Annabelle et sa nouvelle vie
Cela faisait 3 semaines quAnnabelle et Franck avaient emménagé dans cette nouvelle ville, ce nouveau poste devait apporter à Franck cette reconnaissance dont il avait toujours rêvé.
Il sétait sacrifié à son travail depuis des années dans lombre de ces supérieurs hiérarchiques à accomplir toutes les basses besognes dont personne ne voulait, à faire des heures supplémentaires en nen plus finir, à sacrifier ces weekend et sa vie de couple.
Annabelle était fière et heureuse quenfin il puisse récolter le fruit de ses efforts, elle aussi avait consentie beaucoup de sacrifice, une carrière professionnelle mise entre parenthèse, une vie sociale en berne et elle avait même renoncé à ce désir denfant qui autrefois lui tenait tant à cur.
Aujourdhui elle était très optimiste sur leur avenir, revenir vivre dans le sud avait toujours été son plus grand désir, loin de cette grisaille parisienne et de la froideur de ces habitants qui passent à côté de vous sans un mot ou un regard, qui restent plongés dans leurs téléphones leurs tablettes ou leurs livres sans se préoccuper des autres.
A 32 ans Annabelle était une très belle femme, féminine et pleine de grâce du haut de son mètre soixante-quatorze, un rien ne lhabillait, des courbes superbes avec juste ce quil fallait dimperfection pour la garder naturelle, pas comme tous ces mannequins de papier glacé aussi fade que dépourvues de personnalités.
Ces cheveux longs et châtain avait des reflets tantôt sombre tantôt plus clair suivant la lumière, ces yeux noisette et sa peaux légèrement matte finissaient de magnifier ce jolie brin de femme.
Ce matin-là, Franck était partie de bonne heure et Annabelle traînait au lit prise entre deux sommeil. Il était presque dix heures quand un rayon de soleil perça entre les rideaux et finit de la sortir de sa torpeur.
Ils avaient dormi fenêtres et volets ouverts pour garder un agréable courant dair qui leur permettait de conserver une température agréable dans la chambre. La chaleur il est vrai était assez étouffante en ce mois dAoût et les météorologues nhésitaient pas à parler de canicule. Cela ne la gênait pas !! Bien au contraire elle appréciait cette chaleur longtemps attendue, elle sétira comme une chatte sur son coussin, ces mains caressaient légèrement son corps en effleurant doucement les parties les plus sensibles de son anatomie la faisant frissonner de plaisir.
Elle nétait pas particulièrement portée sur le sexe, elle navait eu en tout et pour tout que trois amants dans sa vie et Franck en faisait partie mais elle appréciait ces moments de plaisirs solitaires.
Ces doigts étaient bien plus agiles que la langue ou la queue de Franck, elle titillait dabord son clitoris avant de senfoncer le majeur et lindex dans la chatte toujours plus profondément, on aurait dit ce matin-là que la chaleur décuplait le plaisir et lui donnait des envies encore insoupçonnées. La cyprine lui coulait entre les cuisses, humectant au passage son anus et formant une tache sur le drap.
Cest quand elle glissa un dernier doigt au fond de sa chatte que lorgasme arriva, il était bien plus fort que dhabitude, des spasmes lui parcoururent la colonne vertébrale et un frisson interminable lui donna limpression quun millier de fourmis lui marchaient sur le corps. Enfin elle seffondra, sa tête tournait et ces paupières étaient lourdes, elle ne parvenait pas à garder les yeux ouverts.
Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ces esprits, elle retira la main de son entre jambe et saperçue alors de létendue de son plaisir. Ces doigts étaient gluants, jamais elle navait produit autant de mouille, elle esquissa un sourire et porta sa main à son nez. Lodeur forte qui sen dégageait lui donna un nouveau frisson quelle réprima dun seul coup.
-tu es folle ma pauvre fille !! pensa-t-elle tout haut.
Un peu honteuse mais heureuse quand même elle fila vers la douche.
Elle descendit ensuite prendre un café et grignoter quelques fruits, puis elle remonta dans sa chambre pour se maquiller et enfiler ses vêtements. Elle choisit une robe dété légère et moulante de couleur blanche qui sarrêtait à mi-cuisse. Elle tira du placard à chaussure, une jolie paire de nus pieds à talons haut dont la couleur rouge écarlate tranchait parfaitement avec le blanc immaculé de sa robe, puis elle compléta sa tenue avec un petit sac à main rouge assorti à ses chaussures.
Elle prit le premier bus en direction de la vieille ville, après un trajet dune demi-heure elle pouvait enfin déambuler dans les ruelles étroites pleines de petites boutiques, de restaurants et autre magasin en tout genre.
Cest vers 18h00 quelle décida de se poser à la terrasse dun café, le garçon ne tarda pas à se diriger vers ce jolie brin de femme pour prendre sa commande.
-Bonsoir, que puis-je servir à une aussi jolie demoiselle ?
Elle sourit au compliment et répliqua Madame !! Je prendrai une citronnade.
