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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 57




Chapitre 57 : Au fond du trou

La descente de police surprit tout le monde au sein de l’université. Même la direction n’avait pas été mise au courant par les forces de l’ordre. Ceux-ci investirent les lieux comme si une bombe se trouvait dans le bâtiment, la matraque à la main et invectivant étudiants et professeurs bouleversés. Ils arrêtèrent toute une série de jeunes filles qui devaient être inscrites sur une liste et les embarquèrent sans prêter attention aux plaintes et aux larmes.

Apprenant la nouvelle, bon nombre de journalistes voulurent entrer au sein de l’établissement afin de couvrir l’événement, mais ils furent violemment repoussés par les forces de l’ordre. Les camionnettes des différentes chaînes de télévision commencèrent à s’entasser dans les rues, créant d’importants bouchons dans toute cette section de la ville.

Comme vous pouvez le constater, il nous est impossible de pénétrer dans les lieux pour savoir exactement ce qu’il s’y passe. Nous sommes malmenés par les forces de l’ordre qui nous empêchent de nous approcher à moins de trente mètres de l’université et nous ignorons encore pourquoi. Tout ce que nous avons pu obtenir sont les images suivantes. Vous pouvez voir ici des policiers lourdement équipés emmener une lycéenne menottée et la faire entrer dans un fourgon blindé. On peut constater que l’étudiante est en pleurs. Des larmes d’incompréhension, peut-être ? Quelques secondes plus tard, un agent de police est venu nous menacer et nous avons dû partir. Nous vous tiendrons informés si nous en apprenons davantage.

Eh bien, merci, Éric, de vous être rendu sur place aussi rapidement et de nous décrire les faits avec une telle efficacité. Nous attendons avec impatience vos …

La télé s’éteignit et un silence pesant plana dans le bureau.

Tu sais ce que ça signifie ?

Cindy tourna un regard chargé d’inquiétude vers Sabrina. Celle-ci était assise, les jambes croisées, son joli visage piqueté de taches de rousseur assombri par les nouvelles.

Je … je n’en suis pas sûre, avoua Cindy. Mes surs ont des soucis ?

Pire que ça ! Tes surs nous mettent nous aussi en danger. Elles ont très certainement dû se croire à l’abri du danger et ont agi stupidement. Elles se sont montrées bien trop imprudentes et elles en paient le prix fort. Mais elles ne nous emporteront pas dans leur chute. Oh que non !

Leur chute … mais … Nous allons les aider n’est-ce pas ?

Sabrina lança un regard furieux sur sa jeune sur :

Si nous les aidons, tout ce couvent risque de sombrer avec elles !

Mais …

NON ! Je refuse de leur porter secours et de risquer de voir s’effondrer tout ce pour quoi nous nous sommes battues. Je mets tout en place pour que nous restions le plus discrets possible. Si nous les aidons, ils nous trouveront à coup sûr !

Qui ça, « ils » ?

Ça, je n’en sais rien. Certainement des hommes, il n’y a qu’eux pour avoir peur de nous et de ce que nous représentons.

C’est-à-dire ?

Leur fin, ma chère sur. Nous représentons la fin des hommes. Et plus encore, nous représentons l’évolution.

L’évolution ? Mais de quoi parlons-nous exactement ?

De la race humaine, Cindy. Nous sommes l’évolution de la race humaine. Regarde-nous. Plus fertiles, plus belles, plus intelligentes, plus lucides … Nous sommes tellement plus que les hommes.

Le silence fit place à cette déclaration. Un silence lourd de sens et de gravité. Cindy prenait peu à peu conscience de ce qu’elle était et cette réalité la terrifiait. Elle se sentait écrasée par la responsabilité qui lui avait été léguée dès son premier souffle et qui ne s’en irait que quand elle reposera six pieds sous terre. Un fardeau bien lourd à porter, en vérité.

Et maintenant ? senquit-elle d’une petite voix. Que faisons-nous ?

