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Une famille sexuellement débridée – Chapitre 9




Nous remîmes cela pour le café. Baiser dans l’intimité, sans le concours des deux autres mâles de la famille et de ma sur, offrait des avantages. Notamment, maman m’entraînait à plus d’endurance, à mieux me positionner, à bien mettre ma langue, ma pine et mes doigts là où cela la stimulait le plus, dans les zones les plus érogènes.

A l’instar de ma famille, je devenais de plus en plus accro au sexe, d’autant que j’étais le seul apparemment qui affichait une bisexualité naissante. J’avais cru que mon frère pencherait aussi de ce côté-là, mais son contact avec les hommes se résumait à se faire sucer et, de temps en temps à me tripoter l’anus en attendant que je me fasse enculer, car j’en avais de plus en plus envie. Mais la bite du facteur était une belle promesse et j’étais persuadé ne rien perdre à attendre.

Néanmoins, j’étais moins curieux que Gilles qui voulait multiplier les expériences.

C’est ainsi que je le trouvais un soir à jouer au poker avec trois potes. Maman n’était pas encore rentrée. Un des types était en slip et en chaussettes, un autre en pantalon, et le troisième en slip et marcel. Mon frangin était en boxer, marcel et chaussettes. Des fringues étaient répandues dans la pièce. On jouait en streap.

L’un des gars que je connaissais vaguement dit en me voyant entrer :

Putain Gillou, j’ai cru que c’était ta mère ! Tu m’as fait peur !

Non, je t’ai dit qu’elle est pas là ce soir, hein Tonio ?

Je savais pertinemment qu’elle devait revenir. Mais je devinai aussitôt le plan de mon frère et acquiesçai.

Ouf, vous imaginez la honte les mecs… Sa mère débarque et nous voit à oualper !

Ils éclatèrent de rire.

Des mecs à poil, ma mère, elle en a vu d’autres…

Quand même, t’imagines la gêne ! A la rigueur, je préférerais ta sur.

Ouais c’est clair, elle est canon ta frangine. Si elle se pointe alors que j’ai le zguègue à l’air, va falloir que je fasse un effort pour pas bander, dit Gabin.

Pourquoi, elle est pas belle ma mère ?

C’est pas pareil, vu l’âge, intervint Baptiste.

Moi, j’la trouve canon ta mère. Elle fait pas son âge… Si c’était pas ta mère… j’aime bien les milf, moi… reprit Gabin en portant la main à son slip et en le serrant très fort d’une manière suggestive.

Pendant qu’un gars distribuait le tour suivant, je pris un prétexte pour attirer mon frère à l’écart.

Elle est au courant maman ?

Regarde !

Et il me montra son portable où il lui rendait compte de l’évolution de la partie. Elle y répondait par des snaps où elle avait déjà des doigts dans le con.

Quand il y en aura deux à poil, elle arrive… et youpi !

Tu vas la baiser avec tes potes ?

Faut voir comment ça tourne, mais pourquoi pas !

Nous revînmes parmi les convives.

Tu joues avec nous Tonio ?

Clair !

Je pris donc place rapidement sur un siège autour de la table basse du salon où s’abattaient les cartes et je décapsulai une bière comme les autres. Je reçus comme consigne de me dévêtir un peu pour rendre la partie plus égale. Rahdan, le beur très poilu, était avec deux fringues (les chaussettes comptant une seule fois) et les autres aussi puisque, sous son pantalon, Baptiste était en boxer… Seul mon frère portait encore trois pièces de vêtements.

Il fut convenu que je me mettrai comme lui. Je gardai donc chaussettes, pantalon et jockstrap.

Je ne suis pas très bon joueur et je perdis aussitôt mon pantalon que je choisis d’enlever pour m’exhiber un peu.

Putain, c’est quoi ton truc là ? On te voit le cul ! commenta Baptiste.

Ouais, ça fait limite PD, ajouta Gabin.

Je me tournai alors vers lui pour lui montrer mes fesses en les écartant bien et en le provoquant.

Si tu pers, tu me bouffes le cul !

Même pas en rêve. T’as qu’à te changer en meuf pour que je te bouffe le cul !

Cependant, je crus percevoir un trouble chez Rahdan. Comme il perdit la manche suivante et qu’il dût enlever son marcel, les mouvements de son corps trahirent la bosse de son slip qu’il essayait de dissimuler. Il était en train de bander.

Rahdan, tu bandes ? C’est le cul de mon frangin qui te fait cet effet-là ?

