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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 19




J’ai donné rendez-vous à Vanessa à 21h sur le trottoir du rond-point face à l’entrée de l’entreprise. La route n’est pas des plus fréquentées le soir, mais tout de même. En cinq minutes, il devrait au moins y avoir quinze à vingt voitures qui traverseront le giratoire. De mon côté, je reste derrière la porte d’entrée, vitrée. Vanessa ne me verra pas et je serai à moins de cinq mètres d’elle. A 20h55, j’aperçois Vanessa qui descend la rue. Elle porte un long trench beige qui dissimule sa tenue. Elle a dû venir en transport en commun. Elle porte un sac dont je suppose qu’il contient la tenue dans laquelle elle a quitté la maison. Je suis curieux de savoir où est-ce qu’elle s’est changée

Vanessa arrive devant la porte. C’est fou, elle est à deux mètres de moi, à peine. Elle regarde son smartphone et à 21h pile, elle retire le manteau. Sa tenue me coupe le souffle. La vendeuse avait raison, la jupe est incroyablement courte, une très large ceinture en fait. Le gros cul de Vanessa déborde de partout, on voit sa raie, les jarretelles. En haut, le bustier est trop petit et on voit ses seins jusqu’au bout. Mais elle a osé. Je n’en reviens pas. Deux voitures klaxonnent en passant. Elle se tourne, l’air triste. Cela ne l’amuse pas. J’ouvre la porte.

— Vanessa ! Viens.

Elle accourt sur ses immenses talons. Je referme derrière elle.

— Je suis désolé. Excuse-moi pour ces vêtements.

— Le souci, ce n’est pas les vêtements, c’est la taille ! Tu as pris du S !

— Effectivement.

— Tu aurais pris du L, je restais une heure sans problème !

Elle éclate de rire et m’embrasse avec fougue. J’ai déjà envie de la sauter. Elle doit le sentir.

— J’ai toute la nuit. Pour mes parents, je dors chez Jenni qui pense que je suis chez Walter.

Nous entrons dans l’entreprise. Les locaux ne sont pas très grands et la visite est assez rapide. A gauche, les bureaux de mes collègues; à droite, secrétariat, comptabilité, RH, direction; au fond, trois salles de réunion dont la plus petite sert de salle de pause. A part les salles de réunion et celle du patron, tout est vitré. Vanessa rit :

— J’espère que tu ne veux pas qu’on baise sur tous ces bureaux quand même.

— Ce n’est pas l’envie que manque, mais ils sont censés êtes tous fermés à clef.

J’invite Vanessa à aller dans mon bureau et les préliminaires débutent immédiatement.

Baiser dans mon bureau, sur mon lieu de travail. J’ai fantasmé si souvent sur une secrétaire ou une assistante, les prendre au milieu des dossiers et autres courriers de clients. Au moment où je pénètre une Vanessa assise jambes écartées, les fesses quasi sur mon clavier, je suis au paradis. Un peu plus haut encore, quelques minutes plus tard quand, assis dans mon fauteuil, je bouffe littéralement le cul de la jeune femme, la langue plantée dans son anus. Je la sodomise ensuite, debout contre mon bureau. Plaisir absolu, un nirvana. Vanessa aimerait un peu plus de fougue, mais je savoure tellement Une semaine auparavant, je dépucelais cette timide jeune fille dans un hôtel. Sept jours plus tard, en cuir et résilles, elle réclame que je l’encule avec plus de vigueur

Je continue néanmoins à mon rythme et comble la jeune fille en jouissant dans ses fesses. "Ce soir, il n’est pas question de capotes", avait-elle dit, assise sur mon bureau, peu avant que je ne glisse en elle. Vanessa m’embrasse et nous nous étreignons. J’ai de la tendresse pour cette fille. Je l’accompagne aux toilettes et nous revenons au bureau. Je lui indique une valise sur une chaise.

— C’est quoi ?

— Ouvre, tu verras.

