaleur, les enfants vont au lit… (sauf Hugo) et ma belle-mère qui est complètement ivre sur le canapé commence aussi à piquer du nez…

Avec l’aide de Thierry, Sam emporte sa mère dans sa chambre pour l’aider à se coucher. Marion et moi nous occupant de Léo et Léa (mes enfants) pour la toilette du soir avant une nuit de repos et pleins de beaux rêves.

Sur la terrasse, ne reste que Hugo (dans un fauteuil à jouer sur son portable) André et Robert qui fument un cigare cubain pestilentiel, Marion, Thierry et moi avec Sam.

Nous parlons tous autour de la table, en riant et buvant…

L’alcool tourne les têtes et les esprits s’échauffent un peu…

Puis vient le moment ou André, propose de jouer aux cartes… mais pour que la fête soit réussie, il propose de jouer à un jeu facile : celui des 1001 cartes.

Sam et Marion sourient en se regardant, car c’est un jeu très connu de leurs enfances car il est fait de défis, de rires et de surprises…

En effet, le jeu est un mélange entre un jeu de cartes surdimensionné, un jeu de bataille et un « action ou vérité »…

Les règles sont simples : Dans le tas de cartes mélangé, chacun notre tour, on tire une carte. Celui qui a le plus faible score perd et reçoit un défi, un gage ou une vérité à relever et celui qui a le plus haut score décide de la sentence avec l’accord du groupe.

N’y connaissant rien, Robert, Thierry et moi nous interrogeons mais Sam nous rassure sur le principe et nous y adhérons.

Sur la table, André dépose fièrement une montagne de cartes à jouer… il doit y avoir pas moins de 15 ou 20 paquets complets de 52 cartes, toutes différentes et toutes mélangées… « Le jeu porte bien son nom… »me dis-je…

Tous un peu ivres et fatigués, nous commençons tranquillement, laissant l’excitation grisante du jeu nous gagner.

André commence le tour de table… et gagne la première manche…

C’est Thierry qui perd et doit resservir à boire a tout le monde a la manière d’un groom du siècle dernier …

Le jeu avance de plus en plus… l’heure et notre taux d’alcoolémie aussi… et les gages sont de plus en plus idiots voire même coquins.

Hugo participe aussi mais ne perd ou ne gagne que rarement…

Marion a été la première à devoir danser sur la table en montrant l’élastique de son string et aussi faire tomber son chemisier pour dévoiler sa peau et ses monts. Pour ma part, j’ai dû faire des imitations d’animaux, danser lascivement et courir pieds nus dans le jardin… Sam, lui, a été contraint de boire encore plus et plonger dans la piscine tout habillé ou encore chanter le nez pincé.

Bref tout le monde plaisante et se taquine dans un chaos dérivant.

Mais le jeu prend un nouvel élan lorsqu’Hugo perd son tour…

Robert, lui demande alors s’il a déjà vu une femme nue ou s’il a une copine en ce moment…

Hugo un peu gêné au début ne répond pas, puis affirme que « oui » à la plus grande surprise de l’assemblée tout en me lançant un regard pervers, et il ajoute… « Pas plus tard que cette après-midi »…

Tous riant aux éclats, certains lui demandent comment cela est-ce possible ? ou s’il a des preuves ? Mais Hugo ne dit rien et continue de me regarder, avant de lâcher que c’était juste sur internet…

Nous rions de la situation bien que quelques sueurs froides me parcourent le dos.

Le jeu avance encore, il est 23h30 et l’alcool commence à avoir raison de nos esprits de plus en plus délurés et taquins.

Sam perd son tour et Marion lui impose de raconter sa première fois…

Nous rions tous de la réponse et vient la vengeance de Sam sur Marion.

Celle-ci doit raconter sa position sexuelle préférée et ce qu’elle aime le moins.

D’abord outrée et gênée (devant Hugo qui l’écoute avec attention), elle répond la levrette et la sodomie… (un point commun avec moi qui affection la position mais déteste aussi la douleur).

Robert et André sourient et ont les yeux qui brillent comme des enfants par nos réponses intimes.

Le tour suivant je perds et c’est André qui choisit mon défi…

Vu la tournure des propos, j’appréhende déjà… et la sentence tombe… plonger dans la piscine tout habillée.

Je m’exécute et en ressort trempée, la robe collant à la peau, mes formes se dessinent et mes seins pointent à travers le fin tissu mouillé devant les spectateurs qui applaudissent mon courage.

Robert, saisissant l’occasion, se lève et se présente face à moi avec une serviette…

— Prenez cela, vous allez attraper froid comme cela !

