Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe lesbiennes

Anna, ma belle fille – Chapitre 3




Chapitre 3 : Enfin le week-end

Vendredi matin, Carole allait partir en début de soirée pour rejoindre sa tante, son train était prévu pour dix-huit heures, je l’avais un peu aidé à préparer ses affaires avant le petit déjeuner, puis j’étais descendu. J’étais à nouveau plongé dans mes pensées et accessoirement dans ma tasse de café, Carole était en train de finir son sac avant d’aller travailler. Anna s’approcha et en voyant que sa mère n’était pas là me murmura :

-"J’ai trouvé mon string au fond de la machine, t’aurais pu faire gaffe, je l’ai vu en entrant dans la salle de bains, alors imagine si maman était entrée juste avant et était tombée dessus dans cet état."

Je n’eu pas le temps de répondre, les pas de Carole se firent entendre, elle avait terminé ses préparatifs et venait nous rejoindre pour partager ce petit moment à nous trois. Entre deux questions à propos du voyage de ma compagne, mes pensées revenaient.

Heureusement que c’est elle qui est tombée sur le string, quel idiot de l’avoir mis dans la machine. Mais qu’est-ce qu’elle a bien pu en faire?

Je jetais de temps à autre un oeil sur Anna, si belle et si surprenante, je regardais son visage sin fin et si joliment dessiné, de même que sa poitrine que laissait deviner son tee-shirt. Je faisais tout de même attention à ne pas être trop insistant, j’avais échappé de peu à une catastrophe, je devais me montrer plus prudent. Je partis travailler peu après, je profitais d’un moment libre pour entrer dans le bureau de Marc et lui dire très simplement :

-"Carole s’absente pour le week-end.

-Attends me dit pas que tu vas…

-Si j’y compte bien et je peux te dire qu’Anna aussi.

-Mais comment tu peux-tu en être aussi sûr?" 

Je lui racontais alors la veille au moment du repas, ce regard qu’elle m’a lancé, le plaisir qu’elle ma donné sous la table et qui me faisait encore frémir, sans oublier l’incident du string et la réaction qu’Anna avait eu en le trouvant.

-"Ah alors dans ce cas ça change tout, elle n’a pas l’air d’avoir froid aux yeux, t’as une petite cochonne open à disposition et elle un mec en manque à s’occuper alors profitez bien de ce week-end, et puis… si le sexe à plusieurs vous tente, appelez moi"

Il disait ça en plaisantant, mais le connaissant et connaissant ses goûts, je savais très bien qu’il y avait un large fond de sérieux et d’envie dans sa proposition. Il m’avait déjà raconté et même montré en vidéo ses délires sexuels comme la fois où il avait offert sa propre femme à deux routiers sur une aire d’autouroute pendant qu’il regardait, ou bien à cette période où toujours avec sa femme ils avaient soumis une autre femme à leurs désirs SM. Oui, comme je l’ai dit auparavant on se racontait tout.

Le soir en rentrant, j’eu tout juste le temps de dire au revoir à ma bien aimée, elle devait se mettre rapidement en route pour ne pas arriver trop tard, en la serrant dans mes bras, je vis Anna derrière, assise sur le canapé en train de regarder un feuilleton mais en fixant malgré tout mon regard. Je ne savais pas ce qui allait se passer lorsque j’ai fermé la porte, y allait-il y avoir une sorte de malaise? Allait-on se dégonfler? Allait-on se sauter dessus? Mais rien de tout ça, nous avons pris notre repas dans le calme, échangeant quelques regards et conversations tout à fait banals. Peu après dans la soirée en revanche, je me faisais littéralement clouer le bec de surprise mais aussi il faut bien le dire d’excitation par une gamine de dix-neuf ans… Nous étions assis sur le canapé, je portais un pantalon et une chemise, Quant à elle, elle avait mis un legging et un tee-shirt, sans soutien gorge , sa main s’est posée sur ma cuisse, puis s’est rapprochée de mon sexe avant de le saisir et de le caresser par dessus le pantalon. Puis elle m’a dit :

-"Je t’adore, j’ai envie de sexe avec toi, mais je ne veux pas que vous vous sépariez.

-Non, qu’est-ce que tu vas chercher, ne t’en fais pas on ne va pas se séparer, on en a pas l’intention. 

Je sentais sa main aller et venir et peut-être rassurée par ma réponse, elle déboutonnait maintenant mon pantalon avant d’y glisser sa main et de saisir à nouveau mon sexe sans la gène du vêtement.

-"Ce qu’on à fait l’autre soir.

-Oui?

-C’était génial, aucun mec m’avait donné tant de plaisir avant.

-Tu en as connu beaucoup? (je demandais tres curieux)

-Cinq avec qui j’ai couché, dont toi bien sûr.

Dix-neuf ans, cinq mecs dans son lit, elle perd pas de temps la petite.

J’étais quand même fier d’être celui des cinq qui lui avait donné le plus de plaisir. mon sexe était dressé à présent et elle me le décalottait délicatement, j’en frémissais.

-"Promis ni toi ni moi ne dirons à maman ce qu’on a fait?

-Tu sais si elle apprenait ce qu’on fait elle m’arracherait surement le membre.

