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Le secret de Judith – Chapitre 6




Chapitre 6. Débordements.

Cela fait plusieurs jours que j’ai eu ces discussions avec Joseph et Judith. Judith ne m’en a pas encore reparlé, et je n’ose pas la brusquer. Il n’a pas fait beau, je ne suis pas retournée à la prairie du gave voir Joseph. Peut-être tout à l’heure, après mon service. Il y a du soleil aujourd’hui.

Oh non, voilà encore ce relou de Boris.

–    Alors la parigote, ça te manque pas trop le métro ? Si tu veux toujours jouer à la conductrice, je peux te montrer comment faire un joli petit train, tous les deux. C’est toi qui seras devant, promis !

–    T’es vraiment un grand malade, toi. Ta femme sait que tu tentes ta chance avec tout ce qui bouge et a deux nichons ? Si je la vois, faudrait qu’on discute elle et moi, on sera peut-être copines, qui sait ?

–    Laisse ma femme tranquille, pétasse. Et des nichons, j’en vois pas par ici. C’est les deux grains de raisin, là, que t’appelles comme ça ?

–    Casse-toi, retourne bosser connard !

–    Je l’aurai un jour, ton petit cul, crois-moi !

–    Dans tes rêves !

Alors lui c’est vraiment le champion toutes catégories. Quel gros connard ! Il se prend pour qui avec son gros bide et sa coupe de cheveux à la Ronaldo ? Il voit pas qu’il y a un truc qui cloche ?

Bon, c’est fini dans 15 minutes. Vivement que je me casse d’ici. Je vais aller au pré, là au moins je serai peinarde et je verrai peut-être Joseph.

Juliette vient me libérer. Je prends mon vélo et file vers le gave. J’arrive à la prairie. Pas encore de Joseph pour l’instant.

Je m’installe dans mon petit nid près du rocher. J’étale ma serviette et je me déshabille. Cette fois-ci j’ai pensé à prendre un bas de maillot de bain. Je m’allonge sur le ventre. Le soleil me réchauffe, je suis bien, seule au monde, je me détends enfin, loin de tous les connards… Je voudrais tant me libérer totalement Doucement, je fais glisser ma culotte sur le bas de mes fesses allez, pas longtemps juste pour ne pas garder de marque de bronzage Hmmmm Cette douce chaleur sur mon dos, mon derrière, mes jambes

Je me suis endormie. Un bruit vient de me réveiller. J’ouvre une paupière, sans bouger j’ai l’impression de sentir une présence, dans mon dos Je me relève et me retourne brusquement. Joseph ! Il est là à demi caché par le rocher, et je reste interdite. Il a le pantalon sur les chevilles, tient son sexe entre ses mains flasque. Quand il me voit il pousse un cri, essaie de remonter son pantalon en catastrophe, s’en va en courant, comme il peut et s’affale quelques mètres plus loin dans le pré. Je reprends mes esprits

Je finis de remonter ma culotte et cours vers Joseph, il s’est peut-être blessé en tombant.

–    Joseph, tout va bien ?

–    Oui oui ça va

Il réussit à s’assoir, réajuste son pantalon.

–    Je . Je suis désolé je ne pensais pas excuse-moi petite je ne sais pas ce qui m’a pris

–    Ca va, ca va je ne dirai rien à personne. C’est aussi un peu de ma faute je ne devrais plus me mettre dans cette tenue Je ne me rendais pas compte Vous êtes un homme

–    Oui enfin plus vraiment comme avant, hein, à mon âge J’ai perdu la tête, là. Tu me rappelles trop ma jeunesse, Judith J’ai cru L’autre jour, la nuit, après t’avoir vu, je me suis réveillé avec… enfin dur, quoi ça ne m’était plus arrivé depuis Alors quand je t’ai vue comme ça, j’ai cru que je pourrais à nouveau Tu es tellement belle Je ne voulais pas te réveiller, je ne pensais pas que tu me verrais

–    Vous m’avez fait peur

–    Je suis désolé. Il vaut mieux que tu ne viennes plus ici je perds la tête.

Nous restons silencieux un petit moment.

–    Je vous aime bien Joseph. Je sais que vous ne vouliez pas me choquer et que vous ne me ferez pas de mal. C’était un accident, on va oublier ce qui s’est passé. Mamie m’a dit que vous êtes quelqu’un de bien. Je voudrais bien continuer à venir ici discuter avec vous Et vous devez toujours m’apprendre à pêcher !

