Une fois mes deux acolytes partis, je redescends, tout est propre. Elles prennent une douche, bonne initiative. Je rentre dans leur chambre.

Vous mettez vos tenues de soubrettes, on sort.

Je remonte me préparer et contacte Madame Martin, une éducatrice. Elle a 60 ans, grande blonde au visage sévère, pas grosse ni fine et des seins imposants. Très directive, elle a dressé les plus réfractaires des épouses. Elle est une amie de longue date. Elle nous attend pour 20 heures. Je vérifie leur tenue.

Je roule en direction de Marcq-en-Barul. Les filles ne pipent pas un mot, normal, je leur ai mis un bâillon tube et attaché leur main dans le dos. On arrive. Un coup de klaxon, et le portail s’ouvre. Je les aide à descendre et les guide à l’intérieur d’une immense bâtisse. Madame Martin nous attend dans l’entrée.

Bonsoir Hervé, me dit Madame Martin, mais que m’amenez-vous là ?

Bonsoir, Brigitte. Voici Camille et Geneviévre. Deux petites que j’ai rencontrées…

Je m’en fous, tu devrais le savoir.

Elle tourne autour de ses deux proies. Elles sont en position d’attente, jambes écartées et les yeux baissés. Elle leur caresse leurs fesses, titille leurs tétons, mains sur la nuque. Elles bavent à travers leur bâillon, ça coule sur leur menton et sur leurs seins.

Que veux-tu, qu’attends-tu d’elles ?

Une obéissance aveugle. Elles ont décidé d’elles même, pas eu besoin de faire un long discours.

Bien, très bien. Elles ont de l’expérience ?

En pluralité masculine et féminine, oui. En domination pure, non, aucune.

De la chair fraîche, hum. Il y a longtemps. Elles ne sont plus vierges ?

Non.

Embrassez-vous, dit-elle après avoir enlevé les entraves de leur bouche.

Elles se tournent l’une vers l’autre, sortent leurs langues et jouent comme je leur ai appris. Je suis fier d’elles.

Je vois, elles ont eu des consignes. Très bien. Les piercings sont ravissants.

Elle tape deux fois des mains, une fille de 30 ans apparaît, nue, cheveux coupés très courts. Elle est petite, bien enrobée, des seins visiblement refaits, des fesses qui appellent la fessée, des piercings aux joues, aux seins et à ses lèvres intimes.

Numéro 1, voici numéro 2 et 3. Prépare-les et montre à ces deux salopes la cuisine, vous ferez le service au petit salon.

N°1 s’en alla en tenant par la main les désormais N° 2 et 3 (Camille et Gény). Brigitte ouvrit une lourde double porte et me fit asseoir. De petit salon, il n’avait que le nom. Il était immense. On n’eut pas longtemps à attendre. Les trois filles reviennent avec tout ce qu’il faut pour passer une excellente soirée. Elles sont nues.

Je ne tolère aucun vêtement chez moi pour les soumises. Il faut qu’elles soient accessibles à tout moment.

N°1 place N°2 et trois à mes côtés, elle va se placer entre les cuisses de sa Maîtresse.

Quelle est la plus soumise des deux ? me demande Brigitte en sirotant son Whisky.

Gény, N°3. Je crois qu’elle a déjà eu une relation de ce genre, mais avec qui ? Je l’ignore.

Approche, N°3. Alors, ton Maître vient de te poser une question.

Gény tremble. Brigitte lui demande de se mettre à genoux.

Alors ? On attend !

Avec… Avec ma mère.

Je reste ébahi de cette révélation. Tout comme Camille, enfin N°2. Elle nous explique sa relation saphique avec sa mère et son rapport "Dominante/soumise". Cela dure depuis le départ de son père, il y a trois ans.

Il était violent avec elles deux. Sa mère a trouvé son exutoire sur sa fille. Mais c’est fini depuis que sa mère travaille dur pour subvenir aux besoins de la famille.

Après ces révélations, Mme Martin se lève et accompagne N°3 face à N°2. Elle leur demande de s’embrasser.

Je les garde pour ce soir. Repasse demain vers 09 h 00, je vais les évaluer.

Je suis sur la route du retour. Mille images trottent dans ma tête. J’imagine Gény et sa mère. Il a dû s’en passer de bonnes chez elles. C’est décidé, il est 22 h 00, je fonce voir sa mère.

J’arrive devant un immeuble cossu de la banlieue lilloise. Je sais, pour y avoir déposé Gény, qu’elles habitent au rez-de-chaussée. Je regarde par la fenêtre qui donne sur la cuisine. Il y a de la lumière. Elle est là, attablée en train de grignoter. Sa fille est la réplique conforme de sa mère, vingt ans en moins. Son boubou lui va à ravir. Je tape à la fenêtre, elle sursaute en se retournant. Quand elle m’aperçoit, son visage blêmit. Elle saute dans son couloir et vient m’ouvrir la porte.

