Ancienne terre, année standard 2599.
Fille d’un longue série de mutation génétique, je suis invisible…quand je veux… Gourmande de sensations, j’utilise cette capacité pour prendre et surprendre.
Je suis arrivée depuis peu sur cette planète où (à cette heure) des milliers de personnes marchent tranquillement pour aller travailler. Je suis sortie de chez moi affamée, avec une furieuse envie d’assouvir mes désirs. Que choisirai-je aujourd’hui ? Tous ces gens qui me regardent… C’est vrai que je me fait trop remarquer avec ces porte jarretelles qui ne sont plus à la mode sur ce monde… Je disparais…. Ah, enfin tranquille… Je mate…. un peu petit celui-là… je tâte… et je ris, celui-là était vraiment surpris d’avoir senti ma main ! Je ne sais même pas ce que je veux….Tiens, et celui-là qui à l’air casé et revenu de tout ? Si je lui faisait une petite surprise à ma façon? Je t’emboite le pas, j’effleure ce renflement qui m’attire… pas mal pour un terrien… Il ne s’agirai pas d’être déçue, j’ai sur moi quelque chose qui à fort besoin d’être comblé. Où vas-il ? Oh, bien… un immeuble qui date d’avant la révolution architecturale de 2523… mon idée se précise. Son pas est fort, décidé.. si le reste suis…j’en suis humide de désir.
Il appelle l’ascenseur qui mène directement à son bureau. Impeccable, pas difficile à mettre en panne ce modèle-là. Et puis non, pas de panne franche… je ralentis juste la vitesse du mécanisme. Il serait temps de t’éveiller un peu.. Je lui offre la vision fugitive d’un bas qui glisse.. il clignes des yeux, pas sûr de ta vue… je dévoile juste un sein sortant d’un bustier noir…il ferme les yeux.. puis les rouvre pour ne rien voir de plus. Mais l’imagination travaille.
On est arrivé. Son bureau est un classique des bureaux actuels de directeurs : grand, sobre, il y a même un canapé, une table de réunion… Zut, un intrus, son supérieur on dirait. Tant pis, il ne me voit pas lui non plus, je me déshabille peu à peu gardant juste mes dessous, je relève un petit peu une jambe de ton pantalon et je commence à l’effleurer de bas en haut du bout de mon sein. Il tressailles, puis se reprend. Je déboutonne son pantalon et commence à masser de ma bouche son membre qui s’affermit sous le tissu et commence à demander sa libération.
Heureusement pour lui, son boss n’a rien remarqué et sort après lui avoir serré la main. Il ferme les yeux, pousse un soupir de soulagement. Je lui chuchote (toujours invisible) de baisser les stores des vitres de son bureau. Il s’’exécute en somnambule. Il y a un store voilé, celui qui donne sur les autres bureaux, on ne voit pas grand chose de toutes façon.
Intrigué tout de même par ce qui vient de se passer il fait les cent pas, hésitant entre faire inspecter son bureau ou se laisser guider par ses instincts. Il finis par s’assoir sur la table de réunion, pensif. Je glisse ma jambe sous sa main. Elle joue avec les attaches du bas, il les défait machinalement presque… Les bas ont glissés par terre. Je fais glisser son pantalon, puis le slip, admire une fraction de seconde l’objet dressé devant moi, mourant de désir de l’enfourcher tout de suite.
Mais je veux plus. Je darde une langue coquine sur sa cheville, remontant lentement le mollet, la cuisse, l’autre, effleurant de ma joue son membre, comme par hasard, redescendant à l’intérieur de ses cuisses. Il me cherches des mains, je me laisse effleurer, m’échappe, le repousse sur cette table dure et froide. Je lui enlève ses derniers vêtements, et attache ses mains avec mes bas et monte sur la table au dessus de lui. Mes deux seins encadrant son membre, je lèche le tour de son bout, le caresse du bout de mes dents. Ma respiration s’est accélérée, je suis tendue, ma forêt s’est fendue d’une rivière de désir. Elle est attirée comme un aimant vers son membre, le désir brouille mon invisibilité et il me voit par instant. Je résiste un peu, lui offre un peu de mon élixir en chevauchant juste le bout… Tout son corps se tend pour pénétrer le mien… pas encore… Je redescend le sucer, il est de plus en plus dur, il se débat dans ses liens, j’ai senti une goutte amère…serais-il prêt ? Je suis brulante, tremblante, prête à l’accueillir en moi… Je l’abandonne tremblante de désir pour desserrer ses liens pour qu’il puisse se libérer aux moments les plus forts. Il ne sais plus ou je suis lorsque il me sens à nouveau sur lui. Je le chevauche tout doucement… le plaisir me fais geindre…cela force un petit peu, je l’avais sous estimé, je m’enlève tout de suite pour ne pas m’habituer, je le lèche à nouveau le long de son membre… je n’en peu plus. je me précipite, le chevauche violemment. Je le veux au plus profond de moi, plus fort, je lache un cri malgré moi. Je m’arrête et l’immobilise pour ressentir les pulsations de son membre en moi…. Il a déchiré mes bas. Enfin libre de ses mouvements, il prend le dessus et me lie les mains dans le dos avec sa cravate. Prisonnière il me fait languir, m’effleure les seins de son membre chaud et humide, darde à l’entrée de mon sexe, il me fais frémir du bout des doigts, y rentre un doigt, deux, trois… pendant que je halète d’impatience, il prends un petit brumisateur de poche et le fait aller et venir en moi pour m’habituer à plus gros calibre car son membre a encore enflé de désir.. Je m’affole tellement que j’en ai des soubresauts.
Il prend doucement le temps de me bander les yeux, de m’attacher les deux jambes bien écartées au bord de la table. Je ne sais pas ce qui m’attend. je suis là, offerte…Et il se venge…en me fourrant d’une bouteille glacée sortant de son frigo personnel…Je jette un cri perçant de déception de surprise et de plaisir mélés..
Il est descendu de la table et me nargue en frolant mes jambes avec son membre chaud… il m’abandonne 10 secondes qui me paraissent une éternité… Soudain il me pénètre de toute la longueur de ton membre avec une force qui m’arrache un râle, il prend un rythme de plus en plus fort, cherchant son plaisir à coup de butoir. Je perd tout repère pour ne plus ressentir que ce va et vient qui me fouille, m’écartèle, me remplit, accelère au rythme de mes cris. Je sens qu’il est prêt de jouir et lorsque que le sperme jaillit en moi, j’abandonne toute maitrise, je jouit, arque mon corps à la rencontre du tien et resserre mon intime etreinte par spasmes, comme pour sucer encore les autres jets qui arrivent par a coup et brulent mes sens………..
O2X