9h30, il se fait tard, les bureaux se sont vidés, mais je suis toujours au travail
C’est alors qu’à ma grande surprise, rentre dans le bureau la petite Sandra, celle-ci se dirige vers Félix d’un drôle d’air tenant un verre d’eau à la main.
« Oh je viens m’excuser pour toute à l’heure Félix, je suis vraiment désolée, c’est ma faute, je viens pour me faire pardonner. »
Sur ce, elle renverse le verre sur ma chemise.
« Je vais tout nettoyer maintenant Félix, ne vous inquiétez pas »
Elle passe alors sa main sur mon torse mouillé et commence à dégrafer les boutons de ma chemise
La petite salope ! Je suis fébrile d’excitation, à mon tour, je me se saisit du verre d’eau et renverse le fond qui restait sur le corsage de Sandra. D’un geste brusque je lui arrache sa chemise et dévoile sa généreuse poitrine.
Elle me caresse le corps, je lui caresse sa poitrine, nos lèvres se touchent et nous échangeons un long baiser langoureux. Tandis que nos langues se mélangent je dégrafe son soutien-gorge et libère ses deux gros seins bien lourds. Je les malaxe, je pince les tétons, les auréoles autours se mettent à gonfler.
Ses petits doigts s’emparent de mon pantalon, débouclent ma ceinture, ouvrent ma braguette. Mon sexe sort droit comme un « i ». Elle me branle le dard tandis que je lui soupèse les seins.
Je lui attrape la tête de mes deux mains et fait descendre sa bouche au niveau de la pointe de mon gland.
« Je veux que tu t’occupes de ça, tout de suite
— Oui monsieur Félix ! tout de suite ! »
Elle ouvre sa bouche et enfourne ma bite Elle s’applique à bien baver sur ma queue, permettant de faire glisser onctueusement sa langue et ses lèvres lors de ses mouvement de têtes.
Je ne suis pas en reste, une de mes mains continue à tripoter un de ses nichons, l’autre remonte sa jupe et atteint son entrejambe. Sa petite culotte est bien mouillée, mon index est aussitôt tout humecté ! Du coup j’écarte le petit élastique et introduit les doigts entre le tissu et sa toison pubienne. Sandra Hoquette de plaisir, elle retire ma bite de sa bouche, se relève, elle soulève sa jupe de ses deux mains et me dévoile sa magnifique chatte. La touffe est immense, elle atteint presque les cuisses tellement elle est étendue, le poil est abondant, dense, d’un noir absolu. Je descends la culotte jusqu’à ses chevilles. Je passe ma main à travers le velours soyeux et trempé d’humidité. Je glisse un doigt dans son vagin, il est chaud, avec le pouce, je caresse doucement la petite pointe de son clitoris. Sandra gémit, ses petites mains sont crispés sur les plis de sa jupe relevée, la bouche ouverte, l’air bête, respirant rapidement, elle regarde les petites bricoles que je manigance entre ses cuisses. J’accélère, elle aime ça la petite chienne. J’introduis un deuxième puis un troisième doigt et de je frotte de plus en plus rapidement son vagin. Elle commence à se contorsionner de plaisir.
Je me relève à son tour, je retire mes doigts de son sexe mouillé. D’un grand coup de bras, j’envoie tout valdinguer le bazar qui traîne sur mon bureau, dossiers, crayons, agrafeuse, claviers,
J’attrape la petite Sandra par la taille, je la soulève et je l’assois sur la place dégagée. Je lui enlève sa culotte et je lui écarte bien ses cuisses. Je contemple avec délectation l’entrée de sa grotte, un filet de jus s’en échappe et s’écoule sur le plan de table. Je passe ma langue et je m’abreuve avidement. L’odeur est forte, le goût est âcre. Plus je lèche, plus ma trique est dure ; Sandra s’allonge sur le bureau, elle gémit de plaisir, elle monte ses jambes en l’air qui bien vite entourent ma tête qui continue son mouvement de balancier entre ses cuisses.
