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Evolutions – Chapitre 63




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 63 : Ange & Démone.

Le lendemain soir lorsqu’elle me téléphone, Alice me dit que ses filles sont beaucoup plus détendues, étant donné qu’elles ont fini de passer les épreuves du bac. Tout s’est apparemment bien passé pour elles, et les jumelles sont confiantes au sujet des résultats. Néanmoins, il leur faudra patienter jusqu’au 05 juillet, avant de pouvoir les consulter sur Internet. Ce qu’elles feront de chez leurs grands-parents, puisqu’à cette date, elles seront toujours à Marseille.

Pour ma part, je lui annonce que j’ai reçu le martinet et la cravache que j’ai rangés dans le placard de ma chambre, puisque c’est dans cette dernière qu’ils vont très certainement nous servir, en attendant que nous aménagions une pièce au sous-sol. Mon petit bout de femme ne semble pas éprouver un enthousiasme débordant, en apprenant cette nouvelle. Je me dis alors que c’est probablement parce qu’elle éprouve la crainte, de ne pas pouvoir supporter la douleur lorsqu’elle sera corrigée avec ces instruments. Cependant, cela ne me déconcerte pas, et je reste serein, puisque ce sera à elle de décider de la manière dont les choses vont se passer, et qu’elle pourra tout arrêter à n’importe quel moment. Par conséquent, cela me décharge de toute responsabilité, et si elle décide de ne pas renouveler l’expérience, seule sa fierté risque d’être égratignée.

Je lui dis également que Marc, sachant que les filles vont partir samedi matin, nous a lancé une invitation pour le midi du même jour, mais que je n’y ai pas encore répondu parce que je voulais la consulter avant, et elle hésite à peine avant d’accepter.

Ensuite, après m’avoir déclaré qu’elle est allée sur le site Xstory, mais en tant que simple visiteuse, elle me raconte la suite de nos aventures imaginaires dans le club de Francis. Bien entendu, cela nous excite tous les deux, cependant je n’entrerai pas dans les détails afin de ne pas devenir répétitif, en vous relatant des situations qui sont similaires à celles qui se sont déjà produites. Une fois que nous avons pris tous les deux notre plaisir, nous parlons de choses et d’autres, puis nous raccrochons en nous souhaitant de passer une bonne nuit.

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Le jeudi soir, Alice continue à me raconter son fantasme, et le vendredi lorsque je rentre du travail, je constate sans grande surprise que son Alpha-Roméo est garée devant la villa, ce qui me fait énormément plaisir. Nous avons décidé d’emmener ce soir les jumelles au restaurant, pour fêter à la fois la fin de leurs épreuves, mais également leur départ pour Marseille. Par conséquent, que mon petit bout de femme ait décidé de venir me voir avant, ne peut signifier qu’une chose : elle a autant envie de moi que ce que j’ai envie d’elle.

Lorsque j’entre dans la pièce à vivre, je constate qu’une valise à roulettes est posée debout sur le carrelage, et je comprends aussitôt qu’elle contient les affaires, que ma compagne a estimé lui être nécessaires, pendant la durée de son emménagent temporaire. De plus, une petite robe légère à bretelles est posée sur le dossier d’une chaise, tandis que celle à qui elle appartient est assise sur la terrasse dans une chaise longue, qui fait face à la piscine.

Étant donné qu’elle s’est mise nue, je décide d’aller en faire autant. Une fois que j’ai enlevé mon costume de travail, je reviens dans le séjour dans lequel mon amante qui m’a entendu arriver est venue pour m’y retrouver, et sa magnifique silhouette se découpe dans l’encadrement de la porte-fenêtre ouverte.

Je constate qu’elle n’est pas décontractée, mais au contraire tendue, et elle me regarde de la même manière que Léa, lorsque cette dernière pense avoir commis une faute et qu’elle a peur de se faire gronder. C’est pourquoi je lui demande, en fixant ses beaux yeux marron-clair :

Quelque chose ne va pas, ma petite Poupée ?

Elle me répond en hésitant, alors que sa voix est rauque :

C’est à toi de me le dire, mon Nounours.

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C’est alors que je la détaille, et c’est seulement à ce moment-là que je remarque les modifications que son corps a subies. Je ne m’en étais pas aperçu avant parce qu’elle est à contre-jour, et par conséquent dans l’ombre d’elle même. Alice s’est fait tatouer, et pas qu’une seule fois, de plus, son nombril est à présent orné d’un piercing.

