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Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 28




Comme Alexandre n’était pas à la paillotte, je suis allé chez lui, laissant Maman en tête à tête avec son thé glacé.

Il m’a ouvert la porte, a sourcillé.

— Salut mec, t’es tout seul ? Elle est où ta mère ?

Il n’essayait même pas de dissimuler qu’il n’en avait plus rien à cirer de moi, que seule Maman l’intéressait désormais. Il était si brut de décoffrage, manquait tellement de tact qu’il m’a irrité.

— Elle se sentait pas bien, elle n’est pas venue.

— C’est vrai ? Quel dommage ! J’arrête pas de penser à elle.

— Tu veux qu’on aille se baigner ?

— Non mec, je suis crevé, je vais rester chez moi.

— Je te charriais ducon, elle nous attend mais repose-toi, hein, puisque tu es si fatigué.

Son visage s’est éclairé.

— Tu rigoles ? Ça change tout ! Si elle est là, bien sûr que je viens !

J’ai déjà loué les talents de comédienne de Maman, mais la performance qu’elle a réalisée ce jour-là méritait une récompense. Il ne lui a pas fallu longtemps pour prendre mesure d’Alexandre, et adapter son comportement en fonction. Et vas-y que je rougis comme une vraie pucelle effarouchée quand il me fait des compliments, que je minaude, que je baisse pudiquement les yeux par ci. Vas-y que je frétille de la croupe quand je marche devant, que je bombe le torse pour faire saillir mes nichons sous son nez à la moindre occasion par là. Elle alternait, soufflait le chaud et le froid avec un art consommé. J’étais béat d’admiration.

Alexandre était comme un fou, la suivait partout comme un gentil toutou. A un moment, ils sont allés se baigner, et mon cur a saigné en voyant Maman rire aux éclats à ses plaisanteries. Elle buvait ses paroles, suspendue à ses lèvres, n’avait d’yeux que pour lui. Elle était douée à ce petit jeu, j’étais bien placé pour le savoir. J’avais beau me dire que j’étais responsable de la situation, je n’en étais pas moins abominablement jaloux. Quand ils sont sortis de l’eau, elle l’a envoyé lui chercher une boisson. J’ai compris qu’elle voulait qu’il s’éloigne pour me parler.

— Il est charmant ton copain, et il n’a pas froid aux yeux il me fait un de ces rentre-dedans ! Tu es sûr que c’est ce que tu veux ?

– Et toi, alors ? On dirait que ça ne te déplait pas, que tu apprécies tout autant.

— C’est toujours flatteur de se sentir désirée, mais tu n’as qu’un mot à dire et je le remets à sa place.

— Surtout pas, Maman, ne change rien, tu es éblouissante.

Ils sont retournés se baigner, se sont charmés, m’ont superbement ignoré. Quand j’en ai eu assez, je lui ai proposé de rentrer ; elle ne s’est pas faite prier. Avant de nous quitter, Alexandre l’a embrassée sur les joues, en s’attardant un peu trop à mon gout.

— Votre fils est un vrai cachottier, Nadia, il m’avait caché qu’il avait une aussi délicieuse maman On se dit à demain ?

— Avec plaisir enfin, si Maxime veut bien.

— Pas de problème, nous serons là rendez-vous-même heure même endroit.

Dans la voiture, j’étais renfrogné, elle s’en est vite aperçue.

— Qu’est-ce que tu as, Maxime, pourquoi fais-tu la gueule ?

— Il t’appelle déjà Nadia ? Sérieusement Maman ?

— Mais tu es incroyable tu m’as demandé de séduire ce garçon, et tu me le reproches maintenant ?  Faudrait savoir ce que tu veux, bon sang !

— Je ne pensais pas qu’il était aussi sûr de lui, qu’il serait aussi direct.

— C’est ton idée, mon chéri, il n’a fait que t’obéir tout comme moi.

— Il t’aurait tronchée dans l’eau s’il avait pu, ce connard ! Je ne lui ai pas proposé d’essayer de te baiser sous mes yeux à cet enfoiré Je lui ai demandé d’être discret, pas de me manquer de respect.

— Ah, c’est donc ça, c’est là où le bât blesse Monsieur est contrarié parce que sa fierté en a pris un coup !

— Je n’ai plus envie d’en parler.

Après un diner partagé dans une ambiance maussade, Maman est allée se changer. J’étais avachi sur mon fauteuil, ruminait devant la télé quand elle est revenue. Elle avait enfilé une chemise de nuit, à même la peau, qui ne cachait rien de son anatomie. Elle s’est allongé, s’est étirée, a déplié ses jambes dans le canapé. Je pouvais voir ses gros seins sous le tissu transparent, la tache sombre de son pubis.