C’est Gény ? Que lui arrive-t-il ?

Elle va bien, ne vous inquiétez pas. Vous me faites entrer ?

Oui, excusez-moi.

J’entre, ça sent bon la cuisine africaine. On s’assoit dans le salon-salle à manger, la déco rappelle ses origines, le Sénégal. Elle me demande si je veux bien l’accompagner en buvant un verre de vin blanc, son pêcher mignon. J’accepte.

Bon, que se passe-t-il ?

Vous savez que Gény est venue chez moi cet après-midi ?

Oui. Avec Camille, il me semble ?

Oui. Mais ça a dérapé.

Comment cela ?

Je vais être bref. Elles sont ensemble…

Oui. Ça, je sais. Elles ne sont pas discrètes. Les cloisons sont fines ici. Hihihi.

Leur relation a évolué. Elles cherchent un mâle dominant…

Un mâle dominant, je ne comprends pas.

Elles sont bisexuelles et je suis devenu leur Maître.

Co… Comment ? dit-elle avant de vider son verre cul sec. Expliquez-moi. Vous avez couché avec ma Gény ?

Et avec Camille.

Vous couchez avec votre nièce ?

Tout comme vous avez couché avec votre fille.

Elle fond en larmes. Je la rassure comme je peux, tout ceci ne sortira pas de ce salon.

Mais pourquoi ?

C’est votre fille qui m’a choisi. Camille, par amour, l’a suivi.

Je suis perdue…

Reprenez votre rôle. Celui qu’elle aime.

Elle m’interroge du regard.

Redevenez sa Maîtresse. C’est ce qu’elle désire le plus.

Elle nous ressert. Elle reste silencieuse.

Elle est chez une amie intime avec Camille. Une Maîtresse tout comme vous l’avez été avec Geneviévre. Je les ai laissés pour qu’elle discute entre elles. Vous seriez surprise de leur dévotion envers moi. Elles ont une confiance aveugle.

Non, je ne peux pas…

Vous ne pouvez pas, et pourquoi pas.

Je la prends par la main et l’entraîne jusqu’à ma voiture. Elle suit sans rechigner. On va chez moi. Une fois les 15 minutes de trajet effectuées, je l’emmène dans ma cave. Elle reste sans voix.

C’est ici que je vais les dompter, en faire des filles prêtes à tout pour assouvir le moindre de nos fantasmes. Pas de fouet, juste le paddle, vous connaissez ?

Mais je n’ai pas de salle pour ça !

Je lui montre la chambre et les tenues qu’elles ont portées cet été. Elle comprend que le dressage a déjà commencé. On remonte dans mon salon. Elle me réclame un alcool fort.

Alors ?

Je ne sais pas, je ne sais plus.

Je lui tends un trousseau et lui dis qu’elle aura accès en permanence à ma cave. Qu’elle pourra utiliser tous les agrées sans restriction et que l’on ne sera pas trop de deux pour dresser ces furies. Je lui ressers un verre.

C’est d’accord, mais quand allons-nous les chercher ?

Normalement, dimanche matin, mais si vous voulez, on peut y aller demain.

Non, laissons votre amie les évaluer. Va pour dimanche. Vous me ramenez ?

On est très vite chez elle. Elle m’invite à la suivre jusqu’à la chambre de sa fille.

Je sais où elle cache ses jouets.

Elle monte sur une chaise et descend une boîte à chaussures de dessus de l’armoire. Il y a toute une collection de godes, de menottes. Je reconnais même les deux plugs. Petite coquine.

Confisquez-lui. Elle n’aura plus le droit de se faire jouir sans votre permission. Vous l’attacherez avec ces deux paires de menottes au montant du lit.

On ressort de la chambre. Elle entre dans la sienne en me disant de faire comme chez moi en l’attendant. Je vais au salon et me sers un whisky. J’entends l’eau d’une douche, puis des pas. Elle a changé de boubou, elle est magnifique.

On pourrait se tutoyer, me dit-elle, maintenant que l’on est intime ? Moi c’est Badgi.

Moi c’est Hervé, lui répondis-je en me levant.

Je m’approche lentement, elle me regarde intensément avec ses grands yeux noirs. Je tire vers le bas son boubou. Elle est nue. Je l’embrasse tendrement, elle ne l’entend pas de cette façon. Elle se jette littéralement sur moi, elle me mange la bouche. Elle enlève ma chemise et mon pantalon.

Hummm, qu’elle est belle rasée et bien dure comme je les aime.

Je la pousse gentiment sur le canapé. Elle se retourne en position de levrette. Elle regarde ma tige.

Viens, prends-moi comme une salope de mère qui a baisé avec sa fille. Fous-la-moi bien profond, je suis prête.

En bon prince charmant et lui fourre ma bite au fond de sa grosse chatte qui dégouline. Putain que c’est bon. Aucune comparaison avec Gény n’est possible. C’est large que l’on peut y rentrer à deux sans problème. Elle me regarde, enfin, elle regarde mon pieu ressortir luisant de son jus. Je lui claque ses fesses. Elle me dit :

Ô, oui. J’adore.