-Malheureusement les plus belles femmes sont toujours prises, Soupira til. Cest partie pour la citronnade.
Cela faisait quelques minutes quelle était assise à profiter de cet instant quand la sonnerie de son smartphone retenti. La photo de Franck apparu sur lécran, elle se dépêcha de répondre.
-Bonjour Mr !! Vous vous souvenez de votre épouse lança-t-elle sur un ton narquois.
— salut chérie, la journée na pas été de tout repos. Sa voix était serrée et tendue.
— je suis en train de préparer ma valise, nous avons un souci avec notre fournisseur de Pékin je dois partir sur le champ.
-quoi ? Comme ça tout de suite heu je tu veux mattendre je suis en vil
Il ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase.
-Non chérie, un taxi mattend le président a mis son jet privé à ma disposition, je pars dans une heure.
-Mais combien de temps tu
-Franchement jen sais rien, tu connais les Chinois ils peuvent négocier pendant des jours je dois filer je taime, je tappelle dès que possible.
Il raccrocha la laissant pantoise, elle ne comprenait pas ce quil venait de se passer voilà comment une journée qui avait si bien commencé finissait en eau de boudin
Cest le moment que choisi le serveur pour lui apportait sa citronnade.
— Heu !! Jai changé davis apportez moi un Mojito sil vous plait
Le reste de la soirée et de la nuit navait été quune longue déambulation. De bar en bar, elle avait fini dans cette boite de nuit construite dans une ancienne cave. La chaleur y était étouffante, sur la piste de dance Annabelle était en sueur, ses vêtements lui collaient à la peau ses cheveux étaient trempés, son maquillage avait passablement souffert laissant autour de ses yeux deux étoiles de rimmel.
Il devait être 05h00 quand elle se décida à sortir de la boite de nuit, lair frais du matin lui fit le plus grand bien, sa tête tournait elle avait arrêté de compter au septième Mojito. Cela faisait longtemps quelle navait pas passé une soirée comme celle-là, épuisée et un peu embrouillée par lalcool elle nen demeurait pas moins ravie de sêtre vidée lesprit.
Elle tituba vers un panneau daffichage ou se mêlait entre annonces pour animaux perdus et autre publicités pour sites pornos des numéros de téléphone de Taxi.
Elle composa un numéro au hasard. Au bout de plusieurs bip cest une voix cassée et nasillarde qui répondit.
— Oui allo !!
— Bonjour ! dit-elle en bredouillant-je me trouve devant la boite de nuit THE BASEMENT pouvez-vous venir me chercher ?
Il y eut un long blanc avant que la voix ne réponde.
— Combien de personne ?
— Je suis seule. Répondit-elle.
— Daccord je note votre numéro je suis là dans 15 min.
Elle se posa sur un banc juste à côté pour attendre larrivée du taxi. Cest 20 minutes plus tard quune vieille voiture de marque allemande sarrêta à 10 mètre delle. Lhomme baissa la vitre et lui jeta un regard perçant.
Elle se dirigea vers lui en titubant un peu, elle tenait ses chaussures dans une main et son sac dans lautre.
— Hou la ma petite dame !! lui lança til vous mavez pas lair très en forme, faudrait pas me gerber dans la bagnole
— Non je vais très bien ! Menti-t-elle.
— Ca na pas lair vous allez monter à côté de moi comme ça je pourrai vous surveiller.
La porte côté passager souvrit, elle grimpa à lintérieur du véhicule et senfonça dans le fauteuil qui devait être tellement vieux que la mousse semblait avoir totalement disparu.
Le chauffeur devait avoir la soixantaine, il nétait pas beau, le crane brillant un nez crochu et des petits yeux noirs qui bougeaient dans tous les sens.
Lhomme la détailla de la tête aux pieds en prenant son temps, puis il lui posa la question tout en réglant son rétroviseur et en lançant son compteur.
— On va ou ?
— Impasse des mûriers près du boulevard saint Cassien.
— Je connais !! Cest pas la porte à coté ça va nous prendre une bonne demi-heure.
Elle comprenait à demi-mot ça va coûter cher.
— Je sais faites en sorte de prendre le trajet le plus court, Je suis fatiguée ! Rétorqua-t-elle.
La voiture sélança, les deux mains sur le volant il ne disait pas un mot et jetait régulièrement des regards dans le rétroviseur central.
Cest là quelle prit conscience que la soirée avait été débridée, de nombreuses taches jalonnaient sa robe blanche, le bouton du haut sur le devant avait sauté laissant son décolleté ouvert sur son entre seins et une partie de la couture sur le côté gauche de sa cuisse était décousue laissant largement apparaître son string.
Elle se dandinait pour essayer sans succès de rattraper tout ça. Le chauffeur lui se délectait de la situation en jetant des regards salaces sur les cuisses découvertes.
Bizarrement elle commençait à trouver une certaine excitation à cette situation ambiguë, son cur battait la chamade ses mains tremblaient et sa respiration se faisait courte. Elle remonta sa jambe en posant son pied sur la tablette du tableau de bord ce qui eut pour effet de finir de déchirer la robe.
