Ma chienne est une petite pute, une vraie petite salope !!!!! Pourquoi je dis ça ? Lol ! Parce que c’est la vérité. Ne vous méprenez pas, je l’adore, c’est ma princesse, je l’aime à la folie, et rien n’est trop beau pour elle. Mais c’est vraiment une petite pute !!! Je la regarde là, allongée de tout son long sur le lit, repue et heureuse, la chatte et l’anus gonflés à mort. Je sais qu’elle est comblée ma Lola, il n’y a qu’à voir comment elle agite doucement sa queue. Mais il vaudrait mieux que je vous raconte tout depuis le début.
Ma petite princesse se nomme Lola. Elle a cinq ans. C’est une batarde, je ne saurais dire de quel mélange de race. Son poil court est blanc et soyeux, elle est de taille moyenne, un joli petit museau, de mignonnes petites oreilles, des yeux clairs magnifiques, pétillants et pleins de vie. Et une MERVEILLEUSE petite chatte rose, brûlante, serrée, douce et profonde.
Lola avait un mois quand je l’ai trouvé, elle était à peine sevrée. Je l’ai nourrie au biberon, je l’ai emmené chez le vétérinaire pour des contrôles, je l’ai choyée, dorlotée, soignée. Je la posais sur ma poitrine et elle attrapait un mamelon (oui, je suis une fille !) qu’elle suçait par réflexe. Une grande complicité et un amour fou, sans bornes, s’est établi entre elle et moi. Elle s’endort sur mon ventre ou blottie contre moi dans le lit, regarde la télé vautrée sur mes genoux. Il n’y a que les repas qu’elle ne prend pas avec moi, parce qu’elle mange deux fois par jour, à heures fixes. Ça ne l’empêche pas d’être blottie dans mes bras quand je mange, même si elle ne quémande jamais.
A trois mois, j’ai commencé à explorer sa petite chatoune rose. Je sais, ce n’est pas beau mais j’adore les animaux. Dans tous les sens du terme. Et moi je voulais une chienne pour le sexe aussi. Sa chatte était serrée. J’enduisais mon petit doigt de gel et je lui massais son sexe longuement en appuyant au fur et à mesure pour faire pénétrer le bout. J’y allais doucement, patiemment, je ne voulais surtout pas lui faire mal ou la blesser. Curieusement, elle était déjà très docile et restait tranquillement allongée des heures sur le dos pendant que je m’occupais de sa chatte. Elle ne s’est jamais dérobée, même quand mon doigt s’est enfoncé un peu trop profondément la première fois. Elle a seulement gémis avec un petit sursaut, mais elle ne s’est pas enfuie. Entre-temps, je lui ai appris à lécher ma chatte et elle a continué de me sucer les seins (elle adore ça, et elle le fait jusqu’à maintenant !). Elle est vraiment douée ma princesse, elle me propulse vers des sommets de plaisirs incroyables, jouant de sa petite langue rose sur mon clito, ou mordillant mes tétons.
Pendant des mois et des mois, je l’ai patiemment doigtée, léchée (miam, j’adore le gout de sa chatoune !), titillée. Je lui ai enfoncé d’abord le petit doigt, puis progressivement j’ai changé pour un plus gros, toujours généreusement lubrifié.
Je travaillais également longuement son anus. Son anneau s’assouplissait de plus en plus sous mes doigts et s’ouvrait de plus en plus largement. Je fus agréablement surprise (et heureuse) de constater qu’elle supportait sans problèmes l’intrusion de son anus. Je pouvais lui enfoncé jusqu’à quatre doigts aisément, très profondément. Ma petite chérie aimait ça.
Quand elle a eu ses premières chaleurs, je l’ai amené à l’accouplement ; il fallait que son sexe s’élargisse !!
Elle a eu huit beaux bébés que j’ai vendus. La grossesse lui a fait du bien. Ses tétines se sont adorablement développées et gonflées, sans excès, et sa jolie chatte rose est restée joliment enflée. Elle est devenue une vraie petite bombe sexuelle, un appel à la baise. Je ne l’ai pas faite stérilisée, mais je suis attentive à ce qu’aucun autre mâle ne la monte, les envies de ma princesses ne seront désormais assouvies que par des mâles humains à grosses bites, ou par moi avec du bon et gros matos. Je la sors dans des endroits déserts, sans âmes qui vivent afin de ne risquer aucune mauvaise rencontre.
