CHAPITRE 4

Comment une jeune fille de dix-huit ans et demi, consentante, pouvait être déjà aussi perverse avec moi, un homme de quarante-huit ans ? Je navais pas de réponse à cette question mais jétais heureux de pouvoir profiter de cette aubaine

Il était près de onze heures et je navais rien à manger. Je lui proposai de lemmener au restaurant dautant que javais une idée derrière la tête.

— Je temmène déjeuner. Tu veux bien ?

— Ça nest pas un restaurant trop chic car je nai que ma tenue dhier quand je suis arrivée ici ?

— Non mais tu vas rentrer chez toi avec ton scooter et tu pourras te changer. Je te suivrai en voiture. Comme ça je ferai la découverte de ton univers.

— Oh oui je veux bien. Tu me feras lamour dans ma chambre là où depuis quelques mois je me masturbe en pensant à toi ?

— Pourquoi pas ! Allez en route !

Après sêtre habillée dans le garage, Capucine enfourcha son scooter. Je la suivis jusque chez elle en voiture à à-peine deux kilomètres de là.

Je garai ma voiture au bout dune longue allée devant le perron de la maison de ses parents. Elle me fit entrer et me mena directement dans sa chambre. Pleine de peluches, cétait le désordre dune jeune fille à peine sortie de ladolescence. Son grand lit nétait pas fait et javais limpression de violer son intimité. Je restai planté à la porte, embarrassé. Fine mouche, elle sentit que je nétais pas à mon aise, elle me prit dans ses bras et posa ses lèvres sur les miennes pour dissiper mon malaise. Je répondis doucement à son baiser pour la rassurer. Elle se détacha de moi et se dirigea vers le dressing.

— Tu maides à choisir une tenue qui te convienne ? Tu préfères une robe ou un pantalon ?

— Jopterai plutôt pour une jupe au-dessus du genou pour bien montrer tes jambes magnifiques, un chemisier boutonné qui laissera deviner la naissance de tes seins, un string et pas de soutien-gorge.

— Coquin ! Tu veux mexhiber ? Je serai fière de montrer que je tappartiens !

— Oui je veux voir le regard des hommes briller et imaginer leur sexe en érection quand tu passeras devant eux.

— Tu es un vicelard et je taime pour ça.

— Tu mettras aussi ça.

— Quest-ce que cest ?

— Des boules de geishas. Tu les fais pénétrer dans ta chatte et tu laisses juste dépasser lanneau de la chaîne qui les relie entre elles, comme pour un tampon quand tu as tes règles.

— Ça sert à quoi ?

— Tu vas vite le découvrir

Après avoir choisi les vêtements correspondants à mes désirs, Capucine senferma dans la salle de bains doù elle ressortit un quart dheure plus tard. Je restai coi tant elle était belle dans cette tenue toute de simplicité, la taille serrée par une large ceinture mettait en valeur sa poitrine libre et ses fesses fermes, ses jambes longues, gainées de bas couleur chair, ses yeux bleus rehaussés par un léger maquillage, ses lèvres finement ourlées à limage de ce que javais découvert le soir où elle sétait révélée devant sa webcam. Ce nétait plus une gamine, cétait LA FEMME dans toute sa splendeur tant le parfum dérotisme qui se dégageait delle était violent.

— Tu es magnifique ! Viens un peu près de moi que je déboutonne un peu ton chemisier on ne voit pas assez tes seins ! lui dis-je, en baisant ses lèvres légèrement. Jen profitai pour vérifier, en passant ma main sous sa jupe, quelle avait bien mis en place les boules de geishas.

Je fis sauter un bouton et me penchait pour embrasser le haut de ses globes somptueux qui me faisaient tant deffet.

— Si tu continues comme ça jai peur que nous soyons en retard au restaurant, me dit-elle avec un sourire malicieux.

— Cest vrai mais, sens comme je bande déjà lui dis-je en prenant sa main pour la poser sur mon vit en érection.

— Tu veux que je te suce avant de partir ?

— Non je préfère attendre ça nen sera que meilleur quand je te prendrai fou de désir. Allons-y !

Pendant le trajet qui nous menait au restaurant ; situé au milieu dune île sur le lac du Bois de Boulogne auquel on accédait uniquement par un bac ; je fis exprès de ne pas éviter les cahots rencontrés le long de la route. Capucine était en transe car à chacun de ceux-ci les boules agissaient diaboliquement, les petites billes à lintérieur sentrechoquant entre elles provoquant des vibrations sur les parois de son vagin. Ça entraînait des contractions de son périnée et la montée de son plaisir quelle commençait à manifester par de petits cris.

— Humpfff cest fantastique ce truc que tu mas fait mettre. Jamais je ne tiendrai jusquau restaurant il faut que je jouisse.

— Fais voir !

