1.
Au large du système dAkrana année terrestre 5073
— Nous approchons du système dAkrana, Capitaine.
— Bon, dévions notre route. Il vaut mieux ne pas trop sapprocher de ce système, cest la frontière avec la Fédération des Planètes Unies. Enseigne Lhatta, veuillez entrer les coordonnées 03.7.89.4.45.
— Bien Capitaine.
Le Capitaine Douglas se leva alors de son siège de commandeur du vaisseau FPU-Atlas. Approchant la quarantaine, le Capitaine était bel homme, grand, fort, des cheveux noirs, coupés à la brosse, et des yeux bleus dans lesquels se lisait une volonté de fer. Héros de la guerre des trois systèmes, sa réputation tant de pilote que de Capitaine nétait plus à faire. Depuis la fin de la guerre, il faisait surtout des missions descorte avec un navire de combat de taille moyenne de la fédération, le FPU-Atlas. Même si ce nétait pas un gros vaisseau de guerre, comme un de ceux quil avait commandé lors de la guerre des trois systèmes, et quil navait comme équipage quune vingtaine de personnes à bord, le Capitaine laimait pour sa rapidité et sa maniabilité.
Après avoir escorté une expédition scientifique vers le Système Endorra3, mission sans accroc, ils retournaient vers la station Orbital1, la plus grosse de la Fédération, à la limite de la Voie Lactée, avant de peut-être reprendre le chemin de la terre
— Voilà, la route vers Orbital1 nous est toute tracée. Lieutenant Jones, prenez le commandement, je vais à ma cabine me reposer un peu…
Le second du Capitaine, le Lieutenant Martha Jones était une femme dune trentaine dannée, les cheveux châtains, et qui, en plus dêtre jolie, était surtout un excellent soldat. Elle aussi avait fait montre de courage lors de la guerre des 3 systèmes, et ses relations avec le Capitaine Douglas, très professionnelle, en faisaient un tandem de choc, la meilleure équipe dofficier de toute larmée de la Fédération des Planètes Unies.
Le Lieutenant Jones se levait lorsque lalarme retentit. Le Capitaine Douglas se retourna dun bloc. Il revint à sa place.
— Que se passe-t-il ?
— Nous recevons un message de détresse mon Capitaine.
— Sur haut-parleur !
Un son diffus, entre-coupé dinterférence, se fit entendre par les hauts-parleurs :
« Ici FPU-Evergreen. SOS. Je répète SOS. Tempête magnétique nous a fait dévier coordonnées 01.7.59.4.45. SOS. Vaisseau nombreuses avaries oxygène se raréfie nen avons plus pour longtemps SOS »
— Enseigne Lhatta, fit le capitaine, avons-nous des détails sur le vaisseau FPU-Evergreen ?
Lenseigne Lhatta, dernière arrivée dans léquipe de Douglas, une jeune eurasienne diplômée de lAcadémie avec mention, connaissant par cur quasiment tout les systèmes informatiques approuvés par la Fédération, rapide et efficace, tapota sur son écran de contrôle. Elle eut vite les renseignements demandés.
— Oui Capitaine. Cest un ancien destroyer spatial transformé en vaisseau scientifique. Il a quitté, il y a environ 15 jours terrestres, la station Orbital15 avec à son bord 150 personnes et quelques animaux détudes.
— 150 personnes ! Nous ne pouvons les laisser mourir comme ça. Allons les secourir, cap au 01.7.59.4.45, fit le Capitaine.
— Mais, Capitaine, fit le Lieutenant Jones, cest de lautre côté de la frontière !
— Je sais Lieutenant. Mais nous ne pouvons laisser ces gens. Nous navons aucune intention belliqueuse, cest une mission de secours. Nos supérieurs comprendront ce genre dimpératifs.
Aussitôt, de toute la vitesse dont il était capable, le FPU-Atlas fit route vers le vaisseau en détresse. Il dépassa la limite de la Fédération des Planètes Unies, et entra dans le Système dAkrana.
— Nous y sommes Capitaine
— Je veux le visuel sur lécran. Que dit le radar ?
— Rien Capitaine, cest étrange, aucun vaisseau signalé
Limage safficha sur lécran principal.