Sabrina se leva, faisant crisser sa combinaison de latex, se déhancha jusqu’à sa sur et posa ses mains sur ses épaules :

Je vais poursuivre la mission que m’a donné Déesse et continuer de nous reproduire. Je vais dispenser Sa bonne parole dans d’autres couvents pour que de nouvelles surs connaissent Déesse à leur tour. Aussi, beaucoup de naissances vont survenir dans les prochains mois et il faut que je sois là pour accueillir tous ces nouveau-nés et faire en sorte que tout cela reste le plus discret possible. Mais j’ai une mission tout autre pour toi.

Quelle est-elle ?

Tu vas partir.

Quoi ? sinquiéta Cindy. Tu veux que je m’en aille ?

C’est exact, répliqua Sabrina avec calme. Et ce, pour plusieurs raisons. Ce pays va devenir de moins en moins sûr pour nous, je veux te mettre à l’abri.

Mais ce couvent …

Il est peut-être sûr pour le moment, mais plus pour longtemps. Partir est le meilleur moyen de te mettre en sûreté. Mais ce n’est pas tout. Je veux que tu dispenses la parole de Déesse dans tous les autres pays. Je veux que tu ailles chez tous les grands de ce monde et que tu pries avec elles ou, si ce sont des hommes, avec leur femme. Ainsi, tout en étant à l’abri, tu accompliras la volonté de Déesse.

Si c’est la volonté de Déesse, alors je m’y plierai, accepta docilement Cindy en baissant les yeux. Quand dois-je partir ?

Sabrina sourit avec satisfaction et embrassa sa jeune sur.

***

Erika éteignit la télévision et s’affala sur une chaise, ébahie. Elle ne pouvait plus aller en cours, devait vivre cachée pour fuir une bande de mercenaires, elle se rongeait le sang pour Morgane et Simon qui étaient tous deux aux mains d’un fou se faisant appeler Pleins aux as et maintenant, la police s’en mêlait ! La situation était de pire en pire. Et, en plus de se faire un sang d’encre pour sa mère, elle s’inquiétait à présent pour ses cueilleuses qui venaient de se faire arrêter.

Bon Dieu ! sexclama Benjamin. Y a pas à dire, c’est la merde !

Erika l’entendit à peine. L’ancien mercenaire avait gentiment offert de les héberger, elle et sa famille, et c’est avec soulagement qu’elle avait accepté, n’ayant pas d’autre solution. Seul petit bémol, il vivait encore chez sa maman …

C’est vrai que c’est terrible, dites ! répliqua cette dernière en déboulant dans le salon. Toutes ces arrestations et sans raison, en plus ! Quelle horreur ! Pauvres enfants … Imaginez la tristesse des parents quand ils vont apprendre la nouvelle ! Et leur surprise, mon Dieu, je n’ose même pas y croire …

Benjamin avait insisté auprès de Claire et Erika pour qu’elles ne mêlent pas sa mère à toutes leurs affaires. Les deux filles avaient naturellement accepté ce qui fait que Nadine n’était pas au courant que toutes ces malheureuses filles se trouvaient être les cueilleuses d’Erika.

Roh et elles pleuraient, les pauvres petites. Vous avez vu ça ? J’aurais honte à la place de tous ces gendarmes …

Oui, c’est vrai, Nadine, intervint Eugénie qui voyait bien qu’Erika n’était pas prête à écouter les longs monologues de leur hôte parfois un peu invasif. Et si nous prenions une tasse de café, vous et moi ?

Excellente idée ! Cela me changera les idées … Roh lala, toutes ces jeunes filles en larmes, ça me donne presque envie de pleurer. Tenez, regardez, Eugénie, j’en ai la chair de poule. Quand je pense que quand j’étais jeune, les policiers avaient au moins la délicatesse de …

Eugénie lança un regard chargé de reproche à Benjamin qui ne put lui répondre qu’avec un haussement d’épaules, l’air de dire : « Désolé, j’y peux rien si elle est comme ça … ». Les deux femmes s’enfermèrent dans la cuisine, coupant court au blablatage intempestif de Nadine.