Après avoir reporté mon attention sur son magnifique visage, je lui fais un sourire, ce qui a pour effet de la rasséréner immédiatement. Puis je m’approche d’elle et je me mets à genoux, pour que ma tête se retrouve au même niveau que les deux dessins indélébiles, qui sont à présent gravés à l’encre sur le bas de son ventre. Ils se trouvent juste au-dessus de chaque pli de ses aines, et ils mesurent dans les sept à huit centimètres de haut. Sur son côté gauche c’est-à-dire à ma droite, se trouve la silhouette d’un ange, ressemblant énormément à celui que je lui ai montré sur Internet, mais avec quelques différences notables, et il est bien plus finement réalisé.

Elle est d’une teinte blanche cassée, mesure debout moins d’une dizaine de centimètres de haut, et est positionnée de trois quarts avant. Elle se tient cambrée avec une jambe en avant et l’autre écartée sur le côté, ses mains sont posées sur sa taille avec les coudes en arrière, et elle regarde droit devant elle. Sa poitrine aussi imposante que celle de ma compagne orne fièrement son buste. Ses chaussures sont des mules à talons pleins, que l’on peut parfaitement identifier puisqu’elles ont été dessinées à l’encre rouge. De plus, une tâche triangulaire aile de corbeau, c’est-à-dire noire avec des reflets bleutés, orne son pubis. Son auréole est d’un blanc immaculé, tout comme la seule de ses ailes visible, qui a une forme identique à celle du modèle que nous avons vu sur le web, et cache en grande partie sa chevelure attachée en queue-de-cheval haute, pour sa part de la même teinte que la touffe de son bas-ventre.

De l’autre côté, il y a sa jumelle maléfique puisque sa silhouette est aile de corbeau, et qu’il s’agit cette fois d’une démone ayant des seins tout autant développés que l’ange, et qui a adopté la même pose que cette dernière, mais inversée. Par conséquent, elles se font face, comme pour se défier du regard. Deux petites cornes légèrement recourbées vers l’arrière se trouvent à l’avant de son crâne, et elles sont rouges. Tout comme sa queue fine qui doit partir de son coccyx, tout en haut de la raie de ses fesses, et qui descend en formant un S assez ouvert, pour que son extrémité fourchue parte vers l’arrière, lorsqu’elle arrive à la hauteur de ses genoux.

Ses cheveux eux aussi attachés en queue-de-cheval haute qui descendent jusqu’à ses reins, sont du même blanc cassé que le corps de l’ange, tout comme la touffe de poils qui orne son pubis. Ses chaussures qui ont la même teinte que ses cornes et sa queue sont des sandales à talons aiguilles du modèle Forever, identiques à celle que j’ai achetée à mon petit bout de femme, et l’on distingue parfaitement les cinq lanières qui maintiennent ses pieds.

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J’ai devant les yeux deux magnifiques tatouages qui ont également une troisième dimension toute symbolique, puisqu’ils représentent le côté lumineux et celui plus sombre d’Alice. Mais le plus merveilleux, c’est qu’elle se les soit fait peindre sur la peau de manière permanente, et ce par amour pour moi. C’est pourquoi après avoir posé doucement mes mains sur ses hanches, j’embrasse ces dessins chacun leur tour en commençant par l’ange, puis je fais la même chose avec la démone, et je termine par son nombril, percé d’un anneau duquel pend un petit cur, de la même teinte qu’un rubis.

Alice qui a été attendrie par mon comportement en a profité pour me caresser les cheveux, et tandis qu’elle m’aide à me relever, je lui demande avec malice :

Les filles les ont vus ?

Elle hausse les épaules, puis elle me répond comme si ma question était stupide :

Évidemment, puisquà cause de toi, on vit complètement à poil depuis trois semaines.

Je me sens penaud, ce qui ne m’empêche pas de poser une deuxième question :

Et elles ont réagi comment ?

À ton avis ?

Hum. Je parierais que Léo en veut un, et que Léa n’a rien dit, mais qu’elle les a regardés pensivement.

On voit que tu commences à bien connaître tes filles adoptives, mon Amour.

Et moi ?

Quoi toi ?

Je te rappelle que nous avions passé un marché, et que tu as accepté de te faire tatouer, à condition que j’en fasse autant. Reste à savoir quel motif tu veux que je me fasse mettre, parce que je me vois mal avec un ange ou un démon sur la peau.

Je suis tout à fait d’accord avec toi, et je trouve qu’un ours te conviendrait beaucoup mieux.

