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Randonnée sportive – Chapitre 2




Je peux me joindre à vous ?

C’est inattendu, Charles regarde Laurence, elle est là dans son jogging qui lui sert de pyjama, confiante et  sure d’elle-même. Charles n’a pas le temps de répondre, Flo qui était partie dans l’orgasme qui commençait s’est reprise, elle aussi regarde Laurence, roule ses reins pour mieux dégager le sexe de Charles qui la pilonnait. C’est elle qui répond, encore tout excitée et remplie de désirs insatisfaits par ce coït qu’elle a interrompu : « Oui, j’ai très envie de toi, Charles aussi je crois, installe un lit devant le feu, on arrive, te déshabille pas surtout ».

Laurence s’exécute, débarrasse devant le foyer, installe des tapis de sol, se tient debout en attendant, tranquille, contemplant le feu.

Charles, lui, est entre deux états. Entre la colère de ne pas avoir été consulté, et l’excitation maximum devant la perspective de baiser les deux femmes ; il reprend Flo, glisse sa bite entre ses cuisses, dans la fente et lance de grands coups de reins, de rage, il mord l’épaule de Flo : « Tu aurais pu me demander mon avis ». Elle crie, mais elle a aimé. « Brute ! J’espère que tu va la baiser comme ça tu avais envie d’elle quand tu l’as regardée, tu étais fasciné par son dos, et elle me tente, c’est la situation parfaite, il y a même son mec, Louis, qui dit rien et qui reste dans le noir, en voyeur, ça t’excite pas de la baiser devant lui ? ». Elle parle fort, sans chercher à atténuer la portée de sa voix. « Vas-y, tu as cinq minutes pour faire connaissance, le temps que je me finisse en vous regardant, vas-y, mais la baise pas, laisse moi goutter son con avant ». Charles ne reconnait plus du tout sa Flo, mais il se lève.

Vu par Laurence, dans la lueur du feu qui continue de brûler dans la cheminée, il apparaît comme le mec dont elle a envie. Sa queue à moitié dressée, grand et athlétique, elle finit de fondre. Le cri de Flo l’a excitée, elle se sent comme une femelle en chaleur. Elle est mouillée comme ça lui est rarement arrivé, au point qu’elle va mouiller son jogging. Charles arrive devant le feu, se place derrière elle, sa queue dans le creux de ses reins, ses mains sur ses petits seins. Il les prend et les écrase entre ses main, pousse sa bite contre elle : « Je vais tout prendre, je veux tout, tous tes trous. Je t’ai regardée te changer, tu nous tournais le dos, mais c’était pour montrer ta croupe, comme une femelle qui veut attirer les mâles, je voyais ta fente dans la lueur du feu si Flo ne m’avais pas demandé d’attendre j’aurais sauté sur toi, je t’aurais collée au sol et je serais en train de pilonner ton con comme une brute, mais tu ne perds rien pour attendre ».

« J’espère ! C’est de ça que j’ai besoin, je suis affamée, ma petite chatte est affamée ».

Charles entreprend d’ouvrir la veste du jogging, pose ses mains sur les seins nus, frotte sa bite, mordille la nuque : « Sens comme tu me fais bander », ses mains glissent sur l’estomac, sur le ventre de Laurence qui se creuse quand les doigts de Charles l’effleurent. Ses mains entrent dans le pantalon et de la main droite il saisit la chatte à peine poilue, il sent un léger duvet, doux…, il sent l’humidité chaude sous sa main, un de ses doigts trouve la fente, glisse, pénètre, sa main se crispe et Laurence glousse de plaisir. Flo juge qu’il est temps d’intervenir, que Charles n’attendra plus longtemps, elle abaisse le pantalon, lève chaque pied de Laurence qui se trouve soudain nue entre le mâle et la femelle qu’elle est allée chercher, Flo se penche et renifle, respire le parfum de chatte qui monte d’entre les cuisses de Laurence. Elle pose ses lèvres juste au dessus de la fente, la langue effleure le ventre, et, derrière elle Laurence sent maintenant contre la peau de ses fesses et de ses reins, le membre de Charles, chaud, qui glisse, il se frotte contre elle, lentement et en écrasant bien sa bite pour qu’elle sente à quel point elle est raide.

