Depuis longtemps la complicité érotico amoureuse nous unit ; elle pimente notre couple lors de nos soirées coquines à plusieurs ! J?adore Sylvie et je suis fasciné par sa capacité à jouir. Quand ma femme jouit, c?est une mélopée d?amour qui va crescendo pour finir en une apothéose qui profite à tout le voisinage. Sa silhouette aux rondeurs suggestives attire les mains. Quand elle marche devant soi, son cul est une invitation dansante à l?amour. Sa taille marquée et ses hanches rondes attirent les mains. Ses seins appellent les lèvres des gourmands. Je m?amuse beaucoup de voir succomber les hommes à son air mutin souligné par une bouche de divine pipeuse.
Ce soir là, j?étais couché, pensant au cadeau de plaisir que j?allais lui faire dans quelques jours : deux masseurs dont j?avais fait la connaissance s?occuperaient d?elle…J?imaginais dans quel état ils allaient la mettre et ça me faisait bander. Je l?entendis arriver. Nous avions été invités à dîner chez un couple de nouveaux habitants de notre ville ; je ne pouvais m?y rendre. Sylvie y était donc en célibataire. Elle entra dans notre chambre, l?oeil brillant et se précipita pour me donner ses lèvres. Notre baiser fut chaud, sa main se glissa sur mon sexe.
– Oh ! Qu?est-ce qui te fait bander si fort ?
– Un projet pour ma petite femme.
– Coquin ! Je suis déjà si excitée !
Puis soulevant sa jupe, elle m?enjamba, écarta sa culotte et s?empala d?un coup sur moi. Elle était trempée. Je l?interrogeai du regard.
– Baise moi d?abord ; je te dirai après.
Je compris qu?il avait du se passer des choses bizarres. Sa chatte dansait d?avant en arrière. Nos mains s?enlaçaient, s?arrimaient pour rythmer notre sarabande. Je nageais dans sa chatte.
– Jouis, donne moi ton jus me dit-elle en s?affalant sur moi.
– Salope ! Je suis sûr que tu viens de te faire baiser.
– Oui !!! J?en veux encore. Remplis moi !
Je n?en pouvais plus, une jouissance formidable m?emporta tandis que mon sperme fusa dans le ventre de ma Sylvie qui cria de plaisir.
Quelques instants plus tard, sa tête sur mon épaule, elle me raconta :
– Quelle soirée ! Je te raconte : Ils sont vraiment très sympa Caroline et Guy. Ils ont regretté ton absence. Le dîner s?est bien passé, nous avons parlé de tout et de rien et je sentais bien qu?ils me regardaient tout les deux avec une sorte de gourmandise. Guy me faisait compliment de tout ; Caroline me touchait pour un oui ou pour un non. Après le repas, elle a voulu me montrer une fringue et nous avons rejoint sa chambre. Après avoir échangé des avis de tissus, j?ai eu envie de sa bouche et après une caresse légère sur son visage, nous avons tout naturellement échangé un baiser ardent suivi d?autres avides et impatients. Soudain elle m?a prise par la main en me disant :
– Allons rejoindre Guy ; ça va l?exciter. Tu veux bien ?
– Oui ai-je répondu dans un murmure.
Il avait quasi éteint la pièce. Seule une faible et douce lumière subsistait. Une musique de slow langoureux emplissait faiblement l?espace. Caroline me pris dans ses bras et nous nous mîmes à danser. Je devrais dire à nous frotter et nous caresser. Je sentais le regard tendu de Guy ; je le distinguai, peu après, la main sur sa braguette. Il se leva, passa derrière sa femme et la tenant aux hanches l?embrassa dans le dos et le cou. Un gémissement voluptueux sortit de ses lèvres que je me mis à dévorer goulûment. Nous dansions tous les trois, Caroline entre nous que je sentais mollir. Elle me glissa à l?oreille qu?il bandait fort. Dans un mouvement de reptation, elle se glissa dans mon dos et je me retrouvai plaquée contre Guy. Dans un bel ensemble, ils m?embrassèrent chacun d?un côté du cou. Quelques secondes plus tard, haletante, ce furent les lèvres de Guy qui s?emparèrent des miennes, tandis que je sentais la main de Caroline fureter dans ma culotte et se glisser vers ma chatte. Je ne m?appartenais plus.
Le canapé nous accueilli. En dix baisers nos vêtements s?envolèrent. J?étais au centre ; ils me mangèrent délicieusement les seins puis Caroline se coulant à mes pieds, écarta mes jambes et se glissa vers ma chatte ruisselante. Sa langue était fabuleuse.
Guy la remplaça ensuite tandis qu?elle l?embouchait. La jouissance me cueillit d?un coup dans un grand cri que Caroline vint clore de ses lèvres. Elle se mis peu après à gémir : Guy lui léchait ardemment sa minette. Je me glissai à mon tour pour la goûter et lui manger la chatte. Elle était bonne. Je me régalais.
Soudain apparut devant mes yeux habitués à la pénombre, un beau braquemart ! Je le dégustai aussitôt, prise d?une frénésie de plaisir. J?allais de l?un à l?autre.
Enfin Guy empala sa femme. Le chant d?amour montait, montait. Profitant d?un changement de position, j?engouffrai Guy et le goût de Caroline. C?était bon !!!
A la missionnaire il la reprit, la pilonnant puissamment. Je me mis à caresser ses fesses, puis ses couilles. Il frémit sous mes mains puis s?arc-bouta dans une éjaculation abondante que Caroline reçut dans un cri de surprise et de bonheur.
– Donne la moi, dis-je à Guy. Puis le poussant de côté, je plaquai mes lèvres sur la chatte foutrée de Caroline. La léchant consciencieusement, je me mis en devoir de l?emmener vers l?orgasme tout en buvant le sperme de son mari. Je sentis sa jouissance monter d?un coup puis s?épanouir dans un long feulement. Sa chatte vibrait, ma bouche s?emplissait du sperme de Guy, mes lèvres se grisaient de bonheur
Puis, remontait vers le visage de Caroline, je la dévorai d?un baiser plein du goût de Guy.
A ce stade du récit de Sylvie, je rebandais derechef.
– Adorable vicieuse, lui dis-je. Et ta chatte pleine, c?est quoi ?
– Un peu plus tard, il m?a prise et m?a bien juté dans le con. Quelques caresses plus tard, nous nous assoupissions. Je me suis réveillée un peu plus tard, me suis rhabillée furtivement pour ne pas les déranger et vite venir tout te raconter.
A ces mots, je lui mis ma main sur la tête pour qu?elle me suce. Deux, trois coups de langue et je me déversai dans sa bouche. Elle déglutit avant de poser la tête sur mon épaule et je me suis endormi.