J’ai cru qu’elle ne s’en irait jamais ! sexclama Mathilde. Qu’est-ce qu’elle peut être bavarde !

Ça va, s’enquit Benjamin en posant une main réconfortante sur l’épaule d’Erika.

Je … je ne sais pas quoi faire.

La pauvre Erika avait l’air complètement perdue.

Pourquoi est-ce que la police s’en mêle ? On n’a rien fait d’illégal … Plein aux as aurait des contacts dans les forces de l’ordre ?

Je n’en ai pas la moindre idée, je t’avoue, dit Ben. Ça m’étonnerait de la part de quelqu’un qui utilise des mercenaires, mais on le connaissait si mal en fin de compte … Si ça se trouve, c’est un politicien ou quelque chose dans le genre …

Ben, je ne sais pas quoi faire, sécria la jeune fille en appuyant son visage contre ses mains.

Hey, t’inquiète, ma belle. Ça va aller. Peut-être que Claire a une idée … Elle est où d’ailleurs ?

Erika sursauta violemment, une vive inquiétude brillant dans son regard.

Où est Claire ? Mon Dieu, où est Claire ?

Elle est sortie, je pense … répondit Mathilde. Ce matin … elle a dit qu’elle avait un truc à faire en ville …

Non, non, non ! Si elle se fait arrêter je … je … putain, je sais pas ce que je vais faire !

La jeune fille fondit aussitôt en larmes, incapable de soutenir davantage la pression qui pesait sur ses épaules. Il y avait tant de choses qui reposaient sur elle en ce moment, Morgane, ses cueilleuses, sa famille, Simon …

Benjamin la prit dans ses bras.

Pleure pas, ma belle. Tu vas voir, on va la retrouver. Je suis sûr qu’il ne lui est rien arrivé. Si tu l’appelais, ce serait pas mal, non ?

Oui, c’est vrai ! sexclama Erika en se dégageant de l’étreinte de l’ancien mercenaire et en séchant rapidement ses larmes.

Elle saisit son téléphone et composa prestement le numéro de Claire. Répondeur.

Non ! Tu es où, putain ? Je veux pas te perdre !

Comme elle allait de nouveau céder à la panique, Benjamin la saisit par les épaules et planta son regard dans le sien.

OK ! Dis-moi où elle a pu aller ? Tu ne peux pas sortir de peur de te faire prendre, mais moi oui. Seulement, je n’arriverai à rien si tu ne te calmes pas. Donc respire doucement … voilà, comme ça. Encore, prends de grandes inspirations … ça va mieux ? Alors, réfléchis et dis-moi où elle a bien pu aller.

Je … je n’en sais rien … Elle ne m’a rien dit, je ne savais même pas qu’elle était sortie. Mathilde en sait sans doute plus que moi.

Non, intervint cette dernière, elle ne m’a rien dit. Et je n’ai aucune idée de l’endroit où elle peut être.

Et si elle était à l’université ? salarma Erika.

Pourquoi est-ce qu’elle aurait fait ça ? senquit Benjamin, lui aussi se faisant gagner par l’inquiétude.

Je ne sais pas … elle n’a rien dit, elle est juste …

Coucou ! lança joyeusement Claire en déboulant dans le salon. Vous ne devinerez jamais ce que j’ai été faire !

Un silence médusé accueillit son entrée triomphale. Elle finit malgré tout par se rendre compte que quelque chose n’allait pas.

Heu … ça va ? Vous tirez une de ces tronches ! Erika tu … tu as pleuré ? Est-ce que tout va bien ? Qu’est-ce qui s’est passé ?

Tais-toi ! soupira Erika en se jetant dans ses bras. T’es vraiment stupide, tu le sais ça ?

