— ’Sucer les garçons et dessiner des petites culottes’, me répond Cyrielle ! Bien fait pour moi. J’avais retrouvé Isabelle et Cyrielle, les deux apprenties stylistes, à la machine à café et je les avais charriées à propos de leurs tenues à la pointe de la mode et… passablement légères, voire provocantes. Chacune vingt ans et un corps mince et svelte joliement mis en valeur dans un collant et un body noir moulants… La conversation avait pris un tour mi-anodin mi-coquin, et lorsque je leur avais demandé quels étaient leur job, Isa avait répondu que sa spécialité était de dessiner des chemisiers. Et toi Cyrielle ? C’est là qu’elle me répond : ’sucer les garçons et dessiner des petites culottes.’

Il ne faut pas me tendre des perches pareilles : ’Ah ça, je veux bien voir un échantillon, alors ! Mais, heu… pas des dessins, hein ?’ ’Tout de suite’, me répond Cyrielle sans une hésitation, ’suis-nous dans la salle d’échantillons !’

Je suis les deux jeunes filles dans un véritable labyrinthe de couloirs et d’escaliers et nous parvenons dans une grande salle sous les toits, inondée de soleil. La pièce est encombrée de ce qui me semble un invraisemblable capharna?m : mannequins plantés sur leurs socles, milliers d’articles dans un désordre indescriptible…

’Voici notre antre’ me déclare Cyrielle, ’mais attends, on va te montrer ce que c’est que des modèles vraiment légers et provocants !’. Les deux filles piochent ici et là un certain nombre de fringues et disparaissent à l’abri d’un grand paravent. Derrière, ça glousse, ça s’active, et rapidement les vêtements qu’elles portaient se retrouvent accrochés en haut du paravent.

La situation est complètement irréelle : me voilà dans une pièce isolée de tout et au décor incongru, et les deux collègues avec qui je discutais tranquillement il y a à peine cinq minutes sont maintenant surexcitées et nues à deux pas de moi (et l’une se vante d’être une spécialiste de la fellation). Mon sexe commence à gonfler sérieusement dans mon jean.

Elles sortent en même temps de leur abri, en terminant de s’ajuster : le spectacle est saisissant et une vague de chaleur me remonte jusqu’au visage. Cyrielle porte le même genre de collant et de body, mais pratiquement totalement transparent ! On voit complètement ses seins, moulés par le tissu et merveilleusement exposés. Même ses tétons qui pointent sont moulés par le tissu. Oh, que j’ai du mal à me retenir d’y porter tout de suite la main !…

’Pas mal, hein ?’ me dit Cyrielle. ’Le problème, c’est que le tissu est si fin qu’on ne peut pas mettre de slip ni même de string, ça fait des marques affreuses. Et c’est tellement transparent que j’ai été obligée de m’épiler complètement parce qu’autrement on ne voyait que ma chatte !’ Irrésistiblement mon regard descend sous le niveau de sa taille et ce que je vois n’est pas fait pour me calmer : le tissu du body par dessus celui du collant ne suffit pas à cacher le ventre épilé et les contours de son mont de vénus. Est-ce mon imagination ? J’ai même l’impression qu’on distingue le début de sa fente. L’envers vaut l’endroit, deux petites fesses rondes et fermes, séparées par le tissu qui rentre entre les deux globes de chair. Elle est mille fois plus provocante que si elle était nue.

Isabelle arbore une tenue moins transparente mais qui paraît faite de lambeaux plus ou moins libres. En fait, de grandes fentes verticales, aussi bien le long de la tunique que le long du pantalon, laissent voir son corps au gré de ses mouvements. J’apperçois son ventre, ses petits seins à peine marqués, ses longues jambes et un joli string bleu, juste une bande verticale de 5 ou 6 centimètres sur son ventre plat. J’ai du mal à avaler ma salive, et plus encore à cacher une érection menaçante. D’autant que les deux filles ne cherchent pas du tout à me dissimuler leur anatomie, bien au contraire !