— Alors, qu’est-ce que tu as prévu qu’allons-nous faire, maintenant, avec ton copain ?

Ce « nous » m’a donné des frissons. Il signifiait qu’elle adhérait sans restriction à ma perversion, qu’elle en était partie prenante, que nous étions unis dans la même folie.

– J’hésite encore je pense que je vais lui proposer de venir me chercher

— Ici ? Mais il habite loin ! Est-ce qu’il a le permis, une voiture, un scooteur au moins ?

— Qu’est-ce que ça peut te foutre ? Il se débrouillera !

— Je demandais, c’est tout, pas la peine de t’énerver.

— On dirait que tu tiens vraiment à ce qu’il vienne… je me trompe, Maman ?

Elle a rougi, s’est passée la main dans les cheveux, les a balayés nerveusement ; son attitude était éloquente, et loin de me satisfaire. Je me suis demandé, l’espace d’un instant, si mon petit jeu n’était pas en train de déraper, de m’échapper, mais j’en ai chassé l’idée.

– Tu disais, mon chéri ? Continue, je suis tout ouïe.

— Comprends-moi bien… l’important, c’est qu’il croit qu’il sera seul avec toi.

— Et ce ne sera pas le cas ?

— Bien sûr que non, t’es conne ou quoi ? Réveille-toi, putain, nous en avons déjà parlé !

Elle m’a regardé d’un air ahuri, a réfléchi, et puis elle m’a souri de manière entendue.

— Tu seras là, c’est ça ?

— Evidemment, mais je me cacherai.

Elle a soutenu mon regard.

— Tu as envie de voir ta maman faire des cochonneries avec lui, j’ai bien compris, mais jusqu’à quel point exactement ?

— Il n’est pas question qu’il t’encule. Ça jamais. Il est à moi ton cul, rien qu’à moi.

— Je sais, mon chéri, tu me l’as déjà dit.

— Je ne veux pas qu’il te baise non plus en tout cas pas la première fois.

— D’accord, mais alors quoi ?

— Tu verras bien tu improviseras.

— Ce que tu peux être vicieux quand même, Maxime mais tu m’as tellement détraquée que je suis excitée, si tu savais !

J’étais soulagé qu’elle le reconnaisse, même si je trouvais qu’elle prenait son rôle un peu trop à cur. Elle s’est levée, s’est débarrassée de sa nuisette en marchant vers moi ; j’ai rabattu mon short sur mes chevilles, l’ai attendue assis droit comme un i sur mon fauteuil, la queue dressée. Elle est venue s’empaler dessus en gémissant de bonheur. Elle m’a chevauché, a incliné son buste pour m’offrir sa poitrine nue ; je lui ai sucé le bout des seins, l’ai tirée par le cul pour m’enfoncer plus loin dans son vagin. Nous avons baisé longtemps. Fougueusement. Passionnément.

Après, elle est restée sur moi, en nage, toute ramollie dans mes bras, tremblante d’extase. Mon sexe était toujours en elle, ma langue tournait dans sa bouche quand je me suis levé ; je l’ai soulevée par les fesses pour la porter jusqu’au canapé, l’ai allongée dedans. Tout son corps frissonnait, des spasmes de plaisir incontrôlables l’agitait sans cesse. J’ai lissé ses cheveux, l’ai couverte de baisers. J’ai attendu qu’elle se calme, qu’elle s’assoupisse, et puis je suis allé me coucher. J’avais besoin de récupérer. J’ai dormi d’un sommeil de plomb.

Le lendemain, Alexandre a recommencé son petit numéro. Il n’a pas lâché Maman d’une semelle. Il était si entreprenant que j’ai dû calmer ses ardeurs. Je me suis emporté et il s’est froissé, alors je lui ai fait part du plan que j’avais élaboré. Il m’a écouté avec attention, m’a demandé des précisions. Nous avons même échangé nos numéros, afin que je l’appelle en cas d’imprévu. Il était déterminé, et ça me réjouissait d’autant plus que j’avais volontairement omis de mentionner la partie la plus importante. Celle qui ne le regardait pas, celle où il était question de ma présence aux réjouissances. Nous nous sommes quittés bons amis.

Pour accueillir son hôte, Maman s’était habillée très sagement, et elle portait des sous-vêtements. Je ne voulais pas qu’elle soit trop provocante, au point qu’il s’imagine que la partie était gagnée d’avance. Elle était ravissante dans sa petite robe de cotonnade, paraissait si innocente qu’on lui aurait volontiers donné le bon Dieu sans confession.

— Tu crois qu’il va venir ?

Elle faisait les cent pas, se rongeait les sangs.