La langue de Flo glisse sur le ventre, glisse vers la fente, glisse sur les poils, sur les grosses lèvres, Charles mord son épaule, crispe ses mains sur ses seins, Laurence écarte les jambes, elle veut sentir la langue se glisser dans son con, elle veut la bite. Quand la langue de Flo glisse entre les lèvres ouvertes, quand la bouche de Flo saisit les lèvres et les mâche, Laurence ne se tient plus, elle les encourage de ses gémissements, de ses mouvements, elle voudrait écraser la tête de Flo sur son ventre mais Charles bloque ses bras. « Baisez-moi !!! ».

Charles la plaque au sol pendant que Flo commence à la fouiller avec sa langue. Laurence écarte ses jambes autant qu’elle peut, Flo écrase sa bouche sur la fente, la langue s’enfonce entre les lèvres, écrasant le clitoris, Flo boit autant qu’elle lèche, Laurence crie et sent Charles qui se glisse sur elle, il glisse sa bite entre ses seins, sur ses seins, il essaie de se branler entre les petits seins qui enveloppent à peine sa bite, sa bite qui s’approche de la bouche qui s’ouvre, et pendant que Flo mordille le clitoris pour faire jouir Laurence, celle-ci sent la bite s’enfoncer dans sa gorge, au point que bientôt elle ne peut plus respirer ou presque, elle attend, et respire un grand coup quand Charles se retire. Elle a ce qu’elle voulait « Encore !!!» elle ouvre la bouche, reprend la bite, pompe, laisse la bite entrer jusqu’à sentir les couilles de Charles sur ses lèvres, elle sent la queue remplir sa gorge, il faut respirer maintenant Charles se retire et la laisse aspirer l’air, tousser, cracher la salive qui envahit la gorge et la bouche, et quand Flo mord son clitoris pour de bon Laurence explose et crie de douleur et de plaisir. Charles continue de baiser sa bouche, Laurence encourage Charles, elle crie bien fort à l’intention de Louis qui semble ne rien pas exister « Encore, mets-la moi dans le fond de ma gorge, jamais j’ai trouvé ça si bon !!!! » Charles doit se calmer un peu pour ne pas décharger dès le début de cette séance de baise. Il se retire, laisse Flo coller sa chatte sur la bouche de Laurence encore toute excitée, les deux filles se lancent dans un 69 rageur, gourmand, bruyant qui débouche bien vite sur des cris d’orgasmes violents, des corps qui se tordent, des cuisses qui serrent les têtes, écrasent les oreilles. Charles sait combien Flo peu écraser sa tête quand elle part comme ça en serrant ses cuisses, il bande toujours comme un taureau, il roule le couple qui semble ne pas le remarquer et cherche à glisser sa queue entre la bouche de Flo et les cuisses de Laurence, Flo s’écarte un peu et Laurence sent cette belle bite enfin la pénétrer, elle écarte les cuisses, pour le mâle cette fois, elle continue de manger la chatte de Flo, de boire le jus qui coule d’abondance et elle se donne, se cambre, lève sa croupe, tend ses fesses, sa fente, retire sa bouche de la vulve de Flo, elle crie : « BAISE-MOI ! À fond, vas-y, comme une brute, cogne dans le fond ! je veux sentir ta queue me labourer, mets-là au fond, encore, baise ta femelle avec ta grosse bite » elle n’arrête pas, et Charles la pilonne de toutes ses forces, envoie ses reins comme un bucheron, crie à chaque coup de rein comme s’il soulevait une tonne de fonte, leurs corps claque à chaque contact, ils enfonce ses doigts dans ses hanches et la pilonne de toutes ses forces jusqu’à ce qu’enfin elle jouisse comme une folle et que Charles crie en lâchant le sperme qu’il a senti monter le long de sa queue et qui inonde le con de Laurence, elle continue de crier à chaque giclée.

