Lorraine est une très jolie jeune fille d’une petite vingtaine d’année. Ses cheveux d’un beau châtain foncé se marient parfaitement bien avec ses yeux noisette rieurs. Ils sont légèrement en amande et sont souvent derrière des lunettes qui lui donnent un petit soupçon de sérieux. Son sourire est large et communicatif. Son corps très bien proportionné pour sa taille, juste assez grande pour qu’elle puisse poser sa tête sous le coup des garçons qui la convoitent. Elle est toujours très bien habillée, de façon assez classique mais avec ce brin d’originalité qui ne laisse pas indifférent.
Lorraine aime se sentir belle même si personne n’en profite. Alors elle taille toujours soigneusement la petite touffe de poils qu’elle garde au dessus de son sexe. Elle porte en permanence de la belle lingerie avec une préférence pour les shortys qui, selon elle, mettent bien en valeur ses belles fesses rebondies.
Phil est d’origine américaine. Ce grand brun au regard d’acier a tout juste vingt ans. Son visage s’illumine régulièrement d’un sourire rieur. Sa barbe, peu épaisse, est toujours bien entretenue, ne lui laissant qu’une fine moustache et un bouc soigneux. Il sculpte depuis des années un corps musclé mais pas à l’excès. Il a les mains douces mais assez trapues. Ses vêtements sont toujours très bien choisis. Une sorte de classe émane de lui. Il fait très attention à son apparence sans pour autant en devenir narcissique. Il a eu de nombreuses prétendantes mais aucune n’a semblé trouver grâce à ces yeux.
Ce soir là, l’amicale des élèves de l’école de Lorraine avait organisé sa soirée mensuelle. Phil et ses copains étaient présents et regardaient autour d’eux pour découvrir de nouveau visages. Quand le regard de Phil croisa celui de Lorraine, il tomba instantanément sous le charme. Devant l’évidence de son attirance pour elle, il céda à son envie et s’approcha d’elle.
« Salut jolie jeune fille…
— Salut… mais ce n’est pas terrible comme entrée en matière…
— Je suis désolé mais je ne suis pas vraiment un adepte de le drague en soirée alors…
— Donc tu me dragues. C’est bon à savoir.
— Je suis nul… Désolé…
— Arrête de t’excuser… Je suis Lorraine…
— Phil.
— Tu as un petit accent. Tu n’es pas d’ici.
— Boston, aux États-Unis. »
Quelques minutes plus tard, les sourires échangés ne laissaient plus aucun doute sur la conclusion de cette soirée. Un baiser échangé et la fin attendue de celle-ci se révéla. Phil et Lorraine formaient un couple magnifique. Ils s’aimaient de tout leur cur et de toute leur âme.
Et pour le sexe, les deux jeunes s’entendaient à merveille. Lorraine n’étaient pas avare de caresses buccales. Elle aimait prendre en bouche son homme et le faire grossir dans sa gorge en jouant de ses lèvres et de sa langue. Elle aimait le goût de la verge de Phil. Il adorait ses fellations que Lorraine faisait si bien. Lui aussi aimait le goût de sa petite amie. Alors, régulièrement, il la dégustait passant sa langue le long des lèvres charnues et humides de désir de Lorraine. Les souffles et les gémissements que l’un comme l’autre émettaient quand ils étaient caressés de la sorte témoignaient du plaisir qu’ils prenaient.
Ils faisaient l’amour souvent. Aucune position ne leur était inconnue et aucune pièce des appartements de Lorraine ou Phil n’avait été oubliée lors de leurs ébats. Phil adorait prendre sa petite amie en levrette car il pouvait observer avec envie ses belles fesses douces. Lorraine aimait particulièrement quand Phil la pénétrait alors qu’il était derrière elle. Ainsi les épaisses mains de Phil pouvaient parcourir tout son corps.
Et Phil a aussi été un professeur attentif et attentionné. Il a été le premier à avoir le droit d’entrer entre les fesses de Lorraine. Pour cette première, il l’a longuement préparée. Il l’a humidifiée avec beaucoup de salive. Il l’a tout d’abord pénétrée avec un doigt puis un deuxième. Quand Lorraine fut assez détendue et ouverte, il s’enfonça en elle doucement. Elle a alors découvert, centimètre par centimètre que son anus pouvait être source de plaisir. Un orgasme puissant vint même conclure cette première.
