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Mon masochisme – Chapitre 7




Les anneaux, je voulais des anneaux, des anneaux d’acier larges et épais, des anneaux lourds posés à mes seins et mon sexe, des anneaux de catin qui disent tout à leur vue, des anneaux d’esclave offerte, points d’ancrage pour des chaînes ou des poids. Se faire percer n’est pas rien, il faut le temps de la cicatrisation puis le temps d’élargir pour en arriver à ces anneaux-là que je voulais, larges, épais, lourds. Bien sûr, je ne les porterai pas toujours, juste pour lui dire que je suis sienne, qu’il joue de moi autant qu’il veut, que je suis sa putain, sa chienne. Lui ne les voulait pas forcément et ne les pensait ainsi. Pas aussi larges, pas aussi épais. Chaque anneau fait quatre centimètres de diamètre et cinq millimètres d’épaisseur. Ils sont en acier brillant, bien voyant. Un à chaque pointe de sein, trois à chaque grande lèvre. Un dernier, plus petit honore mon clitoris. Lorsque je les porte, ceux des tétons sont visibles même sous un chemisier.

Quant à ceux de ma vulve, ils émettent un cliquetis sonore délicat.

Pierre ne les voulait pas, c’était mon désir. Et Madame les trouve absolument magnifiques. Elle m’appelle « la délicieuse catin » maintenant et ces anneaux font briller dans ses yeux une luxure qui m’excite au plus haut point.

Madame m’a fait faire des robes sur mesure. Enfin, robe…

Pour l’une chaînette passait derrière mon cou d’où partait sur le devant deux pans de tissu, un voile noir presque transparent sur mes seins puis se croisait sur mon ventre pour rejoindre l’arrière au bas des reins, avec un petit anneau et une attache. Le tout tellement court que la naissance de mes fesses était visible. De toute façon, les deux pans ne se couvrant pas par-derrière, mon cul était parfaitement accessible. Madame aimait beaucoup, moi aussi. Une autre était composée d’un simple pan de tissu descendant jusqu’aux chevilles, large de 10 centimètres et tenant en haut par deux crochets attachés à mes anneaux de seins… rien derrière si ce n’est un lien entourant ma taille. Il y avait aussi une robe en résille très large, une autre en latex très moulant rouge vif, des talons aiguilles vertigineux. Et enfin des harnais de cuir sur-mesure qu’elle avait créés pour moi. Certains avec des godes pour me pénétrer, d’autres faits de chaînes et de cuir pour enserrer ma vulve.

Un dernier, cruel, comportait des pointes tournées vers l’intérieur. Ainsi deux anneaux enserraient mes seins à la base, les faisant saillir, mais avec des pointes entrant dans ma chair. Puis partant de là, deux autres lanières passent sur mes aines, toujours garnies de pointes. Certes, pas assez pointues pour entrer dans la chair, mais se faisant terriblement sentir. Madame jouait à la poupée et j’adorais cela. J’aimais cette indécence totale, ces tenues de catin, de pute.

Nous étions allées les chercher ensemble. Alors que j’essayais mes parures, Madame allait de son côté essayer une tenue faite pour elle, mais je ne la vis pas. Elle me « réservait la surprise ». Elle me fit garder la première robe sur laquelle je passais une jupe et une veste de tailleur très chic. La juge droite et longue en dessous du genou. Avec les talons, je faisais très bourgeoise et nul ne pouvait deviner, une fois la veste boutonnée, ce qu’il en était dessous. Quant aux talons de 12 centimètres, il allait parfaitement avec ce tailleur BCBG. Madame prit néanmoins soin de m’enfoncer un très gros rosebud en métal, très lourd dans l’anus, muni d’une petite chaînette rattachée à l’anneau de mon clitoris. Ultra-chic dessus, ultra-pute en dessous. A chaque pas dans la rue, je sens le rosebud dans mon cul, la chaînette qui passe entre mes petites lèvres et la traction sur l’anneau de mon clitoris. Le chauffeur de Madame qui nous a accompagnés nous suit avec les paquets.

Il a assisté à tous mes essayages, il sait exactement comment je suis en dessous de ma tenue élégante.

Et j’avoue que je me déhanche pour à la fois accentuer cette douce sensation intense, mais aussi l’allumer. Madame me murmure à l’oreille « Tu es vraiment une salope ». « Oui Madame », me fera-t-elle baiser par son chauffeur un jour ?

Nous voilà de retour chez elle. Pierre est là, avec trois hommes que je ne connais pas. Nous avons dans une pièce aux murs tendus de noir. Il y a d’une part des fauteuils en cuir et d’autre part trois grands miroirs: Un en face, les deux autres formant un angle ouvert. Au milieu de cet espace, une sorte de tabouret de bar, haut, mais dont on aurait enlevé l’assise pour ne laisser que deux barres parallèles et un petit dossier composé aussi d’une barre munie d’anneaux. Madame me mène devant ce présentoir alors que les hommes prennent place dans les fauteuils.

Comment la trouves-tu Pierre ?

Très chic.

Trop ?

J’attends la suite…

Enlève ta veste, chienne, m’ordonne Madame.