Il tombe sur le dos de Laurence, reste en elle autant qu’il le peu, puis se retire. Laurence se retourne pour prendre sa bite dans la bouche et sucer ce qui reste de sperme à prendre, offrant sa chatte à Flo qui colle sa bouche dessus et lèche, et boit. Elle aime, elle ne veut pas en perdre une goutte, elle nettoie cette jolie chatte blonde aussi bien qu’elle le peut, c’est trop bon !!!

Après un moment de torpeur, englués dans leurs plaisirs, après que Charles a remis un peu de bois sur les braises, leurs corps se rapprochent, tous les trois massés devant le feu. Charles regarde un peu mieux la petite femelle blonde, elle a encore un peu de sperme entre les cuisses malgré les efforts de Flo. Laurence gémit en souriant, yeux pétillants, cuisses ouvertes, la main qui caresse sa chatte la bouche sur l’oreille de Charles elle lui murmure : « j’ai de la chance cette nuit, voilà que je tombe sur un mâle alpha ».  Flo se colle contre eux, elle proteste, on ne dit rien à voix basse, on partage tout, alors Laurence répète, bien haut, tant pis pour Louis : « j’ai de la chance cette nuit, voilà que je tombe sur un mâle alpha », Flo rit légèrement « C’est comme ça que tu appelles une brute ? Mais j’aime aussi qu’il me brutalise » puis elle écrase sa bouche sur les lèvres de Charles : « Tu aimes ce goût ? J’aimerais que tu me mange comme ça après m’avoir prise, je suis sûr que tu aimerais ce goût là, tu essaieras tout à l’heure !!! ». Laurence revient sur le mâle : « Non, c’est un mâle alpha, il est fort, viril pour deux, son membre est magnétique, il couvre ses deux femelles et toi tu es la femelle alpha, et je vous suis soumise pour la nuit, et plus si vous voulez ».

Florence profite du moment pour éclaircir la situation : « Mais tu es arrivée avec Louis, tu fais comme s’il n’existait pas, et nous aussi remarque, mais pourquoi tu fais ça ? »

Laurence devient soudain excitée, énervée : « Ce salopard m’a trompée, au refuge du Fourcat, on dormait dans le refuge ; il y avait trois filles qui avaient planté une tente dans un coin près de l’étang. Ce connard est sorti, j’ai pensé qu’il allait pisser ou regarder le ciel et il ne revenait pas, alors je suis allée voir. Ce connard était dans la tente des filles et ils baisaient. Il m’avait dit qu’il était épuisé et il baisait ces petites putes !!! Je suis entrée dans la tente, je l’ai arraché de la pute qu’il besognait, il est toujours besogneux ce connard, et je lui ai interdit de me toucher jusqu’à ce que je lui pardonne. Si je pardonne. Alors cette nuit c’est ma vengeance ! Quand je vous ai vus par la fenêtre vous m’avez excitée comme c’est pas possible ! Je suis prête à tout depuis qu’on a poussé la porte. C’est vrai je vous ai montré ma croupe quand je me suis changée, je voulais vous tenter j’ai tout de suite su que vous étiez le couple alpha dont je rêvais ».

« Tu l’as entendu qui me pilonnait dit Flo, et moi qui gémissait comme une chienne » et elle pose la main sur le sein de Laurence et pince la pointe. « Tu aimes hein ? ». Oui Laurence aime ça, elle a même envie de sentir les doigts de Flo sur son clitoris, elle le lui dit, et Flo s’empresse de la satisfaire,  jusqu’à ce que Laurence crie, se redresse sous la douleur. Et Flo recommence dès que Laurence s’est allongé de nouveau, en gardant les jambes écartées,  et Laurence de nouveau crie, se redresse, et elles continuent ainsi, Flo à pincer le clitoris de Laurence entre ses doigts et Laurence à crier et à jouir… jusqu’à ce que Laurence se couche sur le côté pour échapper aux doigts de Flo.

