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Mes premiers congés payés – Chapitre 55




Après avoir passé ma langue en cercle sur chacun de ses globes, je me rapprochais petit à petit de la jointure de ces derniers, sans appuyer, je posais ma langue en bas de la raie et remontais doucement vers le haut, Fernand gémit et je sentis ses muscles se détendre, je relevais la tête et voyant sa poitrine se soulever à un rythme accéléré, lui demandais « ça va ? Tu veux que jarrête ? »,

Fernand : « non, surtout pas, continues sil te plaît »

Moi : « que je continues quoi ? Merde à la fin, dis-moi ce que tu veux »

Fernand hésita et se lança : « bouffe-moi le cul, passes ta langue partout, je ne savais pas que cétait aussi bon », il ne men fallut pas plus, de mes deux mains jécartais ses fesses et je commençais à balayer sa raie avec ma langue, de bas en haut et de haut en bas, puis je marrêtais au-dessus de son anus, posais le bout de ma langue dessus et arrêtais de bouger, Fernand gémit à nouveau, je sentais son anus palpité sous le bout de ma langue, javais envie de fouiller son ptit trou mais je voulais que ce soit lui qui me le demande et cest ce quil fit, quand il sentit que je ne bougeais plus,

Fernand : « arrêtes de jouer, bouffe-moi loignon, rentres ta langue dedans et fouille-moi avec », avec gourmandise, je fis ce quil me demandait tout en saisissant son sexe pour le branler en même temps, Fernand gémissait de plus en plus, je ralentis les mouvements de ma main et de ma langue, je voulais quil jouisse dans ma bouche, javais très envie de sentir son sperme gicler au fond de ma gorge.

Je me redressais et alors que je reprenais sa queue gonfler de désir dans ma bouche, je caressais dun majeur mutin, son anus, Fernand gémissait à chaque coup de langue sur son sexe et à chaque caresse appuyée de mon majeur sur son ptit trou, je décidais quil était temps de voir comment il allait réagir si mon doigt le pénétrait et poussant un peu sur ma main tout en lavalant en entier, je fis rentrer la première phalange, aucune réaction, si ce nest une respiration plus haletante et saccadée, je poussais encore et rentrait mon doigt en entier dans son cul, Fernand gémit encore plus, et, sortant sa queue de ma bouche, je lui demandais « tu aimes ? »,

Fernand : « putain, oui jaime, jadore même, continues ne tarrêtes surtout pas » bien planté dans son cul, mon doigt limait son anus facilement, et je décidais dy glisser un second doigt, au passage des deux, Fernand se contracta un peu, javais repris sa queue dans ma bouche et pour le décontracter, jaspirais dessus avec gourmandise, je sentis ses sphincters se relâcher et je poussais dun seul coup mes deux doigts qui furent aspirer dans son tunnel anal, Fernand gémit en disant : « salaud, tu aurais pu faire plus doucement », jarrêtais de bouger mes doigts et sortais son sexe de ma bouche,

Moi : « ok jarrêtes »

Fernand : « nonnnn, oh non, sil te plaît, continues, bouffe-moi le zob et fouilles mon cul, jadore ça, ces trop bon », je reprenais ma fellation tout en activant mes doigts dans son fondement, je sentis très rapidement que Fernand allait jouir, dun coup de poignet je rentrais mes doigts au fond de son cul alors que jaspirais de toute mes force sus sa bite, ce que je voulais arriva, il explosa dans ma bouche avec un cri sauvage, et alors quil se déversait complètement au fond de ma gorge, je recommençais à lui limer lanus, Fernand hurla de plaisir, quand le flot de sperme se tarit, je lui nettoyais la queue avec gourmandise, je sortais mes doigts de son cul et relevais la tête pour lui demander si tout allait bien.

En relevant la tête, je vis Marianne, appuyée sur le chambranle de la porte, elle avait sa blouse ouverte, une de ses mains caressait un de ses seins et lautre était entre ses cuisses occuper à se masturber.