Le chauffeur continuait à la regarder avec un air encore plus pervers, elle lexcitait, il bandait comme un salaud, ses couilles était dure prêtent à répartir sa semence dans son short.
Cest à une centaine de mètre de chez Annabelle quil donna un violent coup de volant sur la droite. Il sintroduisit dans une petite ruelle bordée de deux grands murs de part et dautre, il sarrêta devant un vieux portail de bois dont les herbes folles qui avaient poussé devant laissaient penser que celui-ci navait pas été utilisé depuis longtemps.
— Alors salope tu veux jouer, lui lança til.
Elle était sans voix, les yeux fixés dans les yeux de son interlocuteur. Le vieux posa une main sur la cuisse dAnnabelle et rapidement remonta celle-ci sur son sexe. Elle ne bougeât pas.
-Tu veux voir une grosse bite salope ? Touches moi la queue !
-jeje ne
Ne la laissant pas continuer il sorti lui-même sa bite de son short, elle était grosse et luisante, son gland était rouge et tout humide. Il la branlait doucement de sa main gauche puis il prit la main dAnnabelle et la posa dessus. Elle commença un mouvement de bas en haut sur lénorme tige, elle en avait vue parfois daussi grosse dans des films porno sur le net mais jamais elle naurait pensé en toucher une pareille. Elle devait faire pratiquement le double en longueur et diamètre de celle de Franck.
-cest bien petite pute continue comme ça, voilà tu vois cest pas difficile.
Elle ne pouvait pas lever les yeux de ce chibre. Il posa sa main sur sa nuque pour la faire plier vers le sexe tendu.
-Allez suce moi salope tu vas adorer.
-Non attendez !!
Elle se retrouva à quelques centimètre du gland, son odeur était forte et du liquide sécoulait de lurètre jusquaux couilles. Elle ouvrit la bouche et goba le chibre, tétant cette grosse queue avec une avidité dont elle-même ne se serait pas cru capable.
-Ah oui !! Cest bon sale pute continue, bouffe moi bien la queue pouffiasse, jadore ta bouche.
Pour la première fois elle se faisait insulter par un homme et cela lexcitait fortement. Elle redoubla deffort en pompant le chibre et en caressant les couilles du vieux. Dun seul coup il lécarta et sorti de la voiture, il la contourna tout en retirant ces vêtements. Il était à poil dans la ruelle et ouvrit la porte du côté dAnnabelle.
-Tourne toi salope, lui ordonna til.
Elle sexécuta, montrant ces fesses au vieux qui sempressa de remonter ce quil restait de sa robe sur son dos et de baisser son string. Une odeur musquée de mouille et de sueur lui remonta aux narines.
-Ah !! Tu pue sale chienne, ça me fait encore plus bander.
Il prit son sexe et enfonça le gland dans la fente bien mouillée dAnnabelle, puis il marqua un temps darrêt avant denfoncer le reste de sa tige. Elle poussa un cri de plaisir, sa chatte était complètement remplie, la tête enfoncée dans le fauteuil elle ressentait chaque coup de boutoir au fond delle.
-Oui !! Oui !! Vas y, prends moi fort cest bon oui !!! Oui !! hurla-t-elle.
Il lui pilonnait la chatte comme un enragé, faisant coulisser son chibre dans le vagin, il était en rut enfonçant ses ongles dans les hanches de la belle.
Elle senti lorgasme arriver, elle était prise de spasmes, le monde aurait pu sécrouler autour delle quelle ne sen serait pas rendue compte. Cest à ce moment quil sorti sa queue, elle sentie les longues giclées de sperme sécraser sur son cul. Le foutre lui inondait la raie des fesses et coulait le long de son anus jusquà sa chatte, quelques gouttes sengouffrèrent même dans le vagin encore bien ouvert.
Elle resta comme ça quelques secondes qui lui parurent une éternité. Pendant ce temps le chauffeur se rhabillait, puis il se dirigea vers elle et la fit sortir du véhicule. Il posât le sac à main et les chaussures au sol, monta dans sa voiture passa la marche arrière et quitta les lieux, laissant Annabelle au trois quart nue dans la ruelle. Doucement elle remonta son string et baissa sa robe, du sperme lui coulait le long des cuisses. Elle récupéra son sac et ses chaussures et commença à remonter vers chez elle.
Le jour commençait à se lever quand elle tourna la clef de la porte dentrée, elle passa devant la grande glace du couloir avant de monter les escaliers. Limage quelle lui renvoyait nétait que lombre delle-même. Ses cheveux étaient en batailles, son maquillage avait coulé sur ces joues, sa robe nétait plus quun chiffon déchiré et pleine de taches, ses jambes et ses pieds étaient noir de crasse.
Elle resta quelques secondes à se regarder ainsi
Elle monta à létage et seffondra dans son lit sans même se dévêtir. Le radio réveil marquait 06h23 quand elle sendormie
A suivre