Trempée de la tête aux pieds ma robe pâle laisse parfaitement apercevoir ma culotte et mon soutien-gorge noir par transparence, et Robert admire ma peau claire avant de m’enlacer et me frotter dans le coton sec et tiède…

André gagne son tour… et maintenant il envoie Robert à la flotte…

Robert, s’exécute aussi, mais moins timide et pudique que moi, il retire tous ces vêtements pour ne pas les mouiller et plonge directement et avec l’élégance d’un nageur professionnel …

Marion et moi, sommes subjuguées par son physique encore svelte et athlétique pour son âge. Son torse légèrement velu et gris, son ventre plat et ses jambes musclés… Son sexe bien que court est en harmonie avec le reste du corps… c’est un bel homme.

Sortant de l’eau, il se sèche devant tout le monde, sans la moindre gêne de ses attributs et nous rejoint la serviette nouée à la taille pour la suite du jeu de cartes…

Durant 15 minutes encore les gages et défis s’enchaînent… tous plus tordus les uns que les autres… mêlant danses, photographies coquines (sur les genoux d’André pour moi ou sur ceux de Thierry pour Robert), des vérités plus ou moins intimes et quelques petits stripteases (j’en ai d’ailleurs perdu mon Soutien-gorge) et mains baladeuses.

Sam ne supportant plus l’alcool et au bord du coma s’est retiré pour vomir et s’endormir sur un transat à côté de la piscine…

A présent nous sommes tous ou presque tous à demi-nus. Seule ma robe humide A demi ouverte me couvre la poitrine et Marion ne porte que son short et son soutien-gorge à côté de moi.

Les garçons, tous torse nu ou en caleçon ne sont pas mieux que nous, et Robert, jetant sa serviette sur le sol, propose une pause et un bain de minuit pour nous rafraîchir les idées et le corps.

Thierry entraînant Marion par la main, la propulse dans l’eau alors qu’elle résiste, supplie et qu’elle est encore habillée… Moi, suivant le mouvement, reste hésitante sur le bord du bassin mais subitement, je sens derrière moi la présence d’Hugo qui se faufile et me pousse aussi dans l’eau en riant. Thierry saute nu directement et nous voici toutes et tous dans la piscine à barboter comme des enfants turbulents. Nos âges n’étant plus un frein à la discipline ou la pudeur.

André et Robert se chamaillent et nagent derrière nous. Je sens des mains me toucher, m’effleurer, me saisir les jambes et les chevilles, les épaules et les hanches puis plus rien…

Marion hurle lorsque des mains la saisissent et lui arrachent son short et son soutien-gorge…

Hugo essaie de fuir devant Thierry qui le poursuit.

André et Robert m’encerclent dans un coin de la piscine en riant…

— Alors, tu la retires ta robe ??? Ou on te l’enlève ? Tu es presque la dernière à avoir des fringues… tu n’y échapperas pas

N’ayant pas de choix et aucune possibilité de fuir, je retire ma robe difficilement et reste seins nus face à eux. Honteuse et timide, je cherche à me cacher par pudeur mais cela n’a d’effet que de les faire rire.

Thierry toujours après Hugo, éclate de rire lorsqu’il sort triomphant de l’eau le caleçon du jeune homme…

1 de plus totalement nue dans l’eau…

André, riant, se défait lui-même de son short avant que quelqu’un d’autre ne s’en charge et se dénude à son tour nu.

Robert, lui, toujours en face de moi me fixe d’un regard sombre et ténébreux… « Alors ma petite, et le reste ??? » me lance-t-il…

Je comprends sans un mot de plus ce qu’il veut et avant que je ne puisse bouger, je sens sa main attraper ma culotte et tirer dessus pour me l’arracher.

En 3 minutes seulement, tout le monde à jeter ses vêtements sur le bord et nous sommes toutes et tous intégralement nus ensemble dans l’eau claire.

Par chance la nuit et l’obscurité cachent un peu les formes et l’eau dissimule les corps. Mais les hommes tournent autour de nous tels des requins affamés.

Je regarde Marion, ivre et coquine, qui s’amuse dans les bras de Thierry. Depuis le bord du bassin, André et Robert observent et profitent de la scène et sa jolie poitrine sursautant dans les vagues …

Puis Hugo qui cherche à se cacher par pudeur me rejoint dans un coin et nous n’osons plus bouger.

Ses yeux sur moi sont insistants, perçant, la lumière dans l’eau lui laissant voir mes seins ronds et mon ventre blanc… il se régale de notre proximité et je perçois un début d’érections sur lui.

André et Robert sortant de l’eau, nous invitent à les rejoindre pour finir la soirée.

