Ce nest que 2 mois plus tard que Douce mit sur le tapis :
« tu as toujours le téléphone du routier ? »
« oui, tu veux quon lappelle ? »
« pour faire quoi ? le revoir ? pourquoi pas, cest toi qui décides ».
Jai tenté jai su quil sappelait Jean il se souvenait de nous, il continuait ses trajets en camion, nous étions en vacances, un rendez-vous fut pris sur la même aire dautoroute.
« si tu veux on peut varier, vous aimez les surprises ? »
Quentendait-il par là ?
Vendredi, fin daprès midi, nous prenons donc lautoroute. A ma grande surprise Douce ne marquait aucune réticence. La veille javais, à sa demande, minutieusement rasé sa chatte intégralement.
Elle est vêtue dune tunique blanche, courte mais bien opaque, nue dessous, comme souvent.
Nous arrivons, comme indiqué, nous allons au fond du parking, derrière les arbres, il y a une table de pique-nique, 4 hommes assis, dont notre routier Jean. Telle était donc sa surprise, venir accompagné.
Jean sapproche de notre auto, se penche à la vitre : « je suis avec 3 amis routiers aux-aussi ; quand je leur ai montré tes photos, ils étaient très tentés ; maintenant cest toi qui vois, si tu ne veux pas, pas de souci ! »
Douce, silencieuse, ouvrit sa portière, se mit dans les bras de Jean qui la serra très fort.
Je descends moi aussi ; mapproche du couple fermement enlacé, le corps de ma femme parcouru en tout sens par les mains fortes de son amant retrouvé, ses fesses pétries avec force, sa bouche offerte à sa langue, sa main se glisse entre ses cuisses, je la devine trempe et ouverte.
Jean prend Douce par la main et la conduit à la table.
« vous lavez vue en photos, la voici en vraie, elle vient nous faire plaisir ».
Un homme étend une couverte sur la table en pierre, Jean saisit le bas de la robe, la remonte et la fais passer par-dessus tête. Douce est nue, offerte aux regards de ces 4 hommes. En maître de cérémonie Jean la fait sallonger, sur le dos, cuisses écartées, il sagenouille et sa bouche embrasse la vulve de ma belle. De ses lèvres, de sa langue, il en parcourt chaque recoin, finissant par se fixer sur son clitoris, elle crie !
Les mains des 3 hommes parcourent ses seins, lun deux ouvre sa braguette, approche son sexe de la bouche de ma douce, elle sen saisit, la parcourt de ses lèvres, puis passe à la deuxième et ensuite
Jean nen peut plus je pense, il sort de sa poche une boîte, en prend un préservatif, quil enfile. Nul besoin de plus de caresses, sa chatte largement ouverte et trempée soffre à cette bite. Les coups de boutoir continuent de faire jouir ma femme.
Les amis de Jean sont aussi adeptes de la photo ; elle est prise sous tous les angles, bouche suçant une bite, chatte baisée par Jean seins pelotés par plusieurs mains.
Quand Jean a joui, il se recule, Douce attend, cuisses écartées, chatte ouverte, un suivant prend place devant elle et, pareil, la pénètre sans tergiverser.
Le dernier à la pénétrer, jallais écrire à la baiser, se couche sur elle, se saisit de sa bouche quil suce avec avidité, ses mains cramponnés à ses nichons, elle aime et recommence ses cris ! ses yeux sont ouverts, semblent me chercher et se fixent à mon regard quand je devine quelle jouit une nouvelle fois.
« cest sur cette aire que nous avons fait connaissance, mais dans les toilettes, elles méritent bien un pèlerinage ! ».Personne ne commente mes propos, Douce se relève, Jean lui tend sa robe quelle enfile, et nous descendons tous les 6 le chemin. La tenant par la main, je la conduits aux toilettes hommes, elles sont vides à cet instant.
« vous allez pouvoir prendre vous aussi des photos ou filmer Douce ici ». jappuie ma femme contre le mur, remonte sa robe, lui enlève, elle est magnifiquement nue face à ces 4 hommes.
« caresse toi ! écarte plus les cuisses ! tourne toi ! penche toi en avant ! écarte tes fesses ! ouvre ta chatte ! » telles sont les indications qui lui sont données et quelle exécute sans protester. Voir son cul ouvert et offert, je ne peux me retenir plus longtemps, jouvre ma braguette et mapproche. Sa chatte ouverte maccueille moelleusement, mais ce nest pas ce que je veux, je veux son cul. Je mets ma bite face à sa rondelle, appuie doucement et ainsi je la pénètre, je lencule sous les yeux intéressés des 4 hommes. « garde les yeux ouverts ! », les photographes continuent leurs prises.
Douce est penchée en avant, les mains appuyées au mur, et moi derrière je le pilonne. Trop dexcitations depuis tout à lheure, je mépanche au fond delle puis me retire avec précautions. Jai joui, autant de mon éjaculation que de la savoir ainsi offerte, enculée, aux yeux de ces hommes, encore inconnus.
La suite nous a permis de récupérer, les amis de Jean sont repartis à leurs camions, à leur trajets.
Jean veut nous montrer sa cabine dans laquelle nous montons elle est décorée des photos de Douce prises à notre première rencontre !!!
« ainsi je ne voyage pas seul ! ». « on se reverra ? » « on a ton téléphone, on tappellera. »
Il se passe encore quelques temps.
Puis un jour me dit : cest donc le récit de ma compagne que je transmets.
« Jaimerais bien recontacter Jean, ça ne tennuie pas ?
— Non, tu sais pour quoi ?
— Non
— OK, fais le ».
Quelques jours plus tard, je dis donc à mon homme, que jai repris contact, que Jean propose de nous retrouver, il aimerait que ce soit seulement avec lui, il propose de passer 24heures ensemble, à lhôtel.
Ainsi fut fait, je partis un samedi matin, rendez-vous à 2 heures de chez nous. Jétais ennuyée de laisser mon homme, cétait la 1° fois depuis que nous étions ensemble ; mais il navait pas lair contrarié.
14h, jarrive à cet hôtel au centre dune grande ville. Jean mavait confirmé par texto quil était arrivé et la chambre 204. Javoue que jai rougi à laccueil quand le gérant ma demandé ce que je voulais et que jai cru sentir un regard oblique. Il faut dire quil faisait beau, que jétais légèrement vêtue, un robe courte, un gilet sur les épaules.
Nous avons passé Jean et moi, tout notre temps à faire lamour, dans toutes les positions possibles, toutes les pratiques, sodomie exceptée ! Jai joui, jai aimé son sperme dans ma bouche, sa façon de me sucer. Tout hyper cool, même le repas au restaurant, où, pour lui plaire je ne mis aucun sous-vêtement, juste un top à fines bretelles, une jupe blanche, au dessus des genoux.
Le Dimanche midi, je retrouvais mon homme avec un plaisir encore accru.
Ces contacts téléphoniques se renouvelèrent régulièrement. Jean me fit une demande plus précise, sur laquelle jhésitais. Jen parlais à mon mari, nous primes le temps de réfléchir.