–    Tu as parlé de moi à Judith ? Qu’est-ce qu’elle t’a dit ?

–    Rien. Pas grand-chose. Que vous l’avez beaucoup aidée.

–    Ah AlorsElle ne m’en veut pas

–    Je n’ai pas l’impression, mais de quoi devrait-elle vous en vouloir ?

–    Ce n’est pas à moi de te le dire, petite Enfin En tout cas, c’est d’accord si tu veux revenir ici. Mais un peu plus habillée.

–    OK, c’est promis. Je vais aller remettre mon haut. Je peux descendre avec vous ?

Je retourne enfiler mon soutien-gorge et mon débardeur, et je descends vers le gave. Je m’assois sur une pierre au bord de la rivière. Je regarde le vieil homme pêcher. En silence. Chacun est dans sa bulle. Je ne lui en veux même pas. Ca ne lui ressemble pas. Je comprends que je l’ai profondément perturbé, ces souvenirs qui reviennent Je repense à toute cette histoire, j’essaie d’imaginer ce qui a pu se passer Je n’ose pas l’interroger à nouveau, il faut que j’attende que Judith me parle

***********

Cette petite me rend fou ! Qu’ai-je fait ?! Quelle honte ! Et pourquoi lui ai-je dit que j’étais d’accord qu’elle revienne ?

Tout à l’heure, quand je l’ai vue allongée ses deux petites fesses parfaites ses longues jambes fines sa peau qui semble si douce

Et ces rêves, la nuit ? Judith Le torrent Les baignades

Pourquoi je n’arrive pas à lui dire non ?

********

Nous sommes à nouveau en journée de repos Solène et moi. Mon patron m’arrange le coup pour que ça tombe en même temps qu’elle. Il est cool pour ça. Nous avons fait la grasse matinée et quelques câlins. Judith ne s’est pas approchée. Elle et moi n’avons plus jamais recommencé de séance de massages J’aimerais bien

Solène et moi sommes allongés dans le bas du pré, en train de bronzer, nus, comme d’habitude. Il doit être 15 heures. Soudain nous entendons du côté de la maison des portières claquer, des voix, masculines j’ai l’impression, et celle de Judith, enjouée, qui semble accueillir quelqu’un. Solène me fait signe de rester cachés si c’est des amis de Judith, elle ne les fera pas descendre jusqu’ici, et on ne peut pas nous voir de la maison. Nous restons ainsi 10 minutes. Soudain, une voix d’homme nous appelle :

–    Hé ! Surette, tu viens même plus me dire bonjour ?!!!

–    Clément ! C’est pas vrai ! Je savais pas que tu devais venir, Judith ne nous avait rien dit ! Jean, c’est mon frère, Clément !

Putain ! Encore une situation ultra gênante ! Clément, son grand frère de 24 ans. Le garçon, environ 1,80m, mince, assez musclé, sans excès, cheveux raides châtains, descend le pré. Solène court vers lui et lui saute au cou. J’en profite pour passer rapidement mon caleçon et un t-shirt.

–    Eh ben surette, quel accueil ! Une bombe complètement à poil rien que pour moi ! Enfin, à poil j’en vois pas beaucoup, des poils, en fait ! Dis donc, ça faisait quelques années que je ne t’avais pas vue dans cette tenue, ma chère, tu es sublime, quel corps ! Quel dommage que je ne sois pas plus sensible aux charmes féminins

–    Euh oui, c’est vrai c’est c’est Judith quoi ! On est tellement habitués à être à l’aise, avec elle j’en oublie ma tenue légère ! Dit Solène en faisant mine de se cacher l’entrejambe et la poitrine de ses mains.

–    Mais qui est ce bel éphèbe, So ?

–    Pas touche ! Chasse gardée ! Je te présente Jean, mon mon mec, quoi.

–    Enchanté Monsieur Jean.

–    Moi de même Monsieur Clément. J’ai beaucoup entendu parler de vous.

–    En bien, j’espère ! En tout cas ma sur a toujours très bon goût à ce que j’ai vu.

–    Pas touche j’ai dit ! Couché !

–    Mais bien sûr, quand vous voulez !

–    Fais gaffe à tes fesses Jean ! Mon frère est un grand obsédé sexuel. Mais… Tu n’es pas seul à ce que je vois. Toi aussi t’as un mec ?

–    Ouais, c’est Mike

–    Wouhouhouuuu ! Attention les yeux ! Ca envoie du lourd, là !