Moi, mais …

Juste, tais-toi.

Bon d’accord …

Benjamin et Mathilde sourirent avec soulagement. Mine de rien, le stress d’Erika avait été très communicatif et ils étaient tous les deux contents que toute cette tension soit retombée.

Bon, s’exclama Claire en se dégageant. Vous allez me dire ce qui se passe maintenant ?

Dis-nous plutôt où tu étais, répliqua Erika en posant les poings sur ses hanches, le regard assombri par la colère.

Ah, excellente question ! sécria joyeusement Claire, ce qui exaspéra au plus haut point sa grande sur. J’avais passé une commande il y a quelque temps et elles sont arrivées ce matin.

Tu … tu as fait du shopping ? s’ébahit Erika. Alors qu’on s’était dit qu’on ne sortait pas d’ici jusqu’à ce que la situation se tasse …

Du shopping, oui, approuva Claire sans prendre en compte la remarque d’Erika. Mais pas n’importe quel shopping.

Elle farfouilla dans son sac et finit par dénicher ce qu’elle cherchait. Elle exhiba fièrement devant elle une combinaison entièrement blanche et faite d’une matière élastique.

Tadaaa ! Alors, tu en penses quoi ? Celle-ci est pour toi.

Quoi ? Tu as acheté ça pour moi ? Mais …

Ne t’inquiète pas, j’ai la même. Regarde.

Claire retira son chemisier et Erika put voir qu’elle était revêtue de la même combinaison blanche. Celle-ci épousait ses formes à la perfection comme s’il s’agissait d’une seconde peau qui mettait son corps en valeur.

Waouw, s’ébahit la sur aînée en posant une main rêveuse sur le sein de Claire.

Elle en dessina le contour, admirant la texture douce et chaude du caoutchouc.

C’est Morgane qui avait une fois évoqué l’idée qu’on ait des tenues qui nous sont propres. Bon, c’était il y a quelques mois, mais je me souviens que le concept m’avait beaucoup plu … Il y en avait également des noires au magasin mai j’ai préféré commander les blanches, tu sais pourquoi ?

Erika fit non de la tête.

Pour qu’on ne voie pas les traces de sperme dessus, répondit la jeune sur avec un regard coquin. Alors, tu aimes ? C’est du latex, c’est extrêmement résistant. En plus, c’est renforcé au niveau des genoux pour que ce soit plus confortable quand on sera à quatre pattes en train de se faire éclater le cul, on ne sait jamais …

Erika prit la combinaison que lui tendait sa sur et la détailla avec admiration.

Et ce n’est pas tout ! Regarde ça !

Claire retira son pantalon et abaissa une fermeture éclair qui se trouvait au niveau de son pubis. Immédiatement, ses deux sexes en sortirent et se balancèrent mollement entre ses cuisses. Ensuite, elle se retourna et écarta ses fesses pour exhiber fièrement ses deux petits trous.

C’est génial hein ? Tu n’as pas envie de me prendre, par hasard ? Je suis sûre que Ben en meurt d’envie, pas vrai ? Pendant que Mathilde me suce …

Claire, tu oublies Nadine. Elle est juste à côté.

Pfff, pas marrant, râla celle-ci et se rhabillant. En plus, ça m’a excité de me montrer comme ça … On a qu’à monter, je ne ferai pas de bruit, c’est promis.

Claire, il s’est passé quelque chose de grave aujourd’hui.

Le calme avec lequel s’était exprimée Erika suffit à faire redescendre la jeune fille en rut sur terre.

Oh, de quoi s’agit-il ?

La police a fait une descente à l’université. Elle a arrêté toutes mes cueilleuses.

Qu … de quoi ? Mais … comment … ?

Je n’en sais rien. Je ne sais pas qui est derrière tout ça.

Ce ne peut être que Plein aux as, argua Claire avec amertume.

