Hélène 7 : Julia, deuxième partie.
Hélène, une flûte à la main, est redevenue joyeuse, et elle fait un sort aux petits fours.
Son assiette finie, elle se lèche les doigts, et fait signe à Julia de s’approcher.
– Ma belle, c’est ton tour, mais tu peux renoncer.
– Non, je veux le faire, mais j’ai si peur.
– La peur, comme la préparation font partie du plaisir
– Alors prépare-moi s’il te plait.
Ma douce lentraîne par la main vers le boudoir des dames.
Récit d’Hélène
Julia fait tomber son peignoir, et je la découvre : poitrine ronde et pommée, des fesses légèrement tombantes, et sur les cuisses un petit début de cellulite.
Je lui passe le serre taille et le serre au dernier cran.
– Tu m’étouffes
– Oui mais quel beau cul, il faut ça pour donner envie. Est-ce qu’il t’honore par là.
– Non, enfin, oui, pas souvent, je n’aime pas, j’ai parfois mal.
– Idiote, c’est très bon, il faut seulement pratiquer avec délicatesse.
– Tu le fais souvent ?
– Oui, Pierre me prend avec douceur, c’est même moi qui lui demande, il me prépare divinement. J’aime aussi porter un bijou.
– Un bijou.
– Un rosebud, tu ne sais pas ce que c’est ?
– Si, j’en ai vu, sur internet.
– Mais tu n’as jamais essayé.
–
– Ne bouge pas, je vais prendre les choses en main.
Je farfouille dans le sac et j’y retrouve le premier que j’ai porté. Depuis, mon appétit a augmenté. Je suis passé à des tailles et des poids plus consistants.
– Je vais te le poser, suce le, et mouille le. Fais-je en lui forçant la bouche.
Elle se laisse faire. Mais, j’ai un peu peur d’un défaut de lubrification.
J’enduis le leurre de la pommade émolliente destinée à mon cul. Et je présente la pointe arrondie devant le cratère de la belle.
Celui-ci se montre récalcitrant, il se crispe. Aux grands maux, les grands remèdes, une grande claque sur la fesse. Sous la surprise, il se détend légèrement et je pousse le plug dans l’illet insoumis.
– Tu m’as fait mal, brute.
– Il fallait bien que ça passe. Qu’est-ce que tu en penses.
– Ce n’est pas désagréable. Je suis un peu écartée, mais ce n’est pas douloureux.
– Ca va te stimuler, porte-le souvent. Et en voiture, ne ralentis pas sur les dos d’âne.
– Ah.
– Allez, assis toi.
Elle m’obéit, je passe derrière le dossier, et je commence à la peigner en tirant les cheveux en arrière, je les serre dans une barrette noire. Puis, je souligne ses yeux de khôl noir. Pendant toute cette opération, elle se dandine sur ses fesses. Mon petit complice commence à faire son effet.
Enfin, je m’agenouille devant elle et je fais glisser les bas sur ses mollets et sur ses cuisses. J’accroche les jarretelles, et ce faisant, je me trouve face à la minette, ombrée d’un duvet noir. Je ressens l’émotion qu’Odile a du ressentir à mes genoux. J’ai une envie folle de la manger.
A deux mains, je lui écarte les cuisses et pose un baiser sur la chatte, en l’accompagnant d’un léger coup de langue sur le clitoris.
Soupir de bonheur
– Encore.
– Non, ma beauté.
– Tu me frustes !
– C’est l’objectif !
Je lui emboîte les escarpins, puis la fait mettre debout.
Puis je lui passe le collier déjà relié à la laisse.
– Tourne-toi !
Elle pivote sur elle-même, et je contemple son uvre. Bien que le cul de Julia n’ait la splendeur du mien, il reste très attirant. Les fesses cachent le bijou, tant mieux, son mari n’en sera que plus surpris. Les bas noirs cachent les petites imperfections des cuisses. Quant aux talons, ils cambrent le fessier et font onduler la croupe au rythme de la démarche de la belle sacrifiée.
J’attrape mon rouge à lèvres et je lui en cercle doucement chaque mamelon. Je glisse ma main entre ses cuisses, je la fouille, elle est légèrement humide. Je branle son clitoris. Elle soupire. Je repasse mes doigts dans sa chatte, en appuyant sur le petit envahisseur, à travers sa membrane intime. Elle gémit. Puis je passe mes phalanges sur ses lèvres, je force sa bouche.
– Goûte-toi, goûte ta liqueur.
– S’il te plait donne-moi de la tienne.
Je m’exécute, je recueille ma mouille et lui donne mes phalanges à lécher.
Mais il faut y aller. Je prends la laisse et tire la future suppliciée vers le couloir.
– Tu n’oublies pas le bâillon et les menottes.
– Non, nous les donnerons à ton mari, il choisira si tu dois les porter.
Récit de Pierre
Dans le salon, Philippe ne cache pas sa nervosité, pour la troisième fois, il attrape une flûte de champagne, puis la repose, il veut absolument rester lucide.