Je dois faire une drôle de tête puisque mon petit bout de femme éclate aussitôt de rire, et lorsqu’elle a réussi à retrouver son sérieux, elle me fait :

Mais rassure-toi mon Amour, et étant donné que cela restera permanent, je n’ai pas l’intention de t’imposer quoi que ce soit. Cependant, j’ai sélectionné quelques modèles qui me plaisent, qui sont pour l’instant à l’état de dessins sur papier, chez le tatoueur que je suis allée voir. Et lorsque tu seras décidé à t’y rendre, tu pourras avant discuter avec lui, pour y apporter les modifications que tu souhaiteras y faire. Car il s’agit d’un véritable artiste, et il tient à ce que chacune de ses uvres soit unique, et correspond à la personne sur qui il la peint.

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Ce sujet étant clos, je demande grivoisement à Alice :

Et sinon, tu es venue uniquement pour me montrer tes peintures de guerre, ou il y a une autre raison ?

Eh bien, si je n’avais pas peur que tu m’accuses encore une fois d’être directive, je te dirais bien que j’ai très envie de me faire enculer, mon Amour.

Hum, c’est un programme alléchant, mais j’y mets une condition.

Laquelle ?

Celle que tu restes debout face au miroir, pour que je puisse voir tes tatouages.

Ça risque d’être acrobatique, mais on peut toujours essayer.

Ne t’inquiète pas pour ça, mais il y a une chose que je veux avant cela.

Tu es bien exigeant aujourd’hui, mon Nounours.

Pas tant que ça, car je veux juste te prendre en photos, et cela te servira à toi aussi, puisque tu pourras alimenter ton blog avec. Mais avant toute chose, tu dois aller mettre tes chaussures de baiseuse de haute-compétition.

Il ne nous faut pas bien longtemps pour nous retrouver sur la terrasse sur laquelle je fais un premier cliché de mon petit bout de femme avec ses bras pendant le long de son corps, puis un second tandis qu’elle a posé ses mains sur ses hanches, et un troisième alors qu’elles sont cette fois placées sur sa nuque. Tandis qu’elle prend ensuite de sa propre initiative des poses de plus en plus sexy, je la laisse faire tout en la mitraillant, comme si nous étions en train de faire un shooting professionnel. C’est sans surprise que cette séance photos qui m’excite me provoque une solide érection, et elle se termine, alors que mon modèle amateur s’est mis accroupie les cuisses largement écartées en face de l’objectif, avec ses mains posées sur ses genoux.

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Une fois que nous avons terminé, nous allons dans notre chambre, et lorsqu’Alice s’est placée face au miroir, je lui dis :

Pour commencer, tu vas écarter tes fesses avec tes mains, et te laisser prendre.

Elle m’obéit sans hésiter tout en se cambrant, et après avoir posé mon gland que j’ai décalotté contre son anus, je l’attrape par la taille et je m’enfonce lentement en elle. Je vois son reflet grimacer de douleur dans la glace, cependant je ne m’en inquiète pas puisque je sais qu’elle aime ça, et une fois que mon bassin est venu se coller contre son postérieur charnu, je lui fais :

Maintenant, tu vas nouer tes mains sur ton ventre, et faire en sorte qu’elles ne se détachent pas l’une de l’autre.

Là encore, elle suit mes indications, et après, j’attrape ses biceps qui tiennent facilement dans mes mains, ce qui lui tire les coudes vers l’arrière et la fait se cambrer encore plus. Ensuite seulement, je commence à faire coulisser mon membre tendu en elle. Bien entendu, dans cette position et alors que ses fesses se sont à nouveau rapprochées l’une de l’autre, je perds quelques centimètres au niveau de la profondeur. Cependant, mon sexe bien qu’ayant des dimensions moyennes est assez long, et je commence à sodomiser mon petit bout de femme, en faisant bouger mon bassin alors que mes pieds restent à plat sur le tapis.

À chaque coup de boutoir, je vois ses seins lourds sursauter, et elle pousse un petit geignement qui n’est probablement pas dû qu’au seul plaisir. Cependant, je sais que si je dois systématiquement forcer, c’est parce que ma partenaire a contracté sa rondelle, dans le but d’augmenter ses sensations.

De mon point de vue, je peux parfaitement admirer ses tatouages tous récents, lorsque mon corps vient se coller contre le sien, et son piercing rubis en forme de cur qui pend dans le vide, se balance gaiement après chacun de mes assauts.

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Je sodomise Alice de cette manière pendant une dizaine de minutes, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme pour lequel elle est en partie venue me voir, et tandis qu’elle pousse un gémissement de jouissance, ses contractions annales provoquent mon éjaculation.