Je n’en peux plus, je me relève, j’attrape son bassin et le tire vers le bord du bureau, je me débarrasse de mon pantalon et de mon slip. Je la pénètre enfin. Je lui balance de grands coups de pine dans son caisson, elle ferme les yeux et râle, je vois ses seins remuer à chaque mouvement. C’est trop bon, j’aurai bien voulu que ça dure longtemps. Au bout de 3 ou 4 coups de bite, je ne parviens pas à me retenir, je balance 3 bonnes giclées de foutre dans son ventre
Un dernier baiser langoureux est échangé, puis l’air un peu penaud, nous nous rhabillons tous les deux timidement, sans échanger un mot. A peine nos regards se croisent
Un dernier bisou et ma belle petite portugaise s’enfuit, juste le temps de nous échanger nos portables. A grand peine, je rassemble mes affaires et réordonne mes dossiers.
Vidé épuisé, mais heureux, il est 21h30 quand je quitte mon bureau. Vers le retour dans le métro, je n’arrête pas de penser à ma Sandra et à ses petites formes toutes potelées, je résiste néanmoins à l’envie de lui envoyer un sms. Une tradition bien ancrée venant de « je sais pas où » veut qu’on ne rappelle jamais son aimée avant trois jours, je résiste donc. Mais la nuit dans mon lit, je salis trois mouchoirs à rêver que je besogne encore et toujours entre les jambes de la petite ménagère
Je reprends mon boulot le lendemain tard, vers 9h30. Evidemment je suis gai comme un pinson. Je suis le roi du monde, j’ai réussi ma conférence hier, et surtout, j’ai baisé comme un dieu
La journée se passe bien, j’attends la fin d’après-midi que je puisse la revoir
Vers 16h15, mon téléphone sonne.
« Bonjour Félix, c’est Jasmine, vous pouvez monter tout de suite me voir au bureau ?
Sa voix est directe et autoritaire, elle ne me laisse pas vraiment le choix.
— Bonjour Jasmine, c’est que j’attends quelqu’un et
— Ne vous embarrassez pas avec ça, c’est au sujet du dossier sur Singapour, venez tout de suite cela ne peut pas attendre ! »
Elle raccroche direct. Merde ! Au moment où Sandra allait passer pour faire mon bureau
Bon, c’est pas grave, je monte voir Jasmine, la responsable Marketing, après tout peut être que cela ne va pas durer longtemps,
J’entre dans le bureau de Jasmine. Comme tout responsable Marketing d’un grand groupe qui se respecte, celui-ci est spacieux, harmonieusement agencé, avec des authentiques uvres d’art, tableaux de maîtres sur les murs, et même une magnifique sculpture assez suggestive sur une table basse. En plus d’être une femme sportive, Jasmine a la réputation d’être très cultivée
« Entrez Félix, asseyez-vous je vous prie, j’ai quelque chose à vous montrer »
Jasmine me reçoit assise dans son fauteuil tournant derrière l’écran de son ordinateur. Comme toujours elle est impeccable dans son tailleur noir, sa chevelure blonde bouclée est taillée courte, son teint pêche, son maquillage parfait. Malgré ses cinquante ans, Jasmine est une femme superbe, elle attire le regard des hommes et elle le sait..
Toutefois, je remarque dans son sourire magnifique et dans son regard un je ne sais quoi d’un peu bizarre, d’un peu carnassier qui me met mal à l’aise, mais bon je m’assois.
Elle pivote son fauteuil d’un quart de tour pour me faire face, dévoilant ainsi ses longues jambes parfaitement sculptées, ses grands escarpins noirs. Jasmine est une femme superbe, elle le sait et elle aime en jouer. Malgré ses cinquantes ans, elle attire systématiquement le regard de tous les hommes.
Elle me regarde fixement et commence à parler :
« Voilà, j’ai bien remarquée que souvent vous quittiez tard le bureau, je croyais que vous étiez quelqu’un de travailleur, mais là, j’avoue que je suis assez surprise par le genre de besogne que vous pratiquez »
A ma grande surprise, Jasmine tourne son écran vers moi. Elle appuie doucement sur un bouton du clavier et commence alors un film en noir et blanc de mauvaise qualité, un enregistrement de vidéo surveillance. Je me vois les fesses à l’air en train de donner de grands coups de reins entre les cuisses de la femme de ménage
Je suis pétrifié de terreur, aussitôt une sueur froide envahit toute mon échine, je dois être livide
Jasmine me regarde d’un regard froid, sinistre, je vois une lueur cruelle dans ses yeux.
« Vous vous rendez compte de ce que vous faites Félix ? Des relations sexuelles pendant vos heures de travail ? C’EST UNE HONTE ! UNE HONTE !!!!