Un grand type blond, bronzé, sec et musclé, genre surfeur australien, nous regarde depuis la terrasse. Je l’aime déjà, celui-là

–    Et si tu t’habillais, ma chérie ?

–    Ouais c’est ça, va t’habiller surette au lieu de reluquer ce qui ne t’appartient pas !

–    Oh la la les deux relous ! Et pourquoi c’est pas vous qui viendriez bronzer avec nous ?

–    Euh je sais pas si c’est une bonne idée, là, Solène, dis-je.

–    Ouais, moi non plus renchérit Clément.

–    Pourquoi, t’es pas sûr de lui ? Il est pas 100 % homo ? Tu veux dire que j’aurais peut-être une ouverture ?

–    Arrête Solène

–    Oh, t’inquiète pas mon Jeannot ! Je vous charrie. Il est super canon son mec, mais toi aussi t’es beau, et je ne sais pas s’il est aussi doué que toi !

–    Ca dépend pour quoi répond Clément avec un grand sourire.

–    Mais vous êtes des grands malades dans cette famille !

–    Et vous des coincés du cul ! Heureusement qu’il y avait Cécile ! me répond Solène.

–    C’est qui celle-là ?

–    Ah ! Cécile tout un poème ! Je te raconterai frérot

–    Oh, ça va pas, non ?!! crié-je.

Solène éclate de rire.

–    Ca fait plaisir de te voir aussi en forme et aussi belle ma Solène lui dit Clément en la serrant dans ses bras et l’embrassant.

–    Moi aussi je suis super contente de te voir Clem. Ca fait une éternité ! T’es rentré quand des « Staites » ?

–    Il y a une semaine, on repart dans 15 jours. On se fait un petit tour de France. Montagne et plages. And PARIIISSSS ! So romantic ! Bon, sans déconner, ce serait peut-être bien de t’habiller ma grande.

–    OK, OK puisque mon cul ne te plaît pas

–    Oh que si ! dit Clément en claquant les fesses nues de sa sur

Solène daigne enfin enfiler sa robe. Mais elle ne remet aucun sous-vêtement ! Quelle coquine ! Il va falloir que je la surveille de près !

**********

–    Allez les jeunes, qu’est-ce que je vous sers ?

Nous sommes tous réunis autour de la table de la terrasse. Judith nous propose l’apéritif. Pour l’instant presque tout le monde part sur le tariquet, sauf elle qui reste aux jus de fruits. Enfin, va savoir ce qu’elle a mis dedans

La soirée s’annonce joyeuse. Je suis trop heureuse d’avoir retrouvé mon frère. On ne s’était pas vus depuis un an. Ce con s’est barré aux Etats-Unis pour bosser après son diplôme d’ingénieur. Autant dire qu’il a de fortes chances d’y rester. La Silicon Valley San Francisco presque une caricature pour un homo ! En tout cas, il pousse de jolies choses par là-bas Son mec est torride J’en ai le bas-ventre tout émotionné ! Même s’il n’est pas bavard, je ne peux détacher mon regard de ses lèvres pulpeuses, ses yeux de braise son corps sculptural mon dieu ! Mais non, il faut que je me calme. Il est homo, c’est sûr, à 100 %. Et je ne peux pas faire ça à Jeannot ni à Clem. Mon pauvre Jeannot, il a l’air en panique. Il me regarde avec un tel air désemparé. Mais bats-toi mon gars ! Fais face ! Montre que je suis à toi !

**********

Il fait nuit. Il est bien 22 heures. On n’a pas arrêté de picoler doucement depuis la fin d’après-midi. Tout le monde est plus ou moins bourré. Sauf Judith. D’ailleurs elle nous fait signe qu’elle  va se coucher

Nous sommes tous les quatre affalés dans les fauteuils et le canapé de la terrasse. Nous écoutons de la musique et discutons vaguement. Solène partage le canapé avec son frère. Elle a posé sa tête sur son épaule, il la caresse. Ils sont mignons. Je ne savais pas qu’ils étaient si proches. En fait, avec 6 ans d’écart il n’y avait pas vraiment de rivalité, c’était vraiment le grand frère qui protège sa petite sur et elle qui l’admirait. Pas comme chez nous. Oh la la ! Elle est tellement éméchée qu’elle ne fait plus du tout attention à sa posture ! Les jambes écartées Comme elle ne porte pas de culotte, d’où je suis, bonjour la vue ! C’est pas vrai j’ai l’impression que ses lèvres sont déjà bien ouvertes. Et ce connard d’amerloque doit lui aussi bien se rincer l’il ! Eh mais c’est quoi ce regard, elle l’allume encore ou quoi ? Puisqu’on te dit qu’il est pédé ! Putain, ça m’énerve trop, je vais pisser dans le pré ça va me détendre. Et peut-être que je vais trouver une belle branche pour lui éclater la gueule au bellâtre.