Une fois que je me suis vidé en elle, nous restons quelques instants sans bouger, tout en nous fixant du regard dans la glace, puis lorsque je la lâche, elle s’avance pour faire ressortir mon membre d’elle, et elle se met à genoux devant moi pour venir lécher mon sexe sur toute sa surface. Quand elle a terminé ma toilette intime, je l’aide à se relever, et elle va dans la salle de bain pour s’asseoir sur le bidet.

Lorsque mon petit bout de femme revient vers moi moins de cinq minutes plus tard, elle me demande :

Tu me les montres ?

Quoi donc ?

Le martinet et la cravache, pardi.

Ceux-là je les avais oubliés, mais pas elle, c’est pourquoi je souris en allant les chercher dans le placard, et une fois que je les en ai sortis, je les lui tends. Elle en prend un dans chaque main, et elle me dit :

Tu vas me mettre un coup avec chacun d’eux, pour que je puisse sentir la différence.

Je souris en me rendant compte qu’elle redevient directive, cependant je ne lui fais pas de remarque à ce sujet, et elle me tourne le dos pour se pencher en avant et poser ses mains à plat sur le lit, après que j’aie repris les instruments.

Une fois que je lui ai mis un bon coup de martinet qui la fait sursauter, et pousser un cri de surprise, ma compagne me dit :

Celui-là, il me rappelle des souvenirs…

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Étonné, je lui demande :

Est-ce que je dois comprendre que tu n’étais pas sage lorsque tu étais enfant ? Cela m’étonne beaucoup de ta part, ma petite Poupée.

Je n’étais pas non plus un petit monstre, mais juste une étourdie. Et mon père qui était très strict à cette époque était persuadé qu’il allait corriger cette faiblesse de caractère à coups de trique. Mais il a beaucoup changé depuis, et mes filles avec qui il a fait preuve d’une douceur et d’une patience sans égales ne me croient pas lorsque je leur dis qu’il me punissait.

Moi aussi j’ai un peu de mal à l’imaginer, néanmoins, ce genre de conditionnement pourrait expliquer, qu’Alice recherche le plaisir à travers la souffrance. Car étant petite, elle a sans doute amalgamé la douleur qu’elle ressentait alors, à la joie qu’elle avait ensuite de devenir meilleure aux yeux de son paternel. Cependant, je ne suis pas psychologue, c’est pourquoi je lui mets sans attendre un coup de cravache, et après qu’elle se soit à nouveau exclamée et cabrée, cette fois elle me dit :

Celle-là me rappelle la trique qu’il utilisait, pour me faire retenir les leçons les plus importantes.

Tandis qu’elle se relève avec une marque rouge en travers de ses belles fesses, perplexe, je lui fais :

Il y a une chose que je ne comprends pas. Avant qu’on les commande, tu m’as affirmé que tu n’avais jamais essayé ce genre d’instruments, et maintenant, tu es en train de me dire le contraire.

Elle me fait face tout en rougissant, puis elle m’explique :

Disons que je me suis mal exprimée, mon Amour. Tout d’abord, le contexte était totalement différent. Ensuite, si je sais déjà qu’un martinet peut faire mal, et à plus forte raison une trique, ce que je ne sais toujours pas, c’est si je pourrai après que tu t’en sois servi sur moi, jouir encore plus fort comme quand tu utilises tes mains.

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Ne me laissant pas le temps de revenir de ma stupeur, Alice me demande :

Et les menottes, tu les as aussi ?

Je souris avant de répondre :

Oui, je les ai reçues en même temps. Mais pour garder un bon équilibre, maintenant que j’ai satisfait ta curiosité, si tu enfilais les tenues sexy qui sont arrivées chez toi ?

Je serais ravie de te faire ce plaisir, d’autant plus qu’elles sont dans ma valise. Mais je te rappelle que ce soir, nous devons emmener les filles au restaurant, par conséquent nous n’avons plus trop le temps de nous amuser, car il nous faut aller nous laver. Sinon, cette petite impertinente de Léo risque de nous faire une réflexion, comme quoi nous sentons la mouille.

Bien que je sois déçu, je sais qu’elle a raison, c’est pourquoi nous allons dans la salle de bain et nous y prenons une douche, bien évidemment ensemble et en nous savonnant mutuellement. Puis nous nous habillons, et lorsque nous sommes prêts, nous partons chercher les jumelles, dans le but de les emmener manger, et ainsi fêter la fin de leurs examens ainsi que leur départ pour Marseille.

À suivre…

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