— Il ne va pas tarder il est persuadé qu’il sera seul avec toi, il ne pourra pas résister.

— Je ne sais plus, Maxime, j’ai peur, ça va trop loin tout ça on devrait tout arrêter, tu ne crois pas ?

— Ecoute tu entends ? Quand on parle du loup

— On a sonné ? Oh mon Dieu, ça doit être lui.

— Tout va bien se passer, Maman, aie un peu confiance en toi.

— Dis-lui de partir, mon chéri on restera tous les deux, rien que toi et moi Tu pourras me faire tout ce que tu veux !

— Il est trop tard pour reculer tu ne peux plus te défiler.

Elle m’a imploré du regard, mais je lui ai ordonné d’aller ouvrir la porte ; elle a tapé du pied en rouspétant, mais elle s’est pourtant exécutée.

— Bonjour Nadia, vous allez bien ?

— Salut Alex, qu’est-ce que tu fais là ?

— J’ai rendez-vous avec Maxime.

— Tu es sûr ?

— Ben oui, on doit aller au ciné.

— Il a dû oublier, ce vilain C’est tout lui, ça ! 

— Vous êtes sérieuse ?

— Il est parti voir ses amis, il m’a dit qu’il ne rentrerait pas avant la nuit.

— Merde alors, j’ai fait tout ce chemin pour rien ?

— Entre, mon pauvre Tu ne vas quand même pas repartir tout de suite parce qu’il t’a posé un lapin.

— Volontiers Nadia, c’est gentil, je vous remercie.

J’étais dans le couloir, les entendais mais ne pouvais pas les voir. L’entrée en matière de Maman était remarquable. Elle savait vraiment y faire, la garce, elle me bluffait une fois de plus. Je me suis demandé comment Alexandre allait réagir. Se montrerait-il aussi décidé qu’à la plage, ou au contraire plus réservé ?

Ils se sont installés sur la terrasse, ont bavardé en buvant leur café. Je commençais à m’ennuyer, à trouver le temps long, quand j’ai entendu Maman  pousser un hurlement ; je me suis approché pour voir ce qui se passait. Il s’était jeté sur elle, et elle se débattait comme une furie, le repoussait.

— Qu’est-ce qui te prend, Alex, tu es fou ou quoi ?

— Ne me prenez pas pour un idiot vous ne m’auriez jamais proposé de rentrer si vous n’aviez pas une idée derrière la tête.

— Mais qu’est-ce que tu racontes, pour qui tu me prends ? Je t’ai invité à venir me tenir compagnie, c’est tout Tu t’imaginais quoi ?

— Arrêtez votre cinéma, Nadia, je sais que vous en avez autant envie que moi.

— Tu es ridicule, voyons, je suis beaucoup trop vieille pour toi Je pourrais être ta mère !

Elle le provoquait d’entrée de jeu en l’emmenant sur ce terrain glissant. Elle me traitait de pervers, de vicieux, mais elle était encore pire que moi.

— Ce n’est pas un bon argument, je suis au courant.

— Au courant de quoi ?

— Que vous couchez avec votre fils !

— Il te l’a dit ce salaud ? Il m’avait promis de n’en parler à personne.

— Vous savez très bien qu’il me l’a dit Maxime s’est vanté que vous ne vous cachiez rien.

Il s’en sortait bien, avait du répondant, et il continuait, tout en lui parlant, d’envoyer ses mains baladeuses partout, devenait de plus en plus insistant ; Maman ne se débattait plus autant.

— Sois raisonnable, je t’en supplie, Maxime peut arriver d’un moment à l’autre.

— Vous m’avez dit qu’il ne rentrerait pas avant la nuit, vous avez menti ?

— Non, ne fais pas ça, n’insiste pas Ce n’est pas bien, il ne faut pas.

Elle le sermonnait, mais elle avait écarté les cuisses, alors il en a profité pour lui toucher la chatte. Elle l’implorait de s’arrêter, mais de sa voix haut perchée que je connaissais bien et qui n’était rien d’autre qu’une invitation déguisée à continuer.

J’étais fasciné, hypnotisé. Elle jouait avec lui comme elle avait joué avec moi, quand notre relation avait pris un tour nouveau, quand notre couple était né du chaos provoqué par l’absence de son mari. Il a retiré sa main de la culotte, a reculé, a ouvert sa braguette. Il était écarlate, avait les yeux exorbités.  

— Je vais vous montrer l’effet que vous me faites.

Il s’est débarrassé de son pantalon, et de son caleçon juste après.

— Regardez, Nadia Vous voyez ?

– Oh putain Oh mon Dieu !

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle avait vraiment de quoi être impressionnée

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