Eclat de rire général.

Tu m’as jamais vu quand je bande… c’est plus gros que ça ! Amène-moi ta sur… tu vas voir ce que c’est que bander, dit-il pour se défendre. Mais je sentis bien la faille.

La partie continua. Je me retrouvai à poil le premier.

T’as perdu !

Ouais, mais je reste jusqu’à la fin. Le vainqueur c’est celui qui est le dernier à poil ?

Oui.

A qui le tour les gars ?

Rahdan fut le suivant. A le voir, je compris les critères de sélection de mon frère. Il avait pris des copains sûrs et dont la nudité aperçue au vestiaire, comme sans doute quelques plans branle, l’avaient rassuré sur leurs potentialités. Rahdan avait un joli gros morceau qui bandait mou.

Le suivant fut mon frangin. La partie se jouerait donc entre Gabin et Baptiste chacun doté d’un beau gros pacson bien lourd dans le slip. Tout ce petit monde s’excitait et se promettait un concours de bites.

C’était sans compter sur ma mère qui fit une entrée fracassante à ce moment-là, alertée par mon aîné.

S’il était évident que les mecs avaient l’habitude de se voir à poil tant ils étaient à l’aise entre eux, le comportement changea radicalement quand ils virent la femme.

Rahdan posa ses mains sur son sexe comme les deux autres bien qu’ils fussent en slip.

Maman les salua en restant debout et en leur tendant la main, ce qui les obligea à se lever et, pour Rahdan, à se découvrir partiellement.

Dites donc, on s’amuse bien ici hein ?

Oui… mais on avait fini là justement, répliqua vivement Baptiste.

Nus comme des vers, Gilles et moi, nous protestâmes.

Ah, non, on continue. On veut voir qui est le gagnant !

Et mon frère ajouta.

Tu joues maman ? Faut sauver l’honneur de la famille.

Il ne reste que deux compétiteurs… C’est OK.

Ah ben non, c’est pas juste, répliqua Baptiste qui n’avait visiblement pas envie de se désaper en nu intégral devant ma mère.

Pourquoi pas juste ? intervint Gilles.

Vous avez un chemisier et une jupe… Nous deux on est en slip… On va forcément perdre…

Bah ! J’vais me mettre comme vous.

Et ce faisant, maman commença a déboutonner son chemisier. Elle le fit le plus naturellement du moins sans la jouer striptease. Les mecs se regardèrent. La pomme d’Adam roulait dans la gorge, Baptiste rougissait.

Maman est vraiment très belle. Quand le chemisier fut posé sur le dossier d’un fauteuil, elle vira sa jupe puis défit son soutien-gorge.

Mon frère bandait déjà. Il faut dire qu’il démarre au quart de tour dès qu’il voit un bout de nichon. Calé dans le fauteuil, jambes écartées, il ne dissimulait pas son érection. Rahdan en revanche, essayait de dissimuler la sienne de ses mains, sans que je susse si c’est la poitrine de ma mère ou les queues qui se tendaient qui provoquaient cet émoi, car les deux gars en slip ne pouvaient pas non plus voiler leur belle excitation.

Voilà, je suis prête ! Qui distribue ?

Les types étaient peu attentifs aux cartes. Gabin louchait ostensiblement sur les nibards (t’en as déjà vu d’aussi beaux ? C’est gros, c’est lourd, c’est rond, c’est ferme ! hésitai-je à lui dire) tandis que Baptiste lançait des regards furtifs dans le genre du gars qui ne veut pas mâter, mais qui mâte quand même. Plus concentré que Gabin, il eut une mauvaise main et perdit.

A poil, à poil à poil, criâmes-nous tous ensemble.

Non, non c’est gênant…

A poil, à poil, dégonflé.

Mais il s’était rassis et ne voulait rien savoir.

Non, non, c’est bon j’ai perdu…

Allez, montre nous ta bite ! lança Gabin.

Ma bite, c’est bon, vous l’avez déjà tous vu dans les vestiaires ! argumenta-t-il.

Pas moi, dis-je en faisant écho aux paroles de maman qui ajouta : "Tu sais, j’en ai vu d’autres… mais pas encore la tienne… allons, il faut être beau joueur, moi, je t’ai montré mes seins et tu vas voir ma chatte si je perds…" !

Comme il ne bougeait pas, Gabin et mon frère le saisirent par les bras pour le forcer à se lever.

C’est bon, c’est bon ! J’le fais, reprit-il d’assez mauvaises grâces.

