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Histoire imaginaire dans une ville perdue. – Chapitre 3




Il est grand et fort mon père. Je me suis toujours sentie en sécurité avec lui.

Je peux maintenant dire avec certitude que je me sens aussi bien sinon meilleure quand il est en moi.

Je m’appelle Jessica, 21 ans , et je couche avec mon père.

C’est arrivé un peu tard, je ne sais plus pourquoi, mais je sais que je ne l’échangerais jamais pour personne au monde.

9 heure du matin, c’est l’heure du petit déjeuner. Je prend mon bol de céréale en famille. Papa en face de moi, maman à côté de lui, et Monica, ma grande sur à mes côtés.

Lui et moi, faisons bien attention à ne pas nous faire découvrir. Il faut bien faire attention à agir de façon naturelle.

« Vous savez ce qu’on devrait faire ? Allons voir ce nouveau film !! Ce film de science fiction ? » Lance maman, en fait elle parlait depuis un petit moment, mais je n’écoutais pas tout. Il est 9 heure rappelez vous, pour moi c’est un effort de me lever à cette heure.

Monica ne peut s’empêcher de se moquer. Je l’ai toujours trouvé un peu dure avec maman. Mais voilà, je suis pas très bien placée pour juger.

« Je parie qu’il y a cet acteur que tu adore. »

« Oui bon, Monica, il est dedans. Et alors ? » se justifie maman  « C’est un bon acteur , il est très bon. »

« Et très beau. » plaisante papa.

Tout le monde rit de bon cur. Maman insiste et tout le monde se met d’accord. Cet après midi, nous allons voir ce film :  « Robot Mission du futur ». Rien qu’au titre, ça sent bon la bouse hollywoodienne. Mais bon, je ne dis rien. Je ne rie pas, je ne bouge plus. Le pied de quelqu’un est en  train de caresser ma jambe depuis un petit moment. Et comme papa me regarde avec insistance, je me doute bien de qui il s’agit.

« Tu ne manges plus ? » demande cet idiot qui prend un air détaché.

A ton avis, si tu n’étais pas en train de caresser ma jambe, tu crois pas que j’aurais déjà fini avant ? Des fois, je te déteste. Mais jamais trop longtemps. Là par exemple tu commence à me faire du bien, avec ton pied entre mes jambes. J’ai un pyjama d’accord, mais les frottements sont suffisants pour me donner assez de bonnes sensations.

« Si si, je vais finir. »

« Dépêches toi mon bébé, je commence à faire la vaisselle. Monica, puisque tu as fini, prépares toi déjà. Nous allons partir en ville. »

Nous répondons en chur, ma sur et moi. Elle me sourit et me fais un câlin.

« Allez dépêches toi, Jess ! »

Je l’adore ma sur, c’est ma préférée. Mais là, je ne suis pas capable de répondre. Papa et en train de me faire frottis frottas sur ma culotte. Je vais écarter les jambes. Ce sera mieux, et tant pis si je me fais prendre. En fait, j’aimerais tellement qu’on me prenne là. Sur la table, avec ma mère en train de faire la vaisselle.

Elle nous tourne le dos. Combien de temps cela nous donne ?

Je regarde mon père avec un air de chienne apeurée. Que veux tu faire, espèce de cochon ?

Il me fait des grimaces aux consonances obscènes. Je lui renvoie des regards coupables mais également espiègles. Il prend ça pour une invitation et rentre par petits coups dans ma chatte. Je dois faire beaucoup d’efforts pour ne pas faire trop de bruits.  souffle doucement et nous jetons de temps à autre vers maman. Quand nous nous sommes assurés que la voie est libre, nous reprenons.

Maman termine et s’en va. Elle vient me faire un petit baiser sur ma joue. Je ferme mes yeux, et prie pour qu’elle ne remarque pas mes tétons qui pointent, mon expression totalement abrutie par le sublime supplice.

