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Un voyage instructif – Chapitre 1




Ce que je vais vous raconter s’est produit il y a maintenant quelques années et ça m’a forgé en tant qu’homme.

On est le 21 décembre, il est 21h et j’attends sur le quai de la gare.

Moi, c’est Max, j’ai 24 ans et je rentre à nouveau chez mes parents pour la période des fêtes de fin d’année, un rituel à ne surtout pas rater dans ma famille. Surtout que je suis loin et j’ai l’Europe à traverser, mais heureusement, cette ville est francophone et je n’ai jamais eu de souci pour échanger avec les autres !

Je patiente dans le froid sur le quai de la gare, enroulé dans mon écharpe plaid qui paraît finalement plus glacée qu’autre chose. Vivement que ce train arrive, car s’il n’est pas là d’ici 10 min, je pense que mon corps va me lâcher.

Il apparaît finalement au bout de cinq longues minutes, alors voiture X, la dernière et je dois être dans la couchette 35. J’entre et je n’ai pas de mal à me frayer un chemin, car je suis le seul visiblement, les cabines sont toutes verrouillées et je m’arrête devant la 35.

Quelques secondes après, une femme arrive essoufflée et s’arrête à côté de moi.

Merci jeune homme, mais j’aimerais pouvoir accéder à ma cabine, je n’en peux plus !

Quelle vigueur dans ces paroles, je semble minuscule à côté, elle fait un bon mètre 75, 35 ans peut-être et avec des formes là où il faut !

Mais je me ressaisis…

Euh il y a sûrement erreur, car il s’agit de MA cabine, regardez…

Je sors alors mon billet quand un contrôleur arrive.

Monsieur, Madame, merci de prendre place, le train va démarrer. Pourrais-je avoir vos billets ?

Nous lui expliquons donc notre souci de double réservation et nous nous attendions à une tout autre réponse…

Très bien. Seule solution, car vos billets sont réservés, c’est de bénéficier à deux de là cabines, sinon l’un de vous reste sur le quai !

Première sirène qui retentit, nos regards se croisent avec Madame et celle-ci souffle…

Entre garçons, on va pas rester ici 10 ans !

Nous entrons donc dans la cabine, pas très spacieuse forcément et un lit unique double, je pensais avoir eu une bonne affaire et voilà que c’est compromis, ce voyage sur trois jours à travers l’Europe va être long !

Installe-toi à droite ! me dit-elle.

D’accord, moi c’est Max ! Et vous ?

Moi ? Pour ce voyage, ce sera Maîtresse. Tu ne parleras que quand je le demande et SURTOUT, tu feras ce que je te dis ! Quitte à être coincée avec toi, tu vas être utile…

Elle ferme alors la porte de la cabine à double tour, retire des bottines et son long manteau pour laisser apparaître de jolis bas, ainsi que sa poitrine généreuse enfermée sous une robe bien trop courte…

Elle prend son foulard et me le jette.

Mets ça autour de tes yeux, ça commence maintenant.

Je ne discute pas vraiment et prends ça pour un jeu, j’attrape le foulard et le mets.

Je suis assis dans le lit adossé contre la paroi de la cabine, j’entends que Madame fouille dans son énorme valise, puis soudain plus rien, et un bruit d’eau, elle prend une douche, je ne peux donc pas résister à l’envie de retirer ce foulard. A peine enlevé que je la vois devant moi, mon cur a failli s’arrêter !!

Je tavais dit quoi !!! Ne PAS retirer le foulard et à la moindre occasion tu le fais ! Il fait 22 degrés dans cette cabine, mets-toi en caleçon pendant que je vais me doucher. Et remets ce foulard sans JAMAIS le retirer avant que je le dise !

Et je me suis pris une gifle comme jamais je n’en ai pris, même pas de ma mère !

Un peu surpris et dérouté, j’exécute bêtement, je retire mes vêtements, remets le foulard et patiente dans le lit, la boule au ventre…

Les minutes sont interminables, et j’entends l’eau qui s’éteint, du bruit encore, mais que fait-elle ?!?!

Puis j’entends ses pas…

Comme je te l’ai dit, mon mignon, on va mettre à profit notre temps, et tu vas ressortir d’ici avec une expérience qui ne se reproduira plus, car je vais te faire vivre quelque chose d’unique…

Elle avance à nouveau, se rapproche de moi et fait glisser ses doigts sur ma jambe, puis mes hanches et remonte sur mon torse, je ne fais vraiment pas le fier, ses doigts arrivent sur mes lèvres…

Suce.

Voilà le seul mot qu’elle a prononcé, mais c’était plus qu’un ordre, je n’avais pas le choix…

J’ouvre alors mes lèvres et laisse passer ce doigt, qui entre et ressort avant de revenir aussi vite, mais quel est ce goût…?

Tu aimes mon cul visiblement mon petit, tu vas être gâté.

Je n’ai pas pu m’empêcher de tousser face à cette annonce, mais au fond de moi, j’ai apprécié ce goût lorsque j’étais dans l’ignorance…

Cesse ce cinéma, j’ai bien vu que tu as aimé petit salaud, et tu as plutôt intérêt, car ce qui t’attend va être mémorable pour toi…

À peine ces paroles prononcées que ma bouche fut à nouveau forcée et par… Deux doigts cette fois-ci, j’ai retrouvé le goût de son cul, mais l’autre est différent et je me surprends à insister sur ces doigts avec ma langue et à aspirer pour en avoir le plus possible et deviner…

Mais je suis resté sur ma faim…

Eh oh doucement, c’est moi qui donne la cadence ici, continue de ne rien dire, c’est la seule façon pour toi d’avoir des petits cadeaux, et je vois que tu as aussi aimé le goût de ma chatte, on va bien profiter, je pense que t’as du potentiel.

Et puis plus un mot, un silence pesant, jusquà un bruit sourd et sec, quelque chose qui claque comme une corde, et je compris rapidement avec une sensation d’attaches autour de mes chevilles…

Voilà voilà, dans l’attente de vos retours afin de savoir si je dois vous dévoiler la suite bien plus, hard.

Au plaisir de vous lire.

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