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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. – Chapitre 1




Eric, seul, divorcé, 62 ans.

J’avais une grande sur, malheureusement décédée il y a quatre ans, et qui vivait à Paris en compagnie de Christian, son mari. Elle me recevait tous les ans, durant huit jours, sachant que j’adorais visiter la capitale. Elle est aujourd’hui partie, mais on s’entend super bien avec mon beauf, comme des frères, et il continue à me recevoir.

On est à la retraite tous les deux, lui depuis quelques années du haut de ses 68 ans, et on a les journées entièrement libres. Il y a à peine deux jours que j’ai débarqué, et on repart visiter, de bonne heure, à la fraîche.

On marche dans une rue, lorsqu’une jeune et jolie blonde arrive en sens inverse. Je lui jette un regard insistant dont elle se fout complet, et on se croise sans même qu’elle ne nous ait vus, fière de sa jeunesse, imbue et suffisante de sa beauté provocante.

Je stoppe et propose à Christian que l’on la suive. Il ne comprend pas pourquoi, mais accepte tandis que je lui explique:

C’est un chaud mon beauf, un queutard, et depuis que ma sur n’est plus là il rattrape le temps perdu. On a déjà eu l’occasion de faire des parties ensemble, et je n’ai aucun scrupule à tout lui avouer. Il sait maintenant que j’écris des histoires érotiques, pour le moins, sur des sites spécialisés, mais aussi que j’adore lire les récits des autres auteurs, et surtout auteures. Il sait aussi que grâce à cela je correspond avec une jeune femelle, qui m’a envoyé des photos d’elle sans même que je ne lui en demande, et que je suis persuadé que c’est elle que l’on suit, même si ça semble invraisemblable.

Elle entre dans une station métro, et on la suit toujours. Elle a trouvé une place assise, et on est debout, à deux mètres d’elle. Je pianote sur mon iphone, et montre ses photos à mon beauf: aucun doute c’est elle, son même joli petit visage un peu triste, ses mêmes bijoux.

D’après sa présentation sur internet, elle travaille dans l’esthétique, et il nous tarde de savoir où elle va. Sortie du métro, elle file devant nous, sans s’être aperçue de notre présence, et on la voit entrer dans un salon de soins et beauté. BINGO, c’est bien elle, cette petite salope.

Je raconte alors à mon beauf la teneur de ses récits, sa passion immodérée pour les grosses bites de blacks, les bites d’animaux, la sodomie à outrance. Je lui dit qu’il faut trouver un moyen de se la faire, pourquoi pas de la voir se faire mettre par un étalon, et on va cogiter là-dessus.

On passe la journée à s’imaginer un plan, à le fignoler avec la participation d’un pote à lui, et on va l’exécuter dès le lendemain.

On est devant le salon, on observe discrètement, on se rend compte du fonctionnement; il n’y a pas de caissière ou réceptionniste, chacune d’elles fait payer sa cliente, et c’est celle qui est libre ou la plus près qui décroche le téléphone en cas d’appel.

Notre belle jeune femme en a fini avec une cliente, et elle est au comptoir. Je suis en retrait, compose le numéro figurant sur la vitrine, et mon beauf me fait deux signes: un pour me dire que la cliente a terminé et que je peux appeler, un deuxième pour me confirmer que c’est bien elle qui va répondre:

— Beauté…, j’écoute.

— Salut Vanessa, c’est un de tes fans sur xstory.

— Excusez moi, mais vous devez faire erreur.

— Ne raccroche pas salope. Fais comme si tu ne m’entendais pas, interromps moi, ta patronne ne pourra rien comprendre.

— Désolée, mais je vous entends très mal.

— Ok, c’est bien, continue comme ça. Maintenant tu vas bien m’écouter et faire ce que je vais te dire.

— Parlez plus fort s’il vous plait, je ne comprends rien.

— Je suis de passage à Paris, j’ai eu la chance incroyable de te voir hier matin, et je ne pense plus qu’à toi et à tes jolis orifices affamés de grosses bites de vieux.

— Excusez moi, mais il y a un problème. Vous pouvez peut-être essayer de rappeler.

— Je suis avec mon beauf, et on aimerais bien passer un moment avec toi.

— Je vais devoir raccrocher madame, ce n’est plus possible.

— Je t’attends demain, au métro à côté du salon. Si tu veux réaliser tes fantasmes, viens à vingt-et une heures précises.

— Ah, ça va mieux, on va pouvoir reprendre.

— Une autre précision; je te veux en mini robe sans rien dessous.

— Entendu madame, c’est noté. Au revoir et à demain.

— A demain salope, on compte sur toi.

On est au lieu de rendez-vous avec Christian, un peu à l’avance, et on la voit arriver pile à l’heure, dans une ravissante mini robe comme souhaité. On va à sa rencontre:

— Bonsoir Vanessa, je suis ERIC64, comme je te l’ai dit je suis un fou de toi, et voilà mon beau-frère.

— Bonsoir, vous espérez quoi de moi?

— Ne t’inquiètes pas, on ne veut que te faire du bien, beaucoup de bien. Mais pour commencer on va bouger d’ici; viens, suis nous.