Me précipitant vers l’échelle du bassin je sens la main de Thierry passer sur mon ventre pendant qu’Hugo me touche furtivement une fesse.

Une fois dehors, je m’enveloppe dans une serviette et me dirige vers la maison pour me réchauffer … Marion et Thierry sortent également et se moquent de Hugo qui cache maladroitement son érection.

Durant quelques minutes il est la victime de nos plaisanteries mais ne s’enfuit pas et reste avec le groupe.

Tous réunis autour de la table, enroulés dans nos serviettes, nous reprenons du vin et le cours du jeu …

André, Robert et Thierry proposent de changer les règles afin qu’Hugo ne soit pas la cible de trop de moqueries et que chacun soit plus détendu pour la suite de la soirée.

L’alcool coule à flots et j’ai mal à la tête avec les rires, les défis et le jeu de cartes qui ne semble ne plus finir.

Nouveau tirage de carte, je perds et Robert gagne… mon défi bien que soft est de danser avec lui …

Délicatement, je me laisse guider et nous dansons collés l’un contre l’autre, ses grandes mains parcourant mon dos et le haut de mes reins, je sens son souffle sur mes épaules et son regard pétillant sur ma nuque… d’un geste habille, il fait tomber nos serviettes au sol et nous apparaissons nus pour finir la danse sous les applaudissements des autres convives hilares et sifflants.

Puis viens la défaite de Marion qui doit danser avec son père… mais la tournure évolue… son père se plaçant derrière elle, retire directement la serviette et l’expose nue à nos yeux. Surprise et cherchant d’abord à se cacher, Marion tente de résister mais son père prétextant sa fête d’anniversaire l’a fait céder et expose sa fine toison, ses fesses, sa poitrine menue et son ventre glabre qui nous éblouit de beauté. André, l’expose habillement, la faisant chalouper en tenant ses hanches ou lui serrant carrément un sein devant le regard méduser de Thierry et de Hugo (au garde-à-vous).

Pour se venger, quelques tours plus tard, elle impose à Robert et André de faire le tour de la maison en courant (toujours nus)…

Hugo qui gagne face à moi, impose que je retire aussi ma serviette et reste durant la suite du jeu les seins nus et libres devant tous les convives qui approuvent son choix.

Palissant de honte, mais trop alcoolisée pour refuser, je retire l’étoffe et prends sur moi la honte que je subis…

Le tour suivant c’est Marion qui doit quitter sa serviette et rester la poitrine visible sous le regard pétillant des hommes en chaleur.

Hugo immortalise la scène avec son téléphone, et son père applaudit son courage malsain.

Le tour suivant c’est André qui perd et doit danser une lambada avec Robert…

Nous rions de leur déhanché et de la situation comique.

Thierry, lui, doit répondre à des questions plus intimes les unes que les autres.

Puis vient à nouveau mon tour… face à Thierry…

Mon défi est à nouveau la danse. Mais cette fois il cède sa place à Marion comme partenaire pour profiter d’une vision saphique de nos corps.

La situation est difficile et à la fois érotique, tous les hommes nous fixant de leurs yeux, observant chacune de nos courbes se mouvoir sur la musique romantique. Nos poitrines et nos ventres se frôlant et nos mains se tenant avec une certaine pudeur et légèreté…

Robert, s’adressant à Hugo parle à voix basse mais je devine qu’il lui demande une copie des photos de son smartphone pour un souvenir personnel. Hugo sourit et promet d’en faire des copies à tout le monde… (Sale pervers ce gosse)

Il est presque 1h du matin… je suis épuisée et tout le monde semble totalement désinhibé par l’alcool que l’on nous sert en quantité…

André et Robert continuent le jeu et tentent des choses de plus en plus osées

Marion devant danser avec Hugo, ou s’asseoir sur les genoux de son père…

Thierry qui devant me faire des massages softs, ose parcourir mon dos mais glisse rapidement sur ma poitrine et me pince les seins pour les durcir et tendre mes tétons…

Hugo, André et Marion recevant même une fessée cul nu sur les genoux de Robert déguisé en maître d’école.

L’ambiance s’électrise doucement… mon corps réagit malgré moi à un certain stimulus et mon ventre frissonne de tant de sensations perverses et intimes.

