UNE ÉPOUSE PRESQUE FIDÈLE

ÉBATS TORRIDES (2)

LIOUBOV

Jessica quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre. Il me semble lui avoir dit que je désire goûter à la douceur de ses lèvres sur mon vieux gland Elle sempare de ma verge en semi-érection et commence à la lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que jai très développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de filmer, elle pousse le souci du détail jusquà relever fréquemment ses cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement quelle procure à ma vieille bite !

Au bout dune minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à lentrée de mon urètre. Je sais ce quelle va faire : nous en avions déjà parlé. Cest pourquoi je ne suis pas surpris lorsquelle dépose de la salive sur son auriculaire et commence à le faire glisser sur lextrémité de mon gland, tournant autour du méat pour sen rapprocher de plus en plus. Elle appuie un peu à lentrée, et son doigt disparaît dans mon urètre jusquà la première phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je commence à pousser des gémissements de plaisir.

Tu marrêtes si je te fais mal

Non : continue ; plus loin ! Continue : cest bon Force ! Naie pas peur.

Jessica maintient fermement ma verge entre ses doigts, juste derrière mon gland que je vois se déformer tandis quelle appuie de plus en plus fort. Sur mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à ses lèvres lorsquelle se redresse pour contempler ce quelle me fait subir. Cest vrai quelle semble très intéressée par ce quelle me fait subir ; quelle est belle ainsi, en pleine dépravation

Vas-y, naie pas peur : je nai pas mal.

Elle enserre fortement ma verge dans sa main et appuie encore plus fort ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé

Oh, oui, cest bon Ah oui !

Mon urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Jessica force encore, mais ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation. Elle nessaie pas daller plus loin, craignant de me déchirer. Mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à lintérieur de moi, en me branlant de lextérieur avec son autre main, tout en surveillant lexpression de mon visage sous cette délicieuse torture. Elle sourit et se mord les lèvres en regardant la progression de son doigt, quelle fait maintenant coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait

Pour moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en étant caressé de lintérieur, où Jessica découvre des zones extrêmement érogènes. Et puis cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me serrant le gland lorsquelle remonte. Le plaisir est immense, et la douleur tout autant ; mais lune et lautre sensation se mêlent en un cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter Non, ce nest pas ainsi que je veux jouir.

Ta bouche, maintenant.

Sans la moindre hésitation, Jessica se penche pour emboucher mon gland. Elle laspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais pas tarder à jouir ; ses mouvements saccélèrent, mais je tiens à faire durer le plaisir.

Aspire-moi le gland

Mobéissant instantanément, elle diminue lamplitude de ses mouvements pour les concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa bouche ; lorsquelle la à lintérieur, elle resserre ses lèvres gourmandes juste derrière la couronne, zone extrêmement sensible chez moi.

Ah, comme cest bon

Elle continue de me téter le gland en menvoyant des regards coquins

On mettra la vidéo sur Xstory ?

Ah non !

Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Elle recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses délicates.

Tu sais, ce nest pas la peine daller vite : vas-y doucement ; jaime bien, aussi.

Obéissante, Jessica lest, assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit la soulager, car ça fait une dizaine de minutes quelle me suce sans discontinuer !

Oui Oui ! Humm Humm Oui ! Oui !

Mes yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gros gland décalotté qui disparaît par à-coups entre les lèvres de Jessica Je sens la pression monter Elle me sourit chaque fois quelle laisse mon gland sortir de sa bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant pendant quelle me branle. Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle me branle à présent en faisant virevolter sa langue autour de mon gland. Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant des regards incendiaires ? Quelle salope ! (Dans ma bouche, cest un compliment)

Je commence à souffler comme une vieille locomotive à vapeur ; la jouissance approche Mes halètements se font de plus en plus rapprochés. Jessica prend alors ma verge en la serrant fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements rotatifs sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément dintérêt Jémets des gémissements incontrôlables, entrecoupés de halètements irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland Elle mamène tout doucement aux portes de la jouissance Ses lèvres se resserrent autour de mon gland pour laspirer avec une puissance incroyable

Oh Oh Oh !