Elle souleva sa jupe et me montra son string déjà trempé. Je mis juste mes doigts à lentrée de son sexe dégoulinant et elle poussa un cri terrassée par lorgasme. Il y avait des kleenex dans la boîte à gants dont elle se servit pour se nettoyer. Heureusement ses sucs intimes étaient restés contenus dans son string sans entacher sa jupe. Jusquà larrivée au restaurant elle jouit encore deux fois dans limpossibilité de refréner ses montées de désir.

En sortant de voiture elle eut un peu de mal à reprendre ses esprits pour avoir une démarche assurée. Heureusement la traversée en bac lui permit de reprendre une attitude normale. Le maître dhôtel nous accueillit pour nous mener à notre table dans un coin un peu isolé près de la magnifique baie qui donnait sur le lac. Inutile de vous dire que tous les regards des hommes étaient dirigés vers Capucine, sublimée dans sa manière de marcher par ses escarpins à talons hauts qui mettaient en valeur ses longues jambes, au grand dam de leurs épouses ou maîtresses Fier delle, je lisais dans leur regard la chance que javais de pouvoir posséder une telle femme. Nous nous assîmes côte à côte sur une banquette en arc de cercle, dos à la salle. Plus personne ne pouvait nous voir, le bruissement qui avait accompagné notre arrivée cessa.

— Tu as vu comme les hommes te regardaient ?

— Oui et ça additionné au travail quont continué à faire les boules de geishas jai encore envie de jouir.

— Tu es infatigable !

— Cest ta faute aussi pourquoi as-tu encore inventé ce jeu pervers ?

— Ne me dis pas que tu naimes pas ça ?

— Si jadore mais jaimerais tellement que tu me baises maintenant en levrette sur la banquette, dit-elle en me donnant un léger baiser sur la bouche.

Notre conversation érotique fut stoppée par larrivée discrète du maître dhôtel venu prendre notre commande :

— Vous avez choisi ? Non nous ne lavions pas fait mais je commandai derechef deux coupes de champagne, deux soles meunières et leurs légumes croquants, le tout accompagné de deux verres de Sancerre blanc avec deux tartes aux pommes pour le dessert.

Une fois notre commande prise, un serveur ne tarda pas à nous amener les coupes.

— À nous et à la poursuite de ton éducation !

— Il ny a personne ! Fais-moi jouir avec tes doigts je nen peux plus !

— Eh bien, dis-moi tu te dévergondes !

Heureusement la nappe était longue et couvrait nos cuisses.

— Enlève ton string !

— Ici ?

— Oui personne ne te verra ! Tu le mets dans ton sac à main.

Je vis Capucine se tortiller et les yeux brillants, me montra discrètement le trophée que je lui avais demandé denlever et quelle enferma dans son sac. Il était temps car le serveur arrivait avec les soles.

Une fois parti, je glissai ma main à lintérieur de la fourche de ses cuisses pour la doigter et la mener, tout en délicatesse, au plaisir quelle demandait. Lorgasme atteint je lui fis lécher mes doigts en signe de remerciement.

Nous entamâmes une conversation des plus banale que je dirigeai lentement et sûrement vers un côté plus torride

— Dis-moi ce matin je tai sodomisée pour la première fois quas-tu ressenti avant et après ?

— Tu sais mon expérience est nulle sur ce sujet puisquhier soir jétais encore vierge. Alors comparer lanal et le vaginal cest peut-être un peu tôt tu ne crois pas ?

— Je ne te demande pas de comparer mais de me faire part de tes sensations.

— Il me semble que les sensations physiques que jai pu ressentir lors de ma sodomie ont été particulièrement riches, beaucoup plus riches, beaucoup plus variées, que ce qu’elles ont pu être avec un rapport vaginal. L’instant de la pénétration a été un moment particulièrement fort. Jai aimé cette sensation d’être forcée, au moment où ton sexe est entré en moi. Jai aimé tes pénétrations un peu hardies, où la douleur a cédé rapidement la place au plaisir. Jai aimé sentir mon anus lutter puis se dilater progressivement, jusqu’au relâchement total. En fait jai aimé me donner à toi complétement, sans aucune retenue, pour ton plaisir dabord, puis le nôtre lors de ton éjaculation finale dans mon rectum. Sais-tu pourquoi jai accepté ?

— Non !

— Uniquement parce que je suis folle amoureuse de toi. Je suis lucide ce nest pas après une journée de baise que ça mest arrivée, cest juste après ma réflexion sur Facebook. Cest inexplicable mais cest comme ça. Je sais quun jour, lorsque tu auras tenté toutes les expériences avec moi, tu te lasseras et tu me quitteras. Tu me feras mal, très mal. Je mettrai du temps à men remettre mais ainsi va la vie

Jétais ému par cette déclaration. Avait-elle raison ? Jétais incapable dy répondre. Nous avions trente et un ans de différence handicap lourd à affronter. Ses parents, ses amis accepteraient-ils une telle situation ? Pourtant je sentais pointer en moi quelque chose dindéfinissable. Commencerais-je à laimer elle qui sabandonnait à ce point, prête à être partagée avec des femmes ou des hommes comme elle lavait accepté ce matin à sa sortie de la douche ?

