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Je n'osais pas me branler devant mes hommes. – Chapitre 1




Mes premiers souvenirs de jeunesses sont surtout de mes masturbations. Cest naturellement que sans que personne ne me dise quoi que ce soit, un jour jai trouvé mon clitoris. Je devais avoir 11 ou 12 ans. Cétait dans la baignoire pendant un bain. Je me lavais bien comme mavait demandé ma mère. Je me savonnais debout tout le corps avant de me rincer dans leau. Jétais surprise de sentir une drôle de sensation quand le gant de toilette est passé sur un endroit très précis de mon entrejambe. Jai recommencé pour sentir cette sensation devenir un véritable plaisir. Jai donc continué. Jai senti ce petit plaisir se transformer en véritable ouragan. Javais le bas-ventre secoué par des spasmes que je ne connaissais pas.

Je nosais pas en parler à ma mère de peur davoir fait quelque chose de mal. Il nempêche que le soir même en me déshabillant pour mettre ma chemise de nuit, je ne pouvais oublier ce qui sétait passé. Alors, nue sur le lit jai écarté les jambes, ma main est retournée au même endroit que ce matin. Jai vite trouvé comme un petit bouton. Je lai frotté lentement. En accélérant mon va-et-vient jai trouvé le même plaisir. Jai recommencé plusieurs fois avant de mendormir.

Jen ai parlé à Nicole, ma copine qui ne connaissant pas ce plaisir. Le lendemain elle avait essayé sur elle pour aboutir au même résultat que moi. Chaque matin nous faisions à lautre le compte rendu de nos masturbations: je ne sais comment nous avons su comme ce nommait notre caresse.

Plus tard, bien plus tard, nous étions dans nos 16 ans, un jour nous étions ensemble chez elle. Nous savions bien ce quapporte le sexe. Nous nosions ni elle ni moi aborder des garçons pour leur demander de nous caresser. Aussi nous décidions de le faire entre nous. Cest ainsi que nous étions nues sur son lit, les jambes bien ouvertes, montrant à lautre son sexe mouillé. Nous avions la même envie: jouir. Nicole a commencé la première à se toucher. Je la regarde faire: elle mexcite surtout quand sa main caresse son bouton. Je limite par besoin. Nous jouissons presque ensemble quand je lui demande de la caresser. Je lai faite jouir rapidement, alors à son tour elle ma branlée. Jai jouis plus fort que la normale.

La fois suivante nous sommes allées bien plus loin. Nous nous sommes masturbées ensemble une première fois pour avoir lidée de nous servir de nos langues. Ô par pur hasard nous embrasser, cest venu plus tard, pour nous lécher comme nous lavions vu sur un journal porno. Ce devait être une simple expérience, cest devenue une habitude puisque nous finissions même par nous entrer la langue dans le cul.

Les études nous ont séparées. Elle sarrête au bac pendant que je continue en fac. A 18 ans, jétais encore vierge, avec au fond de moi lenvie de me faire déflorer. Jai eu la chance de trouver une chambre à la cité U. Jattendais de trouver mon initiateur. Dans lattente je me branlais.

Un jour je tamponne dans le couloir, mon voisin de palier. Bingo, il me plait. Je le laisse me faire un brin de cour. Je cède rapidement à ses désirs. Sortant des bras dune fille je me trouve dans les bras dun beau garçon. Je le laisse membrasser sur la bouche, dans le cou. Je sens que sa queue est bien gonflée. Je nen ai jamais vue, je sais comment cest fait. Ce désir de moi qui est besoin de lui me monte à la tête. Je pose ma main sur sa bite. Elle est plus grosse que je le croyais et dure, plus dure que je supposais.

Je ne commence à agir que quand il passe sa main sur ma fente à travers le jean. Il ne le sens pas, je suis trempée plus que quand jétais avec Nicole. Il arrive à ouvrir la braguette, passe sa main pour toucher ma chatte à travers ma culotte. Il touche mon sexe indirectement. Je sens quil frotte mon clitoris dun seul doigt. Il sait que jai envie de lui. Il prend ma main pour ouvrir sa braguette. Jarrive péniblement à sortir son engin.

Il sassoit sur mon lit, enlève mon t-shirt et mon soutien gorge. Sa bouche est juste à la hauteur de mes seins. Il les embrasse avant den prendre un dans sa bouche. Il me lèche un téton. Je sens mes seins gonfler comme avec Nicole. Je meurs denvie: quil me branle au moins. Il doit me comprendre puisquil fait tomber et le pantalon et la culotte. Maintenant je suis nue devant mon premier garçon. Je nen ai même pas honte.