-Ce serait dommage, moi je l’adore." (Elle intensifia la masturbation à ce moment)

-Tu sais, toi aussi tu m’as procuré de plaisir l’autre soir, je n’avais pas ressenti ça depuis longtemps."

A ces mots, elle changea de position et fit descendre mon pantalon avec mon concours, j’avais le sexe dressé, le gland apparent offert devant ses yeux. Elle approcha son visage et y posa ses levres, puis elle sorti sa langue pour le lécher, le gland seul d’abord, puis le sexe dans sa longueur. Elle s’amusa avec de cette façon quelques secondes avant de mettre mon gland dans sa bouche, puis de faire lentement entrer mon sexe presque intégralement (Mon sexe ne fait que quinze centimètres et quelques). Sa bouche descendait puis montait sur mon pénis, je caressais sa nuque profitant du plaisir qu’elle m’offrait.

Elle se releva après quelques minutes passées à cette fellation magique, elle retira ses vêtements qui tombèrent au sol, je vis ses seins apparaitre, puis sa chatte. Je décidais de prendre un peu l’initiative, je la fis basculer en arrière, elle ouvrit d’emblée ses cuisses , je pouvais voir sa petite fente si attirante, ses fines lèvres et un petit clitoris qui ne demandait qu’à être sucé à son tour. Je m’allongeais et glissais mais tête entre ses jambes pour commencer à butiner son petit sexe, ma langue parcourait son entre cuisses, je l’entendais gémir, je la sentais se cambrer lorsque je mettais son petit bouton rose entre mes levres et que je le pinçais délicatement. Parfois je m’aidais de mon index que j’insérais en elle pour le faire aller et venir, parfois j’insérais même ma langue dans son vagin, humide, chaud, si agréable. J’avais de la cyprine (délicieuse au passage) dans la bouche, sur la langue, je me délectais de ce nectar qui coulait le long de sa fente.

Je me relevais, le contour de la bouche enduit de la mouille de ma belle fille, j’approchais à présent mon ventre du sien, je collais mon sexe contre le sien, le faisant glisser contre ses lèvres et son pubis. Lentement je fis entrer le bout de ma tige, je fixais son regard pendant ce temps. Je le vis dans ses yeux, c’était comme si elle me suppliait du regard de l’enfourner, je ne me fis donc pas prier pour faire entrer lentement mon manche, centimètre par centimètre, je sentais ce vagin étroit m’accueillir, je prenais un immense plaisir à m’enfoncer en elle, et vu ses soupirs, elle appréciait aussi énormément. Peu à peu, j’accélérais la cadence, ses soupirs se transformaient en gémissements, l’excitation me gagna, j’en voulais encore plus et dans le feu de l’action, je pris ses deux jambes que je relevais bien haut, les posait sur mes épaules, je prenais appui sur ses deux belles gambettes et me mis à la baiser sauvagement, mon sexe allait et venait à toute vitesse, ma belle partenaire laissait maintenant échapper des petits cris de plaisir presque ininterrompus, je voyais son visage se crisper pendant que je défonçais littéralement sa petite moule.

Elle aime ça, je suis en train de lui bourrer sa petite chatte et ça la fait couiner de plaisir.

Je la pilonnais depuis plusieurs minutes quand je la sentis complètement partir, toute tremblante, son corps parcouru par de violents spasmes, se mordre les levres, j’étais en train de lui donner l’orgasme de sa vie alors que le mien approchait à grands pas.

Arrête t’as pas de capote tu peux pas prendre le risque de lui gicler dans la chatte.

Bien malgré moi je me retirais, j’allais à nouveau jouir sur son ventre, mais la jeune femme avait autre chose de bien plus tentant en tête. Elle s’approcha et rapidement engloba mon sexe avec sa bouche, je n’en demandais pas tant, mais je commençais de légers mouvements de bassin dans sa bouche pendant qu’elle me sucait, je ne pus me retenir bien longtemps, la fellation qu’elle était en train de me faire achevait la montée du plaisir, en quelques secondes j’explosais, une longue giclée de foutre dans sa bouche, puis une autre, et encore une. Elle avait gardé ma queue dans sa bouche jusqu’à ce que j’eu finis d’éjaculer, elle se redressa alors, la bouche fermée face à moi et je la vis lentement déglutir pour avaler. J’étais comblé.

Non seulement elle me suce, elle me laisse jouir dans sa bouche alors que Carole ne veut pas mais en plus elle avale…

Anna s’est ensuite assise, entièrement nue sur le canapé pour regarder l’émission qui tournait en fond pendant notre acte sexuel. Je suis resté avec elle nu également, jusqu’à ce qu’elle se lève pour aller se coucher… je la regardais s’éloigner à poil, le regard sur ses fesses. avant de monter elle se retourna :

-"Si t’as encore envie dans la nuit, vient me voir, je dors toute nue."

Elle monta les marches et s’enferma dans sa chambre, visiblement pas encore tout à fait rassasiée, me laissant seul avec mes pensées.

Related posts

Producteur porno – Chapitre 1

historiesexe

immoral tentation – Chapitre 4

historiesexe

beau-papa – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .