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Pauline – années adulte – Chapitre 22




Chapitre 22

Je n’avais pas pu prendre beaucoup d’affaires ma mère m’avait fait grimper sur le toit de l’immeuble mon père, qui en fait ne l’était pas, m’avait fait vivre les meilleurs moments sexuels de ma vie C’était une histoire de fou. Et, je me retrouvais chez Pauline la folle ; ma mère était repartie sans me laisser le moindre argent et en me prenant mon téléphone.

Il n’était pas mon père Elle y était retournée en se débarrassant de moi C’était clair maintenant, elle avait voulu me faire peur pour que je n’y retourne pas et pour pas que je prenne sa place. Comment croyait-elle un instant que j’allais rester dans cet endroit de bouseux habité par plein de bouseux et qui puait la bouse ? J’allais y retourner, j’allais reprendre ma vie confortable de citadine. Et je me fichais qu’il me fasse subir quelques douces violences et humiliations, c’était d’ailleurs plutôt excitant. Pour cette vie, je n’avais pas besoin de faire d’études ou d’avoir le bac.

— Vieille folle, ramène-moi là-bas !

— Pardon ? Comment m’as-tu appelée ?

— La vieille.

— Tu peux faire mieux !

— Pauline Mamie Pauline ?

— Non.

— Non ? Quoi non ?

— Non, je ne te ramènerai pas là-bas.

— Mais

Je me suis mise à genoux devant elle, l’implorant

— S’il te plait, mamie Pauline, ramène moi là-bas

— Yvana ! Lève-toi tout de suite ! Où est ta dignité ?

Elle refusait de m’amener où que ce soit. Je suis allée me changer. Si ce n’était pas elle, ça serait quelqu’un d’autre. Au moins qu’on me conduise jusqu’à une gare, je pouvais bien me débrouiller toute seule après tout. Et j’avais tous les arguments nécessaires pour qu’on me prenne en auto-stop.

Je suis sortie de la chambre, Pauline me regarda avec un sourire en coin et me dit :

— Tu te trompes de saison. Ce n’est pas encore l’été, et il fait vraiment très froid dehors. Tu comptais aller quelque part ?

— Oui, et tu sais où je veux aller. De toute façon, mon manteau est suffisamment chaud pour rester à peine quelques minutes dehors le temps qu’un mec me fasse monter dans sa voiture. Je te parie que je n’attendrai même pas cinq minutes. Et n’essaie pas de me retenir !

— Je ne vais pas essayer. Il y a des moments où il vaut mieux laisser les enfants vivre leurs propres expériences.

— Je ne suis plus une enfant, je suis une adulte.

— Ce n’est pas parce que tu as 18 ans que tu es une adulte.

— Adieu, vieille folle !

Et je suis partie, fermant mon manteau le mieux que je pouvais, vexée pas sa dernière remarque. Merde, il faisait vraiment froid. Je n’avais pas pensé à prendre des bas, ou même un collant Mes jambes nues commençaient à souffrir. J’étais frigorifiée rien que le temps qu’il me fallut pour arriver au centre du village, l’endroit où j’aurai le plus de chance de trouver une voiture.

Au bout d’une bonne dizaine de minutes, aucune voiture n’était encore passée. J’étais gelée. Puis, enfin Elle était vieille et toute cabossée, j’espérais qu’elle ait au moins le chauffage. Il ne restait plus qu’à ce que je joue de mes charmes. J’ai fait signe, sans oublier d’ouvrir mon manteau Pourvu qu’il s’agisse d’un homme à bord, car ma micro-jupe et mon haut très décolleté attirait tous les mâles à mes pieds. La voiture s’arrêta à côté de moi, oui, c’était un homme vieux, mais tant pis. Il baissa la vitre :

— Bonjour Monsieur, pouvez-vous m’emmener à la gare la plus proche ?

— Hey, mais tu es Yvana, la petite fille de Pauline. J’ai failli ne pas te reconnaitre.

— Heu Non, vous devez confondre.

— Ho, comme t’as grandi. T’es devenu une très jolie femme maintenant.

— Ce n’est pas moi

— T’as toujours d’aussi beaux yeux. Je me rappelle de ces yeux qui se mettaient à scintiller dès que tu voyais mes paquets de bonbons dans ma boutique. Tu m’appelais "Monsieur Bubuche" et je te répondais "Non, ma petite, c’est Monsieur Buchard", tu te souviens ?

— Oui, je me souviens… Mais, en souvenir de ce passé, pouvez-vous m’emmener à la gare ?

— Pourquoi ferai-je ça ?

