" recherche comédienne expérimentée, production sérieuse, diffusion télé, envoyer cv et photos…"
sur la route mon coeur s’accélère, je veux l’avoir. Un rôle pour un téléfilm rémunéré, avec ça j’aurais un pied dans le milieu,
il n’y avait pas de texte à apprendre, improviser ne me fait pas peur.
Pour l’occasion j’avais décidé de me mettre en valeur, et les regards des passants étaient suffisamment évocateur pour que je sois sûre d’avoir réussi mon coup : talons aiguille rouge de 10cm, robe moulante et courte rouge aussi, et bien sûr pas de collants par cette chaleur…
Je sonne, un homme me fait entrer, il est grand, brun, plutôt musclé, il me fait entrer dans une pièce presque vide : une table, une chaise, une caméra et deux autres types.
je lance un grand " bonjour !
— Mademoiselle, prenez place je vous pris
— merci"
s’ensuit un long silence pendant lequel les deux types me dévisagent, celui qui m’a fait entrer installe un projecteur braqué sur moi, je suis éblouie, troublée, j’ai chaud et je ne sais pas ce que je dois faire.
" alors? Vous voulez que je vous récite un texte ?ou une impro?
— on va y venir, vous pouvez vous levez?
je m’exécute
-bien, tournez un peu sur vous même, on dois voir votre allure. Le réalisateur ne se déplace pas, on rencontre les gens et on lui montre ceux qu’on a préféré. bien, on va passé à la pratique si vous voulez
-avec plaisir, qu’est ce que je dois faire?
— Le rôle est celui d’une nymphomane, accro au sexe, alors je vais vous demander de vous adressez à la caméra comme à un homme que vous voulez convaincre de coucher avec vous, vous êtes prête à tout pour cela, même à le supplier à genoux, c’est clair?
— euh..oui ça devrait aller
— alors on y va"
je sentis mon souffle s’accélérer, j’étais extrêmement mal à l’aise face à ces trois homme dont je ne distinguai que les silhouettes à cause de la lumière
— j’ai envi de toi, maintenant, je voudrais qu’on couche ensemble. Quoi? Ne me dis pas que tu n’en as pas envie? un corps comme le mien? ( je commençais à me caresser la poitrine et le ventre par dessus ma robe) allez, viens par là chéri, mais prend moi bon sang, j’en peux plus là tu le vois pas, je suis trempée touche allez!!! allez fais moi jouir .."
-merci mademoiselle, vous y mettez du coeur c’est bien ça.
Les deux autres types se sont mis à rire.
-elle est drôlement mignonne en plus..
— oui, à croquer..
— écoute ma jolie, moi j’ai bien envie de t’aider, mais tu vois c’est du donnant donnant..
— pardon?
— tu sais combien vous êtes à postuler? A passer aujourd’hui? Faut savoir se démarquer..
— je crois que je vais m’en aller
— comme tu veux; Je te croyais plus motivée c’est tout !"
Je m’apprêtais à partir, j’ai une hésitation, il le sentit
" on va bien s’amuser tu sais.." il s’approcha de moi avant de saisir les hanches " t’es vraiment pas mal tu sais, je vais adorer te labourer" il me saisit les cheveux pour me guider jusqu’à son sexe, les deux autres s’approchèrent en se déboutonnant, j’avais une queue dans la bouche et deux autres en érection qui attendait leur tour, je n’aurai jamais pensé que ça m’exciterait tant,
"elle fait ça bien tu va voir" il avait retiré sa queue vite remplacée par celle de son ami, il enleva ma culotte et remonta ma robe.
j’avais très certainement l’air d’une pute. il s’enfonça en moi sans prévenir, mon cri de surprise fut stoppé par la queue dans ma gorge, il faisait de grand va-et-vient, les queue s’alternaient dans ma bouche,
"c’est bon hein ma salope
— ouais ptite salope va
-dis le qu’t’es une salope
— allez grosse pute
— je suis une salope
— j’ai pas bien compris-
— je suis une salope
La gifle partit sans prévenir
-plus fort !!
— JE SUIS UNE SALOPE
— à quatre pattes allez !!
je ne sais pas pourquoi j’étais si docile mais j’étais dans un état second, tout ce que je voulais c’étais leurs bites encore et encore
— c’est bien petite chienne tu as bien méritée ton nonos
sodomisée par surprise, je me demandais ou tout cela allait mener……
a suivre..