« Oh mon Dieu ! », fit le Lieutenant Jones. Lécran ne montrait pas un vaisseau spatial, mais tous des débris flottant dans lespace, et commençant à suivre une route invisible, celle de lorbite dune des lunes dAkrana. Ces débris devaient être tout ce qui restait du vaisseau FPU-Evergreen. Tout le monde avait les yeux fixés sur cette triste vision, même lenseigne Lhatta, qui ne vit pas les deux points lumineux sur le radar, points lumineux qui se rapprochaient deux jusquau moment où retentirent les sonneries dalarme.
— Capitaine, deux vaisseaux en approche ! Un derrière nous et un autre qui nous coupe la route !
— Sont-ils de la Fédération ?
— Non, Capitaine ! Et ce sont de gros bâtiments de guerre à ce quil me semble
— Nom de nom ! Et nous ne pourrons pas fuir !
— Capitaine, ils demandent à nous parler !
— Bien, sur visuel !
La tête dun extraterrestre apparut sur lécran. Il ressemblait à un humain, mais de couleur mauve, et avec des oreilles pointues, des traits presque efféminés il ressemblait fort à la façon dont les humains représentent les elfes dans leurs légendes. Il semblait habillé dun grand manteau bleu azur. Une grande noblesse émanait de lui. Il parlait une langue bizarre, mais les ordinateurs traduisaient simultanément.
— Vaisseau FPU-Atlas, vous êtes dans une zone qui vous est interdite. Vous risquez la destruction. Que faites-vous ici ?
— Ici le Capitaine Douglas du vaisseau FPU-Atlas de la Fédération des Planètes Unies. Nous sommes entrés dans cette zone pour une mission de sauvetage, après avoir reçu un message de détresse
— Vous dites la vérité, nous avons eu ce message aussi. Nous faisions route vers votre système pour une mission dambassade de paix avec votre Fédération. Nous pourrions commencer les pour-parler ensembles, quen pensez-vous capitaine ? Je vous invite à mon bord.
— Jaccepte ! Le temps daller dans la salle de téléportation.
Lécran devint noir. Le lieutenant Jones se porta à la hauteur du Capitaine.
— Capitaine, le code nous interdit de monter à bord de vaisseaux inconnus. Cest trop dangereux !
— Je sais lieutenant Jones, mais nous navons pas le choix. Nous avons une chance de signer un traité avec eux. Refuser pourrait les vexer, et vexer deux gros bâtiments solidement armés risquerait fort damener notre anéantissement. De toute façon, sils voulaient nous détruire, ils auraient déjà pu le faire.
— Capitaine, ils nous font confiance, fit lenseigne Lhatta. Ils baissent leurs boucliers de protection.
Le Capitaine Douglas acquiesça, puis se tourna vers une personne sur sa droite.
— Attachée scientifique, que savons-nous sur les akraniens ?
Lattachée scientifique, le professeur Neil, pianota sur sa console. Celle-ci était une grande femme rousse, qui en plus dêtre très belle, était pleine dassurance et très intelligente. Elle avait un doctorat en sciences naturelles, en sciences spatiales, et en étude des formes de vies étrangères.
— Pas grand-chose Capitaine. Ils sont plus évolués que nous scientifiquement, et ont toujours refusé tout contact avec la Fédération. Ils nont jamais voulu nous envoyer dambassadeur ni de scientifique, et tous les vaisseaux étant entré dans leur système nen sont jamais revenus.
— Bien. Lieutenant, vous prendrez le commandement en mon absence. Si je ne reviens pas, nessayez pas de combattre, ils sont trop forts. Fuyez le plus vite possible prévenir Orbital1. Je resterai en contacte avec vous, disons, une fois par jour terrien.
— A vos ordres, mon Capitaine !
Le Capitaine salua militairement son subordonné, puis alla vers la salle de téléportation. Mais quelquun sinterposa.
— Mon Capitaine, puis-je vous accompagner ?
— Professeur Neil, je ne pense pas que
— Veuillez mexcuser mon Capitaine, mais je suis lattachée scientifique du vaisseau. Je pourrais vous aider à comprendre le mode de vie de ces extraterrestres, et aussi les étudier. On ne sait jamais, ça pourrait servir.
Le capitaine réfléchit quelque minute, puis accepta la demande du professeur Neil. Elle lui serait dun grand secours. Et puis, si les choses tournaient mal, autant ne pas mourir seul, mais accompagné Le Capitaine accepta sa requête.