On n’en sait rien, c’est peut-être lui, mais ça peut très bien être quelqu’un d’autre …

Mais réfléchis deux secondes, Erika. Plein aux as possède toutes les données de Simon, il sait presque tout sur nous. En plus de ça, il détient Morgane et Simon. Et puis, comment tu crois que les flics ont pu savoir qui étaient nos cueilleuses ? Ils leur ont demandé gentiment ? Non, ils devaient avoir une liste.

Je ne … Notre tableau de chasse !

Exactement ! Qu’est-ce qu’on a été conne d’écrire le nom des cueilleuses. C’est Plein aux as qui a fait le coup, c’est sûr et certain. Maintenant, reste à savoir pourquoi …

Benjamin, Mathilde et Erika se regardèrent avec étonnement. Bien qu’ils n’aient pas longtemps cherché, aucun des éléments que venait de citer Claire ne leur était venu à l’esprit. Maintenant qu’elle était là, le mystère prenait un reflet bien moins mystérieux que ce qu’il ne paraissait de prime abord.

Et maintenant qu’on sait que c’est Plein aux as qui est derrière tout ça, qu’est-ce qu’on fait ?

La simple question que venait de soulever Benjamin jeta un profond silence dans le salon.

Qu’est-ce qu’on peut faire, c’est plutôt ça la question, réfléchit Claire. Si Plein aux as a les flics dans sa poche, je ne vois pas bien ce qu’on peut faire. Attendre que ça se calme et voir comment les choses évoluent …

Je ne peux pas laisser mes cueilleuses comme ça, se lamenta Erika. Elles ont besoin de moi.

Et qu’est-ce que tu veux faire ? Aller en prison et toutes les libérer ? Non, on a déjà pris suffisamment de risques comme ça en libérant nos mamans. La priorité, c’est trouver un moyen de libérer Morgane et Simon.

Erika approuva tristement :

J’imagine que tu as raison. Je ne supporte pas de ne rien pouvoir faire, c’est si frustrant !

Je sais bien surette, mais c’est tout ce qu’on peut faire. Bon, maintenant qu’on a réglé cette question, si on testait ces nouvelles combinaisons ?

Tu sais bien comment me consoler toi, hein ?

Claire sourit coquinement, une lueur mi-amusée, mi-excitée brillant dans ses yeux. Elle colla la main aux fesses de sa sur aînée tandis qu’elles s’encouraient toutes les deux à l’abri d’une chambre …

***

Attends, attends ! sexclama la femme avec un fort accent russe. Heu … des années que mon … mari ne touche pas moi. Il est toujours en voyage ou à des fêtes et … Ooh … mmh … je ne veux pas …

Cindy avant posé ses lèvres contre le vagin de Lidyia, une grande femme blonde à la bouche fine et aux yeux d’un bleu tirant sur le gris. Elle avait un corps parfaitement proportionné qui répondait au moindre des caresses de Cindy. Celle-ci pouvait presque voire les vagues de frisson la parcourir tandis qu’elle titillait langoureusement son petit bourgeon.

Tu ne veux pas ? senquit Cindy avec un sourire gourmand. Pourtant, ton corps a l’air de me dire le contraire …

Elle ponctua sa phrase d’une petite lèche qui électrisa la belle Lidyia.

Mmh … gémit celle-ci, sa poitrine montant et descendant au rythme de ses halètements. Je … vouloir … heu … mhhh … je veux dire, jai envie, mais je … ne peux pas … mon mari …

Ton mari ne te laisserait pas faire ça ? C’est pour ça que nous ne lui dirons rien …

Oui, mais … oooh … Pochemu eto tak khorosho ? lâcha-t-elle en russe ce qui eut le don d’émoustiller Cindy. Je ne suis pas … protégée …

Ne t’en fais pas pour ça, susurra Cindy en remontant près du visage de la douce Russe. Tu n’en as pas besoin …

Elle l’embrassa tendrement, mêlant leur salive à la cyprine de Lidyia. Elle mouillait tellement que Cindy avait du jus qui coulait le long de son menton. Son sexe était dur comme du bois et humide de lubrifiant. À force de le frotter contre le corps chaud de la jeune femme, des perles de sperme débordaient onctueusement du bout de son gland et venaient s’étaler sur la peau blanche.