A peine arrivé, Clément me rejoint.

–    Ca te dérange pas si je pisse avec toi ? Eh ben, on s’en est bien mis dans le gosier ce soir Mais dis-donc, ta copine elle commence à sérieusement me les briser, là, à allumer en permanence mon mec. Ca a beau être ma sur, faudrait pas qu’elle se croie tout permis.

–    Ouais, j’ai remarqué Mais bon, lui ça l’intéresse pas, les meufs, non ?

–    Ben, là j’en mettrai pas ma main au feu. Je ne la connaissais pas sous ce jour-là ma petite sur chérie. Dans son état cette chaudasse réchaufferait un mort !

–    Reste poli, quand même !

–    T’inquiète, je l’adore. Mais elle a bien grandi ! Je voudrais bien lui donner une petite leçon. Et à Mike aussi..

**********

Jeannot et Clément reviennent. Pendant leur absence, on a un peu plus discuté avec Mike Il est vraiment cool et beau comme un dieu ! Je suis allongée sur le côté sur le canapé, il est toujours face à moi et j’ai très très chaud Mon bas-ventre est de plus en plus excité, je croise et décroise les jambes Je laisse négligemment remonter ma robe sur mes cuisses, mon corsage bailler je sais qu’il mate mon cul, mes seins Pas si homo finalement le beau gosse Je mouille

Revoilà Jean et Clément. Ils rient, ils ont l’air copains comme cochon ! J’aurais peut-être pas dû laisser Clément aller retrouver Jean seul  

–    Pousse tes jambes soeurette, fais-moi une place !

Clem s’assoit sur le canapé, à mes pieds.

–    Dis-donc, j’ai une jolie vue d’ici !

Il remonte ma robe et me caresse les fesses !

–    Eh, ça va pas non !

J’essaie de rebaisser ma robe mais il m’en empêche.

–    Oh, fais pas la farouche ! T’étais bien moins pudique cet après-midi dans le pré ! Et là quand tu écartais les jambes tout à l’heure. Tout le monde a pu mater ta chatte humide et tu le savais parfaitement, surette ! J’ai l’impression que t’as besoin d’une bite urgemment ! Heureusement j’ai pu vérifier que Jean est très bien équipé ! Approche Jean, ma sur veut se faire défoncer le cul !

–    Eh mais t’es malade, Clem ! Ca va pas de me parler comme ça !

–    Chut ! Tais-toi ! Tu la veux hein ma bite dans ton joli cul ? intervient Jean.

Mais il est cinglé lui ! D’où il se permet de me parler comme ça maintenant ??!! C’est l’alcool ? Jean s’approche, remonte ma robe encore plus haut, dévoile mon dos, mes seins, et m’empoigne fermement les hanches. Il me soulève et me cale sur le canapé, les fesses en l’air. Hmmmm. Finalement. Il se réveillle, mon mec ! Je fais mine de me refuser un peu, pour la forme Jean n’a aucun mal à faire ce qu’il veut.

–    Eh guys, that’s not cool at all ! You can’t do that ! *

–    T’inquiète Mike ! Tu vois bien qu’elle est d’accord Elle n’attend que ça Tu aimes les petits culs toi aussi non, d’après ce que m’a dit Clément ?  Viens voir un peu comme il est beau le cul de ma petite femme !

–    Eh ! Clem ! How can you let him do that to your sister ! **

–    Keep cool Mike, it’s only a little sex game Come on ! Come and kiss me. Show me you still love me ! ***

Mike se lève. Il va embrasser Clément. Une énorme pelle, là, juste sous mes yeux. Soudain, je sens la bite de Jean sur ma chatte. Il me pénètre violemment, d’un seul coup. Je crie !

–    Jean ! Doucement s’il te plaît

–    Tu m’as manqué de respect salope ! C’est qui ton maître ?

–    Hein ! T’es malade !

–    C’est qui ton maître ?

