Son rendez-vous approche, elle a besoin de faire tomber la tension, elle prend deux grosses pinces crocodiles à batterie et les ferme sur ses tétons très sensibles. Elle sursaute, la fièvre l’emporte encore plus, elle prend deux haltères de 2 kg et les accroches aux pinces, tirant violent ses tétons vers le bas. Elle penche le buste, fait de légers mouvements et regarde dans la glace ses seins martyrisés dans la glace bouger de façon circulaire. Elle ne peut se retenir et gémis doucement, sans qu’elle ne fasse la différence entre souffrance, humiliation et plaisir, tout ceci est lié pour elle.

Internet est son meilleur ami depuis toujours. Tant d’idées, tant de choses qu’elle a pu y acheter avec la carte que sa mère lui a laissée. Celle-ci compense ses absences en lui laissant une totale autonomie financière dont Belle abuse sans restriction. Mais internet ce sont surtout les chats, elle y passe du temps, à y trouver de nouvelles formes d’excitation et d’humiliation aussi, parfois à obéir à des ordres d’inconnus, c’est très troublant souvent. Mais depuis une année maintenant, une année exactement ce vendredi, elle discute avec une jeune femme, Agnès, avec qui le fit est total. Comme elle Agnès s’autopunit et se contraint en permanence. Elle est même allée plus loin que Belle avec des mutilations au rasoir, et souvent suggère à Belle des idées et des perversions qui la bouleversent. Belle se rend compte que lorsque cela vient d’Agnès, il y a quelque chose d’encore plus fort. Et elle est devenue accro d’Agnès dont elle ne connaît pas grand-chose sinon la profonde perversion.

« Bonjour petite pute. Belle est troublée, jamais Agnès ne l’a appelée ainsi

— Bonjour Agnès, pourquoi petite pute ?

— Les règles ce week-end tu te souviens c’est moi qui les fixe, et toi tu ne poses pas de question. Tu obéis. Et tu sais comme je vais être perverse sur toi. Pute c’est vraiment flatteur pour ce que tu es. La lecture de ces mots excite Belle.

— D’accord, je ne te pose plus de question.

— Tu es comment.

— Là je suis nue, j’ai le plug métallique depuis vendredi dernier qui me fait vraiment mal, et comme j’étais très excitée, je me suis mis deux grosses pinces sur les tétons avec des poids de 2 kilos dessus.

— Tu es une salope quand même. Tes seins doivent faire la gueule. Ce serait bon de les cravacher ainsi, ou alors les découper finement à la lame de rasoir.

— Oh oui, tu veux que je les cravache en mettant la webcam ?

— Je t’ai dit de ne pas poser de question, tu as déjà oublié ? En punition, tu décroches le poids de 2 kg d’un téton et tu le rajoutes à l’autre, et débrouilles toi que cela tienne.

— Bien. Le soulagement sur son téton gauche est de courte durée, il faut ajouter les poids sur le téton droit. Belle a déjà eu 4 kgs mais seulement pour quelques instants, là elle ne sait pas et elle ne contrôle pas pour combien de temps. La douleur avait été atroce pendant une bonne semaine ensuite. Mais elle n’hésite pas une seconde, bien au contraire, hyper heureuse de cette punition, parce que son interlocutrice est toute aussi sévère que Belle pour elle-même.

— Comment te sens-tu ma pute ?

— C’est très très douloureux. Je te remercie, je ne poserai plus de question du week-end.

— Je t’avais dit que c’était moi qui prenais le contrôle ce week-end, et peut être la prochaine fois on inverse.

— Oui d’accord, de toute façon c’est toi qui décides là.

— Tu vas obéir maintenant sans poser aucune question, et sans hésiter une seule seconde tu m’entends ?

— Oui d’accord. Belle allait demander ce qu’elle devait faire, se retenant au dernier moment puisqu’elle n’avait pas le droit de poser une question.

— Tu vas descendre et aller ouvrir la porte de dehors, en restant comme tu es, exactement comme tu es, sans te cacher, sans te dissimuler, avec ton sein déformé et l’autre qui louche, nue. Tu ouvres la porte de dehors et tu ne poses aucune question. Tu n’es qu’une merde que j’ai envie d’écraser et tu as intérêt à obéir car tu sais ce dont je suis capable. Maintenant tu obéis.