Après quelques mois de cette vie, Phil apprit que Roy, un de ses meilleurs amis américains arrivait lui aussi pour faire ses études en France, dans la même ville.
« C’est l’occasion. Pourquoi ne pas emménager ensemble ?
— Tu veux dire tous les deux ? Demanda Lorraine
— Et avec Roy. C’est mon meilleur pote. On aura une maison plus grande…
— Le plus important c’est qu’on soit ensemble.
— Je lui propose l’idée. Je suis sûr qu’il sera d’accord. »
Ainsi, quelques semaines plus tard, le jeune couple avait trouvé l’appartement idéal. Il était traversant avec deux pièces à vivre, l’une d’elle donnait sur une cuisine américaine, une grande salle de bain et deux chambres en face l’une de l’autre au bout d’un couloir. Quand Roy découvrit cet appartement, il fut ravi.
Roy est un grand blond aux cheveux mi-longs et aux yeux d’un bleu foncé très profond. Son visage est plus anguleux que celui de Phil mais il n’en est pas moins bel homme. Ses mains sont tout aussi épaisses mais un peu plus burinées. Il est, lui aussi, assez musculeux sans en être gonflé. Il est toujours très bien vêtu et est très attentif à l’image qu’il donne.
Ainsi, Lorraine vivait avec le très bel homme dont elle était amoureuse et un autre très bel homme, l’ami de son petit ami. Cette belle histoire d’amitié semblait être bien partie. Mais, le premier soir où les trois jeunes gens se retrouvèrent sur le canapé, leur histoire prit une nouvelle tournure.
Lorraine était entre les deux hommes, dans les bras de Phil. Comme à leur habitude, ils s’embrassaient et se câlinaient tendrement. Une douce chaleur montait lentement dans le ventre de Lorraine. Elle aime conclure leurs embrassades dans leur lit. C’est alors qu’une main qu’une main ne connaissait pas vint se poser sur son genou. Étonnée, elle se retourna d’un coup sec pour s’apercevoir que Roy s’était permis cette caresse. Phil attrapa alors le visage de Lorraine et le redirigea vers lui.
« Roy et moi sommes de très bon ami. On partage tout, dit-il en insistant sur le mot tout.
— Tout ? Questionna Lorraine surprise de proposition à peine voilée
— Oui. Mais c’est toi qui choisis. »
Alors qu’elle sentait la main de Roy sur son genou et les lèvres de Phil sur sa bouche, son esprit était fixé sur cette demande. Deux hommes pour elle, elle n’y avait même jamais songé. Être partagée par son homme ne faisait pas partie de ses fantasmes ni de ses envies…
« Après tout, pourquoi pas… »
Cette réponse, elle ne la prononça pas mais elle lui apparut comme une évidence. Elle écarta alors les cuisses comme pour donner le droit à Roy d’aller plus loin. S’en apercevant, Phil embrassa Lorraine de plus belle et lui dit un « je t’aime » lourd de sens en cette situation. Il commença à lui caresser la poitrine à travers son chemisier et son soutien-gorge pendant que la main de Roy remontait doucement le long de la cuisse nue de Lorraine. Quelques secondes plus tard, son chemisier était ouvert et la main de Roy titillait le bord du shorty de Lorraine à quelques millimètres de son sexe devenu brulant et humide.
Roy s’agenouilla alors entre les cuisses de Lorraine et agrippa l’élastique de son shorty. Celle-ci souleva son bassin pour le laisser retirer ce vêtement devenu inutile. Il la fit avancer un petit peu de façon à se que ses fesses nues sous sa jupe se posent au bord du canapé. Il avança sa bouche entre les cuisses de la jeune fille puis la posa sur son sexe tendrement. Il commença à lécher cette fente mouillée de désir et à suçoter le clitoris gonflé d’envie. Alors que Lorraine commençait à gémir de plaisir, Phil se redressa et se mit debout à ses côtés. Elle défit la braguette de son pantalon et fit sortir la verge déjà bien bandée de son homme. Elle enfourna cette belle verge épaisse et goûteuse dans sa bouche et entama une fellation dont elle a le secret. De ses mains, elle caressait les boules poilues et masturbait se sexe maintes fois reçu en elle. Elle accompagnait parfois le mouvement avec ses lèvres chaudes. Elle tétait le gland violacé de son amoureux ou y enroulait sa langue avide de son goût et sa douceur. Lorraine avait l’habitude de donner du plaisir en en recevant. Phil et elle pratiquait souvent le 69, les deux adorant le sexe buccal mais jamais ce fut avec deux hommes différents.
