Cette histoire remonte au mois dernier.
Après une semaine de travail assez rude, je me languis du samedi soir pour prendre l’air avec ma chérie quand, le vendredi après-midi, des collègues de travail me proposent de sortir samedi soir entre hommes pour une soirée dans un pub ; je leur réponds " la prochaine " car j’ai promis à ma chérie une soirée en amoureux.
La semaine de travail est finie ; je rentre à la maison et là, surprise : elle est dans la chambre sous la couette, fiévreuse et me dit qu’elle est malade. Je suis dégoûté mais me dis que le lendemain tout ira mieux !!! Le lendemain, elle est toujours dans le même état et ne sort pas du lit. Du coup, je lui demande si ça la dérange que je sorte et la laisse seule ; elle me répond : « Du tout. Tu sais, j’ai chaud, j’ai froid Sors avec tes collègues plutôt que de rester là à me regarder dormir sous la couette. »
Je prends mon téléphone et appelle un de mes collègues pour lui dire qu’en définitive, je viens et lui explique que ma femme est sous la couette. Le soir arrivé, elle n’a pas bougé du lit ; je lui fais un bisou et rejoins mes collègues.
La soirée est sympa : billard, bières, bonne musique. Plus la soirée avance, plus l’alcool monte aussi ; nous délirons de plus en plus, parlant de cul comme tous les mecs. Sur les quatre mecs que nous sommes, je suis le seul en couple ; donc, ils ne manquent pas de me brancher sur le fait que je suis câlé comme un vieux et que je dois m’ennuyer, etc. etc. (ils ne savent rien de nos ébats ni de ma femme car ils ne l’ont jamais vue).
L’alcool aidant, je leurs dis que je ne m’ennuie pas car elle est ouverte d’esprit, a un cul de rêve, une taille magnifique et un 95C divin ; ils me répondent que tout homme dit la même chose de sa femme. Ni une, ni deux : je cherche une photo d’elle sur mon téléphone, mais je n’ai pas grand-chose, à part quelques photos des ses seins, de son corps, mais aucune de l’ensemble car je ne veux pas que l’on puisse tomber dessus si je viens à oublier mon téléphone ou le perdre. Je leurs montre quelques-unes de ces photos ; ils rigolent, me disant que rien ne prouve que ce soit elle !!!! N’aimant pas me faire moucher, et voyant qu’il est presque 3h du matin, je me dis qu’elle doit dormir à poings fermés et que je pourrais leur faire une ou deux photos et leur montrer afin qu’ils arrêtent de me chambrer. Je leur propose donc de passer en coup de vent, de m’attendre dans le salon pendant que je leur ferai quelques clichés, ce qu’ils acceptent.
Nous partons du bug relativement saouls et allons chez moi. Arrivés devant la porte, je leur demande de ne pas faire de bruit, vu qu’elle est fatiguée, et de m’attendre sagement dans le salon.
J’ouvre la porte, leur montre la direction du salon qui se trouve sur la droite de l’entrée pendant que je vais à l’opposé en direction de la chambre. Je me retourne afin d’être sûr qu’aucun d’eux nait l’idée de me suivre, et les vois tous les trois entrer dans le salon. Je rentre doucement dans la chambre et là, surprise : elle n’y est pas !!!! Je vais vite voir dans la salle de bain, me disant qu’elle allait peut-être mal, mais personne !!! Il ne restait plus qu’un seul endroit : le salon. Je traverse vite le couloir et rentre dans la pièce.
À ma grande surprise, je les vois tout les trois devant le canapé, devant ma chérie dormant à poings fermés allongée sur le fauteuil, vêtue de sa robe de chambre mais grande ouverte (une bouffée de chaleur due à la fièvre, certainement ; il fait plus frais dans le salon). Sous leffet de la fraîcheur, ses seins pointent fièrement et mes trois lascars, bouche grande ouverte pantalon déformé, la fixent de leurs regards. Je m’approche d’elle, leur passe devant afin de refermer sa robe de chambre pour baisser la pression et essayer de clôturer cette soirée. Je referme délicatement sa robe de chambre et là, à moitié dans les vapes, elle la rouvre et me dit « J’ai chaud ; je suis venue t’attendre sur le canapé car j’ai envie de sexe » puis elle attrape mon pantalon et le déboutonne d’une main.