— Bien, je descends »

C’est plus facile à dire qu’à faire. Pas tant la peur, Belle ne pense plus. Les mots qu’elle a lus, ainsi que la souffrance dans son sein droit bloque toute pensée. Elle n’est plus que cette merde qu’Agnès décrit, sans aucune estime de soi. Si Agnès veut l’humilier en public, elle ne peut rien y faire mais au contraire être heureuse du souhait de son amie. Non ce qui est difficile c’est de descendre avec ces poids encombrants et lourds, et surtout éviter qu’ils ne se balancent. Belle se demande si elle peut bloquer leur balancement, mais elle se dit que non, ce ne serait pas du jeu. Il lui faut plus de 5 minutes pour descendre, elle a peur d’un coup que Agnès ne soit fâchée. En plus elle ne sait pas quoi faire une fois la porte ouverte. Mais peu importe, elle fait glisser le battant devant elle et à sa stupeur découvre son amie, une grande valise à la main, qui lui fait un sourire radieux et rentre sans être invitée par Belle, muette.

« Je t’avais promis un week-end unique, tu te souviens ? Ferme la bouche on dirait un poisson rouge. Agnès est heureuse de son effet, tandis que Belle découvre pour la première fois son interlocutrice. Elle est plus grande qu’elle, brune, très fine sans presque de poitrine, avec un regard magnétique et envoûtant. L’émotion est si forte, Belle se demande si elle ne vient pas de tomber amoureuse.

— Tu me fais visiter ta maison ? Agnès a un sourire vicieux sachant les souffrances que Belle endure tandis qu’elles passent une à une les pièces du rez-de-chaussée puis de l’étage.

— Je pense que tu te souviendras toute ta vie de ton week-end. »

***

La porte de l’entrée se ferme, Belle voit Agnès repartir et ressent un grand vide en elle, et si elle n’était pas à genoux, elle tomberait tant ses sens l’abandonnent. En deux jours tant de choses se sont matérialisées, tant de mots ont été dits et surtout tant d’émotions partagées. Elle sait que ce n’est qu’un début, mais pour la première fois de sa vie la solitude lui pèse. Elle sait qu’elle est totalement possédée car cette jeune femme qui la traite pourtant comme une merde, qui l’a torturée et avilie tout le week-end, mais qui lui a donné tant de plaisir, tant de sens à sa vie. Plus rien d’autre ne compte, ni ne comptera.

Belle n’arrive pas à se remémorer tout ce qui s’est passé, ni surtout dans quel ordre, même si son corps est couvert des sévices pervers qu’Agnès n’a cessé de lui infliger. Surtout Belle sait qu’elle a de nombreuses nouvelles règles à suivre. Elle est sous son pouvoir. Dans la glace elle regarde d’abord ses seins sur lesquels sa Maîtresse s’est acharnée. Comme elle aime ce terme. Cela lui aurait semblé risible il y a 48 heures, mais là c’est une évidence, et surtout un fait. Agnès la possède totalement, la contrôle et elle ne s’appartient plus. Sa vie est entre ses mains et elle espère que sa Maîtresse en abusera le plus possible.

