C’était il y a quelques années je venais de finir mes études en fac.
J’avais trouvé un stage d’été en juillet.
Je devais faire du secrétariat pour une grande société.
Les premiers jours cela ne se passa pas sans mal car mon chef ne semblait pas m’apprécier. Je devais classer des dossiers, taper quelques lettres ce qui n’était pas mon fort ne connaissant pas l’informatique et le traitement de texte.
J’en parlais le soir à mon copain qui venait m’attendre et qui me disait que cela allait s’arranger.
Un jour qu’il faisait très chaud j’avais mis une petite robe courte imprimée boutonnée devant et qui s’ouvrait légèrement dans le bas, s’il y avait un coup de vent on voyait un peu ma petite culotte blanche et des sandales légères car les bureaux n’avaient pas de fenêtres qui s’ouvraient.
En arrivant le matin j’étais la première et je dus attendre l’ouverture des bureaux en plein courant d’air. C’est mon chef qui arriva un peu après qui m’ouvrit la porte. Evidemment il y eut un coup de vent à son arrivée et, bien malgré moi, il profita du spectacle pendant une seconde.
A dater de ce jour il se fit très gentil avec moi, mais sans trop en faire tout de même.
Dans l’après midi il me demanda de ranger avec lui des dossiers tout en haut d’un placard et pour cela de monter en haut d’un grand escabeau.
Il me passait les dossiers clients et je les mettais en place. Je remarquais qu’il lorgnait un peu sous ma robe. Cela ne me gênait pas plus que cela, j’en avais vu d’autres et puis il n’était pas mal. La trentaine, plutôt pas mal et j’avais 22 ans.
Il me passa un dossier très lourd et monta derrière moi sur l’escabeau. Il effleura ma cuisse avec sa main ce qui me fit comme une petite décharge électrique dans le dos, pas désagréable. Gentleman il s’excusa et je lui répondis que ce n’était rien.
Nos relations ne cessaient de s’améliorer.
Il me proposa même de me donner quelques cours pour me perfectionner en traitement de texte.
Quelques jours plus tard alors que j’avais remis la même petite robe, il me dit que si je voulais à la pause déjeuner, il était libre pour m’aider avec l’ordinateur. J’acceptais. A midi il me demanda de venir dans son bureau et nous enferma à double tour. Il me fit installer sur sa chaise devant son ordinateur et me dit que nous allions commencer par un cours sur la bonne position à prendre pour taper efficacement un texte.
Il se plaça derrière moi et commença à m’expliquer :
— Pas comme ça, mademoiselle C., vous êtes trop rigide, détendez vos épaules ! Me dit-il en me passant ses mais sur les épaules. ’Placez bien vos mains sur le clavier, et puis desserrez un peu la ceinture de votre robe !
Joignant le geste à la parole. Il continua desserrant ma robe, puis me massant les trapèzes sous prétexte que cela devait me faire mal. Il descendit plus loin sur les seins, dégrafa mon soutien gorge car cela devait me gêner pour taper. Il me caressait maintenant les seins. Il descendit encore et encore vers la culotte qu’il enleva avec la robe. J’étais toute nue et je continuais de taper mon texte.
Il fit alors tourner mon siège et sortit son sexe qui était fort dur. Je le pris dans ma bouche. Puis il me fit allonger par terre et m’écarta les cuisses. Il me pénétra et me fit jouir. Puis je dû me retourner et, une fois à quatre pattes, il me sodomisa. Pour finir il me demanda de le sucer à nouveau et lâcha tout son sperme dans ma bouche. Je l’avalai, j’adore ça.
Inutile de préciser qu’il devint mon amant de chaque jour pour le reste du stage. Il m’avoua même à la fin qu’il se faisait des petites stagiaires aussi souvent que possible, mais que j’étais la plus chaude.
Nous sommes restés en contact, et nous nous voyons encore quelques fois pour une partie de jambes en l’air, à l’insu de mon copain du moment.
J’aime le sexe que voulez-vous !