Ma jouissance est toute proche. Je vois du sperme qui sécoule de mon gland violacé à cinq ou six reprises ; Jessica en prend une giclée sur le nez Mais le véritable orgasme nest pas encore là. Elle continue de me triturer le gland pendant une quinzaine de secondes avant que lorgasme me submerge. Mes cris de plaisir se transforment en véritables hurlements ! Jessica narrête pas pour autant de me manipuler le gland : je lavais bien briefée au cours de nos correspondances enflammées ; elle savait donc ce quelle devait faire pour mamener jusquà cette explosion démentielle. Mais elle improvise pour augmenter encore si cest possible mon plaisir : pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les bourses ! Un flash méblouit ; je perds presque conscience Puis la tension qui mavait envahi sapaise ; je flotte dans un bien-être total Jessica revient vers moi pour sallonger sous la couette. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.

(En regardant après coup cette séquence vidéo, jai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels)

JESSICA

Jouvre les couvertures et me glisse vers sa verge, que je découvre enfin : totalement épilée, et circoncise. Exactement comme je les aime ! Sans la toucher avec mes mains, je la lèche doucement sur toute sa longueur. Lioubov attrape son iPhone et commence à filmer.

Le coquin, il sait que jaime ça ! Il veut voir une chienne ? Il va être servi ! Son pied, moi, je vais le lui faire prendre comme on na jamais osé !

Sa verge vibre sous les caresses de ma langue. Jaspire délicatement son gland entre mes lèvres et commence à le tétouiller, tandis que la pointe de ma langue taquine son frein. Je suis excitée par le désir brûlant qui envahit ses yeux qui mobservent.

Jabsorbe lentement sa verge dans les profondeurs de ma bouche, puis je me concentre uniquement sur son gland, que je suce puissamment. Ensuite, jabsorbe vivement sa verge toute entière dans ma bouche. Je lentends gémir : il aime ça ! Je continue ce traitement pendant quelques secondes en alternant avec des caresses de la main, le pouce courtisant son frein. Je peux ainsi en profiter pour guetter sur son visage la progression de son plaisir.

Sa petite verge me rappelle celles des deux puceaux de 13 ans qui étaient passés sous ma langue de jeune fille de 17 ans. Je la lèche sur toute sa longueur. Elle est délicieuse. Je pourrais la sucer pendant des heures. Mais Lioubov apprécie un plaisir bien différent de celui que peut fournir une simple fellation : un plaisir que je nai encore jamais donné de ma vie, et que jai très envie de lui offrir.

Je lèche et suce son gland en veillant à y déposer une grande quantité de salive. Je lèche lorifice de son urètre, qui souvre sous la pointe de ma langue. Je le titille de lintérieur. Jaimerais pouvoir rendre ma langue encore plus fine pour le pénétrer profondément. Je mouille mon auriculaire et le caresse avec ce doigt ; je suis surprise de le voir aussi dilaté. Jy insère lentement mon doigt jusquà la première phalange. Cest vraiment très serré, doux et brûlant. Je mamuse à le ressortir et le réinsérer doucement plusieurs fois. Lioubov pousse des gémissements. Je lui souris, ravie de découvrir cela et de lui donner ce plaisir.

Tu marrêtes si je te fais mal

Jai peur de le griffer avec mon ongle.

Non : continue ; plus loin ! Continue : cest bon Force ! Naie pas peur.

Je maintiens fermement sa verge dans ma main gauche et pousse. Le pauvre gland se déforme sous mes yeux. Lioubov me conseille de mettre plus de salive. Je fais alors couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt que je mouille avant. La première phalange y glisse sans soucis.

Vas-y, naie pas peur : je nai pas mal.

Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre, et je sens de petites aspérités, comme le point G dune femme.

Oh, oui, cest bon Ah, oui !

Je réussis à enfoncer deux phalanges, mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de lintérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à sengourdir. Je titille les petites aspérités. Je maperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en redéfinit les contours de lintérieur. Je branle sa queue de lextérieur. Cest une bien étrange sensation que je découvre, de pouvoir le caresser de lintérieur et de lextérieur simultanément. Je sens ma main sur mon auriculaire : je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse quelle ne paraît.

Jai envie denfoncer encore plus loin mon doigt dans son urètre pour continuer mon exploration. Sil a pu y insérer quelque chose daussi épais que son index, alors mon auriculaire devrait pouvoir y glisser ! Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et commence un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de lenfoncer plus profondément. Lioubov gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt ; javais bien deviné quil sagissait de son point G.