« Et si on allait dans ma chambre ? On sera mieux, proposa-t-il.
— Avec plaisir, répondit Phil. »
Roy se releva alors et prit la main de Lorraine. Il la fit se lever l’arrachant au goût de la verge de Phil qu’elle aimait tant. Le chemisier ouvert sur son soutien-gorge en dentelle et les fesses nues sur sa jupe, Lorraine suivit Roy jusque dans la chambre. Roy assit Lorraine sur le lit et se plaça devant elle. Lorraine n’osa rien faire, un peu déboussolée par l’absence de Phil à ses côtés. Mais cette inquiétude fut de courte durée car Phil finit par les rejoindre. Lorraine fit alors descendre le pantalon et le caleçon de Roy libérant sa verge. Elle le prit en bouche comme elle l’avait fait quelques minutes plus tôt avec celle de Phil. Ce dernier, derrière elle, lui retira son chemisier et son soutien-gorge dévoilant sa poitrine douce aux tétons durcis par l’envie. Pendant que Lorraine suçait la verge de Roy, Phil caressait la poitrine de sa petite amie. Il vint ensuite se mettre devant Lorraine et lui présenta sa verge. Lorraine put alors comparer les deux membres. Celui de Phil était plus long et plus veiné et celui de Roy était légèrement plus épais. Il ne manquait plus qu’à en comparer le goût. Elle prit alors en bouche une verge puis l’autre. Elle alternait les fellations à l’un puis l’autre des deux garçons, se délectant de ses deux amants.
« J’ai envie de te prendre. »
Accompagnant ses mots, Phil s’allongea sur le lit et attira vers lui Lorraine qui s’assit sur lui, introduisant la verge de son petit ami en elle. Elle se mit à onduler sur Phil en gémissant de plaisir. A leur côté, Roy maintenait son érection tout en caressant la poitrine de Lorraine. Le plaisir que prenait Lorraine était palpable. Ses tétons étaient durcis et ses lèvres laissaient échapper de petits cris au milieu de ses gémissements. Elle ondulait, sentant la verge de Phil aller et venir au fond d’elle. Son clitoris se perdrait à chaque mouvement dans la toison de son petit ami, l’électrisant à chaque fois. Elle sentait les mains épaisses de Roy sur ses seins et surtout sur ses tétons qu’il caressait avec savoir-faire. Il accompagnait cette caresse de baisers sur sa nuque ou sur les lobes de ses oreilles comme elle aime tant. Toutes ses sources de plaisir étaient pour elle, pour elle seule. Ses deux amants guettaient ses réactions pour lui donner le plus de plaisir possible sans pour autant la faire jouir tout de suite. Ils voulaient tous les trois prolonger cet immense moment de plaisir.
« A moi, lança Roy
— Oui. Elle est trop bonne, elle va me faire venir, répondit Phil. Mais je veux garder sa bouche. »
Roy releva les fesses de Lorraine, faisant sortir le sexe de Phil d’elle. La mettant à quatre pattes, il l’attira vers lui. Phil se redressa un peu. Lorsqu’elle fut en place, Lorraine reprit en bouche la verge luisante de son petit ami. Pendant se temps, Roy se prépara à entrer dans le sexe déjà bien humidifié par la pénétration de Phil. Il s’introduisit en elle sans aucune difficulté pendant que Lorraine suçait avec envie le sexe de Phil. Roy agrippa les hanches de Lorraine et commença à la besogner avec vigueur. Elle avait du mal à garder Phil en bouche mais s’en délectait tout de même autant que possible. Ce repos était salvateur pour Phil qui aurait joui trop vite si elle avait pu le sucer à sa guise.
Roy finit par sortir de Lorraine et vint s’installer à côté de son copain. Lorraine se mit à lécher ce deuxième sexe couvert de son plaisir. Les deux hommes se laissèrent faire quelques instants puis Roy demanda à Lorraine de venir sur lui. Elle s’exécuta et prit le sexe de Roy de nouveau en elle. Phil se leva tandis que sa petite amie ondulait sur le sexe de Roy. Il passa derrière le couple puis Lorraine sentit un doigt de Phil le long de la raie de ses fesses.
