Désolé pour ce long silence mais voilà la suite de mon histoire :

    Je me retrouve avec une trique d’enfer qui déforme mon caleçon en face de mon cousin Robert qui est à moitié nu dans ma chambre, la situation est étrange mais extrêmement excitant. Je suis au milieu de la pièce Robert est près de la porte, nous ne parlons pas, je suis pétrifié de peur et d’excitation. En effet, c’est le premier mec à moitié nu que je vois en vrai, j’ai peur de la suite, car je n’ai jamais oser me toucher, me doigter l’anus, premièrement à cause du côté sale et aussi parce que c’est mal et par peur. J’essaie de rationalisé la situation, je ne comprends pas comment il peut m’exciter alors je le détails, mon regard se promène sur Robert, il fait 1m80 pour environ 100kg, il a un visage rond, un grand front des petits yeux mais d’un bleu pénétrant, un nez épaté ses lèvres sont fines et rosées, il a une barbe blonde de quelques jours, sa peau du visage est marqué par des cicatrices, malgré ses 29 ans il a toujours de lacné, il a les cheveux blond, ils sont courts, hirsutes, sales. Des traînés brunâtre descendent dans le coup, ses épaules sont larges, ses bras paraissent gros mais puissant, son ventre est proéminent, je n’ose descendre plus bas car cela va me ramener à la réalité, alors je remonte mon regard lentement sur ce corps qui m’attire, pendant ce laps de temps, qui m’a semblé une éternité mon érection n’a pas faiblit au contraire quant à Robert, lui n’a pas bougé, il me regarde d’un air amusé c’est lui qui rompt le silence :

    – ce que tu vois te plaît ! Me dit il

je suis rouge de honte, et baisse la tête Tout en lui disant

    – désolé, bredouillais-je, je ne voulais pas……….

je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase car Robert me rejoint et me remonte le visage avec sa main droite, son index me caresse le menton et mes lèvres, nos yeux se croisent à nouveau,

    – chut, me fait-il.

    Il m’embrasse tout doucement dans le cou, je frissonne à se contacte, ses lèvres sont douces et chaudes

c’est normale que tu me regarde j’ai fait pareil me susurre-t-il dans l’oreille. Tu as un beau corps et tout en disant ces mot :

Il m’embrasse l’oreille, suce mon lobe et tout doucement il continue de m’embrasser en descendant le long du cou. Sa main gauche me masse lentement le haut du dos, son doigt joue toujours avec ma bouche, en suivant le contour et essayant de s’insinuer entre mes lèvres, il ne force pas l’entré, ses gestes sont doux, je fond littéralement sous ses caresses, je me laisse aller. Nos visage sont tout près l’un de l’autre, je ferme les yeux, il continue ses baisers sur mon épaule gauche et descend le long de mon bras pour revenir sur ma poitrine, avec sa langue il fait le tour de mon téton, je tremble de tout mon être à se contact, il commence par le mordiller un peu puis le suçote, il a arrête de me masser le dos et ses doigts ont stoppé leur caresses de ma bouche, ses mains m’effleurent les bras dans un mouvement de haut en bas, le contact de ses lèvres chaudes et humides sur ma peau et, ses caresses me font frissonner. M’a respiration s’est de nouveau accéléré, j’ai des décharge dans le bas du dos qui m’irradie dans le pubis, Mon érection me fait souffrir, je sens que je vais pas tenir, Robert a du sentir que j’étais au bord de l’orgasme, car il arrête tout et se relève vers moi :

    – Ça va, me demande-t-il,

    – non, euh, oui bredouillais-je

    – On fait une petit pose car je crois que tu es sur le point d’éjaculer mais j’aimerai que tu essayes de te contrôler, car le jeu fait que commencer et j’aimerai bien que tu tiennes encore un peu, alors pense à autre chose, respire lentement, si tu veux que la pression descende pense par exemple que tes parents pourraient nous surprendre.