Encore une fois, je joue et perds face à Hugo… son regard vicieux réapparaît et je m’inquiète sérieusement de la situation… Robert glisse furtivement un mot son oreille et je vois le sourire de ce dernier éclairer son visage juvénile avant de me demander de lui faire découvrir la douceur d’une fellation…

Je refuse catégoriquement mais subis immédiatement les foudres du groupe qui semble prêt à aller plus loin que la morale…

Restant sur ma position, Robert, propose alors que le petit Hugo puisse voir ma chatte et que je dois ouvrir les cuisses afin de parfaire son éducation d’adolescent…

Partager par la honte et l’humiliation, j’ouvre mes jambes doucement et le laisse observer ma vulve et mon sexe dont ma toison finement taillée n’est qu’un rempart de pacotille à ses yeux émerveillés.

Le tour de Marion s’enchaîne et à son tour doit dévoiler son intimité aux hommes surexcités…

André et Thierry présentent une douce érection, et la jeune queue de Hugo gonfle presque autant que celle de ses congénères masculins a ses côtés… Seul Robert ne bande pas parmi ce levé de drapeaux masculin…

André perd son tour et doit répondre à une question intime sur un de ses fantasmes, jetant même un trouble dans l’assistance.

Thierry joue aussi et pour calmer les esprits, envoi Hugo dans la piscine après 2 tours du jardin.

Mon tour arrive et déjà les yeux se fixent sur moi… Robert gagne et choisit mon défi…

M’asseoir, jambes ouvertes, sur les genoux de Thierry…

Comment réaliser cela ? Soit de face et lui mettre ma poitrine sous le nez, soit de dos et montrer mon sexe a tout le monde pendant qu’il se colle à mes fesses…

Cherchant le regard de Marion, un soutien féministe ou son accord… je ne trouve que son encouragement à me placer de face sur son mari.

Doucement, péniblement, je m’avance et m’assois sur lui… mes seins à hauteur de son visage et mes bras autour de son cou… mon ventre contre le sien… je sens sous moi son érection glisser vers mon sexe et son regard puissant sur ma peau qui me fait frissonner.

J’ai même l’impression qu’il cherche à entrer en moi à l’aide de petites impulsions de ses cuisses… ses mains dans mon dos et sur mes fesses me maintenant contre lui le temps que tout le monde valide le défi.

Marion ivre et hilare, chante toute seule, et lorsque vient son tour, la punition est terrible…

Sur les 4 hommes, seul Robert ne bande toujours pas, et son défi est de l’exciter afin qu’il ne soit pas mis à part…

Thierry lui tenant la main et la rassurant par le jeu, l’invite à faire de son mieux… et c’est devant nos yeux stupéfaits que de la main de Marion saisit le chibre du vieil homme et le masturbe doucement avant de frotter la pointe de ses seins dessus et lui adresser de petite bise sur le sommet du gland…

Robert, aux anges, ne dissimule pas son plaisir et nous constatons tous la rapidité et l’efficacité du massage érotique de Marion…

En 3 minutes seulement, Robert nous présente une queue digne de sa carrure, veineuse et solide, de beau calibre et qui ne demande qu’à jouir de la caresse des doigts experts qui l’entourent.

Thierry perd à son tour, et doit danser nu devant nous tous…

Je remarque que les hommes ont plus de défis intellectuels que physique… répondant davantage à des questions intimes que nous les femmes.

Hugo perd son tour… et doit répondre à une question dAndré : « veux-tu perdre ta virginité : es-tu toujours puceau ? » la réponse positive donne le sourire aux hommes autant qu’elle efface celui des femmes.

Robert perd à son tour et doit masturber Thierry sous les ordres dAndré…

Mon tour arrive… j’angoisse… la carte à la main, je regarde avec effrois un 3 de carreaux et évidemment je perds… devant moi Hugo se présente fièrement la bite à l’air pensant être le gagnant avec son roi de pique… mais coup de théâtre, c’est André qui pioche un as et lui souffle la victoire…

D’un commun accord, André m’impose un double défi…

Soit il laisse le jeune Hugo gagner et réclamer son gain (que j’imagine très pervers)

Soit je me place assise sur lui en guise de cadeau d’anniversaire…

Le choix est horrible soit me faire toucher par mon neveu sadique soit par mon beau-père lubrique.

Le silence pèse lourdement sur la terrasse… mais je choisis de m’asseoir sur André…

Celui-ci jubile de mon choix et se positionne sur sa chaise… doucement je descends sur lui, et il en profite pour embrasser et tenir mes seins devant son visage…

Une main dans mon dos me caresse, son souffle me fait frissonner.