En attendant il fallait que je la rassure. Je la fis tourner vers moi, lui pris la tête doucement entre mes mains et je posai mes lèvres sur les siennes dans un chaste baiser.

— Jai envie de toi. Terminons vite notre repas et rentrons chez moi pour faire lamour. Je veux te faire crier, me supplier jusquà plus soif et te faire oublier ces tristes pensées.

Inutile de vous dire que le voyage de retour fut rapide. Nous courûmes dans ma chambre, arrachant nos vêtements au passage, jeus juste le temps denlever les boules de geishas de sa chatte, avant de nous faire culbuter sauvagement lun sur lautre, mon sexe pénétrant avec violence son antre surchauffée et trempée. Elle nattendait que ça, je nattendais que ça Nous nous mordîmes mutuellement les lèvres dans un baiser ravageur, nos langues mêlées, ses ongles senfonçaient dans mon dos. Je passai mes mains sous ses fesses pour les masser vigoureusement et menfoncer encore plus profondément en elle. Je sentais ses chairs intimes presser mon vit durci. Je me relevai légèrement, mes lèvres quittant les siennes, je lui fis lever ses cuisses et commençai un pilonnage en règle. Elle criait, elle hurlait que cétait merveilleux. Elle prononçait des mots damour comme seules les femmes savent le faire. Elle me demandait, me suppliait de finir avec elle pour, quelques secondes plus tard, me dire de continuer Jétais endurant, elle avait joui plusieurs fois, je ne lui laissais aucun répit, elle était au bord de lépuisement.

Dans une ultime poussée je me répandis en elle, lui arrachant un dernier rugissement de bonheur concrétisant un orgasme fulgurant commun. Je mécroulai sur elle en lui baisant doucement les lèvres en remerciement de ces intenses moments. Nous venions de vivre ensemble, une fois encore, « la petite mort »

Je jetais un il à la pendule sur la table de nuit et vit avec étonnement que cela faisait trois-quarts dheure pendant lesquels nous navions pas arrêter de faire lamour. Je mendormis apaisé.

Mon épuisement était tel que je me réveillai tard dans la soirée, Capucine penchée sur moi, me regardait avec amour, sa main posée en conque sur mon sexe endormi.

— Ça fait longtemps que tu es réveillée ?

— Un peu plus dune heure. Je ne me lassai pas de te voir dormir paisiblement. Je voulais te laisser récupérer pour mieux profiter de toi ensuite, dit-elle avec un sourire malicieux.

— Tu vas me faire avoir une crise cardiaque si on continue à ce rythme, dis-je en riant.

Ça neut pas lair de la chagriner un tant soit peu sa main me caressant les couilles, ses lèvres vinrent vite la rejoindre pour emboucher mon sexe et démarrer une douce fellation. Mon sexe, malgré la fatigue, reprit vite de la vigueur tant Capucine était douée. Contente du travail effectué elle vint se positionner au-dessus de moi, prit mon vit en main et, à son rythme, le fit pénétrer lentement dans son cul jusquà la garde – Elle mavoua quelle avait prémédité son geste, pendant que je dormais, en se faisant un léger lavement avec une poire quelle avait trouvée dans la salle de bains et en senduisant lanus avec le lubrifiant en bombe que javais utilisé ce matin.

Javais ses seins devant moi. Je les empoignai afin de les masser et je la fis pencher pour entamer la succion dun de ses tétons, le mordiller, à la limite du mâchouillement. Je vis quelle commençait à prendre son pied en la voyant fermer les yeux et faire aller et venir son cul sur ma bite érigée tel un mât de cocagne.

— Tu aimes comme je te masse la verge avec mes sphincters anaux ?

— Jadore tu apprends vite !

— Jai un bon professeur expérimenté qui me fait adorer le sexe Je sens que je ne pourrai plus men passer jai trop besoin de ta queue.

Stimulé parce quelle me disait et ses pressions anales je ne tardais pas à décharger dans son fondement alors quelle jouissait de mon enculage et du travail de ses seins. Jeus la surprise alors de la voir se déculer pour prendre en bouche mon pénis déjà flasque et le nettoyer. Elle me regardait pour voir si jappréciais cet abandon delle-même. Je lui répondis en flattant doucement sa tête pour lencourager à continuer et à avaler plus profondément mon sexe.

Après une courte collation, ce fut une nuit sage, javais besoin de recharger mes batteries tant les heures précédentes avaient été intenses côté sexe.

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