Elle s’en va, et je lance un petit regards noir à mon paternel. Je grogne.

« Viens plutôt sous la table. » Il lève le tablier sur le côté. Je me penche pour réaliser qu’il a laissé son sexe sorti depuis tout à l’heure.

« C’est pour moi ? »

« Oui, princesse. »

Je me glisse sous la table pour faire lui faire un fellation. J’ai déjà beaucoup sucé mon père à de nombreuses occassions.

La nuit, le matin, quand tout le monde dort. Dans l’après midi dans le salon, quand personne d’autre que nous n’est à la maison. Dans ma chambre quand elles regardent une émission, nous laissant ainsi plusieurs minutes à nous.

L’idée de lui sucer la bite sous la table me paru aussi dangereuse qu’excitante. Je lui ai pompé tout le suc que je pouvais en si peu de temps, cachée sous la table je ne voyais rien. Tout ce que je ressentais , c’était sa main qui me coiffait, qui me guidait. C’était excitant, son pénis était plus dur que d’habitude ou alors, j’y prêtais davantage attention. Ma langue passait et repassait sur son gourdin, qui frétillait comme une petit animal en cage. Sa main devient plus exigeante, plus erratique. Il va jouir. Allez c’est le grand final, je vais lui montrer que je peux sucer plus vite qu’un aspirateur , que je peux pomper plus fort que n’importe quelle machine au monde. Allez papa jutes. Juste pour moi. Envahie ma bouche de ton foutre , oh putain ! Allez jouis.

Dans un dernier geste brusque, il appuie ma tête jusqu’au fond. Ma bouche est rempli de son gros paquet de viande jusqu’à la gorge. Son liquide, sa semence, se déverse dans ma gorge. Je prend tout. Je termine d’aspirer tout son jus viril.

En sortant de table, je reprends ma place devant lui. J’ouvre la bouche, très grand, il m’observe d’un air satisfait. Je recrache tout, je déglutie son sperme dans mon bol. C’est certainement mélangé à ma salive, mais ça me va.

Il a un petit sursaut de dégoût. Je mélange et prend une cuillerée de céréales mélangée à sa sauce spéciale. Je termine mon bol en quelques bouchées. Mes pieds terminent de branler sa bite cachées sous la table. Nous échangeons des regards complices.

« Qu’est ce qui se passe ici ? »

Monica nous observe.

« Vous n’avez toujours pas fini ?  J’ai eu le temps de me laver et de m’habiller moi ! »

Je pose mon bol rapidement dans l’évier. Papa est toujours zizi à l’air, même s’il est à moitié caché par la nappe de table. Je dois trouver un moyen de distraire ma sur.

« Je dois me préparer, tu veux bien me prêter des vêtements ? »

« Pardon ? »

« S’il te plaît, j’ai vu que tu avais des robes trop belles l’autre jour ! »

« mmmmfff  » Elle observe papa : « Ne tarde pas trop avec ce café, d’accord ? »

« Mais bien sûr, Nini, prêtes des vêtements à ta sur, ce serait gentil de ta part. »

Je parviens à l’éloigner assez facilement.

Et en plus j’ai une robe neuve pour moi !

En me regardant dans le miroir cependant, je remarque que je traîne une gerbe de sperme sous mon menton. Quelle idiote je fais.

Nous voilà au cinéma.

Maman a tout prit , boissons, pop-corn, et les places biens sur.

Nini, s’est assise au milieu de la salle, maman est sur sa droite, mon père est assis à côté de maman, et finalement, c’est moi qui suis tout à droite.

Nous discutons un peu avant le début du film, papa et Monica s’engage dans une conversation, et maman lit un brochure publicitaire. Je suis un peu la conversation entre Monica et papa. Ils parlent de cinéma et de la tendance actuelle à faire des films d’amour avec des triangles amoureux  qui doivent sauver le monde , ou avec des super-héros interchangeables.