Toutefois, il mavait dit éprouver du plaisir plus profondément encore. Lidée se sortir les petits instruments que jai apportés avec moi pour expérimenter cette exploration simpose à moi. Il sagit dune aiguille à tricoter et dun crochet. Javais pensé insérer dabord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. Jaurais ainsi eu le plaisir de pénétrer un homme sans avoir à toucher son petit trou. Je souhaitais faire la même chose avec laiguille, mais plus profondément encore, afin datteindre un endroit qui procure un intense plaisir, que Lioubov mavait dit avoir à une quinzaine de centimètres de profondeur, soit à la base même de sa verge.

Je retire lentement mon doigt engourdi de son sexe pour le lui proposer.

Ta bouche, maintenant ! réclame-t-il.

Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que jaspire très fort tout en le branlant. Puis jalterne en absorbant vivement sa verge toute entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. Jadore cela : on ne me résiste pas !

Aspire-moi le gland

Je prends lintéressé entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille doucement en regardant Lioubov qui filme toujours. Il est visiblement très intéressé par le spectacle que je lui offre. Je mapplique de plus belle Aspirant fortement son gros gland circoncis, mes lèvres se referment juste derrière la couronne, tandis que la pointe de ma langue fait des va-et-vient sur son frein.

Ah, comme cest bon

Je continue ainsi en regardant son plaisir inonder ses yeux.

On mettra la vidéo sur Xstory ?

Ah non !

Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Je recommence à absorber entièrement sa verge en aspirant fortement son gland comme je le faisais précédemment. Jalterne avec des aspirations moins longues et moins fortes.

Tu sais, ce nest pas la peine daller vite : vas-y doucement ; jaime bien, aussi.

Sa verge est si délicieuse que je ne métais pas rendu compte que jétais en train de la lui dévorer. Ma gourmandise me fait sourire. Jadoucis la pression de ma langue et les mouvements sur sa verge.

Oui Oui ! Humm Humm Oui ! Oui !

Lextase se lit sur son visage ; son orgasme est très proche. Sa verge est bien raide entre mes petits doigts et prête à exploser, mais je ne veux pas quil jouisse tant que je ne lai pas décidé.

Je mamuse à absorber vivement et entièrement par à-coups ce membre engorgé entre mes lèvres. Jalterne en léchant son gland tout en le branlant. Je lui souris en surveillant sa jouissance sur ses traits fins et délicats. Je mapprête à comprimer son point de non-retour lorsquil jouira. Ainsi, un violent orgasme semparera de lui sans quil ait éjaculé. Je pourrai lui donner ce plaisir plusieurs fois, jusquà ce que je désire quil me donne enfin son sperme.

Il commence à haleter fortement : sa jouissance est proche. Je serre fortement sa verge dans ma main. Elle glisse lentement entre mes doigts. Je surveille attentivement son gland brillant de salive tandis que mon pouce décrit des mouvements rotatifs sur son frein.

La pression redescend lentement, comme ses halètements. Je le reprends doucement en bouche en léchant et suçant son gland. Je resserre mes lèvres autour de lui pour laspirer fortement. Lioubov pousse désormais des gémissements incontrôlés.

Oh Oh Oh !

Je branle tout en douceur cette délicieuse verge lubrifiée de salive. Je sens quelle va exploser entre mes doigts. Je comprime de nouveau légèrement son point de non-retour. Trop tard ! Du sperme très clair sécoule de son gland. Je continue de le caresser, tout en faisant des mouvements rotatifs avec mon pouce sur son frein. Lioubov pousse des hurlements de plaisir ! Lidée quon pourrait lentendre et tenter de le sauver dun pseudo-massacre me fait sourire. Je continue de caresser son frein et sa verge, comme il mavait dit aimer. Jobserve son sperme qui sécoule en se mélangeant à ma salive. Sa verge brillante glisse entre mes doigts. Un désir menvahit soudainement. Je mautorise une dernière gourmandise, celle de lécher délicatement ses bourses de la pointe de ma langue tout en le branlant. Il se met à hurler encore plus fort ! Je maperçois alors que jai du sperme qui coule le long de larête de mon nez.

Je reviens mallonger sous la couette, fière de moi et espérant lui avoir laissé un souvenir inoubliable. Il minvite dans ses bras où je me blottis tendrement. Nous échangeons ensuite de longs et langoureux baisers.

(à suivre)

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