Alors que les deux femmes s’embrassaient de plus en plus passionnément, Lidyia, prise par le jeu, agrippa ce sexe turgescent qu’elle sentait battre contre elle. Ses doigts étaient maladroits et hésitants, ce qui indiqua à Cindy qu’elle ne devait pas avoir l’habitude de se trouver dans de telles situations.

Son mari doit la délaisser, songea-t-elle avec empathie. Quel dommage, une si belle femme ! Elle ne doit pas avoir connu beaucoup de moments érotiques dans sa vie. Peut-être même qu’elle n’en a jamais connu d’aussi fort. Après tout, on ne fait pas l’amour tous les jours avec une fille comme moi …

La jolie Russe tenta de faire l’un ou l’autre aller-retour contre la verge en érection, mais Cindy l’arrêta bien rapidement :

Laisse-moi faire …

Elle saisit son sexe tendu et, tendrement, s’en servit pour caresser le puits d’amour de Lidyia.

Oouhh mmh … Mne eto nravitsya …

Claire n’avait aucune idée de ce que ça pouvait dire, mais, vu son expression, ça devait lui plaire. Elle poursuivit donc ses caresses, faisant longuement glisser sa queue contre la fente inondée de mouille de Lidyia. Toutes deux avaient très envie d’aller plus loin, mais une légère appréhension brillait encore dans les yeux de Lidyia, comme une enfant en train de faire une bêtise qui redoutait à chaque instant de se faire surprendre.

Cindy décida qu’il fallait effacer cette crainte de ses yeux avant d’aller plus loin et le meilleur moyen de faire cela était de la remplacer par de l’excitation. Elle augmenta donc la pression de ses caresses contre le petit bouton et se mit à lécher avidement l’un des nichons qui se balançait délicieusement devant elle.

Aah da … réagit aussitôt Lidyia en tendant son corps vers la source de ce plaisir intense.

Sa bouche formait un « o » parfait tandis qu’elle haletait divinement. Elle était prête. Cindy positionna son gland juste à l’entrée et poussa tendrement. La belle Russe ouvrit de grands yeux en sentant l’imposante verge écarter ses chaires et s’enfoncer inexorablement en elle.

Mmmh … Aah … Daaa … U menya nikogda ne bylo chego-to takogo bol’shogo vo mne ! Ooh j’aime ça … oui … mmmh …

Cindy atteignit le fond en soupirant d’aise. La jeune femme qu’elle saillait était relativement étroite et elle se sentait si chaudement compressée que c’était un véritable plaisir de simplement se trouver en elle. Elle se mit à bouger lentement, faisant couiner de bonheur la jolie Russe.

Leur souffle se mêlait au fur et à mesure que Cindy accélérait. Bientôt, leurs geignements se transformèrent en petits cris orgasmiques totalement incontrôlables.

Ooh Snova ! … En … encore ! Oui ! Aah …

Cindy s’empara d’une des jambes de sa compagne et la posa sur son épaule. Lidyia se retrouva sur le côté, le compas de ses cuisses largement écarté, en train de se faire déflorer son petit trou par une Cindy devenue bestiale.

Eto khorosho ! Mmhh … Aaah … Eto khorosho ! Ya budu naslazhdat’sya ! Je viens Cindy, je vais jouir !

Effectivement, quelques secondes plus tard, la jeune femme était submergée par un violent orgasme et elle ressembla à une sublime marionnette à laquelle on venait de couper tous les fils. Cindy continua de la pilonner avec une joie sauvage, s’enfonçant à chaque fois dans la bouillonnante cavité jusqu’à la garde. Les convulsions dues à la jouissance de Lidyia enserraient sa queue dans un étau de velours.