    Cette dernière phrase a eu de l’effet, un sentiment de panique m’a submergé et mon érection ces mis en berne aussi rapidement qu’elle était venu. Il avait reculé que le haut de son corps pour me dire ses quelques mots, je sentais toujours son ventre contre moi. Ce seul contact me rendait fou ; moi qui avait été pour l’instant qu’un pantin dans les mains de son maître, je voulais plus, je ne voulais pas attendre, je voulais qu’il me fasse atteindre le point de non retour, alors, je l’ai attrapé pour l’embrassé, lui rouler une pelle comme jamais je n’en avait rouler auparavant, nous nous sommes enlacé fougueusement comme si Robert attendait que cela. Mes mains parcouraient ce corps que je voulais, s’aventuraient enfin dans des endroits encore jamais exploré par celle-ci, découvraient avec plaisir ses rondeurs, ses formes. Je m’arrêtais sur ses fesses que je pétrissaient avec bonheur sur le tissu de son caleçon, elles étaient bien rondes et fermes étonnamment. Quant à Robert, il n’était pas inactif, il me caressait les cheveux, le dos toujours avec douceur et lui aussi ses mains se sont arrêté sur mes petites fesses rondes mais mon cousin, lui a passé la barrière de tissu, il les pinçaient doucement, malaxaient, les écartaient. Tout à coup je me suis retrouvé contre mon lit, je n’en m’était pas aperçu mais nous avions tourné pendant cette embrassade. Robert, toujours en train de m’embrasser m’a poussé lentement pour que nous tombions tous les deux sur mon pieux. Surpris par ce changement de position et par la tournure des événements, je quittait la bouche de mon partenaire et son étreinte, j’essayais de me dégager de mon cousin qui était à moitié couché sur moi, mais celui-ci n’était pas disposé à me laisser m’en aller. J’ai eu à peine le temps de reprendre mon souffle que Robert m’embrassa à nouveau, jouant avec mes lèvres et ma langue, ses mains essayaient de descendre mon caleçon, la peur d’aller plus long me fit le pousser violemment sur le côté et je me mis assis. Je sentais le regard de mon cousin sur moi, il devait être surpris par ma réaction, je m’attentais à ce qu’il parle mais, il n’y fit rien à part me fixer. je sentais le rouge me monter, en effet je me sentais honteux car c’est moi qui l’ai allumé cette fois et c’est moi qui ne veux plus maintenant. Je réussis à sortir un « Désolé » à peine audible tout en masseyant, je n’arrive pas à comprendre mon comportement, c’est pas que je n’en ai pas envie car mon caleçon est totalement déformé par mon érection mais j’ai peur, peur de la suite et je n’ose pas le lui dire. Toujours sans rien dire, Robert, sassit à côté de moi tout en m’effleurant le dos, je frissonne, je suis gêné, je fixe mes pieds et n’ose le regarder, c’est Robert qui rompt le silence :

    – Désolé, je vais un peu vite, j’ai oublié que tu étais puceau.Au fait as-tu déjà sucer une queue ou masturber un mec ? Me demande-t-il

Le moins que l’on puisse dire c’est que mon cousin est direct et rouge de honte j’essaye de bredouiller quelques chose mais je suis tellement gêné par la situation que je lui réponds tout doucement

– euh ! Euh ! Non ! Lui dis-je d’une voix à peine audible

    – Pardon, tu as dis quoi, me dit Robert

    – j’ai dit non, un peu plus fort et mes yeux rivés sur le sol, mon érection a diminué de moitié.

    – OK, bon tu veux aller plus loin où on en reste là pour maintenant, je ne te force pas à faire quelque chose qui ne te plais pas mais tu m’excite et j’aimerai te faire découvrir le plaisir que l’on peut se donner. Tu t’es déjà fait sucer ? Me demande-t-il

oui lui répondis-je, timidement, par une fille

    – Et tu as aimé !

    – Ouais, c’est sympa, je lui ai éjaculé dessus, c’est elle qui le voulait.

    – Sympa ! C’est cela tu as trouvé sympa, j’aimerai te faire découvrir le côté jouissif et non le coté sympa de la fellation, si tu es d’accord. Qu’en penses-tu ?

    – Je ne sais pas, prenant mon courage à deux mains, je lui explique ce qui ce passe

    – j’ai peur, à part mes petites amies personnes, ne m’a touché les parties génitales et ne m’a vu nu, je n’ai jamais osé me,,,,, euh, me toucher l’anus, dis-je tout bas ce dernier mot

    – C’est normal d’avoir peur,me dit Robert, on va commencer tout doucement et si tu n’aimes pas où si tu ne veux plus, dis le moi mais ne me rejette pas comme tout à l’heure. OK

    – OK, lui répondis-je

    Robert qui est assis à côté de moi, se rapproche, avec sa main gauche me relève la tête et me caresse le visage, il est si doux dans ces gestes. Son visage se rapproche du mien et vient m’embrasser les lèvres, je lui rend son baiser, j’aime l’embrasser, j’aime le sentir contre moi. Alors c’est moi qui passe mes mains derrière sa tête pour l’attirer plus vers moi et lui rouler une pelle, Robert me laisse diriger cet instant, il a passé sa main droite dans mon dos et me le caresse, tantôt doucement tantôt plus fort, mon érection a reprit, je me sens de nouveau comprimé dans mon caleçon, sa main gauche est descendu sur mes tétons, qu’il pince légèrement, j’en frissonne, je continue de jouer avec sa langue, de lui mordiller sa lèvre. Robert reprend les commande et me bascule tout en m’embrassant, il est à moitié sur moi, sa main droite est revenu dans mes cheveux, il me masse la tête, il délaisse ma bouche pour m’embrasser doucement dans le cou, sa main descend vers ma bouche, ces doigts suivent le contour de mes lèvres, rentre dans ma bouche pour que je les sucent, il continue de descendre en me léchant, où en m’embrassant, il arrive sur mes tétons, il mordille, suce le gauche et de sa main gauche il me pince le droit, le titille. C’est divin, je me laisse totalement faire, ma respiration est forte et accéléré, j’ai des décharge dans le dos qui m’irradie dans le pubis, je gémis de plaisir.