Elle ne les reconnaît plus ses seins. Ce n’est plus qu’une source de souffrance. La violence de ce qu’elle a subi la remplit d’une profonde excitation, elle a envie de se caresser et de jouir, et avec délice elle se rappelle qu’elle n’en a pas le droit, c’est terriblement frustrant. La marque du fil quAgnès a utilisé pour lui attacher les seins à leur naissance est très prononcée : le fil était fin et très serré, il a brûlé la peau. Les seins étaient ainsi magnifiques, comme jaillissant de son torse, permettant à sa Maîtresse de les battre avec une cravache pendant des heures, malgré ses cris et sa souffrance. Elle lui a dit qu’elle ne tolérait pas que Belle ait de si beaux seins, et qu’elle les détruirait jour après jour, jusqu’à ce qu’ils soient flasques et mous. Et Belle les lui avait offerts avec joie, lui demandant de lui faire le plus mal possible, et sa Maîtresse s’était déchaînée. Puis elle s’était occupée de ses tétons. Elle avait sorti sous les yeux intrigués de Belle deux lourds cadenas classiques, achetés en supermarché. A l’aide d’une tige d’insertion, elle avait forcé les trous des tétons, les agrandissant de force de 4 à 6 mm pour faire pénétrer les cadenas dans les chairs de sa suppliciée qui ne cessait de gémir tant la tension et la douleur était intense. Ce qui ne fit qu’exciter sa Maîtresse qui avec un sourire sadique lui ferma les cadenas. Elle lui dit que les clés étaient restées chez elle, et donc qu’elle ne pourrait pas espérer en être délivrée et qu’elle allait les porter très longtemps, déformant ses tétons et ses seins par leur poids très lourd. A cette image, les gémissements de Belle avaient pris une autre tournure et Agnès lui permit de jouir de cette déchéance. Cela avait été immédiat et fulgurant. Belle hagarde, lui demanda encore, lui promit tout ce qu’elle voudrait. C’est à ce moment qu’Agnès lui demanda si elle était prête à devenir son esclave. Pas seulement pour ce weekend end, mais pour la vie, avec comme seule perspective d’aller tout au fond de son désir masochiste et de destruction. Belle supplia pour être son esclave, pleurant de bonheur et de souffrance, lui demandant de faire d’elle ce qu’elle voudrait si c’était pervers, douloureux, humiliant. C’est Agnès qui avait alors joui à cette idée et de ce qu’elle pourrait faire de ce jouet magnifique.

Elle prit une pince à piercing, saisissant le téton droit, et le perça de part en part à son bout, devant le cadenas qui le déformait déjà, avec une aiguille de 4 mm, arrachant un morceau de chair, assourdie par le cri de Belle surprise de cette souffrance terrible. Elle laissa l’aiguille en place et la chauffa pour cautériser, créant de nouvelles douleurs pour son esclave. Enfin elle inséra la barrette qu’elle venait de retirer du téton lorsqu’elle y avait mis le cadenas. Le résultat était superbe, sauvage, les beaux tétons étaient ruinés : le cadenas au fond du téton le déformait et le tirait en avant, la barrette sur le devant parachevait de rendre le téton déformé. Belle pleurait de souffrance, mais mouillait comme jamais, prenant l’autre téton pour l’offrir à sa Maîtresse qui fit la même chose sur l’autre téton.

C’est ce résultat que Belle regarde, rendant ses tétons impossibles à masquer, même sous son sweatshirt. Comment allait-elle faire, elle se demande. Peut-être en s’entourant d’une bande pour masquer cela. Est-ce que sa Maîtresse accepterait ? Mais sa mère sinon s’en rendrait compte, comme toute l’école. Elle était devenue obscène ainsi, révélant la salope en elle, la sous merde à exploiter par sa Maîtresse. Et elle ne pourrait plus jamais être autre chose, c’était écrit sur ses mamelles comme elle devait les appeler maintenant. Quelques heures plus tôt, Agnès l’avait emmenée chez un Maître tatoueur, qui n’avait pas bronché sur l’état de ses seins, et avait écrit sur chacun d’eux : Esclave Belle Propriété d’Agnès. Elle était certaine que d’autres marques viendraient. Le tatouage n’était pas très visible car ses seins étaient devenus noirs sous les coups, et coupés en de nombreux endroits. Ce n’était qu’une masse de souffrance, mais elle était tellement heureuse. Elle avait supplié Agnès de l’emmener avec elle, mais celle-ci avait refusé, lui prenant juste sa carte bancaire pour ne plus lui permettre de liberté.