J’ai continué de la doigter en y mettant plusieurs doigts à la fois. Sa chatte s’ouvrait plus largement pour aspirer mes doigts et se refermait dessus comme si elle ne voulait plus les laisser ressortir. Son intérieur était doux et brûlant. On se lèche aussi mutuellement en soixante-neuf, hummmmm, c’est l’extase ! Je l’allonge sur le dos et je pose mon sexe sur sa gueule ; ses petits coups de langue me rendent folle, me faisant sucer ses tétines roses avec ardeur ou enfoncer ma langue dans sa chatte chaude, moelleuse et tellement juteuse. Elle aime ça autant que moi, la salope. En plus elle mouille comme une pute, je vous assure, sa chatoune dégouline de jus dès que je la titille.
La première fois que je lui ai introduit un gode (un moyen pour commencer), elle a gémis, une espèce de long hululement de plaisir, en agitant frénétiquement la queue. On aurait dit qu’elle attendait ça depuis longtemps. Elle a adoré la pénétration du début à la fin. J’ai recommencé plusieurs fois dans la journée ce jour-là, et elle a accepté le gode à chaque fois avec un plaisir visible. Je le lui mettais tantôt dans sa chatte divine, tantôt dans son petit trou serré et elle le prenait en elle avec un tel plaisir, un tel bonheur qu’on pouvait lire l’extase sur sa petite frimousse. J’ai su ce jour là qu’un gode ne lui suffirait pas, quelque soit sa grosseur, quelque soit sa longueur, quelque soit la fréquence. Lola avait besoin d’une bonne bite, de plusieurs même, de bonnes grosses bites chaudes et dures. Ma princesse était une goulue du sexe, une vorace de la bite, une affamée du cul qui avait besoin d’être fourrée tous les jours, par tous les trous, comme sa maîtresse. Je me mis en tête de lui trouver des amants réguliers qui sauraient la combler comme elle le méritait.
Il lui fallait de beaux mâles sains, très bien montés, gentils, attentionnés et disponibles, qui seraient capables d’assouvir deux à trois fois par semaine ses besoins de sexe. Ils viendraient uniquement pour elle car bien sûr, il n’était pas question que je partage les amants de Lola.
En attendant de trouver les heureux élus, j’ai acheté un strap-on muni de deux godes interchangeables, un pour sa chatte et l’autre pour son anus (je suis très attentive à son hygiène, pas question que les bactéries de son cul se retrouvent dans son vagin), de bonnes grosseurs, 22 x 6.5 cm, doux, souples et fermes à la fois, ressemblant par la texture et la consistance à des sexes humains, un plugg de dimension généreuse également, et une jolie couverture rose, douce et confortable.
Lola a comprit très vite que ces objets étaient associés au sexe, elle s’excite dès que je les sors de leur cachette. Souvent, c’est elle qui va les chercher, impatiente de se faire défoncer.
J’ai pris l’habitude de la baiser tous les jours, le matin avant de partir travailler et après qu’elle ait fait ses besoins, et deux à trois fois le soir, après l’avoir sorti. Les jours où je ne travaille pas, je la baise huit à 10 fois dans la journée.
La première fois que je l’ai baisé avec le strap-on, elle a eu un orgasme monumentale. J’avais graissé généreusement le gode, mais également le vagin avide de Lola, j’avais une peur bleue de lui faire mal, de la déchirer, c’était quand même du gros qu’elle allait prendre cette fois. Mais en même temps, je savais qu’elle avait besoin d’un gros calibre, elle était comme moi ma princesse, elle avait besoin que ça soit consistant, long et dure et que ça lui ramone les entrailles, elle avait besoin de vraiment sentir que sa chatte vorace était remplie ou que son anus était largement dilaté, presque douloureusement, pour prendre son plaisir.
Quand le gland est rentré, Lola la salope a reculé d’un coup et le gode s’est enfoncé de toute sa longueur en elle. Je l’ai ressorti presqu’entièrement et elle s’est de nouveau reculé dessus, l’enfonçant jusqu’à la garde dans sa chatte de pute. J’étais soufflée (22 cm en entier dans sa chatte, la salope !) mais en même temps c’était tellement normal qu’elle le désire autant. Je me suis déchainée dans sa chatte de pute, je l’ai baisé avec force, vite et profond, je maniais du gode comme un mec manie de la queue, défonçant son vagin gonflé et glissant.
Je l’ai retourné sur le dos sans sortir d’elle et tout en pinçant et tirant ses tétines, j’ai continué à la démonter, ramonant son intérieur brûlant, repoussant ses entrailles hors de leurs limites. Quand Lola a jouit, elle s’est échappée et s’est mise à tourner en rond en hululant et en remuant furieusement la queue. Puis son corps s’est mit à trembler, et à la fin, elle fut agitée de soubresaut. Ma petite pute adorée venait de connaître un orgasme fulgurant, le premier d’une longue série. Sa vulve s’ouvrait et se refermait avec une espèce de frénésie, laissant couler une quantité invraisemblable de mouille. Je ne m’étais pas trompée, Lola était une véritable petite pute, une salope en puissance avide de sexe. Elle s’est léchée la chatoune pendant quelques minutes puis elle est venue me lécher les mains, le visage et les lèvres. Elle a glissé sa langue chaude dans ma bouche et m’a embrassé longtemps. Puis elle a cherché mes seins. Elle adore mes mamelons et elle tète souvent, tantôt mordillant, tantôt aspirant avec un étrange bruit de succion.