Il va réaliser son fantasme le plus fou : voir fouetter sa femme.
Le couple fait son entrée, Julia s’avance, roulant des hanches. Il a le souffle coupé : il découvre sa femme en soumise. Pour se faire admirer, elle tourne sur elle-même, et lui fait découvrir son côté pile. Jamais, il n’avait imaginé à quel point sa digne épouse, ancienne présidente d’une association de parents d’élèves, avait un tel cul. Puis, ma douce la penche en avant pour dévoiler son anus embijouté. Son mari a les yeux qui lui sortent de la tête.
– Philippe, Philippe. Hélène claque des doigts pour le tirer de son éblouissement.
– C’est à vous de l’installer.
Philippe agenouille Julia devant la table et la ploie en avant, il lui ramène les bras en arrière et la menotte. Puis il lui écarte les cuisses et lui bloque les chevilles avec la barre. Il pose son index sur la pierre rouge de la rosace, puis appuie et relâche sa pression. Il recommence deux fois, à chaque fois un soupir d’aise répond à sa sollicitation.
Helene se penche vers la belle victime.
– Philippe a choisi : pas de bâillon, il veut t’entendre ; pour le menu, quinze martinets, et cinq cravaches, tu en a envie ?
Un oui étouffé
– Dis que tu veux être fouettée, plus fort.
D’une voie forte, la belle victime prononce la formule rituelle.
– Oui je veux être fouettée. Puis à voix plus basse. Hélène, je veux tu me fouette.
Hélène se tourne vers Pierre qui acquiesce. La belle dominatrice s’empare du martinet, puis tourne autour de la sacrifiée. Un tour, deux tour, jouant avec l’attente de la suppliciée.
– Commence, ma chérie, je t’en supplie.
– C’est moi qui décide.
Une seconde, puis deux, puis dix se passent.
– Schacht
Le premier coup est parti, Julia soupire (de plaisir) puis une série plus énergique lui rougit le cul. La croupe est bien échauffée. Julia se tortille comme une petite fille sous la fessée.
Puis Hélène met plus de force dans le coup suivant. Julia crie, gigote des pieds et des mains, Hélène lui laisse savourer cet instant.
Le sexe de la suppliciée s’ouvre et palpite.
Le clitoris se gonfle et se décalotte.
Hélène reprend méthodiquement, en changeant de fesses
Sa victime se cabre, se débat, ses mains menottées dans le dos se crispent, les fesses dansent, le cul se serre convulsivement, ses cris ne sont plus qu’un long râle.
Puis Hélène s’arrête, sa victime halète, reprenant son souffle.
Le dernier coup de martinet est terrible ; comme Pierre toute à l’heure, Hélène a visé le coquillage de Julia. Une lanière a percuté le bourgeon du clitoris.
Sous la crispation de ses muscles, et la douleur de sa chair intime martyrisée, la suppliciée a bondi dans ses liens.
Tout le monde reprend son souffle après ce paroxysme.
Avant de passer à la cravache, la bourrelle offre un répit à la belle flagellée.
Julia entend Pierre murmurer quelques mots à Hélène.
– Philippe .bâillon. cravache .genou. canapé.
Vont-ils la livrer à Philippe, Elle veut qu’Hélène continue. Au plus profond d’elle-même, elle veut se donner à sa cruelle maîtresse.
Pierre lui enlève ses entraves de chevilles et la relève, il la guide jusqu’au canapé dont Philippe n’occupe que le bord gauche.
Elle sent sa liqueur couler entre ses cuisses ; elle a mouillé sous le fouet.
– Agenouille-toi, penche- toi, pose ta joue sur la cuisse de ton homme. Philippe, veux-tu la bâillonner avec ta verge ?
Pour toute réponse Philippe se déboutonne.
Hélène se penche vers elle.
– Tu vas voir, ça va être terrible !
Puis elle lui soulève légèrement la tête ; Julia ferme les yeux, ouvre la bouche et laisse tomber son visage sur la verge de son mari.
Elle a l’impression qu’il est devenu énorme, jamais une fellation ne lui avait autant écarté les mâchoires.
Elle ouvre les yeux, sa belle maîtresse est là, qui lui adresse un sourire énigmatique.
Et d’un coup, elle comprend le supplice qui l’attend : elle devra maîtriser ses spasmes sous peine de blesser son mari.
Elle voit ma compagne se lever et aller chercher la cravache, puis se placer derrière elle.
Sans attendre, le premier coup la percute, en plein dans la partie la plus sensibilisée de ses fesses, elle est prise d’une énorme secousse, elle veut relever la tête, mais son mari la lui bloque de ses deux mains, elle maîtrise sa mâchoire, mais son arrière gorge se contracte spasmodiquement excitant le gland marital.
Elle reprend son souffle.