Il porta les mains à son slip et eut encore un moment d’hésitation, moment suffisant pour que maman se rapproche, s’agenouille et lance :

Besoin d’aide ?

Elle était juste devant lui. Il se figea. Elle baissa le calbut et la verge se déploya, superbe.

Ben, t’avais pas à avoir honte ! Elle est splendide ta bite.

Puis, la prenant en main, malgré un mouvement de recul de Baptiste.

Et bien dure en plus. C’est moi qui te fais cet effet-là ?

Puis elle avala le chibre !

Baptiste nous regarda, effaré, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau, puis il ouvrit la mâchoire en grand sous l’effet des caresses buccales avant de fermer les yeux et de s’abandonner.

Gilles poussa Gabin en avant. Ce dernier comprit vite et sortit son zob que maman se mit à masturber joliment.

Rahdan s’était approché et s’astiquait tout seul.

Invités par mon frère, les gars commençaient à peloter les nichons.

Je me collai dans le dos de Rahdan dont je sentis la chaleur et l’odeur. Je lui glissai doucement à l’oreille :

Je te suce ?

Il me regarda incrédule.

T’as envie, répétai-je ?

Il hésitait. Je compris pourquoi.

T’occupe pas d’eux. Ils ont trop à faire pour s’intéresser à nous.

Je le pris par la main et le conduis légèrement à l’écart, et mis son sexe dans ma bouche.

Son pénis était bon et il ne tarda pas à m’encourager en bougeant ses hanches, en guidant ma tête et en susurrant:

C’est bon… j’ai envie… vas-y !

Il parlait très bas et ses paroles étaient presque couvertes par les gémissements des trois autres qui progressaient rapidement. Maman était déjà à quatre pattes.

Allez ! Vas-y quoi, fourre-là !

Je ne voyais pas à qui s’adressait cette recommandation de mon frère, mais, au long gémissement que maman poussa, j’en conclus qu’elle avait été scrupuleusement observée par l’un des deux gars qui avait probablement enfoncé sa bite d’un coup.

De mon côté, tout en continuant de sucer vigoureusement mon petit beur, je le poussai subrepticement vers un fauteuil où il finit par arriver. Je le forçai ainsi à s’asseoir pour lui relever les jambes et ainsi lui bouffer sa belle rondelle légèrement duveteuse. Comme ses testicules pendaient beaucoup, j’en profitai pour aller et venir du trou aux burnes.

Le plan à quatre évoluait petit à petit et "d’enfile en aiguille", le quatuor se retrouva sur le canapé.

Assieds-toi pour qu’elle te grimpe !

De ma nouvelle place, j’avais un visuel intéressant sur le groupe. Il me suffisait de tourner la tête tout en léchant les couilles pour voir ce qui se passait.

Gabin s’était mis sur le canapé et maman vint se mettre dessus à califourchon en s’empalant sur sa bite. Gilles tendit le tube de gel à Baptiste et, pendant que ce dernier se lubrifiait le gland, mon frangin graissait le fion maternel qui fut bientôt obturé par la puissante queue du jeune homme. Ainsi prise en sandwich, maman avait encore la force de sucer son fils qui dirigeait les opérations.

Encule-moi ! demandai-je à Rahdan.

Il regarda le groupe qui se déchaînait et, sans doute convaincu par un grand sourire de Baptiste qui avait l’air aux anges dans le cul de ma mère, il accepta.

C’est la première fois, vas-y en douceur.

Ben moi aussi, hein ! Tu sais, je suis pas PD, crut-il nécessaire d’ajouter.

Moi non plus… mais on perd rien à essayer.

Ouais, c’est ça.

Malgré mes recommandations, il me força l’anus comme un bourrin. Si nous n’avions été que tous les deux, j’aurais laissé éclater ma douleur et lui aurais demandé de se reprendre, mais je ne voulais pas attirer trop l’attention sur moi. Je me pinçai donc les lèvres en bougeant le cul et en essayant de le repousser un peu pour qu’il me ménage.

Il me fallut un temps certain pour me faire à son étreinte, suffisamment pour que le trio se repositionne en interchangeant les rôles et pour permettre à mon père, arrivé en tapinois, de se foutre à poil et de se joindre au groupe en disant seulement : " Ça sent la chnèque ici". Trop concentrés à niquer ma mère, les gars ne l’avaient sans doute pas vu venir ni prendre quelques photos et, le voyant en train de bander comme un âne, ils ne se troublèrent pas quand ils le découvrirent à côté d’eux dans un état qui validait leur activité bien plus qu’elle ne la condamnait. Quand un type bande en vous regardant sauter sa femme, c’est rarement parce qu’il est en colère.