« Ce serait trop bien un mélange des deux, vous imaginez. » Ils pouffent à ma remarque. Je suis vexée. Papa me fait un bisou sur le front «  Peut être , ma chérie , peut être. »

Monica remarque que nous sommes devenus très proches depuis un petit moment.

Oui, grande sur, depuis que nous couchons ensembles, nous sommes devenus assez proches, l’un de l’autre. Mais on ne risque pas de se vanter de cela.

« Ah oui, c’est vrai ? »

Elle s’en réjouit, la famille a toujours été importante pour ma grande sur. Je la respecte beaucoup pour ça. Et c’est pour ça que je l’aime. J’espère que tu n’apprendra jamais ce qui se passe entre lui et moi.

Le lumières s’éteignent, le film commence. C’est un film ennuyeux avec des grosses ficelles scénaristiques, des dialogues insipides plats, mais de bons effets spéciaux finalement. Je m’ennuie.

Maman est à fond dedans. C’est sa came tout ça. Tout le film est mauvais sauf le maquillage du héros, un cinquantenaire, héros infaillible qui botte des culs et sauve le monde et qui obtient la femme en milieu de film.

Je m’ennuie tellement.

Papa a remarqué ma détresse et passe son bras autour de moi. C’est gentil. Et avec son grand manteau posé sur ma robe, ça fera couverture. « Je peux dormir  sur ton épaule ? ». Il me serre contre lui. Je m’endors sur son épaule.

Je dors paisiblement.

Je fais un joli rêve.

J’y épouse mon père. Ma sur est ma demoiselle d’honneur et maman se marie avec son acteur préféré.

Tout le monde est heureux. Je ronronne.

? non en fait, je ronfle.

«Silence !!! »

Hein ? De quoi..! Oh, c’est vrai… Je suis dans la salle de cinéma, mon papa est à côté. Monica pouffe de rire en m’ayant entendu ronfler et  papa caresse ma joue. Maman continue de regarder sans en perdre une miette. C’est un spectateur devant nous qui s’est plaint de mes ronflements. Je m’excuses discrètement.

Papa me réconforte en me caressant l’épaule.

A défaut d’échapper à ce film, je peux au moins me faire dorloter. Le film me semble encore plus mauvais maintenant que je remarque qu’il y a un singe robot qui parle et une femme qui passe la moitié du temps à hurler et courir apeurée vêtue d’une combinaison en cuir trop brillante à mon goût. Et elle se fait sauver par le héros à chaque fois bien sûr. On devrait inclure plus de femme active dans le cinéma aujourd’hui, c’est scandaleux quand on y pense. On ne devrait plus attendre sur le lit bordé de rose, l’arrivé du beau chevalier qui nous emmène vers l’horizon.

Prendre l’initiative n’est ce pas ?

La main de papa, est toujours en train de me caresser doucement . Que pourrais je faire dans ce cinéma ? Avec ma sur, ma mère et quelques autres personnes dans la salle ?

J’attrape la main de mon père. Et tandis que je garde mes yeux fixé sur lui, je joue avec ses doigts, discrètement. Lancée dans une petite danse des plus étranges, je parviens finalement à capter son attention. D’abord souriant, il comprend où je veux en venir quand je frotte sa jambe avec la mienne.

D’un petit coup de tête, il me fait signe que non, que c’est une mauvaise idée.

C’est excitant , donc pourquoi pas ? Voilà ce que je lui fait comprendre avec mes petits coups de langue sur ses doigts et mon regard aguicheur.

Il hésite. Haha. Je le savais. C’est plus jouissif de le faire craquer que de baiser en soi au final.

Je me lève et annonce : « Je me sens pas bien. Je vais aux toilettes. »

Il me regarde partir et je lui fait un clin d’il furtif.

