Il est neuf heures du marin quand Bastien dépose sa ravissante épouse Aude, âgée de vingt cinq ans, chez sa mère Claire.
-Bonjour man, dit-il en l’embrassant, ça te dérange pas que ma femme reste la semaine avec toi.
-Mais pas du tout mon chéri, au contraire, on fera d’avantage connaissance.
La première journée se passe sans encombre.
Le lendemain, Aude décide d’aller lire dans sa chambre. Elle est rejointe par sa belle mère qui s’allonge auprès d’elle.
Aude est entièrement nue sur le lit. Elle tente de remonter le drap, aussitôt rabattu par Claire.
Surprise, la jeune fille ne dit mot. Elle sent la main de Claire caresser son ventre, puis les endroits plus intimes, comme les seins, ou l’intérieur des cuisses.
-Arrêtez, s’il vous plait, supplie Aude..
-Pourquoi, répond Claire, tu aimes pas que belle maman te gratte ta petite chatte. Sens comme je te la fais mouiller..et ce petit
bouton…tu aimes pas te le faire doigter…
-Oh si j’aime..mais si mon mari vient à le savoir…c’est quand même vôtre fils.
-Tu pensais pas à lui cet après midi. Tu crois que j’ai pas vu la main du jeune voisin maghrébin sous ta robe. Il n’a que dix sept
ans..tu le sais? je t’ai vu bouger ton cul…qu’est-ce-qu’il te faisait?
-Ne dites rien…je vous en prie, c’était un accident. Il a profité de mon sommeil pour écarter ma culotte, et glisser un doigt dans
ma fente. puis il a sorti mon clitoris et me la gratté. Que c’était bon..il m’a fait jouir ce salaud.
-Et tu dormais quand t’as mis ta main dans son short, reprend Claire, tu lui faisais quoi?
-Comme il s’est mis à bander, il m’a demandé de le branler. Quelle paire de couilles…et quelle bite…c’est pas celle de mon mari.
A peine si ma main en faisait le tour. Je l’ai décalotté et lui est tapé une branlette, jusqu’à ce qu’il éjacule.
-Vous n’avez pas taché mes dalles j’espère, gronde Claire.
-Mais non, je me suis penchée et pris sa queue dans ma bouche. Il a pris tout son temps pour se vider les couilles..il n’en finissait pas de cracher ce salaud…j’ai tout avalé. Après, je lui ai nettoyé le gland avec ma langue…et voilà.
-D’accord, je dirai rien, sourit Claire, mais je veux que tu m’obéisses. On va bien s’entendre toutes les deux. Tu es très belle, aussi, je veux que tu restes toute nue, et que ta fente soit bien épilée.
-Mais..belle maman..et si on a de la visite…
Une gifle cinglante s’abat sur les fesses d’Aude
-Qu’est-ce-que je t’ai dit, gronde Claire, je te veux soumise, ok?
-Oui…oui, belle maman, je ferai ce que vous voudrez…je serai sage…
Aude subit tous les caprices pervers de sa belle mère. celle-ci l’envoie aux courses. C’est le seul moment ou elle lui tolère la mini jupe et un tee shirt. Les client peuvent tout à loisir lui caresser un sein, ou introduire un doigt dans la chatte pour les plus vicieux. Cet après midi, Aude arrive au salon toute nue, comme prévu, et s’approche de sa belle mère assise au fauteuil.
-Que t’arrive-t-il ma chérie, demande Claire
-Eh bien, je sais pas répond Aude timidement. Pendant la sieste, ma chatte s’est mise à mouiller, et mon clitoris n’arrêtait pas de me démanger.
Claire passe les mains entre les jambes d’Aude, et décèle une petite envie.
-Va près du grillage, lui ordonne-t-elle, je connais quelqu’un qui va te calmer.
A peine arrivé au grillage à large mailles, qu’un maghrébin d’environ soixante cinq ans, placé de l’autre côté, la rejoint. Certainement le grand père du jeune beur d’hier après midi. De la fenêtre, Claire suit toute la scène.
Aude se plaque au grillage, s’y accroche quand le vieux commence à la caresser. Claire voit nettement les jambes s’écarter, les reins se cambrer en arrière. Elle aperçoit les doigts s’enfoncer dans la chatte de sa belle fille, le clitoris extrait de sa capuche, et un autre doigt aller plus loin taquiner le petit trou.
Aude se trémousse, glousse de plaisir, ses jambes se dérobent dans un terrible orgasme. le vieux maghrébin éclate de rire, il la force à se mettre dos au grillage, et la prend par la taille. Aude lève les bras et s’agrippe au grillage pour mieux s’offrir aux caresses du vieux beur. Les seins d’Aude durci par le désir, se dressent orgueilleusement, les bouts ont doublé de volume et roulent entre les doigts de son assaillant. Les doigts de l’homme ont investi la chatte, la branle, un doigt excite le clitoris rouge sang. Aude devient folle, son ventre se creuse, sa croupe se cambre. Les gémissements se transforment en cris de plaisir.
Le maghrébin décide d’aller plus loin. Il baisse son pantalon, et libère une énorme bite en érection. Il la glisse entre les cuisses de la jeune femme. Le gland décalotté frotte contre la chatte d’Aude. Lentement, le calibre prend du recul, et pénètre le petit trou.
-Ah…l’enfoiré…il m’encule…hurle Aude.
Le vieux maghrébin éjacule copieusement dans le ventre de la jeune femme. Celle-ci tombe à genoux après que l’homme se soit vidé les couilles. Elle regarde en direction de la fenêtre et aperçoit sa belle mère. Livide, les yeux cernés, Aude regagne le salon. Claire l’enveloppe d’une serviette.
-Allons à la salle de bain ma chérie, dit-elle, tu as besoin de repos maintenant.
Claire emmène sa belle fille au lit, admire son corps superbe et regagne sa chambre. Elle s’allonge sur le lit, et commence à se caresser, certainement excitée par ce qu’elle a vu cet après midi. Elle revoit le corps de sa belle fille se tordre sous les attouchements du maghrébin. Elle ne peut s’empêcher de se caresser les seins, la chatte bien humide, jusqu’à l’orgasme.
-Aude, crie-t-elle, viens me doigter…me baiser…m’enculer…
Aude, attirée par les cris, rejoint sa belle mère et s’allonge près d’elle. C’est elle désormais, qui va imposer sa loi. Rien ne sera épargné. D’abord la fessée, les violentes caresses sur le clitoris, puis la pénétration des deux trous.
Le lendemain matin, Aude est assise sur le fauteuil en train de lire une revue, quand Claire la rejoint, entièrement nue.
-Alors, belle maman, bien dormi…je vous sens toute drôle.
-Heu…je sais pas ce qu’il s’est passé…d’un coup, ma chatte s’est mise à mouiller, mon clitoris s’est mis à me démanger…
pourtant, tu me l’a bien doigté hier soir.
-A bon, tant que ça, sourit Aude, faites moi voir…mon dieu, mais vôtre bouton est encore décalotté…je connais un remède pour vous calmer…allez près du grillage…le vieux maghrébin qui m’a niqué hier va venir avec son petit fils…n’ayez pas peur belle maman, je suis pas loin.
Finalement, Aude laisse la fenêtre ouverte et reprend sa lecture. Elle se contente d’écouter sa belle mère hurler de plaisir. Un large sourire éclaire son visage.