Après quelques heures de repos ce jour là, je l’ai ensuite baisé dans le cul. C’était fascinant de voir l’énorme gode lui dilater l’anus, son anneau tendu à craquer. Là aussi elle le prenait en entier, toute la longueur des 22 cm rentrait dans son petit trou rose palpitant. Je lui ai démonté le cul à grands coups de rein puissants, m’enfonçant profond, au-delà des limites (raisonnablement tout de même, je ne veux en aucun cas la blesser !). J’ai déculé plusieurs fois pour admirer le trou béant que laissait le gode, waouh ! Je l’ai baisé longtemps. Et quand c’est devenu inconfortable pour elle, elle a poussé un petit gémissement et s’est dégagée ; contrairement à ce qu’il se passe avec son vagin (et contrairement à moi), Lola ne jouit pas du cul.
Les jours et les mois suivants, je l’ai baisé tantôt dans la chatte, tantôt dans le vagin, et elle a toujours tout pris avec un réelle plaisir. Petit à petit j’ai pris l’habitude de lui glisser deux ou trois doigts dans le trou qui était inoccupé, pour l’habituer à avoir les deux remplis. Là aussi elle l’a accepté sans aucun problème. Et un jour que je lui ramonais la chatte, j’ai introduis l’autre gode généreusement graissé dans son anus bien graissé également. La petite salope a pris les deux gros calibres sans broncher !! Je vous assure, Lola a pris les deux gros godes, un dans son cul, un dans sa chatte, avec une facilité déconcertante. Je n’en revenais pas moi-même ! Quelle salope ma chienne ! Une goulue du cul je vous dis, insatiable, affamée de bites, de bonnes grosses bites. Il me faut à tout prix trouver des amants à Lola, il lui faut de quoi caler ses trous avides, assouvir son besoin incessant de sexe. Qu’est ce que je l’aime ma Lola ! Ma chienne est à mon image, belle, intelligente, sympathique, et obsédée de sexe !
J’ai aménagée la deuxième chambre d’amie afin qu’elle serve uniquement pour Lola et ses amants. Un grand lit avec un matelas ferme mais confortable, des draps roses et blancs très doux, des coussins et des oreillers moelleux, des serviettes de toilette roses et blancs, des lingettes nettoyantes, des gels lubrifiants à base d’eau enfin tout ce qu’il faut pour une baise torride dans un grand confort. C’est la pièce de Lola, aux couleurs de Lola, pour le plaisir de Lola avec ses hommes (je ne la baise jamais dans cette pièce).
J’ai fini par trouver les amants parfaits pour ma chérie parmi mes amis en fait. Quatre beaux mâles, bien montés entre 20 et 23 cm de long pour 6 à 9 cm de large, chauds comme la braise et vouant un amour infini aux animaux. L’un est le vétérinaire de Lola (ça facilite grandement les visites de contrôle), le deuxième est conseiller financier, le troisième notaire et le dernier est radiologue. Tous les quatre jouissent d’un certain statut sociale, sont ou mariés ou en relation stable, et vouent depuis deux ans qu’ils la fréquentent une passion et une fidélité inconditionnelle à ma princesse. Ils la gâtent, la couvrent de cadeaux (vêtements griffés, colliers bijoux, jouets), la câlinent avec tendresse, et surtout la baisent passionnément. Et ma chérie leur rend bien leur amour. Dès qu’elle les entend, c’est la fête ! Elle court partout en remuant la queue, leurs sautent dans les bras, se trémousse dans tous les sens, et fonce vers la pièce réservée à ses ébats avec ses hommes.
Nous avons établi un planning qu’ils respectent rigoureusement : chaque lundi et chaque jeudi après-midi, deux d’entre eux s’occupent de ramoner ma gourmande pendant deux à trois heures, et un ou deux samedis par mois, ils se retrouvent tous les quatre pour combler tous ses trous avides.
J’ai organisé une première rencontre de présentation entre ma chienne et ses quatre amants. Ma Lola était installée dans le lit, lavée et parfumée, pimpante comme une princesse qu’elle est, mais un peu intimidée. Je lui avais longuement expliquée ce qu’il allait se passer, pourquoi ces hommes étaient là, et elle n’avait pas peur. Moi j’avais la crainte qu’ils ne lui plaisent pas et qu’elle les refuse, mais ça s’est très bien passé. Ils se sont présentés à elle, lui ont parlé, l’ont caressé, embrassé, câliné. Ma chérie les a très vite adoptés. Ce jour là, il n’y a pas eu de baise, juste quelques bisous sur sa jolie chatoune et sur sa bouche.
