Ma maison est de l’autre côté du mur de celle de Xavier, aussi, il nous faut moins d’une minute pour entrer dans mon enceinte et pousser la porte d’entrée de ma maison.

Je lui tiens toujours la main quand nous entrons dans mon domaine et je me dirige tout de suite vers le salon où je lui indique le canapé de cuir confortable.

Assieds-toi, je t’en prie ; je prépare à boire.

Mon bar, digne d’un vrai établissement, diffuse un éclairage discret dans la pièce ; cette ambiance feutrée, propice au rapport intime, contraste agréablement avec le cirque qui dégénérait chez Xavier et Francette.

Sans poser la question à Emilie, je prends une bouteille d’un excellent champagne au réfrigérateur, je fais péter le bouchon et lui sers une flûte bien pleine sur le bar tout en me servant un bourbon made in chez moi : un "Buffalo Trace" sorti du congélateur…"une vraie boisson d’homme."

Je lui présente sa coupe :

Merci, c’est plus calme ici, je commençais à flipper de les voir picoler et se jeter à l’eau.

Comme tu dis, nous sommes plus au calme loin de la piscine et de la partouze qui s’annonce…

La partouze ? Et de devenir un peu rose à nouveau malgré son teint bronzé.

Tu n’as jamais assisté, car tu viens d’arriver, mais de ma chambre, je vois quand ça chauffe ; n’étant pas vraiment fan de ce type d’activité, je préfère rester à l’écart seul ou en charmante compagnie comme avec toi !

Elle plonge ses lèvres dans sa flûte pour me dissimuler son embarras… je la sens détendue néanmoins et regarde son corps gracile que j’ai vu nu, mais qui est plutôt magnifique dans son ensemble de qualité. Tailleur de marque dont elle ôte la veste, ce qui me permet d’admirer sa fine poitrine au travers du chemisier. Elle est très mince, et en conséquence, tout lui va bien avec élégance.

Tu as 26 ans, donc tu n’es pas surprise, quand même, par ce type d’activités…

Disons que je n’ai jamais participé à de tels débordements ni eu très envie, donc je ne m’attendais pas à cela…

Ceci dit, ils sont bien élevés, et tu n’aurais jamais été forcée, tu sais ; moi-même, jamais je ne forcerais quiconque à avoir un rapport imposé bien évidemment.

Je m’assieds à ses côtés et bois une lampée de mon alcool favori, tout en la regardant intensément ; je suis attiré par cette belle personne un peu énigmatique.

Tu veux voir mon book, lui dis-je en caressant ses doux cheveux blonds soyeux.

Ton book ?

Sur mes chevaux bien sûr.

Avec plaisir.

Sur la table basse, je prends un livre photo épais que j’ai fait réaliser par un ami photographe et sur lequel figurent sur deux cents pages les amours de ma vie, mes chevaux, et sur chaque photo pleine page, un cheval en compagnie d’une femme qui le chevauche ou à ses côtés. C’est l’idée de l’ami qui a réalisé le book.

Toutes ces bêtes sont magnifiques… et ces femmes sont des conquêtes ?

On va dire certaines ; je ne suis pas un vantard à ce point ; beaucoup d’amies, voire d’épouses d’amis, mais peu, c’est vrai, souvent des femmes que j’ai aimées ou aime encore. En bref, les chemisiers blancs sont des amies les chemisiers rouges des amantes…

Elle tourne les pages et me fait remarquer qu’il y a beaucoup de chemisiers rouges…

Je passe mon bras gauche autour de ses épaules pour mieux lui expliquer quelques photos ; je la sens se détendre ; l’alcool aidant sans doute, je rapproche mon visage du sien et lui glisse un baiser dans le cou, derrière l’oreille, avec douceur là où je sais que se situe un point sensible chez beaucoup de femmes.

Elle tourne la tête et m’embrasse si fougueusement que je renverse presque mon bourbon…

Pardon, me dit-elle, un peu gênée.

Je ris tant sa gêne est amusante !

T’inquiète, je veux bien tout renverser si tu m’embrasses toujours ainsi ; et je reviens vers sa bouche en posant ma main sur son sein droit doucement avec tendresse. Je sens le bout de ses seins se durcir dès le contact, ce qui est un signe de plaisir incontestable.

Je vais te paraître idiote, mais tu sais, j’ai peu d’expérience avec les hommes.

Pourtant tu as une sacrée prestance, je t’aperçois au loin assez sûre de toi, surtout au téléphone, dis-je en plaisantant. Tu dois rendre les mecs fous d’amour ?