Quand il se lève cest pour se déshabiller. Je regarde ce corps avec sa bite bien dressée. Je la voudrai en moi, je ne sais pas où en moi simplement. Il se couche sur le lit en me tendant les bras. Je me trouve contre lui qui me caresse à peu près partout. Quel bonheur de sentir ses mains un peu calleuses sur moi, surtout sur mes seins. Jai envie de jouir avec lui. Je nose pas me toucher ma chatte. Jaurais pu lui montrer comment je me branle. Ca, je lose pas le faire devant lui.

Il me fit écarter les jambes; je le fais avec un grand plaisir. Il est sur moi. Je sens quil cherche lentrée de mon sexe. Je nose pas laider. Quand il entre, tout ce passe bien jusquà mon hymen auquel je ne prêtais aucune attention. Il force un peu, jai mal. Il insiste pour me la mettre au fond. Je nai plus mal enfin quand je sens une autre plaisir inconnu, celui dêtre baisée. Jaccompagne même ses mouvements: je jouis de lavoir dans mon ventre. Je suis heureuse de sentir sa bite dans mon conduit. Je suis pleine de jouissance.

Il sort de moi en membrassant encore. Je ne sais même pas sil a joui. Il me fait tourner sur le ventre puis me met en levrette. Je crois savoir ce quil veut. Je le laisse faire sans intervenir. Sans doute quil veut me prendre par derrière pour la remettre dans la chatte. Dans ma chatte, je sens sa main venir chercher ma mouille. Je comprends enfin; il veut me sodomiser. Certaines copines disaient que cétait bon, dautres avaient horreur de ça. Je verrai bien.

Cest vrai il me met sa bite sur lanus. Il le mouille avec la cyprine de mon sexe. Je sens son bout sur le petit trou. Il force lentement. Jai mal quand il mencule. Quand il passe le plus gros, je suis détendue. Je le sens mettre toute sa longueur. Je suis agréablement surprise de le sentir sans douleur. Il va et vient dans cette partie arrière de mon corps. Je suis une fille qui commence à aimer être enculée. Je jouis encore avec sa bite dans le ventre. Il commence à aller plus vite:

— Je vais jouir comme toi !!!

Je sens son sperme couler dans mes boyaux. Rien que de le savoir je jouis encore une fois. Il ne sort pas encore, il débande lentement. Dommage jaurais bien continué.

Presque toutes les nuits, nous nous aimons. Souvent jai encore envie de jouir alors quil ne peut plus me la mettre. Je pourrai lui demander de me masturber. Je nose toujours pas: la masturbation est mon secret. Jai trouvé un autre moyen de jouir: sous la douche je fais couler le jet deau sur le clitoris: je me fais jouir ainsi le main au réveil et le soir sil ne ma pas comblée.

La vie fait que nous nous sommes perdus de vue. Je laimais bien, jaimais bien sa bite même si je nai jamais osé le prendre dans la bouche.

Maintenant que je suis mariée mon mari me comble encore plus. Il me la met partout, y compris dans la bouche où jaime son goût un peu acre et sa semence qui sy perd avant que je la déguste. Jai même décidé un jour, ce nest pas vieux, ça date dun an de lui montrer comment je me branlais: il ma regardée, sest masturbé aussi devant moi. Depuis nous navons pas honte de nous caresser le sexe: ça marrive souvent vers 17 heures, je ne sais pourquoi à cet heure.

Pour me satisfaire il a acheté un gode tout simple. Je lai essayé devant lui au lit. Il ma fait mettre en levrette, javais le gode dans le vagin bien profond quand il est venu menculer. Nous navions jamais fait ce genre de gymnastique. Il soupirait de bonheur alors que moi je criais de jouissance.

Sans rien lui dire peu après jai acheté un double gode qui permet à une femme seule davoir une double pénétration: gode de taille normale pour le sexe et un autre accolé de taille plus fine pour le cul. Quand je lui ai montré mon acquisition quil a vu que javais le cul occupé, je lui ai demande de me la mettre dans la bouche. Ainsi jétais occupé de tous les trous. Nous avons jouis remarquablement bien.

Maintenant je peux me branler quand je veux et où je veux grâce aux boules de geishas.

Je peux dire que je suis satisfaite sexuellement depuis le début de mon adolescence.

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