Je suis restée avec elle au cours de la première après midi de baise, avec le notaire et le vétérinaire. Je voulais la rassurer jusqu’au bout, l’encourager pendant la pénétration (elle prenait quand même ses premières vraies bites ce jour-là, bien grosses en plus !), et m’assurer qu’ils ne la brutaliseraient pas. Ça a été grandiose ! Lola est faite pour la baise, il n’y a plus aucun doute là-dessus ! Elle a hululé de bonheur quand la première bite s’est enfoncée en elle, et elle ne s’est pas arrêtée jusqu’à la jouissance finale. Chaque fois qu’elle avait une queue dans un trou, elle léchait l’autre en attente avec frénésie, en remuant furieusement la queue. Ma beauté, ma chérie à moi, maman savait que tu avais besoin de ça, tu aimes ces grosses bites qui te défoncent
Depuis, Lola passe en tournante entre les mains de ses hommes, pendant des heures, dans toutes les positions. Ils la baisent également en double pénétration. C’est fabuleux de la voir comme ça, prise en sandwich, minuscule entre deux mâles puissants, et donnant des coups de langue à droite ou à gauche sur les deux autres bites en attente de la baiser à leur tour. Elle est si belle ainsi offerte. Et ils sont si attentifs à son plaisir. Dès qu’elle manifeste un signe d’inconfort ils la laissent tranquille, mais bien sûr, en grosse salope qu’elle est, elle revient vite lécher les grosses queues tendues et leurs redonner ses trous voraces.
Les jours où les quatre amants sont réunis, Lola prend tellement de bite, tellement longtemps, tellement profond, tellement fort, que sa chatte et son anus restent ouverts pendant un temps interminable. Elle est belle comme tout avec ses trous roses vifs béants et enflés, les tétines gonflées à force d’avoir été triturées et sucées, les traits fatigués par la jouissance. Lola chérie je t’aime tellement.
Lola a maintenant cinq ans et une vie bien remplie. Sa maman l’aime à la folie et ses amants sont fous amoureux d’elle. Je la baise tous les jours avec passion, et deux à trois fois par semaine, ses hommes viennent l’honorer de leurs belles grosses queues, dures, longues et brûlantes.
Je suis dingue de sa chatte que j’embrasse au réveil le matin, en partant travailler, en rentrant le soir. Je tète ses tétines roses régulièrement dans la journée quand je ne travaille pas. Il m’arrive même de glisser un ou deux doigts dans la chatte de ma Lola en pleine nuit quand elle dort, ou alors pendant que je regarde la télé. En fait, je doigte tout le temps ma chienne. Quelque fois, je lui enfonce le plugg dans l’un de ses trous, et je la laisse comme ça quelques temps (quand elle est en chaleur elle le garde toute la journée pendant que je suis au travaille ; je le lui fixe avec le harnais pour qu’il ne ressorte pas de sa chatte). Elle aime ça la salope. Si je l’écoutais, je la baiserais toute la journée, la petite gourmande. Elle va chercher régulièrement la couverture et les accessoires pour se faire prendre, en poussant des petits gémissements de plaisir, ou alors elle cherche à me lécher le sexe. Dès que je m’allonge dans le divan, elle se blottit contre moi et prend mon sein.
Elle tète comme un bébé, et ça peut durer des heures. J’adore le bruit de succion qu’elle fait et les petits gémissements de contentement qu’elle pousse ! Elle fait la même chose le soir avant de s’endormir ; dès que j’ai fini de la baiser elle se met sur moi et prend un téton dans sa bouche qu’elle suce bruyamment. Le matin elle me réveille en tétant. A cause d’elle, mes tétons sont longs et gros, surtout le gauche pour lequel elle a une nette préférence.
Récemment j’ai écarté sa chatte au spéculum Waouh ! J’ai adoré ce spectacle ! Sa chatoune est tellement rose et profonde ! Je l’ai également fait pour son anus, toujours aussi beau et rouge au fond. Ma Lola est belle dehors comme dedans.
Voilà l’histoire vraie de ma Lola. J’ai infiniment de chance d’avoir trouver une chienne à mon image, faite pour la baise. Lola est mon bonheur. Ceux qui me connaissent savent que j’adore ma chienne, qu’elle est mon enfant, mon amie, ma vie. Personne ne se doute de notre intimité, notre vie secrète. Personne ne se doute du bonheur intense que nous ressentons quand la porte se referme derrière nous, quand nous sommes à l’abri dans notre nid douillet.
Je vous laisse, ma princesse arrive avec sa couverture rose