Mutine, Cyrielle se colle contre moi pour me montrer une poignée de croquis de petites culottes qu’elle a réalisés. Comme par hasard (ben voyons) sa poitrine s’appuie contre mon bras nu et les deux pointes érigées caressent ma peau. Isabelle s’appuie contre moi de l’autre côté, une main sur mon épaule, et comme par hasard encore, les fentes de ses vêtements s’entr’ouvrent et sa peau nue se colle contre mon autre bras. Et dire qu’elles sont en train de me montrer des dessins de petites culottes…

Heureusement, les croquis me permettent une transition facile : ’mais ce n’est pas du tout ces échantillons-là pour lesquels je suis venu, je vous rappelle !’ ’Ahhhh ouiiii !’ répond Cyrielle en se débarassant des dessins, ’c’est mon autre spécialité qui t’intéresse ?’ demande-t-elle avec un air faussement innocent et en portant la main sur la bosse bien développée de mon pantalon. ’Ohhh, mais on dirait que tu nous apprécies déjà bien, toi !’ dit-elle en découvrant la taille de mon érection. ’Wouaaa ! Isa, il bande vachement !’ Isabelle, plus réservée, ne va pas vérifier et se contente de se presser un peu plus contre moi. Cyrielle reprend alors l’initiative : ’Ah ça, tu vas avoir droit à un échantillon gratuit de ma spécialité, toi !’ Avec un air gourmand et décidé, elle se tourne face à moi, déboutonne mon jean et commence à le descendre sur mes hanches en même temps que mon caleçon. Pour faciliter le passage malaisé de mon sexe érigé elle s’agenouille devant moi et s’aide des deux mains. Elle rit lorsque ma verge enfin libérée de son carcan semble lui sauter au visage et l’admire de tous côtés avec un air satisfait. Des yeux, elle jauge déjà l’engin qu’elle va bientôt manipuler.

D’un geste décidé, elle continue de descendre mes vêtements jusqu’à mes chevilles et me fait lever les pieds pour m’en débarasser. Mes chaussures, chaussettes, jean et caleçon voltigent. Dans son mouvement pour relever la tête, mon sexe caresse ses cheveux et tout le côté de son visage. Une onde de plaisir me parcourt tout le corps et ma bite se raidit davantage, appuyant contre sa joue douce et tiède. Sans perdre le contact, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire complice, puis sa main vient prendre mon sexe, le caresse deux ou trois fois, l’étreint doucement, puis elle tourne lentement la tête jusqu’à ce que ses lèvres en touche la racine. Contre moi, Isabelle retient son souffle, la main crispée sur mon épaule et le regard rivé sur mon sexe et la bouche de Cyrielle qui le frôle.

Lentement, les lèvres de Cyrielle suivent toute la longueur de ma verge, résistant aux soubressauts incontrôlables provoqués par cette interminable caresse. Parvenue au bout, elle entrouvre légèrement les lèvres, laissant juste pénétrer la pointe de mon gland et je sens son souffle chaud me caresser. Je réfrène difficilement un gémissement. Du bout de la langue, Cyrielle agace la pointe de mon sexe qui se gonfle encore et tressaute sous les ondes de plaisir. Progressivement, elle ouvre un peu plus les lèvres et mon sexe pénètre peu à peu dans sa bouche. Je retiens les mouvements convulsifs de mon ventre autant que je peux et mon gland parvient jusqu’au fond. Cyrielle, appliquée et sensible à mon plaisir, reste un instant immobile, me laissant profiter des sensations merveilleuses qui m’envahissent. Reprenant mon souffle, j’enlace Isabelle par la taille et lui glisse à l’oreille ’hummm, c’est terriblement bon ce qu’elle me fait, tu sais !’ Dans le même instant, je passe ma main dans une fente de sa tunique et elle passe la sienne sous mon t-shirt. Mes doigts effleurent ses petits seins dont les bouts pointent et durcissent immédiatement sous mes caresses. Sa main parcourt ma poitrine et mon ventre avec une incroyable douceur.