— Et si je refuse?

— On ne va pas t’emmener de force, mais ce serait dommage pour tout le monde. On est vicieux comme tu aimes, et ce serait con que tu te passes de nos belles queues.

— Ok, puisque je suis venue, autant voir la suite.

On tombe d’accord, et elle nous suit bien sagement. On monte dans le métro, on choisit une porte peu encombrée, et on la pousse contre la paroi opposée pour venir se coller à elle. Je me frotte sur son derrière bien en chair tandis que mon beauf se frotte sur sa hanche:

— Hum, tu sens comme tu me fais bander? J’aimerais te la planter dans le cul.

— Vous êtes fou, pas ici, il y a trop de monde.

— Tu as raison, mais rassure toi, tu ne perds rien pour attendre. Et toi, tu mouilles, laisse moi voir.

Je glisse ma main sous sa robe, sur son ventre, son bas ventre, sa vulve à l’air libre, parfaitement rasée, huilée à merveille. Je m’adresse à mon beauf:

— Fouille la cette pute, elle ne demande que ça, et moi je vais lui fouiller le cul.

Il glisse lui aussi sa main sous sa jupe, par devant, et commence son auscultation, tandis que je tâte sa rondelle avant d’introduire mon doigt d’honneur. Christian n’en revient pas:

— Oh putain, elle dégouline ta salope!

— Oui, et ce n’est qu’un début. Si elle est aussi chaude qu’elle veut le laisser croire, on n’en a pas fini de la faire jouir.

On la fouille sans ménagement et elle se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.

On essaie d’être discret, sans y parvenir, et on est rejoint par trois jeunes qui ont compris qu’ils avaient à faire à une belle putain de salope qui cherche le grand frisson. Ils nous poussent pour se faire leur place, et un d’eux s’adresse directement à elle:

— Tu permets que l’on joue nous aussi. Ca ne va pas être suffisant ces deux vieux pour toi, et puis ce n’est pas de doigts dont tu as besoin, mais de queues, de bonnes queues. Regarde la mienne comme elle est belle!

Elle jette un coup d’il, nous aussi, et je suis surpris par son audace: il a déballé son engin bien érigé, une grosse et large bite d’au moins vingt centimètres. Il se glisse derrière elle, et je me recule pour lui laisser la place. Il relève sa robe sur ses reins, la coince dans la ceinture, et elle se retrouve le cul à l’air. Il se plaque contre elle, pour qu’elle sente bien sa raideur dans son dos, et lui adresse à nouveau quelques mots:

— Ecarte tes fesses, que je t’encule.

Elle s’exécute immédiatement, trop heureuse de cette invitation. Il l’embroche d’un seul coup, elle ouvre la gueule, son visage est crispé, mais aucun son ne sort. Elle sait qu’elle doit se taire et subir.

Les deux autres jeunes, tout juste vingt ans, ont sorti leur sexe et ont pris chacun une de ses mains pour se faire branler. Ils s’adressent à leur copain, lui disant de se dépêcher, que l’heure tourne, et qu’ils veulent leur part. Celui-ci accélère la cadence, la défonce de toute l’ardeur de sa jeunesse, et le visage crispé de notre femelle est maintenant serein, soulagé, ravi de cette brutale pénétration. Il se retire, lui fait faire demi tour, et appuie sur ses épaules. Elle se retrouve accroupie, face à un énorme gland appétissant, rouge de désir, gonflé de plaisir. Elle a juste le temps de le gober, qu’il éjacule:

— Avale, avale salope, avale tout. Bois, bouffe, prends tout, je veux que tu me montres ta bouche et qu’il ne reste rien.

Il se dégage, elle exhibe sa cavité vide de toute trace, et les deux autres s’empressent de la relever. En moins de deux secondes elle a une autre queue, aussi belle que la première, qui lui prend profondément la température. Le troisième lascar n’a pas la patience d’attendre son tour. Il lui fait face, et soulève l’avant de sa robe pour le coincer lui aussi sous la ceinture. Il prend son sexe, qui n’a rien à envier aux deux autres, à pleine main, le frotte entre les lèvres brulantes et dégoulinantes de notre invitée, et la pénètre jusqu’à la garde.

Ils la prennent à deux, en sandwich, recto verso, la décolle du seul, la font sauter sur leurs pieds de biche. Ils sont pressés, ne font rien pour se retenir, bien au contraire, et déchargent rapidement en même temps, en abondance, un entre ses reins et l’autre dans son ventre en feu.

Ils se retirent, libèrent la robe, et s’essuient la queue avec, essuient leurs dernières gouttes de sperme. Ils sont rhabillés, prêts à quitter le métro, après nous avoir adressé quelques mots:

— A elle d’abord: A bientôt belle blonde, on est là tous les soirs à la même heure, si tu veux un bon plan cul tu sais où nous trouver.

— A Christian et moi ensuite: Salut les mecs et merci, trop bonne votre copine. Bonne bourre et courage, elle a encore faim.

Ils descendent à la station suivante.

A suivre…………………

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