Pour la peine , je roule des fesses en partant. Enfin j’essaie, je manque de me casser la figure sur les marches à peine éclairées. J’entends papa pouffer de rire, et me retourne. Il regarde à nouveau l’écran et fait semblant d’être impliqué dans le film. Il masque avec peine un sourire sur son visage.

Ha le salaud, je vais lui apprendre. Je vais attendre dehors.

Là juste devant la porte battante, je m’adosse au mur. Et quelques minutes plus tard. Il est là.

Je marche jusqu’aux toilettes des femmes. Et avant de rentrer, je lui lance un dernier regard. Alors tu as l’air fin maintenant ? Vas tu oser ?

Dans tout les cas, je suis gagnante.

Profitons en pour nous refaire une beauté. Je ne suis pas trop mal avec la robe de Nini. Je devrais demander à Monica si je peux la garder. Ma coiffure est un peu défaite, sûrement parce que j’ai dormi tout à l’heure. Je peux arranger ici et là quelques touches avec mes cheveux. Je m’inspecte un peu le visage lorsqu’une personne rentre.

C’est mon père.

Il entre avec hésitation, regardant à gauche et à droite. Et même à l’intérieur, il essaie de voir si quelqu’un d’autre est là avec moi.

« Nous sommes seuls. » , Il est trop mignon en agent secret. Enfin , plutôt en agent du sexe.

Je n’aurais pas le temps de dire quoi que ce soit de plus. Il vient me prendre entre ses bras puissants et je me fais embrasser dans les toilettes des femmes.

C’est tellement agréable, vous n’avez pas idée de la satisfaction apporté par ces petits gestes interdits. Il y a un mélange de plaisir de transgresser, de faire quelque chose qu’on n’est pas sensé faire, mais aussi, et tout simplement, vous n’avez pas idée à quel point il embrasse bien.Terriblement bien. Je m’abandonne dans ses bras et le laisser mener la danse.

Hey ! Mes fesses ?! Tu étais pressé de mettre ta main dessus pas vrai ? Gros cochon. Pour la peine, je vais te mordre tes lèvres. Tu aimes quand je fais ma rebelle pas vrai ?

C’est grisant de devoir me dompter j’en suis sûre.

« Je t’ai fait mal ? »

« Tu ma fais mal, princesse » Je souris, victoire pour moi.  « Mais ce n’est rien par rapport à ce que je vais te faire. »

Je n’ai pas le temps de répondre, il me soulève telle une plume et m’emmène dans un cabinet.

Une fois à l’intérieur, c’est ma robe, cette fois, qu’il remonte. C’est avec coquetterie que je lui laisse le loisir d’admirer ma culotte toute en dentelle. Pas le temps de jouer les coquettes, il enfonce sa grosse bouche dedans. Oh merde, je dois bien faire attention à ne pas me faire pipi dessus. J’ai quelque fois des réactions disproportionnées. Je me rappelle comment j’ai juste eu un orgasme, juste en me faisant doigtée sous la douche.

Mais là ça va. j’ai assez de résistance pour soulever moi même ma robe. Je vais devoir poser mon pied sur son épaule. C’est plus agréable pour le laisser me lécher. Et ça pour me bouffer la chatte, il a assez d’expérience dessus.

 J’ai du mal à garder ma concentration : je gémis, je respire trop fort, et je m’agrippe à tout ce que je peux pour ne pas tomber.

Il s’y prend tellement bien, j’en fermee les yeux, tellement c’est bon. Je jette un coup d’oeil rapide, afin de l’admirer, de temps à autre, je l’encourager : « Continue », « Tu me rends folle. » ,  « Je t’aime. »…

« Tu aimes ça ? »

Je hoche de la tête .

« Tu veux que te démonte ici. Dans ces WC ? »

Je ferme la bouche, de peur de crier, et hoche de la tête de façon affirmative.

Il se lève et me dévoile son sexe.