Cyrielle se rappelle à moi en serrant les lèvres autour de mon sexe et je me cambre, cherchant à pénétrer sa bouche plus encore. Avec une lenteur insupportable, elle entame un mouvement de va et vient le long de ma verge raidie, m’arrachant des frissons d’impatience. Je me venge bassement en pinçant doucement les tétons d’Isabelle qui se contracte avec de petits gémissements, son ventre chaud et palpitant venant se coller contre ma hanche. Cyrielle pose une main sur mes fesses pour contrôler mes mouvements, et de l’autre vient caresser doucement mes couilles en feu. Ma respiration enfle et s’accélère. Le spectacle de mon sexe entrant et sortant de cette bouche si douce m’hypnotise.

A son tour, Isabelle que j’ai un peu délaissée se rappelle à moi en griffant doucement mon ventre. Abandonnant les fentes de sa tunique, je passe ma main dans une de celles de son léger pantalon, caresse une hanche, l’aine, le ventre chaud et musclé qui se contracte sous mes doigts. J’atteins l’étroite bande de tissu de son string sous laquelle ma main s’insinue, découvrant une mini-toison courte et soyeuse. D’un mouvement du bassin, Isabelle pousse son ventre à la rencontre de ma caresse. Mes doigts glissent jusqu’au bas de sa toison, puis rencontrent un petit anneau traversant sa peau juste au début de sa fente. Surpris, je marque un temps d’arrêt, mais d’une pression du bassin, Isabelle m’invite silencieusement à continuer mon exploration. Sa respiration est devenue aussi saccadée que la mienne, un peu rauque, et ses yeux sont rivés sur mon sexe qui va et vient entre les lèvres de son amie. Le bout de mes doigts atteint sa fente palpitante et brûlante, l’ouvre doucement et descend le long de sa vallée inondée. J’explore sans ménagement les replis de son sexe, encouragé par les pressions de son ventre qui suivent mes mouvements. La pointe de mon majeur parvient jusqu’entre ses jambes et remonte, écarte ses petites lèvres et force délicatement l’entrée de son sexe. Isabelle gémit et écarte un peu les jambes pour que mon doigt la pénètre plus facilement. Abondamment lubrifié, il entre en elle sans difficulté. Isabelle gémit à nouveau, se cambre, pousse son ventre en avant. Mon doigt va et vient en elle, la masturbe sans retenue, ses gémissements et les contractions de son sexe accompagnant le rythme de mon intrusion.

Cyrielle continue à pomper mon sexe et alterne des sucions lentes et rapides, des caresses avec sa langue qui s’enroule autour de mon épieu, agace le bout de mon gland, aspire les gouttes de liquide qui s’en échappent. Mon ventre va à la rencontre de ses lèvres sans que je puisse le maîtriser. Un vertige m’envahit, ma bite pénètre une bouche, mon doigt un vagin, mes mouvements se désordonnent. Je sens ma verge se contracter, le sperme monter le long de ma hampe, et j’éjacule violemment dans la bouche de Cyrielle. De longs jets de semence puissants et répétés giclent sur sa langue, ses joues, son palais et sa gorge, qu’elle s’efforce d’avaler au fur et à mesure. Pendant que je me vide dans sa bouche, mon doigt se contracte dans le sexe d’Isabelle et saisie d’un spasme brutal, elle jouit aussi et mêle ses râles aux miens. La houle de nos ventres se calme et nos corps satisfaits se détendent, nous nous sourions mutuellement.