L’école des cadres fait de nous des furies de communication, mais ça ne change pas toujours notre caractère intime et je ne suis pas trop coureuse d’aventures ; surtout quand je vois le nombre de tes chevaux et des "cavalières en rouge", me lance-t-elle, le regard luisant…

Je suis bien plus âgé que toi, c’est normal, j’ai pris de l’avance…

Et je lui masse doucement les seins puis descends vers ses genoux, les caressant doucement ; sa peau si douce commence à me donner de la chaleur dans le bas-ventre.

Tu me fais de l’effet que je lui chuchote et je pose sa main sur la bosse de mon pantalon en l’embrassant pour qu’elle n’ait pas à répondre.

Elle réagit bien puisqu’elle me masse le sexe doucement avec ses doigts fins et tièdes.

M’enhardissant, je glisse ma main plus haut sur ses cuisses, en la couchant sur le dossier du canapé ; elle écarte alors ses cuisses tièdes pour me faciliter le passage. Je sens monter en moi le sentiment d’un mâle conforté de son charme…

Ma main atteint son sexe brûlant au travers de sa culotte et je sens l’humidité qui indique qu’elle prend plaisir à ma caresse ; elle gémit doucement et se laisse aller à m’embrasser plus intensément en massant mon sexe à un tel point que je doive me dégrafer si elle continue ainsi…

Tu sais, j’ai une chambre bien plus confortable pour ça.

Je veux bien, mais j’aimerais passer au cabinet de toilette ; j’aime l’hygiène qu’elle me rétorque à ma grande satisfaction.

Je suis bien en accord avec toi ; va là-haut ; face à l’escalier, une salle de bain donne sur ma chambre, tu trouveras un peignoir dans le placard, je vais aller dans celle du bas, je te rejoins.

Cet instant d’interruption d’un élan passionnel est parfois difficile avec certaines femmes, mais pour moi, c’est le test de savoir si quelqu’une est sur la même longueur d’onde concernant les règles basiques de l’hygiène post relation amoureuse… La sensation est identique au moment de l’enfilage du préservatif, cet instant "gênant" qui interrompt la fougue.

Elle monte à l’étage et je la laisse vaquer pendant que je passe rapidement sous la douche enfilant un peignoir avant de rejoindre ma chambre, la bouteille de champagne dans le seau et sa coupe à la main.

Mon érection n’est que légèrement retombée lorsque je rentre dans ma chambre ; elle y est déjà glissée dans un peignoir à sa taille qu’elle porte avec une élégance naturelle vu sa taille mannequin. Elle regarde un tableau au mur.

Tu aimes ce tableau, dis-je en la prenant par les épaules et regardant ce paysage du Yellow Stone qui m’est si familier… c’est une vue de mon ranch.

Magnifique, on dirait la scène d’un Western.

Le Wyoming est un pays de cow-boys… chevaux, rodéo, revolvers, et aussi de grands espaces de liberté avec des bisons et des loups… et je la serre dans mes bras sentant son fessier frémir au contact de la bosse de mon sexe qui a retrouvé une dureté naturelle au contact de cette superbe créature. Je serre ses hanches étroites dans mes mains et frotte mon érection qu’elle sent bien au travers des cotonnades de nos peignoirs.

Elle se retourne et reprend ma bouche avidement, je la domine de quelques centimètres, car elle doit mesurer plus d’un mètre soixante-dix ; son peignoir chute au sol, me laissant admirer un corps que j’ai déjà vu de loin, mais qui, de près, me fait comprendre quelle magnifique créature elle est ; distinguée et fougueusement sexy, sont les adjectifs qui me viennent à l’esprit alors que je laisse également tomber mon peignoir la laissant voir mon érection rendant hommage à sa beauté.

Je n’ai jamais vu de tels abdominaux chez un homme ni une si grosse… elle s’interrompt dans sa phrase me serrant le sexe entre ses mains pour effectuer une douce masturbation qui m’embrase le bas-ventre.

Je la dirige vers le lit en la poussant légèrement afin qu’elle tombe sur le dos, ce qui me permet d’entamer une série de baisers sur son cou, ses seins, et descendant vers son ventre et son sexe lentement pour une caresse dont elle comprend la signification en poussant un gémissement, s’ouvrant à ma bouche, écartant bien les cuisses, me laissant voir cette vulve si convoitée.