Oooh. En disant cela il commence à me pilonner A chaque question il me donne une énorme claque sur les fesses. Hmmmmm ! Ca fait maaaal !

–    Alors, j’attends, c’est qui ton maître ?

–    Ta gueule salaud ! Tu vas me le payer tout à l’heure !

–    C’est qui ton maître ?!!!

–    Putain ! Arrêêête Hmmmm.

–    C’est qui ton maître ?!!!

–    Ooohhhh. C’est toi Jean ! C’est toi mon maître !

–    Ah ! C’est bien ! Tu deviens sage Mais tu mérites une belle punition !

Jean continue à me pilonner violemment, il me frappe les fesses d’une main, et de l’autre m’attrape par les cheveux, me relève. Il me crache dessus !

–    Attends un peu petite salope ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !

Aie ! Il me fait mal !!! Putain c’est bon ! C’est pas vrai ! J’aime ça ! Enfin, il se rebelle ! Il me possède !

–    Oui Jean !!! Défonce-moi ! Je suis ta chienne ! Baise-moi !

Devant moi, Clément a baissé le bermuda de Mike et lui taille une pipe ! Mon frère suce son mec devant moi ! Putain c’est n’importe quoi ! Ce Mike, il a carrément une bite monumentale, tellement grosse, longue ! Purée, j’ai jamais vu ça ! Clem n’arrive même pas à l’avaler en entier

Jean continue à me buriner la moule sans ménagement, me frapper, me rudoyer ! Puis, soudain, il se retire, me relève violemment, me projette à genoux devant lui.

–    Vas-y, suce-moi ! Et t’as intérêt à assurer ! Prends exemple sur ton frère, il a l’air de savoir y faire.

–    Attends Jean Je vais lui montrer comment faire

–    Euh. Clément C’est pas ce qu’on

Clem s’agenouille devant Jeannot, qui essaie de reculer mais mon frère le retient !

–    Laisse-moi faire Jean je lui montre juste

–    Laisse Jeannot ! Ca m’excite trop ! J’adore ! Vas-y Clément ! Montre-moi !

–    Tais-toi ! Apprends, petite salope !

Clem commence à lécher le gland de Jeannot, lui caresser doucement les testicules du bout des doigts Sa langue tourne autour de son gland, titille le méat, redescend le long de sa verge en la léchant, jusqu’à ses bourses, qu’il suce lentement, avale une à une puis il remonte revient… Mon Jeannot gémit respire de plus en plus vite, halète.

–    Vas-y surette ! Fais comme moi

Je m’y mets aussi mais Clem ne lâche pas l’affaire ! Nos deux langues se partagent la bite de mon homme ! Jeannot est aux anges, la bouche ouverte, yeux au ciel, il gémit sans cesse, sa queue est tendue à mort, plus longue et plus grosse que jamais

Enfin Clément se relève et me laisse seule avec le sexe de Jeannot que j’avale enfin… Il retourne vers Mike, lui roule une pelle. J’ai l’impression qu’il lui parle à l’oreille Il fait un signe à Jean.

Jeannot me relève brusquement en me tirant les cheveux ! Aïe !!! PUTAIN CA FAIT MAL, CONNARD !!!!

Il s’allonge sur le dos sur le canapé tout en m’attirant violemment contre lui.

–    Viens salope ! Baise-moi !

–    Ta gueule enfoiré ! Tu m’as arraché la tête, tu vas me le payer !

–    Dépêche-toi ! Ma bite a besoin d’une chatte !

Je me pose sur lui, m’empale sur son sexe gonflé comme jamais et lui colle une énorme gifle Il crie. Je recommence. Mais à peine commencé-je à onduler sur son pieu qui me laboure le vagin que je sens une main sur mon dos qui me projette violemment en avant Je suis affalée sur Jean, le cul en l’air ! Quelqu’un enjambe mes jambes et celles de Jeannot Oh putain, c’est quoi ce délire ?!

–    Eh arrêtez, là ! C’est n’importe quoi votre jeu !

–    Ta gueule ! crie Clément. Tu vas voir ce que c’est de provoquer mon mec !

–    Arrête Clément ! C’était pas sérieux ! Juste un jeu ! J’ai jamais voulu te le piquer !

–    Ben nous aussi on joue, So ! Let’s go Mike, go on !

