Nous retournons tranquillement au refuge. Nous nous reposons au soleil sur la terrasse. Thomas vient nous parler.

J’ai toujours un problème avec le groupe de quatre là. Est-ce que ça vous va si je fais une grande table derrière le refuge pour le GIPN, vous deux, Alex et Ben ? Ca m’arrangerait pour le service.

Bien sûr, c’est même une idée super sympa.

Je me demande si Thomas est au courant de tous les détails de ce qu’il s’est passé cet après-midi dans la montagne. Vers 20H00, nous nous retrouvons tous à l’écart des autres clients du refuge qui restent sur la terrasse ou à l’intérieur. Il flotte une atmosphère de franche camaraderie entre mecs, lourdement chargée de sexe puisque tout le monde a plus ou moins baisé avec tout le monde aujourd’hui.

Enzo prend la parole.

C’est super que vous soyez tous là. Comme vous le savez, aujourd’hui c’était l’intégration de Fabien dans notre équipe.

Pas besoin de nous faire un dessin, tout le monde a des souvenirs, sauf Alex et Ben qui n’étaient pas là-haut, mais qui ne posent pas de questions.

Fabien ?

Oui commandant ?

C’est l’heure de la traite.

Oui commandant.

Donc tu vas passer sous la table et nous sucer les uns après les autres jusqu’au jus. Tu avaleras et tu recracheras dans ce verre nos offrandes. OK ?

Euh, oui commandant.

Fabien a l’air un peu perturbé, mais sans plus.

Bon, tu es au courant que nous avons tous déjà joui une ou deux fois aujourd’hui ?

Oui.

Donc ?

Donc il va falloir que je m’applique pour que vous me donniez votre jus à nouveau.

Exactement. Tu comprends vite et dans notre groupe c’est important.

Un instant, je me demande si Enzo plaisante, mais finalement, voyant l’attitude des cinq autres policiers je comprends que non. Je croise le regard d’Eric qui est assis en face de moi à cette longue table et il me sourit, amusé apparemment par le défi.

Enzo s’adresse à toute la tablée.

Bon les mecs, je pense que nous pouvons virer nos shorts et caleçons.

Le groupe suit la consigne et nous sommes bientôt tout le cul et la queue à l’air pour profiter de ce dîner qui s’annonce bien.

Fabien glisse sous la table et commence par attaquer ses collègues. Nicolas, qui m’avait bien excité l’après-midi pendant qu’il jouissait sur le torse du dernier arrivé dans le groupe ne peut cacher les émotions que lui procure la bouche de Fabien. La conversation suit son cours et aborde tous les sujets que des mecs peuvent avoir envie de partager, mais je vois bien que lui est absent. Son regard se perd dans le vide par moments, puis il se penche sur la table, l’agrippe de ses deux mains comme pour se retenir. Au bout de plusieurs minutes de ce qui est à l’évidence un intense plaisir, il se contracte, se couche presque sur la table et laisse échapper un râle qui ne trompe personne.

Ahhhhhh. P, je viens…

Il est secoué de plusieurs spasmes que je mesure comme autant de giclées de son bon jus de jeune mec dans la bouche de Fabien.

Charles est le suivant sur la liste. Lui aussi est absent tout en étant présent et je comprends que Fabien a des talents de suceur incontestables. Je bande sous la table. Marc, qui est assis à côté de moi tend sa main gauche vers moi et commence à jouer avec mon prépuce qu’il fait gentiment coulisser sur mon gland. L’air de rien, imperturbable. En face de moi, ni Eric ni Enzo ne semblent rien remarquer. Je finis par me demander s’ils ne sont pas eux-mêmes en train de se caresser mutuellement sous la table. Marc bande à la verticale entre ses cuisses musclées couvertes de cette toison blonde qui m’a rendu fou toute la journée.

Thomas nous apporte les entrées.

Je vous apporte les…

Il s’interrompt comprenant que nous sommes tous à poil sous la table.

. Entrées. Puis avec son habituel qui est un véritable appel à lui sauter dessus.

Regalez-vous.

Alex lui demande :

Tu restes pas avec nous ?

Là tout de suite, j’ai pas le temps, faut que je m’occupe des autres tables, mais je vous rejoins pour le dessert.

Je prends moi aussi la queue de Marc dans ma main et nos petits jeux croisés me font bander dur malgré mes déjà deux éjaculations de la journée. Nous nous interrompons pour nous passer les plats et manger les bons petits plats préparés par Thomas.

Chacun à son tour, chaque convive fait l’objet de l’assaut buccal de Fabien. Plus aucun doute n’est permis. Nous avons affaire à un pompeur expert et personne n’a pu retenir son jus aussi longtemps qu’il l’aurait souhaité pour profiter du plaisir de la langue magique du beau petit Fabien.