Ça n’allait finalement pas être aussi facile que je le pensais. Il était si vieux, ça me dégoûtait un peu, mais J’ai tiré sur mon haut pour lui montrer un de mes seins. Il fit une drôle de tête, je lui ai alors dit :

— S’il vous plait Je peux être très gentille, vous savez. Vous voulez toucher ?

— Ho là ! Je ne sais pas à quoi tu joues, mais je ne tiens pas à avoir des problèmes avec ta grand-mère. Je peux te ramener chez elle par contre.

— Non, c’est bon, je vais rester ici.

— Et bien, à la prochaine. Heureux de t’avoir revue.

Deux autres voitures sont passées Seulement deux durant tout ce temps Et je n’ai pas eu plus de succès. J’étais frigorifiée. Je ne sentais plus mes mains, ni mes pieds. Là, j’aurais voulu retourner chez Pauline, rien que pour me réchauffer avant de réessayer le lendemain Et manger aussi, je commençais à avoir faim. Mais, je n’arrivais même plus à bouger.

Une moto Je n’avais plus la force de lever le bras pour faire signe, je grelottais comme une feuille. Et pourtant, elle s’arrêta, et le type dessus que je n’arrivais même pas à regarder me dit « Hey, salut Yvana », encore quelqu’un qui me reconnaissait malgré que je ne sois pas venue depuis cinq ans. « Je vais chez Pauline, grimpe, je te ramène Tiens, mets ces gants ». Je n’ai pas parlé, j’ai simplement obéi. Je voulais rentrer.

A peine étions nous arrivés que je suis allée dans la salle de bain me prendre une douche brûlante. Comme ça me faisait du bien Je me réchauffais enfin Et je suis sortie enveloppée dans une serviette ; le motard qui m’avait raccompagnée était en train de partir. Je le vis alors Un jeune homme de mon âge. Putain de bordel de merde comme il était beau, et il dégageait quelque chose d’incroyable J’étais sous le charme. Il me sourit, et me dit

— J’espère à bientôt, Yvana.

— Heu.. Oui Ho BenHihi

Je me sentais tellement conne, je n’arrivais pas à prononcer une seule phrase, et il partit. Pauline vint me demander

— Ça va mieux ?

— C’est qui ?

— Lui ? Ben Neven Le petit garçon qui est venu deux années de suite jouer avec toi lorsque je te gardais l’été. Tu devais avoir 7 8 ans alors Celui que tu as griffé juste en-dessous de l’il gauche.

— Ha ?… Oui, je me souviens. Je l’avais embrassé et il avait dit « beurk ».

— Et bien, je suis contente d’avoir enfin une explication après toutes ces années. Mince, il a oublié son écharpe. Tant pis, il repassera bien Bon, tu viens mettre la table ?

Quoi ? Elle me demandait quoi là ? Je ne me suis jamais rabaissée à faire la moindre tâche ménagère. Ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer. Ça m’a énervée et je lui ai répondu

— Hey, je ne suis pas ton esclave. Ça me fait déjà chier d’être ici.

— Ok, c’est comme tu veux.

Elle partit dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, ça sentait bon la nourriture dans toute la maison. J’avais une faim de loup, mon ventre gargouillait comme pas possible. Alors, Je suis allée dans la cuisine à mon tour, et je vis Pauline assise à la table en train de manger

— Mais ? Et moi ?

— Je ne suis pas ton esclave. Avec moi, c’est donnant donnant. Tu ne veux pas participer, tu ne manges pas.

— Quoi ?… Mais J’ai faim.

— Ce n’est pas mon problème.

Je ne savais même pas ce qu’il y avait dans son assiette, une sorte de gratin, mais ça sentait rudement bon. Elle avala une bouchée, une autre encore une autre Je me suis assise sur une chaise à côté d’elle, et implorante :

— S’il te plait, mamie, je peux en avoir ?… Je ferai la vaisselle, promis.

— Vas te prendre une assiette, elles sont dans le placard au-dessus de l’évier.

Comme c’était bon je me suis régalée meilleur que tous ces plats que je mangeais habituellement, commandés puis livrés meilleur que les restaurants où j’avais l’habitude d’aller. C’était simple, visuellement pas terrible, mais tellement délicieux.

Je suis ensuite allée dormir, juste après avoir fait la vaisselle comme promis. Ma grand-mère me proposa un tee-shirt pour la nuit, mais j’aime rester nue dans mon lit. Le programme du lendemain était simple : aller en ville pour m’acheter des vêtements plus adaptés pour la saison. Mais, en attendant, seule dans mon lit, je pensais à Neven. Je caressais mon corps comme je rêvais qu’il le fasse. Je me frottais avec son écharpe qui sentait si bon, je me suis masturbée avec elle comme une folle. Et plusieurs fois durant cette nuit, je me suis offerte un orgasme J’avais eu le coup de foudre, j’étais tombée amoureuse.

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