Ma main libère le sexe d’Isabelle et je relève Cyrielle. Quelques gouttes de sperme ont débordé de sa bouche et glissé sur son menton et jusque dans son cou. Elle affiche un sourire épanoui, très fière de sa prestation, et m’embrasse affectueusement, sa langue portant encore le goût de mon propre sperme. Heureuse de l’effet qu’elle a produit sur moi, elle se plaque contre mon ventre, sans même prendre garde à mon sexe encore dressé et humide qui se presse sur son ventre chaud et doit laisser une jolie trace sur son body…

Etre nu (ou presque, je n’ai plus que mon t-shirt, avec la main d’Isabelle en dessous) avec une fille habillée dans les bras m’a toujours excité (l’inverse aussi d’ailleurs) : le corps nerveux et brûlant de Cyrielle qui se frotte contre le mien éveille très vite en moi de nouveaux appétits.

A mon tour, je m’agenouille devant elle, je dénoue le foulard qui lui sert de ceinture, et je baisse son fin collant noir jusqu’à ses chevilles. Son entrejambe n’est plus couvert que par le mince tissu du body à travers lequel je distingue le bout de son clitoris érigé qui pointe de sa fente gonflée d’impatience et d’excitation. Un pied, l’autre pied, le collant s’envole pendant que d’une main experte elle défait les boutons pressions qui maintenaient le body entre ses jambes ; impatiente, elle en relève les pans vers le haut, m’offrant un spectacle… bandant.

Son ventre est plat et ferme, frémissant. Le pubis parfaitement épilé dévoile sa peau lisse et soyeuse. Des lèvres gonflées et entrouvertes de sa chatte, dépasse, terriblement impudique, son clito incroyablement érigé, luisant d’humidité. Cet appendice d’un bon centimètre, saillant de ses lèvres lisses, est incroyablement provocant. Irrésistiblement attirée, ma main remonte entre ses cuisses qu’elle écarte largement. Je glisse un doigt d’arrière en avant le long de sa fente détrempée jusqu’à la racine de son clitoris : il est superbement gonflé et érigé, et mes doigts mouillés le caressent et le masturbent comme un petit pénis. Le corps de Cyrielle vibre sous mes attouchements, son clito se tend vers moi en une invite à laquelle je ne résiste pas. Mes lèvres s’approchent de son ventre, frôlent son pubis lisse et happent son bourgeon. Cyrielle ne peut réprimer un feulement d’excitation et presse son ventre contre mon visage. Je tète ce petit bout de chair palpitant et elle se contracte contre moi. Je la sens venir si vite que je délaisse un moment son clito, et ma langue part explorer sa fente entrouverte.

Isabelle se décide à participer elle aussi, elle s’accroupit à côté de moi, sa main s’empare de mon sexe et le caresse doucement. J’écarte largement les jambes pour la laisser faire : très vite elle me remet en forme et elle me masturbe alors franchement, ses longs doigts agiles parcourant toute la longueur de mon épieu. Sur ma langue, la liqueur de Cyrielle a un goût de miel, et je la fouille du plus loin que je peux. A nouveau, je viens tèter son clitoris et je sens ses cuisses vibrer de chaque côté de mon visage, et en même temps je parcours toute la longueur de sa fente avec un de mes pouces trempé de sa liqueur abondante. Mon doigt continue son chemin, parvient à son anus, pousse doucement ; les muscles se relâchent et mon pouce bien lubrifié la pénètre profondément et sans difficulté. Cyrielle se contracte toute entière et jouit sans retenue, de toutes ses fibres, avec un interminable gémissement de plaisir, puis tombe à genoux devant moi, le souffle court.

’J’adore ça !’ dit-elle simplement en reprenant peu à peu une respiration normale. Je dois avouer que moi aussi j’ai bien aimé sa chatte, une vraie fontaine au goût de miel, ferme, chaude et lisse. Avec Isabelle qui continuait à me masturber consciencieusement, j’ai retrouvé une érection puissante et une furieuse envie de me servir de ma verge tendue et palpitante d’impatience.

Délaissant Cyrielle rassasiée, je me tourne vers Isabelle et la déshabille entièrement, sans aucune résistance de sa part. Nue, elle nous laisse admirer son corps d’enfant aux seins peu développés, au ventre plat à peine ombré d’une toison blonde, courte et clairsemée. Le contraste avec l’anneau brillant qui orne son sexe n’en est que plus provocant.