Du reste, papa les encouragea.

Bien montés tes potes Gillou ! Beaux morceaux !

Maman confirma. Puis se tournant vers moi, papa me dit :

Tu t’y es enfin mis.

Comme j’opinais de la tête, il s’enquit.

C’est bon au moins ?

A ce moment précis, Rahdan me déchirait à max et la douleur avait laissé place à un plaisir immense qui devait se peindre sur mon visage. Néanmoins, je levai le pouce en signe d’assentiment.

Les potes de mon frère étaient endurants, mais les meilleures choses ont une fin et d’abord pour Rahdan.

Oh putain, il est trop bon ton cul… j’vais jouir là !

Retire-toi, retire-toi ! Jute-moi dessus.

Non, dans ton cul, dans ta chatte de petite pute… OOOOOOOh…..

Et je sentis la queue expulser le sperme en moi. Sans doute un peu gêné, Rahdan se rhabilla rapidement pendant que ses comparses terminaient ma mère. Plus convaincants que moi, mon père et mon frère firent en sorte que ma mère reçoive tout en pleine face. Je me joignis aux autres en me branlant. Cinq bites se déversèrent donc sur elles en quelques minutes. La pauvre était couverte de foutre, des sourcils au bout des seins.

Elle fit un petit brin de toilette pendant lequel nous prîmes l’apéro, tous à poil sauf Rahdan, la queue pendante rouge et luisante.

Gabin, le plus à l’aise, posa plusieurs questions. Il se demandait comment mon père pouvait tolérer que ma mère se fasse prendre par les amis de son fils. Baptiste se déclara quand même un peu choqué de nous avoir vus arroser notre mère et surtout de voir mon frère se faire sucer.

Faudra que tu reviennes, répondit Gillou. J’la baiserai devant toi ! On verra si ça te fait pas bander et si tu fais toujours ton sensible…

C’est pas mes parents qui feraient ça ! reprit Gabin !

Ni les miens…

Tant pis pour vous.

Sur ces bons mots, maman revint avec un déshabillé qui ne cachait rien. La conversation reprit.

Alors frérot, ça y est, tu l’as perdu ?

Ouais !

C’était bon ?

Dur au départ, mais le pied à la fin.

Et toi Rahdan, tu l’as trouvé comment le fion de mon frère ?

Ben, ouais c’tait cool… pour essayer… mais c’est tout quoi, dit-il faussement détaché.

Maintenant, dans les vestiaires, faites gaffe messieurs, en ramassant la savonnette, à la terrible bite de Rahdan, le sodomisateur… s’esclaffa Gabin.

Putain t’es con… c’est pas parce que tu fais ça une fois que…

Ouais, enfin moi, j’ai pas envie de le faire… sauf avec ma meuf, précisa Baptiste.

Rahdan ne dit plus rien, mais je sentis sa crainte d’être pris pour un gay.

Il était temps de partir. Chacun se rhabilla et prit congé en promettant de revenir et de tenir sa langue, d’autant que Baptiste et Gabin avaient chacun une copine et qu’ils n’avaient pas l’air pressés de la tenir au courant.

Profitant d’un moment de brouhaha, Rahdan me dit tout bas:

Tu me files ton 06 ?

T’inquiète !

Nous dînâmes assez tôt et après le repas, Gillou proposa de remettre un petit coup.

T’es gentil, observa maman, mais j’ai déjà bien morflé. Il faut que je me repose. D’ailleurs, je dois aussi aller nourrir le chien de la mère pétard.

Comme il exprimait sa déception, maman dit en riant:

Vois avec ton frère, maintenant qu’il est complètement bi !

L’idée ne me parut pas mauvaise. J’avais bien aimé ma première sodomie et, malgré un ressenti encore douloureux, j’avais bien envie de m’entraîner à nouveau.

Je baissai mon survêt, me mit à quatre pattes sur le canapé et tendit mon cul.

Gilles hésita, le temps nécessaire à fourrer sa main dans son slip, puis il s’approcha, écarta mes fesses de ses mains puissantes et cracha dans la raie.

Après tout, pourquoi pas… t’as quand même un beau trou… et un trou, c’est un trou… Y a pas de raison, ça doit être aussi doux qu’une femme…

Il bandait déjà et colla sa queue sur ma rondelle.

A suivre.

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