« J’adore ton cul ma chérie. Je vais le prendre tout de suite.
— Mais avec Roy, gémit Lorraine
— Ne tinquiète pas. »
Lorraine sentit alors le doigt lubrifié par son propre plaisir entrer entre ses fesses. Il lui détendit l’anus doucement avant d’être rejoint par un second pour l’ouvrir un peu plus. Pendant ce temps, Roy continuait à prendre Lorraine qui ondulait de plus belle. Elle était grisée par le plaisir que lui donnaient les doigts de Phil en elle. Les doigts la quittèrent et elle sentit alors le gland de Phil contre son petit trou. Il poussa alors très fort et entra en elle. Il s’enfonça doucement entre les fesses de Lorraine. Pour la première fois, elle recevait deux hommes en elle et le plaisir qu’elle ressentait était immense. Lorsque Phil fut bien au fond, les deux hommes commencèrent à bouger de concert en elle. Quelques secondes plus tard, elle fut submergée par une vague de plaisir. Elle jouit comme elle n’avait jamais joui, poussant des cris et des gémissements profonds. Elle ressentait toutes les vibrations de son sexe et de son anus comblés par les deux verges qui lui semblaient de plus en plus grosses. Elle finit par s’écrouler sur Roy.
Quand Lorraine revint à elle, les deux hommes étaient toujours en elle. Les deux sexes étaient toujours bandés.
« Ca va mieux ? On peut continuer ? »
Phil avait à peine murmuré ses mots. Lorraine compris tout de suite que les deux hommes en voulaient encore. Ils se mirent de nouveau à bouger en cadence en elle. Lorraine recommença très vite à ressentir du plaisir. Les deux hommes prenaient eux aussi un plaisir immense. Le fait de se sentir l’un et l’autre au travers de la fine séparation entre le sexe et l’anus de Lorraine ne semblait absolument pas les gêner. Même si Lorraine pensait qu’ils avaient déjà partagé une femme, il n’en était rien. Ce mensonge avait permis aux deux hommes de réaliser ce fantasme que seule une femme conquise pouvait leur accorder de bonne grâce. Les trois amants se perdaient dans une symphonie de gémissements. Les hommes se disputaient amicalement le droit de caresser les seins de Lorraine. Sa bouche, elle, était acquise pour les baisers à Phil, l’homme qu’elle aimait. Prise ainsi de chaque côté, Lorraine ne put retenir longtemps son plaisir et un second orgasme l’emporta.
Les deux hommes laissèrent alors Lorraine rouler sur le lit, exténuée par ce deuxième orgasme. Elle s’allongea sur le dos pour reprendre ses esprits.
« A nous maintenant… »
Quand elle ouvrit à nouveau les yeux, elle vit Phil et Roy leur verge tendue à la main attendant leur tour. Phil s’approcha de la bouche de Lorraine et s’enfonça en elle. Lorraine se mit à sucer ce sexe qui venait de lui prendre l’anus avec tout ce qui lui restait de force. Roy guida la main de Lorraine vers son sexe et lui fit sentir qu’il souhaitait qu’elle le masturbe. Très vite, Phil et Roy reprirent la main et se branlèrent l’un au dessus du visage de Lorraine, l’autre au dessus de sa poitrine.
« Ouvre la bouche ! »
Phil voulait jouir au fond de celle-ci et Lorraine ne lui refusa pas ce plaisir. Elle ouvrit la bouche et y prit le gland pendant que Phil continuait ses va-et-vient le long de sa verge. Subitement, la liqueur de Phil inonda la bouche de sa petite amie. Elle qui aimait tant le sperme de son homme pouvait une nouvelle fois s’en délecter. Au même moment, elle sentit le liquide chaud de Roy lui couvrir la poitrine. De longues giclées lui maculèrent le ventre, les seins jusque sur le cou.
Quand les deux hommes furent vidés, Phil proposa une petite douche à Lorraine. Sous l’eau chaude, elle repensait tendrement aux plaisirs pris avec ses deux amants. Au sortir de la salle de bain, Phil l’attendait pour l’inviter à venir se mettre au lit dans leur chambre. Celle de Roy était déjà fermée. En se couchant, l’esprit de Lorraine se réveilla soudain.
« Et demain ? Que va-t-il se passer demain matin ? »