« C’est pour moi ? »

« Oh oui, c’est pour ma chérie, tu veux te faire dérouiller ici mon bébé ? »

« Oui, oui, papa, pénètres moi bien profond avec ta bite. »

«Je vais te faire la misère. »

Je l’entoure de mes bras. Je n’attend que ça. Je le regarde introduire son sexe dans le mien. Durant la pénétration, nous nous observons mutuellement. Je me rends compte dans ses moments là que nous sommes assez fous, désaxés, des malades complètement accroc au sexe. Je ne sais pas vraiment à quoi pense mon père lorsqu’il entre en moi. Mais moi je sais qu’il est tout pour moi. Que je ne me donnerais à personne d’autre que lui.

« Je t’aime papa. »

nous nous sourions.

« Je t’aime mon bébé. »

Il entre en moi. Le plaisir est immense aussi que la première fois, mais j’espère moins que celui de demain.

« Embrasse-moi. »

Il me pénètre.

Oui, embrasse, enlace moi, entre en moi car je suis à toi. Je serais toujours à toi. Je ferais tout ce que tu voudras que je fasses, et je serais tout ce que tu voudras que je sois.

Alors tiens moi fort, serre moi contre toi, je veux te ressentir jusqu’au plus profond de moi.

Encore et encore, je ne ferais rien d’autre que subir tes assauts dans mon intimité.

Il bouge, de façon répétée, et je soupire de plus en plus fort.

Mon corps brûle, ma chatte est brûlante, je suis en ébullition.

Je ne tiens plus en place, c’est tellement bon, mais trop intense. Je vais devenir cinglée à force de me faire défoncer la chatte dans ce cabinet, dos au mur, m’agrippant désespérément à mon amant, tandis qu’il continue de me donner des coups , encore et encore.

J’ai du mal à parler, mais je crois bien que je vais jouir. C’est un sexe énorme qu’il a, et aussi, il a la vigueur, ne me donnant aucun moment de répit. Chaque fois que je le sens au fond, je me resserre un peu plus. A force, j’ai appris à le faire, et à en juger par sa réaction, je sais qu’il adore. Il me mord l’oreille, me dit que je suis belle. Et tandis qu’il me défonce dans ces cabinets, je lui demande encore plus de baisers, de caresses, et encore plus. Oui

Oui, encore, encore

J’y suis presque , je vais jouir. Je le griffe, essayer Je dois le Prévenir.

 Mais lui aussi apparemment s’apprête à vider ses couilles.

« Tu va jouir, tu va jouir mon bébé. »

« Mui  hé viens  sssa vain … »

C’est au bout de plusieurs secondes, accrochés l’un à l’autre que nous atteignons l’orgasme. Je jouis contre lui, tout accroché à lui, je couine son nom comme une démente. Ma chatte se contracte et sens qu’il ne résiste pas longtemps non plus. Je sens sa semence jaillir en moi.

Oui, balance tout ton jus, remplis moi l’utérus avec ton sperme bien chaud.

Nous nous embrassons et continue de vider ses dernières gouttes de sperme en moi. Il continue de donner des coups de pompes encore un peu, mais le plus dur est passé.

Après quelques minutes à rester l’un dans l’autre, il se retire. Je me permet de lui astiquer un peu son manche. Je retire encore un peu de sperme en le branlant.

Et nous sortons des wc, non sans m’être lavée le visage en passant.

Je lui tiens le bras et il m’escorte jusqu’à la sortie. Le film est fini depuis un petit moment.

Maman et Monica nous attendent dehors, nous demandant ce qui s’est passé.

« Jess, ne se sentais pas bien. Elle a du passer aux toilettes. »

Nini et maman s’inquiètent : « ma pauvre, ça va mieux ? »

Elle s’occupe de moi jusqu’à la maison. Elle est adorable.

Arrivé devant la maison, papa me tends son bras pour marcher avec lui.

En rentrant bras dessus bras dessous, je lui murmure « on devrait aller au cinéma plus souvent. »

A suivre…

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