Mmmh … AaaAah ! C’est booooonn … Da ! Daa !

Cindy se dégagea et reposa la cuisse contre le lit. Lidyia était à présent sur le ventre, son magnifique cul encore soumis à de nombreux spasmes orgasmiques exposé à la vue de la jeune fille.

Vse koncheno ? C’est fini … ? haleta la Russe.

Cindy s’allongea sur son dos en y déposant une myriade de bisous. Elle poussa sa chevelure blonde sur le côté pour venir embrasser sa nuque dénudée et venir caresser ses lobes d’oreilles avec l’arête de son nez.

Loin de là, susurra-t-elle coquinement. Lève ton petit cul …

La belle Russe s’exécuta docilement et Cindy glissa un coussin sous son bassin sans fournir davantage d’explications. Elle s’enfonça dans le petit trou défoncé jusqu’à ce que son bassin vienne se presser contre les douces fesses de Lidyia.

Encore ? Mais … Mmh … Oooh oui !

Cindy se remit à la baiser en gémissant. Lidyia, quant à elle, tenta de refréner ses cris de jouissance en enfonçant sa tête dans les couettes. Elle prenait tellement son pied que ses geignements perçaient au travers des couches de tissu et exacerbaient l’excitation de Cindy.

Aah oui ! Ce cul ! C’est bon … Mmmh …

MmMmhh ! MmMMhhh ! répliquait Lidyia qui était sur le point de se faire ravager par un second orgasme.

Cindy pilonna le sexe détrempé de la jeune femme, faisant à chaque fois claquer son bassin contre les fesses rebondies de Lidyia. Cette dernière était secouée dans tous les sens et ses gémissements étaient entrecoupés de petits cris irrépressibles. Lorsque le corps de Lidyia fut à nouveau parcouru de violents spasmes, Cindy se laissa gagner à son tour par l’orgasme et se mit à éjaculer abondamment.

AAAaaaah ! hurlèrent-elles de concert.

La semence inondait la matrice de Lidyia qui manquait à tout instant de défaillir de bonheur. Cindy finit par s’effondrer sur le dos transpirant de la belle Russe, son sexe confortablement installé dans les tréfonds poisseux de cette dernière. Elles cherchaient toutes les deux à récupérer leur souffle pendant que l’orgasme et les spasmes se retiraient doucement. Elles finirent par se calmer complètement.

Est-ce que … nous ferons ça encore ? demanda Lidyia, une incroyable envie perçant dans son regard.

Si tu es sage … sourit Cindy.

Lidyia sourit à son tour et s’endormit presque aussitôt, la cavité toujours pleine du sexe et du foutre de Cindy. Celle-ci se releva doucement, remit sa combinaison en latex noir, passa des habits chauds par-dessus et quitta la pièce le plus silencieusement possible. Juste avant de partir, elle déposa sur la table de nuit une petite chaînette au bout de laquelle était accroché un pendentif. Ce dernier représentait un cercle avec une croix en dessous et une flèche en haut à droite. Il s’agissait d’un mélange du signe masculin (♂) et du signe féminin (♀).

Une fois à l’aéroport de Moscou, elle sortit son GSM pour se renseigner sur les nouvelles de son pays. Elle tomba immédiatement sur trois avis de recherche qui venaient tout juste d’être lancés : « Nous recherchons activement Claire, Cindy et Erika Shem. Si vous les voyez, veuillez immédiatement appeler la police. Surtout, ne tentez pas d’entrer en contact avec l’une d’entre elles, elles sont extrêmement dangereuses. S’il s’est passé quoique ce soit avec l’une d’entre elles, veuillez vous rendre au plus vite au poste de police le plus proche où vous serez pris en main. »

J’espère que vous allez bien, les filles, murmura-t-elle pour elle-même en se dirigeant vers les portes d’embarquement …

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