L’odeur enivrante de son vagin provoque en moi une poussée d’hormone, elle est totalement épilée, et la vue de ce sexe ouvert à mes désirs me donne envie de la pénétrer tout de suite, je saisis un préservatif que j’enfile prestement et me couche sur elle.

Elle n’attend que cela, et s’ouvre totalement à moi. Je vois son regard légèrement inquiet alors que je positionne mon membre bien dur sur son entrée vaginale déjà bien lubrifiée de cyprine et de salive.

Tu es énorme, me dit-elle, en s’ouvrant encore plus, écartant ses lèvres vaginales avec deux doigts.

Je serais doux, je sais que j’ai un sexe assez conséquent et j’en tiens compte.

Je la rassure poussant très doucement mon énorme sexe dans le conduit de son intimité bouillante d’envie. Je la sens très volontaire à cette pénétration que je pousse avec précaution afin de ne pas lui faire mal, mais plutôt du bien.

Son vagin se dilate lentement et elle se crispe légèrement lorsque j’atteins le fond de son ventre et commence alors à gémir tandis que je commence un doux mouvement de va-et-vient dans ce conduit d’amour et de jouissance que la nature a su donner aux femmes.

Je déteste les préservatifs qui limitent les sensations, mais lorsqu’on ne se connaît pas encore bien, il faut dorénavant en passer par là… quelle chance d’avoir connu un avant !

Néanmoins, je sens bien qu’elle prend vraiment son pied à ma pénétration ; ses gémissements s’accélèrent au gré de ma cadence qui devient forte et un peu plus virile ; elle m’encourage en criant : "oui, oui" à mes coups de reins, et elle appuie fortement, me tenant aux hanches dans un mouvement de possession de sa part comme si elle me voulait tout entier en elle.

La jouissance s’empare d’elle brutalement et je continue à la pilonner quand je sens qu’elle va avoir un deuxième orgasme… ce qui se passe dans une apothéose de cris et de gémissements de plaisir.

Alors seulement, je me relâche dans une longue série de jet de sperme dont elle ne peut profiter avec le préservatif, mais dont la dilatation saccadée de mon sexe se ressent jusque dans son corps.

Elle doit ressentir ma frustration, car après que je me suis retiré et ôté la protection discrètement, elle me glisse à l’oreille :

"Je préfère aussi sans préservatif, mais je n’ai rien prémédité, et je te fournirai si tu le souhaites un test nég. Surtout si l’on doit recommencer ce dont je ne serais pas contre…

J’ai aussi cela tu sais, je n’ai pas eu de relation depuis mon dernier test il y a un mois, je dois en faire un très vite…

Je comprends mieux ta virilité, rit-elle, très détendue.

Je l’embrasse à nouveau en caressant ses petits seins de sirènes, la sentant très détendue et sans pudeur excessive à se couvrir après l’amour, comme cela arrive parfois avec certaines de mes partenaires.

J’ai beaucoup aimé, tu sais, je ne me rappelle pas avoir déjà eu autant de plaisir avec un homme et avec une telle intensité. Ton corps et incroyablement fort et musclé, j’en suis assez surprise, quant à ton sexe, j’ai eu très peur au début…

Ma mère, très sportive, m’a entraîné avec elle dès l’âge de dix ans dans les salles de musculation et les parcours de course en extérieur, et j’ai jamais cessé depuis.

Si tu as aimé, tu m’en vois ravi, et moi aussi je me suis bien senti avec toi ; et devrais-je dire " en toi": tu es une fille superbe et très réactive.

J’aime les femmes qui prennent du plaisir, je pense que nous devrions vraiment mieux nous connaître à l’avenir si tu le souhaites bien sûr et j’y penserai dorénavant en regardant la mer de ma fenêtre ; au fait, tu veux voir ce qui se passe chez les voisins ?

Et je l’entraîne nue comme moi à mon bureau voisin d’où l’on voit l’orgie qui se déroule chez Xavier.

Ils ont l’air de bien s’éclater, mais je me sens mieux ici avec toi que je lui susurre.

Je ne regrette pas du tout de t’avoir suivi, me sourit-elle, me prenant par la main pour me tirer vers le lit.

Je fais un saut vers la salle de bain où je procède à un léger rinçage rapide de ma queue encore un peu gluante de sperme resté, lorsque j’ai ôté le préservatif et la rejoins au bord du lit sur lequel nous nous recouchons et je vois son regard qui devient lubrique dirigé sur ma queue qui recommence à durcir sérieusement. J’ai encore envie, me dit-elle tout bas.

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