Oh merde, c’est cette bombe sexuelle de Mike qui est derrière moi ! Oh putain je sens sa bite raide entre mes fesses ses grosses couilles sur ma chatte ! Mais non ! Il introduit son pouce dans mon petit trou l’écarte un peu, tourne, le vrille doucement à peine Maintenant il retire son doigt et je sens son gland sur mon trou du cul il est énorme !!! Il pousse, se fraie un chemin, doucement puis sans trop de ménagement, et s’enfonce d’une traite ! Il me déchire le trou ce con ! Ca fait maaaal !!!!! Je hurle ! Je hurle !!! Sa bite monstrueuse s’enfonce toujours il me défonce les entrailles

Mais ça y est, il s’arrête Je sens ses hanches sur mes fesses Jean est toujours en moi, il recommence à bouger doucement dans mon vagin Mike lui répond Ils se cherchent, s’attendent, se synchronisent. Ooooh. ces deux mecs en moi rien que pour moi

–    Eh mais ça va pas Clément ! Arrêtez ça !

–    T’inquiète Judith. Regarde-la.

Je me mords les lèvres, je gémis sans arrêt, lâche des petits cris

–    Tu vois, elle aime ça . Elle va prendre un pied monumental !

–    Tu exagères Clément ! C’est ta sur !

–    Elle voulait Mike depuis tout à l’heure Je le lui offre. C’est plutôt gentil non ? J’ai simplement choisi l’orifice

–    T’es un grand malade Clément !

–    Mais regarde-la, elle jouit comme une folle ! Elle a les deux bites qu’elle voulait, en même temps !

–    Solène ! T’es d’accord au moins ?!!

Je la regarde je gémis je pleure mais mes yeux disent oui pour moi J’ai honte, tellement honte Ma Judith Mais je les veux !!! Je les garde ! Mes deux belles bites, à moi, en moi, qui me fouillent les entrailles, me transpercent

Judith tourne le dos et remonte dans sa chambre.

Je gémis je crie je pleure je hurle Ce con de Mike me défonce le cul, il tape comme un malade, sans aucun ménagement ! J’ai mal putain ! Mais c’est bon !!!! Jeannot, sous moi, m’embrasse, me caresse le dos, tandis qu’il pénètre mon con, le lime Sa bite en moi, tout au fond, là Ils se rencontrent Se suivent Jeannot ! Mike ! Je crie ! Je me tends, je sens monter l’orgasme, c’est violent ! Ca vient de partout, ça me submerge, mon âme vacille, tout mon être tremble Mes yeux se révulsent Je m’effondre.

*************

6 heures. Je me réveille. Solène est debout. Elle a pris sa douche, je la regarde s’habiller. Oooh ! Ma tête !!! Putain quelle soirée Quel malade ce Clément ! Mais qu’est-ce qui nous a pris ? C’est vraiment des cinglés cette famille. Qu’est-ce que j’ai fait ?!! Solène !

Solène sort de la chambre, sans un regard vers moi

*************

–    Réveille-toi connard !

–    Hein ?!!

–    Réveille-toi ! Faut que tu m’emmènes à l’hôtel avec ta bagnole.

–    Eh, tu déconnes ? !!! T’as un vélo ! Démerde-toi surette ! J’suis pas ton chauffeur !

–    Je peux plus prendre mon vélo espèce de gros bâtard ! Ton mec m’a explosé le fion ! Je vais mettre au moins une semaine à m’en remettre !

–    Ah ça ! C’est toi qui la voulais, sa bite Fallait te renseigner sur la taille de l’engin ! Dans ton si joli petit cul, c’est sûr que ça fait des dégâts

Il rit ce gros con !

–    Ta gueule ! Si tu te marres encore une fois je te défonce le crâne ! Lève-toi et bouge ton cul, j’ai pas envie de perdre mon boulot !

–    T’es sûre que tu veux y aller ??! Tu ne vas pas avoir de fuites pendant la journée ? Tu veux pas qu’on passe à la pharmacie prendre des couches ? Faudrait peut-être un arrêt de travail il va s’amuser le toubib pendant l’examen !

Il se marre ! Quelle enflure ! Il me le paiera

(à suivre)

————————————————

Traductions des phrases en anglais :

* Eh les mecs c’est pas cool du tout, vous ne pouvez pas faire ça.

** Eh Clem, comment peux-tu le laisser faire ça à ta soeur ?

*** Relaxe Mike, c’est seulement un petit jeu sexuel…. Allez, viens ! Viens m’embrasser ! Montre moi que tu m’aimes toujours !

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