En bougeant, Belle geignit terriblement, se souvenant alors des tourments anaux que sa propriétaire lui avait infligés. Agnès avait été très excitée de découvrir le bouchon dans son cul, et la façon dont elle était défoncée. Elle découvrait qu’il était bien plus jouissif de faire souffrir une autre personne qu’elle-même, et comme l’adolescente réclamait toujours plus, Agnès n’a mis aucune mesure dans ce qu’elle a pu faire de ce morceau de viande. Pour commencer, elle a pesé sa proie-surprise de cette démarche. Puis, le bouchon enlevé, Agnès a enfoncé profondément le tuyau de douche dans les intestins de Belle, mesurant à peu près 30 cm en ayant bien forcé. L’eau coulait du robinet, brûlante, à un débit qu’elle estime grossièrement, faisant basculer alors l’eau vers le tuyau qui remplit les intestins d’une eau très chaude, arrachant un cri à Belle surprise qui se sent se remplir, délicieusement au début, puis de plus en plus douloureusement, les crampes commencent déjà, mais sa tortionnaire n’arrête pas, elle ne fait que diminuer le débit d’eau, Belle se met à 4 pattes pour se soulager, son ventre n’est qu’une souffrance et elle ne sent pas que le débit est arrêté, le tuyau enlevé et son cul rebouché fermement. Sa Maîtresse l’oblige à se redresser, et à se repeser. Belle vient de prendre 2.5 kg, ce qui ravit sa Maîtresse très adepte de ces tortures. Belle la supplie, mais rien n’y fait, elle doit suivre sa Maîtresse dans sa chambre, ayant l’impression qu’elle va exploser à chaque instant. Et c’est ce qu’elle croit qu’il va lui arriver quand elle a l’obligation de boire une bouteille entière d’eau, gonflant son estomac et plus tard sa vessie, et déformant son ventre si plat. Elle sue, elle transpire, les sensations sont terribles, elle n’a plus d’excitation, mais obéit de façon scrupuleuse, elle guette sa Maîtresse, pour essayer de ne pas la décevoir. Elle est en plein délire, lorsqu’elle doit se relever, écarter ses jambes, lever ses bras. La cravache s’abat à toute volée sur son ventre déformé, laissant une marque rouge très foncée. Le cri de Belle est muet. Les coups se suivent, certains sur sa poitrine et ses tétons torturés l’envoient par terre, mais elle se redresse tout de suite pour s’offrir encore. Elle se concentre, oublie ses intestins tant la souffrance sur son ventre et son pubis est terrible, Agnès la cravache à toute force, comme si elle voulait lui ouvrir le ventre, et il n’y a plus une surface de peau du ventre qui soit indemne, Belle est à moitié consciente, mais continue de s’offrir.

La jeune femme et l’adolescente sont dans le jardin, Belle à 4 pattes suivant d’instinct la cheville de sa nouvelle propriétaire, pleurant, gémissant, agonisant. Accroupie, elle enlève elle-même le bouchon bien enfoncé, laissant sortir le flot immonde de ces intestins, dans un râle de jouissance et de libération qu’elle n’a jamais connue, aussi forte et excitante. Avec la force de l’éjection, le plug qu’elle a en elle depuis plus d’une semaine est aussi éjecté, laissant son cul béant, et humide de tout ce qu’il a contenu. Agnès lui apprend alors qu’elle n’aurait plus jamais le droit d’aller aux toilettes, où qu’elle soit, qu’elle ne pourrait se soulager qu’ainsi, accroupie comme la chienne qu’elle est, sans jamais s’essuyer, même si elle est sale. Dans ce dernier cas, elle devra se nettoyer avec son seul doigt. Belle est hagarde, et ne répond pas, déclenchant une avalanche de claques sur son visage. Elle se jette aux pieds de sa Maîtresse et la remercie de ses ordres et de ses contraintes, et qu’elle a compris qu’elle est indigne d’utiliser des toilettes pour humain, qu’elle n’est qu’une chienne à faire ses besoins dans la nature. Cette image l’excite au plus haut point, elle nue à la peau blanche, éjectant toute sa merde devant sa Maîtresse toute puissante, elle se frotte contre l’herbe, puis reçoit l’ordre de se masturber sur un tronc d’arbre, et c’est avec furie qu’elle vient arracher son plaisir malgré les égratignures provoquées, hurlant son plaisir et sa déchéance. Agnès jouit de ce pouvoir inouï que cette jeune adolescente lui donne, elle sait qu’elle va totalement la détruire, c’est tellement excitant.