Je me retrouve la queue à l’air et elle commence à me branler sans même ouvrir les yeux. L’effet de l’alcool me fige sur place ; j’essaye toutefois de la raisonner en lui disant que je ne suis pas seul. Elle me répond « Je m’en moque, j’ai trop envie Il na qu’à se joindre à nous ! » Elle ouvre les yeux. Je vois, à son regard surpris, quelle s’attendait à un collègue, et non pas trois, et qu’elle ne connaissait pas. Après quelques secondes d’hésitation, elle se remet à me branler et commence à se caresser la chatte qui, bien vite, commence à mouiller.
Les lascars ne bougent pas ; c’est elle qui leur dit « Il faut que je pleure pour que vous veniez ? » Ni une, ni deux, ils s’approchent et se mettent à poil ; nous sommes trois au-dessus de son visage et le dernier se met entre ses cuisses et commence à la caresser.
Elle nous branle, nous suce tour à tour pendant que l’autre la doigte avec un, deux, trois doigts. Sa chatte est trempée. J’ouvre le tiroir de la table basse et en sors une boîte de capotes. Bien vite, un de ceux qui se faisaient sucer s’équipe et prend la place entre ses cuisses ; elle se retourne et se met à quatre pattes. Il ne peine vraiment pas pour la pénétrer, tellement sa chatte est trempée ; il commence à la limer sans retenue. Il va tellement vite quil ne cesse de sortir de sa chatte ; elle se relève et lui dit de s’allonger sur le canapé, qu’elle préfère prendre les choses en main. Il s’allonge ; elle passe sur lui de face et s’empale sur sa queue. Elle monte et descend tout en continuant à nous sucer, puis je vois mon partenaire de droite se raidir pendant qu’elle le suce et quil gicle dans sa bouche ; elle le regarde et avale : il en devient fou et ne débande pas. Se relevant, elle attrape la queue qui la baise et la présente à l’entrée de son cul, puis se laisse descendre. Je remarque qu’il n’a aucune difficulté pour l’enculer. Elle gémit de plaisir et en redemande. Ses va-et-vient sont de plus en plus rapides ; je le vois se crisper sur ses hanches avec un râle de plaisir : je comprends qu’il vient de jouir. Mon collègue de gauche le remplace ; elle met sa bite dans sa chatte et commence à monter et descendre dessus.
Je laisse ma place aux deux qui ont déjà joui et me présente à l’entrée de son cul ; je frotte ma queue contre l’autre queue et sur sa chatte afin de la lubrifier. La sentant grande ouverte, je décide de m’y immiscer et colle ma queue à l’autre tout en suivant le mouvement. Nous voilà à deux dans sa chatte ! Elle gémit de plus en plus fort et en redemande deux dans sa chatte pendant qu’elle remet en forme les deux autres en les suçant. N’y tenant plus, je me retire et la lui mets dans le cul : maintenant elle hurle de plaisir tout en le suçant de plus en plus fort.
Sous l’effet de l’alcool, je décide d’innover : je l’attrape par la taille tout en restant dans son cul et me relève. Je suis debout, la tenant par la taille ; je la sens descendre le long de ma queue pour arriver en butée. Elle en tremble de plaisir. Puis un autre se présente face à elle pour lui mettre dans la chatte ; elle met ses bras sur ses épaules et nous la prenons ainsi durant de longues minutes. N’étant pas des M. Muscle, nous arrêtons cette position et elle se met à quatre pattes sur la table basse ; la hauteur est parfaite. Nous la prenons maintenant chacun à notre tour dans le cul, la chatte, et on se sert de sa bouche comme d’un troisième orifice. Elle nous demande de la prendre comme une chienne, nous dit qu’elle aime ça ; ce que nous faisons sans la moindre hésitation…
La tension montant, l’un d’eux lui jouit dans la bouche, puis un deuxième. Moi, je jouis dans son cul ; pour le dernier, elle se met sur le dos pour quil se serve de ses seins comme dun fourreau : il jouit entre ses seins. Ma femme ne manque pas d’étaler le sperme dont elle est recouverte pour lutiliser comme crème de massage.
Étant tous vidés et satisfaits, nous nous rhabillons ; je les raccompagne à la porte et leur demande « Alors, satisfaits ? Vous pensez toujours que je m’ennuie ? » J’eus juste des sourires en guise de réponses, et un « On remet ça quand tu veux !!! »
La suite dans un prochain épisode.
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