Le deuxième coup a les mêmes effets dévastateurs, les contractions sont telles qu’elle manque de tomber du canapé. Seule la main de Pierre qui l’a retenue en bloquant sa hanche, lui a évité la chute. Elle sent les palpitations de plus en plus rapides de la verge entre ses lèvres.
Troisième coup, à peine plus vigoureux, mais Julia s’est concentré sur la verge de son mari, les spasmes ont été moins forts.
Hélène attend patiemment que le corps de la soumise s’apaise, puis lui assène un quatrième coup, la surprenant au moment où elle reprenait pied.
Julia bat des pieds, des mains, une onde de douleur la parcourt et elle crie, la verge de son homme en bouche. Il se tend, propulsant sa verge au fond de la gorge de sa prisonnière, en lui bloquant la tête, elle étouffe. A ce moment Philippe expulse son sperme comme un barrage qui se rompt. Elle ne peut que déglutir la liqueur de son mari.
Les deux mains de son époux sont posées sur sa tête, elle commence à étouffer quand elle sent que son visage est soulevé et que ses lèvres sont dégagées du pénis marital.
Hélène repose le visage de sa supplicié sur les cuisses de son époux.
– C’est bon on arrête, tu en a assez eu.
– Non, je veux mon cinquième – Puis reprenant son souffle.
– Marque-moi, ma chérie, marque moi.
Hélène la replace le cul en l’air, ses fesses exposées attendant la cinglée.
Elle se positionne, la cravache en l’air, jouissant de ce spectacle.
– Maintenant !!!
L’ordre de Julia a surpris sa fouetteuse en pleine contemplation. Le coup part comme un réflexe, la tige de la cravache creuse un profond sillon dans le cul offert ; La victime crie et s’abat en agitant tous ses membres.
Le calme revient, la tension tombe. La suppliciée semble apaisée
Hélène demande aux deux hommes de porter Julia dans la chambre. Ils la posent sur le dos, puis se retirent.
La bourrelle ôte le collier et la chaîne, puis roule Julia sur le ventre, dégrafe le serre taille, et fait glisser les bas.
La cravache a laissé une marque rouge profonde au milieu de la zone rougie.
Helene dépose une noix de baume sur chaque fesse et commence à la masser.
L’effet ne se fait pas attendre ; des gémissements et des soupirs se font entendre ; les cuisses s’écartent comme une invitation à une fouille plus profonde.
Hélène écarte les fesses rougies, arrache doucement le passager clandestin, et dépose une lichette de pommade sur l’anus, puis glisse un doigt dans l’anneau brun, et le fait coulisser.
Les ondulations du cul de de la belle poule s’ajoutent aux gémissements. Sa masseuse perverse introduit un deuxième doigt et entreprend un massage circulaire du rectum. Julia soupire et relève son cul pour que les phalanges la pénètrent plus profondément.
Après quelques minutes, Hélène retire brutalement ses doigts.
– Voilà c’est fini.
– Remet les, pourquoi tu ne me branles plus le cul.
– Ma chérie, ce soir, c’était soirée martinet. Je laisse les plaisirs de Sodome aux bons soins de ton époux.
Hélène se redresse, laisse tomber son kimono, le ramasse et le replie pour le ranger.
Elle continue, nue, de préparer son baluchon en prenant bien soin, lorsqu’elle se penche, de présenter à Julia, sa poitrine pendante, son cul sublime et balafré, sans essayer d’esquiver une main friponne.
Une fois son bagage terminé, elle enfile son pull, puis sa jupe, en faisant onduler son croupion.
Elle s’incline vers sa soumise, et lui prend les lèvres.
– Merci ma douce, ce fut délicieux.
– Mais quand reviendrez-vous ?
Sans répondre, ma compagne se dirige vers la porte , et sans se retourner lui fait un petit signe de la main.
Nous sommes restés dans le salon. La tension est retombée, mais Philippe est encore abasourdi, il a du mal à réaliser que ce n’était pas un rêve.
Je ramasse les instruments qui traînent sur le sol, les jette dans le sac et le referme.
– Nous avons répondu à votre attente.
– Oui, et au-delà !
– Si vous voulez recommencer, soyez attentif à Julia
– Vos conseils ?
– Tous les jours, montrez-vous prévenant. Faites comme si vous découvriez une nouvelle Julia. Faites-lui sentir que vous l’aimez, et elle se livrera avec bonheur. N’essayez pas d’être un maître. Soyez un époux exigeant, autoritaire, mais aussi câlin et délicat.
– Hum
– Pierre, j’aimerais rentrer à la maison, on y va. Fait Hélène en nous rejoignant.
– Je vous raccompagne à la porte.
Nous traversons le salon vers l’entrée.
– Hélène. Julia trottine, son peignoir mal fermé laissant déborder un sein.
– Hélène, tu as oublié ça. Lui dit-elle, en tendant le collier et la laisse.
Sa maîtresse d’un soir prend alors le collier, lui accroche autour du cou, met la laisse dans la main de Philippe.
– Cadeau.
A suivre