Ils arrivèrent tous deux dans la salle de téléportation. Ils se placèrent sur le socle adéquat, puis lopérateur tritura son panneau de commande. Il laissa laccès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc entoura le Neil et Douglas, devint éclatant, puis disparu avec les deux humains. La téléportation sétait bien déroulée. Lopérateur enclencha un bouton, et communiqua avec le lieutenant Jones. « Opération réussie mon lieutenant, ils sont tous deux, vivant, à bord du vaisseau extraterrestre ». Le lieutenant Jones acquiesça. « Visuel, devant nous » fit-elle dun ton péremptoire. Lenseigne Lhatta appuya sur un bouton, et le vaisseau extraterrestre apparut sur lécran. Le lieutenant Jones le fixa en plissant ses sourcils. « Jai un mauvais pressentiment » pensa-t-elle
* *
*
Larrivée dans le vaisseau extraterrestre se fit sans aucun problème. Lun dentre eux guida courtoisement Douglas et Neil à travers le vaisseau, vers le bureau de leur capitaine. Ils étaient assez semblables aux humains, avec deux bras, deux jambes, des corps également bien proportionnés. Les seules différences étaient leurs oreilles pointure, la couleur mauve de leur peau. Ils avaient tous des yeux en amandes, très effilés, et mis à part leurs cheveux ne semblaient pas avoir de poils. Ils portaient un étrange uniforme : un pantalon bouffant, dans une matière inconnue, qui ressemblait à de la soie, mais plus solide, plus opaque, et un long manteau bleu, dans la même matière, ouvert sur leurs torses glabres. Beaucoup dentres eux se retournaient sur le professeur Neil. Douglas lui murmura à loreille « même ici vous faites forte impression ! ». Elle sourit, et lui glissa à loreille « Merci ! Mais cest un peu à cause de nos combinaisons je nai jamais compris pourquoi ils les faisaient si près du corps ! » Le capitaine regarda alors le corps du professeur. Luniforme moulait ses seins très généreux, ainsi que ses fesses bien formées, bien rondes, son ventre plat, ses longues jambes galbées Il lui dit à loreille « ce sont sûrement des hommes qui ont dessiné nos uniformes ! » avec un sourire franc quelle lui rendit.
Ils arrivèrent dans la cabine du capitaine. Il se leva à leur entrée.
— Bonjour ! Bienvenue, bienvenue ! Je suis content de vous rencontrer, Capitaine Douglas !
— Bonjour, mais je ne connais même pas votre nom ! Et comment se fait-il que vous parliez notre langue ?
— Je suis le Zourk Menesis. Disons, chez vous, le Commandeur Menesis, chef des armées dAkrana. Nous avons une technologie en avance sur vous : lorsque nous nous sommes parlés tout à lheure, notre ordinateur a décrypté et analysé votre langage, puis, me la appris. Avant demain, nous parlerons tous votre langue. Nous sommes un peuple qui aimons connaître, nous instruire est notre quête.
— Cest fascinant, fit Neil.
— Voici le professeur Sarah Neil, fit le capitaine Douglas. Elle est notre attachée scientifique. Notre peuple aime aussi apprendre.
— Oui, Capitaine Douglas, votre peuple aime apprendre mais il aime faire la guerre aussi. Vous avez beaucoup fédéré les armes à la main ! Et ce, dans beaucoup de Galaxies ! Mais soit – le capitaine Douglas voulut parler, mais le Zourk Menesis lui enjoignit de la main de ne rien dire – ne revenons pas la-dessus. Mon peuple veut la paix. Nous voulons continuer à apprendre, sereinement. Mais nous en parlerons plus tard tout à lheure jai prévu un banquet pour en parler calmement. Jai mis des cabines à votre disposition, pour vous rafraîchir et vous reposer avant cela
— Cest bien aimable à vous, Zourk Menesis.
— Vous me direz des nouvelles de lhospitalité Akranienne. une porte souvrit dans le dos de Douglas et de Neil, et un Akranien entra – Voici Mannè. Il vient dapprendre votre langue, et il sera votre guide dans le vaisseau. Il est en quelque sorte, notre ambassadeur scientifique ! Il va vous indiquer vos cabines.