Mais le pire arrive lorsque mes cuisses et mon ventre arrivent à son contact : son sexe bandé pointe à l’entrée de mon intimité humide… je n’ose plus bouger sentant son gland en contact contre mes douces lèvres…

André me fixe du regard et semble déçu de ne pas me voir poursuivre ma progression… mais Robert à côté, me tape la fesse en rigolant et m’ordonne de poursuivre mon assise pour valider mon défi…

Péniblement je cède… laissant André entrer dans le velours de mon vagin qui s’ouvre sans effort… Inconsciente et involontaire, je laisse échapper un petit soupir et cela est vite interprété pour du plaisir…

André, tout souriant, bouge un peu le bassin et se glisse un peu plus loin en moi… laissant son large membre ouvrir mes chairs à la vue de tous. Tremblante, je ne bouge pas, ressentant les regards des autres complices dans mon dos autant que la verge présente dans mon ventre. Je pense à Sam, profondément endormi et ignorant tout dehors.

Revenant à ma place, je suis comme un boxeur sonné… Mon Dieu quai-je fait ??? Je suis mortifiée… Humiliée…

Marion gagne le tour suivant… et Thierry perd… devant nous il doit branler Robert comme celui-ci l’avait fait pour lui auparavant.

Tour suivant Marion perd et Thierry gagne… il se venge en lui demandant une gâterie sans les mains, qu’elle accepte même si le spectacle est malsain devant nous tous et surtout le jeune Hugo.

La soirée tourne doucement à l’orgie et l’alcool nous fait perdre toute notion du temps et des règles de bien séances…

André et Robert s’embrassent, Marion doit embrasser Hugo avec la langue… Hugo me masse les seins. Thierry jubile de voir la tournure de la soirée réalisant une partie de ses plus vils fantasmes.

6 de trèfle, je me sens en danger et Hugo en face de moi tire un as et gagne le tour.

Son regard sur ma poitrine et sur mon sexe ne laisse pas de place au doute…

Sa demande ne se fait pas attendre et il demande que je vienne aussi m’asseoir sur lui…

Refusant encore, il me demande alors une fellation en contrepartie…

Regardant Marion dans les bras de Robert et caressée par Thierry, je vois que je n’obtiendrais aucun soutien de leur part et je me résous à choisir le premier ordre…

Hugo très excité, la queue fine et longue dressée devant moi, s’installe sur sa chaise pour m’accueillir… mais au moment où j’ouvre mes jambes pour m’asseoir André interrompt la scène et réclame que je me retourne pour montrer à tout le monde le défi…

Troublée et humiliée, reprenant vite un verre de vin pour me donner du courage, je me retourne et pose mes fesses directement sur le jeune garçon… l’empêchant de s’ajuster et pour le coincer…

Hugo frustré et surpris, réclame pour préjudice sa queue coincée entre mes fesses et son ventre, m’attrape alors les seins, les tire et les pince à me faire grimacer de douleur… André, m’ordonne alors de recommencer et de ne pas faire mal au petit…

Me relevant alors, je vois Hugo tenir sa bite droite, son gland saillant et gonflé de désir, pendant ma descente et posant une main sur ma hanche, il me guide afin que volontairement je l’accueille en moi.

Doucement, délicatement, je le sens s’introduire… il est fin, doux et chaud…

Son sexe me pénètre, guidé par sa main et je me laisse remplir par son jeune membre jusqu’au fond de mon ventre.

Assise sur lui et tremblante, ma fente ouverte et pleine, je sens Hugo fortement respirer derrière moi, heureux de me posséder…

Les yeux fermés, je sens la honte monter en moi, autant que le désir naître dans mes reins…

André et Robert félicitent le puceau (qui ne l’est plus) et l’encouragent encore à profiter du moment…

Hugo derrière moi, me reprend un sein et me tient la hanche, imprimant de petits va-et-vient pour me faire sentir sa queue et sa puissance sur mon corps vaincu.

La soirée dérive doucement. André et Robert félicitent le jeune Hugo et proposent d’arrêter le jeu pour plus de calme et d’intimité.

Marion et moi devenant leur unique centre d’intérêt… nous sommes resservies en alcool et invitées à nous détendre avec eux dans le salon…

Rapidement, le jeu des 1001 cartes laisse place à celui des défis …

Marion devant m’embrasser, moi devant caresser sa poitrine ou son ventre. Nous ne réalisons plus ce que nous faisons réellement…

Je cherche Sam du regard, mais ne vois que son ombre inerte allongée sur un transat dehors à côté du tas de linges de nos vêtements formé lors du bain de minuit…

Thierry et André se masturbent mutuellement lorsque Robert caresse le dos et écarte les fesses de Marion qui s’applique à lui faire une fellation.

Puis Hugo, s’ennuyant un peu dans un coin, propose des jeux plus actuels (soi-disant vu sur internet) : il ordonne à sa mère (belle-mère) de s’asseoir sur la queue dAndr&ea

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