Vanessa pose la valise sur la table et l’ouvre. Elle prend un string transparent et le déplie.

— Mais qu’est-ce que c’est que tout ça ?

— Des vêtements de ma femme.

— Pardon ?

— Des vêtements que ma femme avait mis à la cave depuis un bon moment car ils ne lui vont plus. J’ai fait un peu de tri et j’ai amené ceux qui seraient susceptibles de te plaire.

Par chance, Vanessa ne pose pas d’autres questions, focalisée sur le contenu de la valise. En réalité, ce sont des tenues que mon épouse portait durant les premiers mois de grossesse. Il y a là un tailleur-pantalon, un tailleur-jupe, trois chemisiers, deux paires d’escarpins, des strings, des collants et des bas. Vanessa prend chaque pièce une par une.

— Je ne sais pas comment je vais ramener ça à la maison, mais ça me plait trop ! J’adore les talons, ils sont quasi neufs, c’est fou. Les tailleurs et les chemisiers sont trop beaux, les strings super sexy, c’est trop parfait !

Elle se tourne et m’embrasse longuement. Elle sourit :

— Un cadeau d’adieu ?

— En quelque sorte, oui. Il n’y aura plus rien entre nous après cette soirée.

— Tu veux que je mette quelque chose ?

Je souris.

— Le tailleur-jupe avec le chemisier rose. Pour le reste, je te laisse toute liberté.

— Alors regarde pas.

Vanessa prend des vêtements et range les autres dans la valise qu’elle referme. Elle va aux toilettes pour se changer. Je l’attends, impatient de la découvrir.

Cinq minutes plus tard, j’entends les talons dans le couloir. Je ne me tourne pas. Elle toque à la porte ouverte.

— Est-ce que tu cherches une secrétaire personnelle ?

Je me tourne alors. Stupéfiante. Vanessa a remonté ses cheveux en un chignon maintenu par un crayon. Le tailleur lui va à merveilles : le blazer fermé marque sa taille et elle semble avoir laissé le chemisier bien ouvert; la jupe fourreau, un peu évasée, convient idéalement à sa morphologie. Je remarque également qu’elle a changé de bas. Je me lève, elle s’approche en déboutonnant le blazer. Elle a gardé le chemisier ouvert jusque sous sa poitrine. Elle a retiré le bustier. Je savais ce chemisier transparent. Sur Vanessa, il est formidablement excitant. Elle m’embrasse. Je lui dis :

— Je ne cherche pas de secrétaire, non. Mais tu seras engagée dès que ce sera le cas.

Elle caresse mon entrejambe.

— Comme je ne porterai jamais de culotte, tu pourras me baiser n’importe où et n’importe quand.

— Mmmh Et pas de soutien-gorge pour signer des contrats.

Vanessa rit et s’agenouille. Elle me suce quelques instants, juste pour me faire durcir un peu plus. Puis elle sort.

Je la suis et la regarde essayer d’ouvrir les deux bureaux à gauche du mien. Fermés tous les deux. Elle passe devant moi, caresse ma bite et fait tourner la poignée du bureau suivant. Fermé.

— Je t’avais dit qu’ils étaient tous fermés.

— Je vérifie.

Le suivant est également fermé mais à ma grande surprise, l’avant-dernier s’ouvre. C’est celui de José, un gars qui ne travaille que depuis un mois dans la société. Pas encore pris l’habitude de fermer, celui-là ! J’y rejoins Vanessa. Elle pousse la chaise de José et soulève sa jupe. Elle a gardé son porte-jarretelles et n’a pas remis de string. Elle s’assied sur le bureau et je la pénètre de la même manière que sur le mien. Pas longtemps, car Vanessa me repousse. Elle s’agenouille dans le fauteuil et je la prends en levrette. Là non plus, pas plus de quelques instants. Elle se relève ensuite, sort du bureau en disant :

— Demain, quand tu viendras voir ton collègue, tu penseras à moi et à ce qu’on a fait ici !

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