Charles se presse contre elle, il bande de nouveau, et Laurence sent sa queue qui prend position entre ses fesses, tout le long de la raie, il se frotte entre ses fesses, elle aime d’avance ce qui va suivre, elle sent le bout de la queue qui glisse, entre ses fesses, entre ses cuisses, pénètre son con, pendant que Flo joue avec la pointe de ses seins.

Laurence soulève un peu sa tête, la pose sur la cuisse de Flo, elle est à eux, elle le sent bien, elle se place pour faciliter les choses, offre sa poitrine mais laisse son cul accessible. Le bout de la queue de Charles est juste à l’entrée, la porte de derrière, d’habitude elle se fait prier, mais là, elle en meurt d’envie, elle aime sentir le bout de la queue sur le petit trou. Charles fait durer, appuie juste un peu, il y est, le petit cul commence à céder un peu, s’entrouvre, et la queue reste là, sur le bord, dans l’entrée. Vas-y pense-t-elle, mets-la moi enfonce-là, elle pousse son petit cul vers la bite, mais Charles n’est pas pressé, il la retient, elle recommence, et cette fois elle sent la queue qui ouvre son cul, vraiment, il entre, elle pousse à nouveau son cul vers lui, il semble la retenir, il attrape ses hanches : « oui !!! Attrape moi bien, empale-moi maintenant » il la tire doucement sur sa queue, il fait de courts mouvements, sa queue recule….

« Vas-y !!!! »

Il avance un peu sa queue encore, elle le sent se cambrer, il va me la mettre, … Il enfonce sa queue d’un coup : AAAAAAAAHHHHHH AAAHHH  AAAAAAAAHHHHHHHHHHH Charles s’est décidé, il enfonce sa bite, entre les fesses, il ouvre le petit trou, il pénètre par la porte de derrière, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH une bonne moitié, il ne peut plus se retenir, il lui faut mettre tout, jusqu’à la racine, et il pousse ses reins, il tient les hanches, il sent les fesses de la femelle contre son ventre AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA OOOOOHHHOOOOOUUUUUUIIIIIII AAHHHHH.

OH. La grosse bite est dans son cul, les couilles contre ses fesses, elle est à eux. Elle a senti encore Flo pincer la pointe de ses seins, Laurence glisse sa main sur sa propre vulve et se caresse, enfonce deux doigts, elle attend que Charles jouisse, dans son cul qu’il laboure vigoureusement, Flo a posé sa main sur celle de Laurence, coincé ses doigts, ajoute les siens dans la fente, Charles pilonne son cul maintenant, il va jouir Les doigts de Charles s’agrippent à ses seins, il pousse sa queue autant qu’il peut, il grogne, mord son épaule, il lui fait mal le salaud elle ne jouit pas, elle est à lui, pour son plaisir, elle sent les spasmes du mâle, de sa queue, il mord encore elle enfonce ses doigts dans sa chatte, elle mord sans le vouloir Flo qui lui offrait sa chatte, Flo qui crie et attrape une pointe de sein qu’elle pince en guise de vengeance, AAAAAIIIIIEEEEEE oui je suis à eux. J’aime ça, que c’était bon. Charles la mord sur l’épaule délibérément, il me marque pense-t-elle.

Quand Charles se retire, Laurence attrape la petite culotte qu’elle portait sous l’orage, elle a été tellement longtemps sous la pluie que la culotte est encore humide, elle lave la queue de Charles avec, puis prend sa queue dans la bouche pour pomper le reste de sperme.

Cela va durer toute la nuit, devant Louis qui ne dit rien.

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