La porte souvrit, et Mannè sortit, suivi de Neil et de Douglas. Dès quil fut seul, Menesis alla vers son bureau, réfléchit un moment, puis appuya sur le bouton dun interphone et parla : « Lopération est lancée. Phase 1 terminée. Phase 2 enclenchée. »
Après avoir pris congé du Zourk Menesis, Douglas et Neil suivirent Mannè dans le dédale des couloirs du vaisseau. Après avoir pris un ascenseur et empruntés certains couloirs, ils arrivèrent dans un long couloir, avec deux portes face à face. Lorsque Mannè arriva à leur hauteur, les portes souvrirent.
— Capitaine Douglas, fit-il en montrant la porte de gauche. Professeur Neil, en montrant la porte de droite.
Douglas entra dans sa cabine. Elle était assez spacieuse, avec un petit salon et des canapés assez bas mais qui avaient lair fort confortable, un lit, grand et confortable, un petit bureau, et une porte avec un coin-douche fort bien équipé. La seule décoration était une plante, assez grande, avec des pétales pourpre ou mauve. Le Capitaine naimait pas trop être séparé su professeur Neil. Après tout, ils nétaient pas encore sûrs des intentions des akraniens, et seul on est moins fort quà deux ! Mais comme il navait pas le choix, il cacha ses préoccupations derrière un trait dhumour.
— Ma foi, cest plus luxueux que ma cabine de capitaine, fit-il. Il faudra que je me plaigne au syndicat des officiers !
— Heureux que cela vous plaise, fit Mannè. Pas sortir seul, cela dangereux. Pour ça, je ferme la porte. Je viendrai vous chercher dans deux heures.
Il sortit et la porte se referma derrière lui. Douglas sen approcha, et vit quil ny avait aucun moyen pour lui de louvrir. Il était enfermé. Cétait une cage dorée, mais une cage quand même !
Le professeur Neil entra dans sa cabine, suivie par Mannè. Sa cabine était identique à celle du capitaine Douglas.
— Effectivement, jolie cabine, fit-elle ! Oh, que cest joli !
Son regard de femme et de scientifique avait directement vu la grande plante, avec de belles fleurs aux pétales rouges. Elle sen approcha. On aurait dit une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres en trompette. Neil sapprocha delles et en huma une. Le parfum de ces fleurs était prodigieux ! Elle remarqua alors que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Elle sourit, rougit, puis huma de nouveau le parfum des fleurs. Ce parfum était vraiment bon, entêtant. En un coup, elle se sentait bien, tout son stress senvolait. Elle oubliait où elle était, elle était euphorique elle renifla encore la fleur, se sentant de mieux en mieux. Son cerveau de scientifique comprit très vite ce qui se passait : le parfum de la fleur était neurotoxique, et elle était sous son influence. Elle se retourna pour dire quelque chose à son guide, mais celui-ci resta sans bouger, la regardant avec attention.
Comme droguée, Neil replongea son nez dans la fleur elle se rappela les petits pistils, qui avaient des formes de pénis. Sous linfluence de la plante, elle commença alors à lécher les pistils, qui se durcirent sous sa langue, libérant des spores orangées quelle ingéra. Une autre sensation remplaça alors leuphorie Elle commença à avoir chaud, si chaud son uniforme la gênait, elle louvrit, et se déshabilla. Complètement nue, elle comprit ce quétait cette sensation de chaleur : elle avait envie de sexe ! Cela ne lui était plus arrivé depuis fort longtemps, trop occupée par ses études scientifiques Mais là, elle avait envie Une envie folle, dévorante Elle mit sa main sur sa chatte qui était trempée ! son clitoris était gonflé denvie Elle se retourna et vit Mannè qui la regardait avec satisfactionNue, elle se dirigea vers lui
— Mmh dans un intérêt scientifique, je me demande comment tu es fait susurra-t-elle