    – Arrête je vais venir, lui dis-je essoufflé.

Robert n’arrête pas, il change de téton, il vient mordiller et sucer le droit et inflige le même traitement que le gauche avec sa main, je me cambre sous ses caresses, je sens que je vais exploser.

    – Arrête je t’en supplie, lui criais-je

Je suis tétanisé de plaisir, j’en tremble, je suis en nage. Il se redresse enfin, me regarde et me lance ;

    – Tu devrais appeler tes parents

    Si c’était pour faire descendre la pression ça à marcher, très bien même, car ma queue c’est ramollie au moment ou j’ai entendu « parent », j’ai relevé la tête pour voir si il était sérieux.il me fixe et sourit d’un air amusé par ce qu’il vient de provoquer.

    – t’es sérieux, tu veux que je les appelle maintenant, lui demande-je un peu décontenancé par ces paroles.

    Sans me répondre il recommence à me sucer les tétons passant de l’un à l’autre, mes frissons reprenne de plus belle, j’agrippe les draps du lit en me cambrant et en recommençant à gémir. Tout à coup, je ressens une décharge dans le bas du ventre, sa main vient de se poser sur ma verge et me la caresse au travers l’étoffe de mon caleçon, putain de merde que c’est bon. Sa bouche abandonne mes tétons durcis par ce délicieux traitement et continue, toujours en me couvrant de baiser, sa lente descente, il s’attarde vers mon nombril, fait le tour en le léchant et met sa langue à lintérieur en faisant des petits mouvements de va et vient. Je ne savait pas que le nombril était si réceptif car le plaisir que je ressens me procure des décharges dans le pubis qui me fait mal jusque dans ma verge, et pour la première fois, je ressens une drôle de sensation vers mon petit trou. Il continue toujours aussi doucement sa course, et moi je ne suis que tremblement et gémissement. Il est au-dessus de l’élastique. Je ferme les yeux, mon esprit ségare, je recommence à avoir peur, peur d’être un PD, je devrais le repousser car c’est mal, deux hommes, en plus des cousins devrais pas faire ces choses mais je me sens démuni, impuissant devant tant de plaisir. Je suis rattrapé par la réalité quand mon corps frissonne au contact de ses lèvres sur le bout de tissu qui sépare de sa vue mon intimité en pleine érection, je sens mon cousin bouger, il me chevauche maintenant, de ses deux mains il me caresse le ventre et de sa bouche il me suce à travers le tissu, je gémis à chaque changement de rythme, où pression, ses mains parcours mon corps, je ne veux pas que ça s’arrête tellement c’est bon. Ses mains se sont arrêté sur l’élastique de mon boxer, il stoppe sa fellation et tire lentement dessus, ma verge bondit hors de son emprise et se plaque à mon ventre, je sens le souffle de Robert sur moi, j’en ai la chair de poule, je tremble, mes yeux clos je profite pleinement de ce moment mais je me suis retenu si longtemps que je ne vais pas tenir longtemps et je crois qu’il le sait, il me donne des petits coup de langue sur la longueur de ma queue, je frissonne à se contacte et tout d’un coup il me gobe ma verge et commence à me sucer d’abord lentement, en jouant avec sa langue sur mon gland puis il va de plus en plus vite, je me cambre et dans un hurlement j’éjacule quatre à cinq giclé de sperme, mon cousin m’a gardé en bouche et avale ma semence. Je n’ai jamais eu d’orgasme comme celui-ci, je tremble comme une feuille, je suis vidé dans tous les sens du terme mais Robert n’a pas l’air rassasié, il a toujours ma verge en bouche et a repris une fellation douce, j’ai posé ma main dans ces cheveux pour les caresser lentement, jessaye de reprendre mes esprits. Enfin, il me quitte, drôle d’effet, je regrette presque qu’il arrête, j’ai aimé être au chaud dans sa bouche, sentir sa langue sur ma queue, mon gland c’est…….Il me tire de ma rêverie

– tu as aimé, me demande-t-il

    – Oh oui ! Lui dis-je, je n’ai jamais éprouvé cela, c’était incroyable

    – j’ai vu, tu es plutôt bruyant quand t’a un orgasme

    – ben ! d’habitude pas mais je suis navré, lui marmonnais-je un peu vexé

    – faut pas être navré, il n’y a personne chez toi, tu peux crier comme tu veux, me dit-il.

    Je suis toujours allongé sur le dos, Robert c’est installé sur le côté et me caresse le corps gentiment, je me sens bien mais je me sens coupable d ’avoir jouit et pas lui mais j’ai peur de faire la même chose, surtout je n’ai jamais vu de près un sexe d’homme et je n’ai jamais fait de fellation j’appréhende le moment mais je sais que je dois lui faire plaisir, alors je tourne vers lui.

Suite au prochain épisode et j’espère que ça vous a plu.

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