En rentrant dans la maison, Belle toujours à 4 pattes, sa nouvelle Maîtresse s’est amusée à longuement la fister. Voir son bras s’enfoncer dans ce cul offert est vertigineux. Elle passe le coude avec sa main et s’enfonce presque jusqu’à son coude, sans arriver à l’enfoncer plus à sa grande frustration. Aussi elle sert le point et la pistonne longuement, profondément, violemment. La jeune fille épuisée ne peut plus réagir, elle voudrait juste être battue en même temps et jouir de cette situation d’être totalement défoncée. Encore et encore. Lorsqu’Agnès lui demande ce qu’elle a pour se fermer le cul, avec effroi et excitation Belle pense au plug métallique de 9 cm. Et par un profond masochisme, vient l’apporter à sa sadique Maîtresse qui tressaille en voyant l’objet à mettre en place. Il est vraiment large, et le trou central fait 6 cm ! Elle pourrait presque passer son poignet lorsque le bouchon est enlevé. Celui-ci se visse pour être solidement en place. Il faut encore élargir la chienne, aussi c’est avec ses deux mains réunies qu’Agnès la travaille progressivement, ne voulant pas la blesser, juste la défoncer. Son sphincter est déjà relâché et elle sait bien qu’après avoir porté ce nouveau plug quelques semaines, il serait définitivement ruiné. A 17 ans ce serait déjà un beau résultat, des tétons déchirés, des seins en cours d’être détruits par des coups répétés, et un cul définitivement ouvert. Elle commencerait bien sa carrière de salope. Belle a le sentiment que le plug ne peut pas rentrer, qu’il faudrait que les os de son bassin s’ouvrent, que c’est totalement impossible, au-delà de la douleur qui lui arrache des glapissements ridicules. La poussée est monumentale, Belle doit s’accrocher pour ne pas glisser, elle sent tout son corps déformé lorsqu’enfin l’objet énorme pénètre doucement dans son rectum défoncé. Lorsqu’il trouve sa place, bien calé au niveau du sphincter, le soulagement est passager et bien faible. La tension est terrible et permanente, Belle halète, sa Maîtresse la regarde à la fois avec horreur et fascination, son objet est complètement dilaté et défoncé, c’est ahurissant. Son entraînement permanent a donné des résultats fantastiques.

Agnès est bien décidée à lui laisser l’objet de torture en place aussi longtemps qu’elle le souhaitera, et sans doute aussi longtemps qu’elle n’en trouvera pas un encore plus énorme pour continuer à rendre son esclave difforme et bandante. L’image d’un cheval la prenant la fait défaillir, ce serait tellement avilissant pour Belle, une pute à cheval.

Belle a peur de ne pas se souvenir de toutes les règles qu’Agnès lui a explicitées. Elle ne craint pas les punitions, non elle craint simplement de ne pas être assez salope. Et que sa Maîtresse se détourne d’elle. Elle est tellement vide de ne pas avoir pu suivre Agnès et disparaitre totalement. Elle se roule en boule, nue par terre, le cadenas de son sein fait un bruit mat en reposant sur le sol carrelé de sa salle de bain. C’est là dorénavant qu’elle doit dormir, sans rien, pas même une serviette, nue comme une chienne, sans même avoir un panier pour elle. Belle pleura, déchargeant toute l’émotion du week-end. Elle se sentait perdue, et se réjouissait de toute la souffrance de son corps, lui rappelant la présence de la Maîtresse perverse qui l’avait adoptée. Elle n’arrivait pas à se détendre cadenassée dans son plus petit corset qu’elle n’avait jamais pu serrer aussi fort, puisque le serrant toute seule. Là sa Maîtresse avait rejoint les deux bords et les avait cadenassés en trois endroits. Sa taille était réduite à 41 cm,

Agnès lui avait promis de la réduire plus encore, et cette idée l’avait enchantée, mais là elle haletait, le dos cassé. Elle ne pourrait pas faire sa gymnastique le lendemain matin, mais ce n’était plus elle qui décidait de quoi que ce soit. Le plus dur serait d’affronter l’école et sa mère le soir en rentrant.

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