Elle sapprocha de lextraterrestre, lui caressa la joue, la nuque, le torse pas un poil ! Ils étaient vraiment tout glabres ! Elle remonta ses mains sur les épaules de Mannè et fit tomber son manteau. Il avait une tête, deux grandes oreilles, un nez, une bouche, deux bras, un torse, deux jambes mais sous le pantalon quallait-elle découvrir ? Ses mains descendirent vers le pantalon, et après une recherche caressante, elle comprit comment louvrir, et le faire glisser lentement le long des jambes de Mannè et là elle en ouvrit la bouche de stupeur ! Mannè navait pas une verge, comme les hommes de la terre non, il en avait deux ! Deux lune au-dessus de lautre ! Elle se trouvait face à deux pénis mauve en érection Elle qui en avait tant envie, elle en avait deux pour le prix dun seul ! Elle approcha sa bouche dune des deux verges, celle dau-dessus, et commença à la lécher doucement. En même temps, elle astiquait la deuxième, juste en dessous. Sa chaleur recommençait à monter, elle se sentait à nouveau euphorique, elle avait envie de lui appartenir. Elle engouffra entièrement la verge dans sa bouche, lui faisant une pipe gourmande, rapide, tandis que sa main branlait de plus en plus vite son autre verge la verge quelle branlait commença à battre et explosa elle sentit un premier jet de foutre senvoler, et retomber sur son dos, le sperme glissant lentement le long de son épine dorsale, tandis quun autre jet de foutre glissait le long de sa main Puis ce fut la verge dans sa bouche qui explosa avidement elle bu le sperme tiède de Mannè, dont le goût était pareil à celui du sperme humain Tout cela lexcitait tellement fort ! Elle en voulait aussi elle se coucha sur le sol, et se masturba devant Mannè. Elle caressa dabord son clitoris, puis senfonça sans problème deux doigts dans sa chatte toute humide et toute ouverte il ne lui fallut pas longtemps pour exploser, mouillant ses doigts de sa mouille Elle porta ensuite ses doigts à ces lèvres quelle lécha avec gourmandise. Le spectacle fit aussitôt rebander Mannè. Petit à petit, ses deux verges se dressèrent. Sarah Neil les voulait en elle. Elle fit un signe à lextraterrestre, qui vint se coucher sur elle. Elle sentit un gland tout chaud contre ses lèvres intimes, et dun coup de rein, la verge de lextraterrestre fut tout en elle. Elle gémit de plaisir. Il lui faisait lamour avec sa deuxième verge, celle du dessous, et à chaque coup de rein en elle, sa première verge frottait son clitoris et le bas de son ventre Sarah Neil gémissait de plaisir, et Mannè la prenait sans ménagement. Après quelques coups de queues, elle jouit une seconde fois. Lextraterrestre donna encore quelques coups de boutoir, puis sarrêta. Elle en voulait encore ! Il la retourna sans ménagement, et elle se mit à quatre pattes. Il la prit alors en levrette. Toujours son sexe du dessous qui entra complètement en elle, dans un bruit de succion humide, le sexe du dessus frottant le long de la raie de ses fesses. Mannè donna quelques coups de boutoir furieux, puis sarrêta Sarah sentit alors quil sortit un peu delle, pour pouvoir placer sa verge du dessus contre son petit anus. Il y rentra doucement. Sarah eut un peu mal au début, mais son corps était tellement euphorique quelle ne sentit quasiment pas la douleur. Par contre, quand elle sentit les deux verges qui allaient et venaient, une dans son anus et lautre dans son vagin, elle hurla de plaisir. Elle jouit encore une fois, de lanus et de sa chatte, puis elle sentit les deux verges éjaculer en même temps, le sperme chaud se répondant dans son anus et dans sa chatte, lui arrachant encore un dernier râle de plaisir. Elle était toute remplie par Mannè Puis Mannè se retira, la souleva dans ses bras, et la coucha dans le lit où elle sendormit sans demander son reste.
* *
*
Douglas alla sasseoir sur un canapé. Puis il sortit un petit émetteur et appela son vaisseau.
— FPU-Atlas, vous me recevez ? Ici le capitaine Douglas.
— Je vous reçois capitaine. Ici le lieutenant Jones. Tout va bien ?
— Oui, ils sont vraiment très aimables ! Trop pour être honnête. Soyez sur vos gardes lieutenant Jones !
— Daccord ! Et vous ?
— Je suis invité à dîner ce soir !
— Veinard ! Toujours les mêmes qui samusent ! Faites attention à vous terminé.
La communication sinterrompit. Douglas décida dinspecter sa chambre avant de se rafraîchir et de se préparer pour le banquet. Il commença par la porte de sa cabine. Aucun système douverture visible. Il lavait observé sous tous ces aspects, mais pas moyen pour lui de sortir. Il inspecta alors le reste de sa chambre, et ne trouva rien pas de caméra, pas de micro, rien qui puisse lui laisser penser quil était surveillé. « Étrange ! » pensa-t-il.