Je déboutonne la veste, lui passe. Tous peuvent voir les anneaux briller, car des projecteurs m’éclairent.

La jupe maintenant.

En enlevant ces deux seuls vêtements, je passe de la jeune bourgeoise BCBG à la catin en robe transparente. Madame me passe un collier et m’ordonne de monter à califourchon sur le « tabouret ». Je pose mes cuisses sur les barres, me cambre, leur tournant le dos et montrant mon cul occupé par l’énorme rosebud et les anneaux de ma chatte. Alors que je suis ainsi offerte, j’aperçois le chauffeur que j’ai allumé entrer dans la pièce. Madame lui demande la boîte à poids. Il apporte une boîte en bois marqueté, grande, et la pose à côté de moi. Il l’ouvre et je vois des poids de 1 kilo ouvragés avec des mousquetons.

Elle est à vous.

Pierre et les hommes se lèvent, m’entourent

Les 1 kilo… elle est endurante.

Pierre prend un poids, le pose à l’anneau de mon sein droit qui est étiré vers le bas et caresse ma joue

Très endurante.

Chacun pose le sien et rapidement me voilà nantie d’un poids à chaque anneau, 1 kilo par sein, mais déjà 3 kilos par grande lèvre qui s’étirent dans l’espace libre entre les deux barres. Je suis déjà en nage, folle d’excitation d’être ainsi offerte. Leurs mains parcourent mon corps, détachent la robe, me dénudent. L’un des hommes réclame un fouet. Madame, qui s’est assise dans un fauteuil et contemple la scène fait un signe au chauffeur qui ouvre un meuble et distribue à chaque homme un single tail. Puis elle s’approche de moi « Je vais me changer, je reviens chienne ».

Ils sont quatre autour de moi, deux devant, deux derrière. Pierre pose un masque sur mes yeux, un masque protecteur, car un coup de sigletail dans l’il pourrait être fatal. Je suis prête. Les hommes entreprennent de fouetter mon dos, mon cul pour les uns, mes seins pour les autres. La morsure des fouets est cruelle, violente et si excitante. Que j’aime à me donner ainsi. La douleur invite le plaisir qui monte en moi. Chaque mouvement agite les poids qui tirent mes seins, mon sexe. L’orgasme vient, je le retiens. Pierre voit à ma bouche qui s’entrouvre que le plaisir est là.

Plus fort.

Les hommes me fouettent cadence, coups réguliers qui heurtent ma peau offerte. De plus en plus fort. Je me retiens encore. Les fouets me brûlent, chaque coup me tend plus encore vers l’orgasme. Tenir, tenir, encore, repousser. Puis vient le mot, Pierre crie « Jouis sale pute »

L’orgasme est violent, j’expulse l’énorme rosebud de mon cul, mais il est tenu par la chaînette à l’anneau de mon clitoris. Nouvelle décharge, nouvel orgasme, plus fort encore avec cet étirement violent de mon bouton retenant le gros rosebud. Je hurle comme une bête. Les coups de fouet cessent. Un long moment semble s’écouler lorsqu’il ôte le masque qui protégeait mon visage. Les trois hommes se sont dénudés et sont là, face à moi, verges tendues, verges immenses, denses, dures. J’apprendrai plus tard qu’ils sont acteurs pornos. Madame les a payés pour cette séance. Elle voulait des membres dignes de mon cul de pute. Je vois aussi que Madame est revenue. Elle porte une combinaison de cuir, moulante. Des pointes de métal en jaillissent, sur le devant des cuisses, les avant-bras, les seins et la paume de ses mains. Autour de sa taille, un harnais retient un gode en forme de phallus de cheval, énorme. Elle est terrifiante et magnifique.

Lubrifiez-moi cette chienne.

Alors les hommes entreprennent de m’enculer, l’un après l’autre avec leurs queues immenses. Ils me baisent le cul, éjaculent en moi. Le sperme du premier lubrifie mon anus pour le deuxième qui me remplit aussi. Au troisième, mon anus est béant et j’ai encore joui, à chaque pénétration, à chaque enfoncement de ces morceaux de chair dans mon trou du cul. Madame s’est postée face à moi et caresse mes seins, les presse dans ses gants armés de pointes, les travaille, les triture, joue avec. Lorsque le dernier a giclé en moi, elle se place derrière moi et pénètre mon cul avec cette bite factice de cheval bien plus large que les phallus qui viennent de mouvrir largement. Elle presse mes seins dans ses mains, me redresse, me plaque le dos contre ses seins armés. Le gode entre en moi, plus profond jusqu’à ce que les pointes de ses cuisses touchent la peau des miennes. Les hommes se sont rhabillés, ils ont quitté la pièce.

Il n’y a plus que nous trois: Mon Maître, Madame et moi en pouliche défoncée, anus béant et gueulant de plaisir.

Mon Maître sort sa verge, Madame me repousse vers l’avant pour que je le suce alors qu’elle m’encule violemment en tenant mes hanches dans ses mains gantées d’acier. Je jouis, encore, catin magique et je reçois dans ma bouche la semence de mon Maître. Que j’aime à être leur pute.

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