Fernand ne lavait pas vu, je lui demandais « alors tu as aimé ? En tout cas tu mas mis la dose dans la bouche mon salaud »

Fernand savourant son plaisir les yeux fermés me dit : « jai adoré, cétait trop bon, jamais je noserais demander à Marianne de men faire autant, je pense quelle naimerait pas », Marianne, sétait rapprochée doucement, et cest à son oreille quelle répondit « tu nauras pas besoin de demander mon chéri, jai tout vu et tu y auras le droit puisque tu aimes ça »

Puis se tournant vers moi « merci pour ce joli spectacle, mais toi tu nas pas pris de plaisir, alors enlèves ce short et donnes moi ta queue à bouffer, jai envie de sperme et tu viens de vider mon réservoir personnel alors cest toi qui va me donner ma dose ».

Je me levais, enlevais mon short et présentais à Marianne un sexe tendu du désir, elle pris ma place dans le fauteuil et me pris en bouche, très rapidement elle accéléra les mouvement de ses lèvres et passant une main entre mes jambes, puis je sentis son majeur me caresser la raie, je maccroupis légèrement pour lui ouvrir le passage, Marianne sortit ma queue de sa bouche et me dit : « tu aimes ça aussi, mon poussin, tu veux que je te doigte le cul pendant que je te suce hein ? » et sans attendre la réponse, le doigt quelle avait posé sur mon ptit trou rentra dans mon cul et commença à y faire de doux et lents va et vient, puis elle dit « eh ben dis donc tu as le trou large mon poussin, je nage dedans, et elle joignit un second doigt eu premier.

Je gémissais de plaisir sous laction commune de sa bouche sur mon sexe et de ses doigts me ramonant lanus, Marianne me lâcha à nouveau et dit, « je vais te baiser le cul avec mes doigts jusquà ce que tu te vides les couilles dans ma bouche » et elle se remit en action jusquà ce que je me vide au fond de sa gorge alors que ses doigts étaient plantés au fond de mon anus.

Je restais empaler sur ses doigts jusquà ce que Marianne ai avalé tout mon sperme, puis elle se leva, enleva sa blouse et dit « à moi maintenant, Fernand tu vas me bouffer le minou pendant que ce ptit cochon va me dévorer le ptit trou, puis elle sinstalla tête bêche sur Fernand et me regardant, elle dit « viens me dévorer, mon poulet, faites moi jouir avec vos langues », Marianne jouit trois fois sous laction commune de nos langues et cest exténués que nous nous assîmes pour boire un rafraichissement et nous repaître du plaisir que nous venions de prendre.

Après plusieurs minutes de silence, Marianne me dit : « tu pars jeudi, je crois, tu vas nous manquer, jespère que tu reviendras nous voir », je lui répondis que je pensais revenir effectivement, car javais passé un très bon séjour et que javais beaucoup apprécié de faire leur connaissance.

Puis je rejoignis la maison de mes cousins, Bernard bricolait dans son garage, Brigitte était dans sa chambre et je trouvais Jeanine allongée dans une chaise longue sur la terrasse, je la trouvais songeuse et je lui en demandais la raison.

Jeanine mexpliqua que Brigitte partant à la fin de la semaine, elle allait se trouver seule à la maison, et que ça linquiétait un peu, mais que cétait pour le bien de sa fille et quelle allait bien finir par sy habituer.

Bernard, qui avait entendu notre conversation, sortit de son garage et dit en rigolant « alors ma grosse, on se languit déjà de sa fille, tinquiète, je serais là pour te faire oublier son absence, moi », Jeanine lui répondit que pour lui faire oublier labsence de Brigitte, il faudrait une présence un peu plus régulière que la sienne, il rentra dans la maison en disant : « cest agréable, je men rappellerais, en attendant, jai la dalle, alors jespère que le repas est prêt sinon ça va chier pour ton matricule ma grosse ».

Le repas était prêt et il fut comme tous les soirs, depuis presque deux semaines, rapide et silencieux, personne navait rien à dire à personne.

Après le repas chacun regagna sa chambre, je me mis sur la terrasse pour lire et 2h après alors que je me levais pour aller me coucher, Jeanine arriva et me dit avec des yeux brillants de désir « dors bien mon chéri, demain va être une dure journée pour toi » et elle membrassa les lèvres, puis se ravisant, elle me fit face à nouveau et me dit « enfin, dure pour ton ptit cul surtout, il va servir plus que dhabitude, et à autre chose quà chier, je te lpromets ».

Sur cette promesse, je rejoignis ma chambre et mendormais très vite, épuisé par la journée que je venais de passer et sachant très bien que celle du lendemain le serait tout autant.

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