Puis, son attention fut attirée par cette plante qui trônait dans un coin de la pièce. Il sen approcha. Elle ressemblait à une plante de la terre, une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. La plante était posée sur une sorte de table basse. « Cest certainement là quils ont planqué leur système de surveillance ! » pensa-t-il. Il se baissa pour palper la table. En se baissant, son nez passa près dune des fleures. « Non rien ! Mmhmm il y a quelque chose qui sent vraiment bon par ici. Serait-ce ces fleurs ? » Il en approcha une de son nez et huma à pleine narine. « Oh oui, ça sent bon ! ». Il regarda encore autour de lui pour voir quelle partie de la pièce inspecter, mais tout dun coup, il se sentit bizarre plus léger, moins soucieux. En fait, il se sentit mieux. « Pas de problème, je vais quant même pas devenir parano ! Ces extraterrestres sont super gentil, super accueillant, pas de souci ! En plus ils ont des plantes qui sentent super bon ! ». Il revint près de la plante et huma encore une fleure. Il se sentit encore plus léger, encore mieux. Il devenait presque euphorique. Il examina de plus près la fleur, et vit que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Il en rit tout seul. « Une fleur à bite ! » Il rit et replongea son nez dans la fleur. Il était si bien tout dun coup. Une étrange idée lui passa alors par la tête. « Si je lèche ces pistils-pénis, vont-ils bander ? ». Le nez dans la fleur, il commença donc à titiller avec sa langue le pistil qui se durcit, et libéra des spores orangées que Douglas ingéra. Une autre sensation remplaça alors leuphorie, il commença à avoir chaud, si chaud son uniforme la gênait, il louvrit, et se déshabilla. Complètement nu, il comprit ce quétait cette sensation de chaleur : il avait envie de sexe ! Son pénis était tout bandé, tout dur. Le nez toujours dans la fleur, il commença à se masturber. Sa main montait et descendait sur son sexe, de plus en plus dur. Il accélérait le mouvement, sentit son pénis battre dans sa main et une giclée de sperme sortit, arrosant la plante, la terre de celle-ci, et sa main. Euphorique, il regardait cette plante, et examina de plus près la sorte de bulbe à demi-enterré, qui ressemblait à une noix de coco terrestre. Il vit quau milieu de ce bulbe il y avait une sorte de fente, sans doute par où la plante se nourrissait. Or cette fente ressemblait beaucoup à un sexe de femme. Il caressa le bulbe et la fente avec son doigt, et sentit que le bulbe était tiède et assez doux. Il introduisit son doigt dans la fente de la plante, et sentit quelle était assez profonde, et humide. Il ressortit son doigt, qui était mouillé. Il avait la même odeur que les fleurs, une sorte de sève orangée et visqueuse. Il renifla à nouveau le parfum entêtant des fleurs, et introduisit son doigt dans la fente du bulbe, comme sil masturbait le sexe dune femme. Euphorisé par la plante, il avait encore envie de sexe. Son membre redevint tout raide, il nen pouvait plus, se masturber nétait pas assez Il enjamba la plante, et fléchit ses jambes, plaçant ainsi son gland contre la fente du bulbe. Il fléchit encore plus les jambes, enfonçant son sexe dans la fente, entièrement, et commença à baiser le bulbe. Cétait chaud et doux, un peu comme lorsquil utilisait sa poupée gonflable de service, mais en beaucoup mieux. Et chaque fois quil senfonçait dans le bulbe, ses fesses touchaient la terre, ce qui lui procurait de petites sensations pas désagréable du tout. Cétait si bon ! Tout à son euphorie, il ne vit pas la terre remuer, et une tige de la plante sortit un peu de terre, juste là où ses fesses se posaient. Il sentit ce petit renflement, mais ny pris pas attention. Plus il baisait la plante, plus la racine sortait de terre, et venait caresser son anus. Cétait plaisant. Il continuait, et sentit la tige sinsinuer contre son anus, puis dans son anus Tout en baisant le bulbe, Douglas sempalait lanus sur cette tige. Il baisait la plante qui lenculait ! Cela avait lair complètement fou, mais quelles sensations de plaisirs il ressentait ! Bien vite il jouit, remplissant le bulbe de son sperme. Puis, inexplicablement, il sendormit, le nez dans une fleure de la plante, le sexe, flasque, toujours dans le bulbe, et la tige dans son anus. Et la plante le recouvrit de ses feuilles, comme si elle enlaçait le capitaine Douglas