Isabelle se laisse faire pendant que je la couche par terre, que je lui écarte largement les jambes, exposant sa fente béante et luisante d’excitation. Son clitoris rose traverse l’anneau d’or : on ne voit que ça au milieu de son corps. Elle plaque ses mains contre mes flancs lorsque je m’étends sur elle, déjà prête à me guider, à rythmer mes mouvements. Mon sexe appuie contre sa vulve, le gland frotte contre l’anneau et c’est terriblement excitant. La pointe de mon sexe trouve l’entrée inondée du sien et commence à écarter les lèvres gonflées et juteuses de sa vulve. Les mains d’Isabelle pressent mes hanches et m’incitent à la pénétrer.

Son sexe, bien que parfaitement lubrifié, est très étroit, et je le sens s’ouvrir peu à peu au fur et à mesure que je la force. Isabelle se cambre, la tête rejetée en arrière, halète et gémit sans se retenir. Elle se sent petit à petit possédée, comme moi-même je sens son vagin céder le passage à mon sexe qui l’envahit. Son corps ondule et se tord, elle geint tout au long de mon intrusion qui me semble durer une éternité. Mon sexe reçoit des sensations d’une intensité incroyable.

Enfin, je parviens au fond de son ventre, et je reste un instant au bord de l’orgasme, ma verge serrée dans l’étau brûlant et soyeux de son vagin étroit. Isabelle entrouvre les yeux, mais son regard est ailleurs, elle ne me voit pas.

Lentement, je commence à aller et venir en elle, coulissant dans son fourreau qui m’enserre comme une main chaude et humide. A nouveau, Isabelle se cambre, se tord et gémit sans retenue, sans aucune pudeur. Elle profite de tout son plaisir, de toutes les sensations qui l’assaillent et la submergent. Discrète, silencieuse et réservée avant que je la pénètre, elle s’extériorise maintenant de tout son corps. Ses mains me pressent à la pénétrer plus fort, plus loin, plus vite.

Mon sexe coulisse dans son ventre de toute sa longueur et je me retiens difficilement de jouir tellement c’est fort. Puis, avec un cri presque désespéré, elle jouit longuement, tous les muscles comme tétanisés, et s’effondre comme un pantin désarticulé. Je cesse pratiquement mes va et vient pendant qu’elle reprend ses esprits. Ses grands yeux verts et un immense sourire sont remplis de bonheur et de tendresse. Je reprends mes mouvements, impatient de jouir en elle, et elle continue à me fixer avec douceur. Rapidement, je fonds, je craque. Ses mains attirent mon visage vers le sien et elle m’embrasse avec passion lorsque je me vide puissament au fond de son sexe. Son vagin resserré étreint ma verge et reçoit mes giclées de sperme au plus profond, pendant que sa langue fouille ma bouche. Lorsque qu’enfin j’ai fini d’éjaculer, elle me garde entre ses bras serrés, comme si d’avoir inondée son ventre de ma semence l’avait comblée. Cyrielle semble aussi… ’émue’ que nous et me caresse doucement le dos et les reins pendant que redescendons peu à peu sur terre. ’Qu’est-ce que c’était bon !’ commente simplement Isabelle.

’Hummm, oui, ça en avait l’air ! Moi aussi j’aimerais bien…’ me demande Cyrielle avec le plus grand naturel. Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais là, j’ai besoin de reprendre un peu de force et surtout on doit commencer, à mon bureau, à se demander où je suis passé… ’C’est promis Cyrielle, je ne demande que ça mais maintenant il faut que je file. Je te promets que je reviendrai !’

Tous les trois nous nous rhabillons puis nous nous séparons, un peu étourdis.

Promis : quand j’aurai… ’revu’ Cyrielle, je vous raconterai !

ULYSSE.

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