Je sens un mouvement sous la table. La main de Fabien repousse la mienne de la queue de Marc avant que ses lèvres glissent doucement le log du pieu tendu que j’ai caressé avec ardeur depuis un bon moment. Bien préparé, Marc sursaute au premier contact de son gland brûlant avec le fond de gorge du jeune policier.

Oh. P… !!!!!!!

Il apprécie. Il écarte les jambes au maximum pour que la tête de son suceur l’avale sans négliger un millimètre de sa longueur. Je caresse les cuisses de Marc et son ventre velu pendant que Fabien s’active à lui arracher ses dernières ressources en sperme. Marc jouit avec une intensité qui me donne un frisson du creux du cou à l’anus. Puis vient le tour d’Eric en face de moi que je vois passer par toutes les étapes du plaisir, de la frustration, du désir sauvage avant de connaître la délivrance. Lui aussi a donné sa ration sans difficulté.

Mon tour vient. Fabien a toujours la même énergie. Il enfourne mon pénis durci dans sa bouche et me suce à me décoller le cerveau de ma boîte crânienne. Je ne sais pas ce que cette langue a de particulier, mais c’est du délire. Il passe de mon gland à une gorge profonde, puis remonte sur le dessous de ma queue à partir des couilles jusqu’au trou qui me semble grand ouvert pour laisser couler d’abord un bon jet de precum et bientôt, trop vite, quelques longs jets de sperme dont je ne me croyais pas capable après avoir vécu ce que j’ai vécu aujourd’hui. Il prend du plaisir à m’en donner et à me torturer en me laissant sur le fil de l’éjaculation. Vaincu, épuisé, il a pitié de moi et aspire entre ses lèvres sublimes la bonne rasade de liquide viril qu’Enzo lui a commandée.

La soirée suit son cours, Thomas s’est donné du mal pour faire plaisir à ses hôtes. Quand il a fini de faire éjaculer tous les convives, Fabien émerge de dessous la table, nu et triomphant, fier de nous avoir tous vidés avec une adresse invraisemblable.

Mission accomplie commandant !

Bien, bravo Fabien, tu as été plus qu’à la hauteur.

A ce moment, Thomas nous rejoint, le service étant terminé. Enzo l’invite à se joindre à nous :

Thomas, viens t’asseoir avec nous. Fabien, tu sais ce qu’il te reste à faire.

Thomas baisse son short pour se mettre à l’unisson de la tablée, Fabien disparaît entre ses cuisses velues au bout de la table. Le gardien du refuge comprend tout de suite à qui il a affaire et son visage trahit immédiatement des émotions que nous reconnaissons tous pour les avoir connues quelques minutes plus tôt.

Oh. P, les mecs, c’est à ça que vous avez passé la soirée ?

Oui…

Oh, c’est trop bon là, je vais pas tenir…

Enzo le taquine.

Tu auras eu une dure journée Thomas, non ?

Je ne te le fais pas dire, oh. NONNNNN, pas maintenant…!

Mais personne ne résiste à la bouche et à la langue du jeune Fabien qui est taillée pour le sexe.

Fabien pose le verre dans lequel il a recueilli nos jus de mecs. Thomas a apporté une bouteille d’alcool de framboise préparée par sa grand-mère.

Enzo reprend l’initiative.

Fabien.

Oui commandant.

Viens, on va te donner ta récompense.

Fabien remonte la table et Enzo verse une rasade d’alcool sur nos spermes mêlés de sa salive.

Ca va être bon ça.

Merci commandant. Fabien, gourmand, avale le digestif avec une lueur de lubricité dans le regard quand il nous regarde dans les yeux chacun notre tour. Il se régale et le fait savoir.

Merci les mecs, c’est trop bon.

La bouteille circule et chacun commence à connaître l’ivresse d’une journée plus que particulière. Marc reprend sa masturbation sur moi, j’ai une main sur sa queue et une autre sur la queue de Charles assis à ma gauche. Tout le monde s’y met et forme une chaîne virile autour de la table. Nous réussissons à bander, mais chacun sait qu’il n’ira pas plus loin. Ben se penche sur la queue d’Alex pour lui faire une fellation que je ressens empreinte de beaucoup d’amour. Il me donne envie. Je me lève. Charles et Marc se masturbent mutuellement pour ne pas rompre la chaîne pendant que je fais le tour de la table pour aller m’agenouiller entre les cuisses d’Eric qui s’est retourné dos à la table pour m’accueillir. Pas besoin de se parler. Je l’avale tout entier et il sait que ma langue a beaucoup de choses à lui dire cette nuit.

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