J’ai 20 ans et Claire 40 ans une collègue qui sonne à la porte dans mon appartement. L?invitant à entrée je lui offre un thé. Sous sa gabardine qu’elle enlève, Claire est vêtue d?une longue robe noire fendu sur le coté. Elle se déchausse et j’en profite pour lui masser le pied et lui caresse ses jambes qu’elle me tend. Elle enlève ma chemise, je lui retire sa robe et au passage embrasse sa minette au travers de son collant. Déboutonnant ma braguette elle lèche mon gland et l’engouffre dans sa bouche. Ma main derrière sa nuque lui donne le rythme. Quand j’éjacule je plaque sa tête l’obligeant à tout avaler. Descendant son collant j’excite son clitoris qui s?humidifie, – Vite! Enfile-moi dit-elle. Je la pénètre, d’un coup de reins en levrette et elle ondule son bassin en cadence sur ma bite qui rentre et sort de son vagin. Comme elle viens de me faire une pipe le coït dure plus longtemps, quand j’éjacule son vagin se contracte à chaque giclées. Je reste figé en elle jusqu’à ce que mon sexe ramolli sorte de lui même. Se relevant elle m’essuie avec sa bouche et se rhabille, il commence à faire nuit. Elle me quitte en m’embrassant disant – Je reviendrais mais aujourd’hui je suis pressée mon mari va s’inquiéter.
Dans l’agence, les jours suivants Claire ne me manifeste pas plus d’intérêt qu’avant. Un de ses ex me dit – Claire est une femme qui s’envoie tout les minets de l’agence. J’étais prévenu donc je porte mon dévolu sur une jeune de mon age qui comme moi débute dans la vie active. Elle ne me repousse pas et accepte de sortir un soir avec moi. Nous avons décider d’aller danser et je passe la chercher, nous dansons et nous nous embrassons mais elle ne veut pas allez plus loin, je reste sur ma faim et quand je la raccompagne je n’ai pas plus de succès. Le lendemain matin nous sommes dimanche, je me réveil avec une trique, après avoir pisser je déjeune quand en sonne, je pense que c’est maman et part ouvrir en slip. Claire est sur le palier souriant devant me tenue.- Rentre dit-je! ’En pensant tu tombe bien’ – Encore au lit à cette heure me dit-elle ? – Oui hier soir je suis sorti. – C’est bien et tu as conclu ? – Hélas non ! Se déshabillant et gardant sa combinette – En somme je tombe à pic ? dit-elle en se jetant sur le lit. Installer sur le lit elle m’embrasse, me caresse avec des succions. Bandante dans sa combinette, elle m’excite tellement que j’éjacule sur sa combinette la maculant. Quand elle se rend compte que c’est déjà fini elle me dit – Ca ne m’étonne pas après ce que tu as souffert cette nuit, je l’as connais ? – Oui c’est Nadège. – Pas étonnant! Elle fait bander tous les gars. Sur ce elle se lève et me demande la salle de bain, revenant nue elle s’allonge en soixante-neuf, j’écarte doucement ses cuisses et plonge dans son entrecuisse. Elle emprisonne ma tête entre ses cuisses, je redouble d’ardeur sur son bouton. Un tremblement l’agite la faisant jouir, nous restons un moment allongés côte à côté. Retrouvant progressivement ses esprits, je lui caresse les cheveux un sourire aux lèvres et glisse ma main derrière sa tête la guidant vers ma queue. Me prenant en bouche, elle commence le va et vient me regardant dans les yeux. – C’est bon! Vas y encore, – Je vais faire mieux que cela, répondit-elle. Elle se retourne m’offrant ses fesses. Je parcours son sillon de ma langue jusqu’à son anus, cabrant ses fesses je positionne mon gland sur mon petit trou. – Soit doux dit-elle. Je force l’entrée bien lubrifiée, j’entre son anneau se détend, me retenant de sa main elle m’immobilise quelques instants, puis me relâche, doucement je pousse mon sexe qui la pénètre de moitié, elle comprime ma bite dans sa main m’immobilisant encore, puis me lâche une seconde fois. J’entre totalement et doucement je commence mes aller-retour bien au fond de ses entrailles, la besognant de plus en plus vite la douleur mêlée à l’excitation, je la défonce complètement jusqu’à inondé sa rosette. Revenue à elle et levant la tête pour me regarder elle me dit – C’est un plaisir avec toi, pas comme ses brute qui vous défonce de peur de ne pas y arriver. Tout le long de son discours je ne la quitte pas des yeux. Vint l’heure du repas, nous décidons d’aller manger dans un petit restaurant. Vêtue d’un tailleur en soie dans la jupe s?arrête aux genoux, avec un haut décolleté ou apparaît une dentelle et des jambes gainées d’un fin voile dégageant ses longues jambes, elle a le chic pour s?habiller classe. Dans sa voiture en s?asseyant le mouvement lui dégage le haut de ses jambes découvrant la lisière de ses bas. Nous échangeons un sourire de connivence. Le repas fut bon, foie gras frais, homards mayonnaise, vins pour accompagner et petits gâteaux pour le dessert. Nous quittons le restaurant Claire qui conduit laisse sa jupe remonter à mi-cuisse pour que je puisse lorgner comme elle dit. – Tu voit j?aime porter de la belle lingerie, la douceur de la soie, la légèreté de la dentelle, c?est très agréable surtout quand c’est apprécié par un homme. – Tout les hommes aimes la lingerie dit-je ! – Peut-être ! mais toi tu adore ! – Comment sait-tu cela ? – Ton regard ne trompe pas. Nous rentrons chez moi et je m’inquiète soudain pour son mari. – Je l’ai raccompagnée hier au soir à l’aéroport dit-elle et en revenant je suis venue sonner à ta porte mais tu était absent. Assise à califourchon sur mes cuisses elle m?introduit en elle, roulant son bassin. Mes mains agrippent ses fesses pour la faire pénétrer encore plus loin. Contrôlant le rythme elle me regarde les yeux grands ouverts et se penche vers moi échangeons un tendre baiser. – J?ai soif de toi dit-elle! Je vais te sucer jusqu?à ce que tu coules dans ma bouche. Elle glisse sur moi bouche contre mon torse. Je sens sur ma cuisse les poils de son sexe, sa langue excitent mon corps et lorsque sa bouche se pose sur mon sexe c?est doux, humide, tendre. Ses dents délicatement mordillent mon gland, sa succion est insistante, une main va et vient sur mon sexe, tandis que l?autre caresse tendrement mes deux testicules. J?explose en elle sans opposé de résistance d?un plaisir incontrôlable. Claire continue à me sucer jusqu?à la dernière goutte. Lorsque je suis calmé, elle lève sa tête et nettoie de sa langue ses lèvres luisantes de salive et de sperme mélangés. Revenant contre moi elle me dit. – Tu as un goût extra !. Elle se lève s’habille et me dit. – Je rentre chez moi! A demain au bureau et surtout soit discret, continue avec Nadège sinon…fait moi discrètement signe. Quand elle fut partie je passe faire une toilette. Sur la corbeille à linge traîne la combinette souillée de Claire.