Alors, je ne prive pas. Je lui balance des tannées dantesques. J’en ai vite mal aux mains. Son petit anneau palpite. Je me recule et l’encule d’un coup.

Salop… OUIIII. TROP BON.

Mais je ne suis pas un surhomme. Je lui dis que je ne vais pas tarder. Elle se retourne et me branle en sortant sa langue. Je jouis à grands flots sur sa langue rose et dans sa bouche. Elle me sourit. Elle me finit en me suçant. Elle joue avec mon sperme et l’avale.

Délicieux… Tu restes ici.

Nous avons baisé toute la nuit et c’est vers midi que nous avons refait surface. Elle est belle avec ses seins arrogants et ses tétines qui pointent. Je lui claque ses fesses.

J’ai le cul en feu, me dit-elle en rigolant. Tu as faim ?

Oui, on va sortir et manger italien.

Après une douche réparatrice, elle s’aperçoit que ma bite a rougi. Elle prend un pot de crème et m’en enduit sur les bourses et ma verge.

Remède sénégalais. Il faudra rincer d’ici deux heures.

Elle part s’habiller d’un minishort en coton blanc et d’un tee-shirt, blanc également. C’est une charmante femme de 40 ans qui m’accompagne chez moi. Il faut que je me change. Elle visite ma maison et reconnaît que je suis un mec bien. Tout est rangé, pas de bordel, même dans ma chambre. Je suis sous le charme d’une jolie négresse. Son sourire est éclatant, son regard mutin, sa démarche féline. Je la prends dans mes bras, ses tétons me transpercent ma poitrine. Je l’aime déjà.

On est dans mon restaurant italien préféré le "BARISTO". Je demande au serveur, qui me connaît fort bien, de m’amener à une table discrète et calme. On est placé à une table au fond du restaurant. Elle me fait face. Avec 20 ans de moins, je la confondrai avec Gény. On commande tous les deux un vin blanc liquoreux en apéritif, des lasagnes accompagnées d’un Chianti.

Le repas se passe bien, en digestif, on prend un limoncello. Elle me prend la main.

C’est la première fois que je mange dans un resto aussi classe.

Il ne tient qu’à toi si tu veux connaître d’autres endroits bien plus classes.

Comment ?

En venant vivre chez moi. Il y a tous les avantages. Le gîte, le couvert. Tu sais si ma maison est si bien entretenue, c’est grâce à ma femme de ménage, mais elle s’en va à la retraite, donc la place est vacante. Je te paierais un peu moins qu’elle, 1000 euros par mois ?

Ouf, ça va vite. Tu es un homme franc et honnête. Je ne sais pas pourquoi, mais quelque chose m’attire en toi. J’hésite.

Je sais que cela doit être dur pour toi de tout plaquer pour un type que tu ne connaissais pas il y a deux jours.

J’accepte pour mon bonheur et pas que le mien.

Elle me saute au cou et m’embrasse passionnément. Je suis le plus heureux des hommes. On continue à s’embrasser quand on est interrompu par le serveur qui nous apporte deux autres délicieux digestifs au citron. Il est mort de rire et repart sans rien dire.

On se lève, on va chez elle, mais avant, petit arrêt à mon sex-shop. Elle s’étonne.

Pour tes tenues… Je n’en dis pas plus.

On entre dans le magasin bien éclairé et agencé. On choisit un corset noir, un short noir, tout cela en cuir. Je me dirige vers les tenues de soubrettes. Elle me suit sans rien dire. Je trouve une charmante tenue, en cuir aussi, mais de couleur rouge. La tenue fait plus dominatrice que soubrette, mais elle procède quand même un tablier en dentelle blanche.

Elle n’a le temps de réagir, on monte en voiture. Sur la route et les embouteillages, je lui explique :

Le corset et le short, c’est dans ton rôle de dominante. La tenue rouge, c’est pour quand tu t’occuperas de la maison.

Et comment dois-je t’appeler ?

Hervé. Il n’y a pas de relation D/s entre nous. C’est pour mon plaisir personnel. Je vis nu chez moi. Quand je sors, c’est toujours sans sous-vêtement. Des objections ?

On arrive chez elle. Le sac pour les cours de sa fille est récupéré ainsi qu’une tenue plus appropriée. Elle va dans sa chambre, récupère deux ou trois tee-shirts, des jeans et des shorts et une flopée de boubous ainsi que ses produits à maquillage. On repart chez moi.

Le reste de l’après-midi est plutôt calme. On se réserve pour demain. Je téléphone pour prévenir de la venue de la mère de N° 3. Elle en est ravie, elle préparera les petites en conséquence. Elle ne me dit rien de plus.

Le lendemain, dimanche 09 h 00, je klaxonne.

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